• l’année dernière
Transcription
00:00 Salut Philippe !
00:00 Salut !
00:01 On est à Kiching, à côté du 17ème arrondissement quelque part.
00:03 Donc des sculptures ont été posées entre la mairie du 17ème et la porte de Kiching.
00:09 Parallèlement, il y a eu une exposition de photographies, de sculptures comme vous voyez,
00:14 des dessins et puis des peintures sur deux étages.
00:17 Oui, exactement.
00:18 Alors le minionisme est quelque chose de très très subjectif.
00:21 Ça, on ne peut pas y couper un paquebot là par exemple, envahi par des dinosaures
00:27 mais qui ont le mal de merdre.
00:28 Ça c'est minioniste, des dinosaures qui ont le mal de merdre, qui dégueulent.
00:31 Vous voulez monter ?
00:32 Alors là, c'est un tatou minioniste.
00:35 Il s'agit du derrière de mon crâne.
00:37 L'image est forte.
00:40 Aussi, il se dégage quand on perd ses cheveux.
00:42 Un terrain libre où on peut s'exprimer à loisir.
00:44 Il a sa propre personnalité ton crâne ?
00:46 Oui, bien sûr.
00:47 Là, vous avez un hommage à la chienne que nous avons adoptée dans la famille.
00:52 Qui est qui franchement, je ne sais pas.
00:54 Difficile à dire.
00:55 Un petit train.
00:56 Oui, vous me faites tourner là ?
00:57 Allez.
00:58 C'est pas mal.
00:59 Ma première broderie.
01:00 Qu'est-ce que vous voyez là ?
01:01 Une paire de culs.
01:02 Ah ben, c'est très bien.
01:03 Vous avez les idées bien placées.
01:04 C'est quoi normalement ?
01:05 Oui, c'est ça.
01:06 C'est des petits pop-corns.
01:09 Il suffit de leur ajouter des yeux pour faire des minionstres, c'est-à-dire un compromis
01:13 entre le minion et le monstre.
01:14 Ça ressemble à ça dans ta tête ?
01:15 Oui, quand même pas mal.
01:16 C'est le bordel alors.
01:17 Oui, c'est le bordel, bien sûr.

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