Ousmane Sonko en réanimation, les mots forts de Pape Assane Seck

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Transcript

00:00 Je te jure que tu vas bien. Tu es un homme de bonheur.

00:06 - Mais pas ça. - Tu ne vas pas me laisser perdre.

00:10 Mais est-ce que tu crois que le président de l'opposition, Mbatha Makissal,

00:22 a un autre moyen de lutter contre la grève de la femme?

00:30 C'est de dire aux Sénégalais d'agir dans un sens ou l'autre.

00:37 - C'est-à-dire? - Sur le plan de la communication.

00:40 Dire aux Sénégalais de faire ceci ou non.

00:43 Mais une chose est certaine,

00:45 le gouvernement peut prendre sa information et la mettre ici.

00:52 Tout le monde est dans la même situation.

00:57 - C'est-à-dire? - Personne ne sait.

01:00 Tout le monde sait que c'est un sujet à ce que nous croyons ou non.

01:04 On dit que c'est vrai ou non.

01:06 Le gouvernement peut prendre la masse et nous laisser faire ce qu'on veut.

01:14 C'est juste une hypothèse.

01:15 On peut faire ce qu'on veut mais au-delà,

01:19 il faut qu'on l'actifie parce que c'est injuste.

01:23 Je te le dis, Ousmane, on le connait bien.

01:29 On sait que tu es un homme de bon sens.

01:32 Mais nous ne nous frustrons pas pour avoir ce sentiment de révolte.

01:38 On ne peut pas prendre le bracelet de Ousmane Soukou.

01:43 C'est injuste.

01:46 Je ne peux pas faire de la paix, de la paix ou de rien.

01:53 Pour dire ce qui me fait mal, je ne peux pas.

01:56 Tu sais bien que c'est difficile.

02:01 - Juste pour soutenir Ousmane Soukou. - Je ne suis pas de le passif.

02:04 Mais le principe est que chaque Sénégalais doit avoir une seule volonté.

02:10 Il faut que ce sentiment de dictature soit supprimé par Dieu.

02:15 Que Dieu le bénisse.

02:19 Mais je veux te dire quelque chose.

02:21 Si on impose une dictature, on sera tous victimes.

02:29 Parce que personne ne s'en prendra compte.

02:32 On ne peut pas se dire que c'est la fin de la guerre.

02:38 C'est ce qui nous fait mal.

02:41 Dieu a fait de notre droit un droit de Sénégalais.

02:46 Dieu nous a fait des bonnes choses.

02:50 Mais on ne peut pas le dire à personne.

02:55 On doit se séparer et se faire la paix.

02:58 On a fait de la paix pour nous et tu veux nous faire la paix?

03:03 On peut pas faire ça.

03:06 On a fait de la paix pour nous et tu veux nous faire la paix?

03:10 Je te dis que c'est une chose qui doit être discutée.

03:13 C'est une chose qui doit être discutée.

03:17 Dieu a fait de la paix pour nous.

03:21 On a un projet de constitution pour 2024.

03:23 Mais on a demandé à Dieu de nous faire la paix.

03:30 Et on a fait de la paix pour nous.

03:34 On a fait de la paix pour nous.

03:39 On a entendu dire que vous voulez liquider la politique.

03:44 Vous voulez faire des choses mais vous ne le faites pas.

03:47 Est-ce que vous ne voulez pas que ce scénario soit dessiné?

03:51 Parce que tout le monde en parle.

03:55 Dieu nous a fait de la paix pour nous.

03:59 Dieu a fait de la paix pour nous.

04:04 Il a fait de la paix pour nos enfants.

04:07 Je vais dire à quelqu'un de retirer ce terme

04:16 car il faut conscientiser le président de la république.

04:20 Mais quel est le mal à dire que le président de la république doit être conscientisé?

04:25 Ce n'est pas péjoratif.

04:28 On ne peut pas dire que le président est déluide à cause de ses actions.

04:34 On a entendu dire que le président de la république est fort.

04:42 On a entendu dire que le journaliste ne doit pas parler de rumeur.

04:46 Mais c'est vrai.

04:48 On a entendu dire que le président n'est pas très conscient.

04:55 - Je veux dire que vous êtes d'accord. - D'accord ou non?

04:59 Je ne sais pas, je vais en parler à des gens.

05:05 Je vais en parler à des journalistes pour vérifier.

05:10 Je pense que le président peut faire ce qu'il veut

05:15 malgré tout ce qu'on lui a expliqué.

05:17 Mais il ne peut pas le refuser.

05:20 C'est à dire qu'il n'a pas le droit de le prendre?

05:23 Il y a une ligne qui ne s'oriente pas.

05:30 Même si on a fait quelque chose, on ne l'a pas fait.

05:32 Même si on a fait quelque chose, on a changé d'avis.

05:36 Il faut que le président Salle comprenne une chose.

05:40 Eliminer un adversaire politique, c'est un crime.

05:45 Sur le cadre de Karim Maysouad, on réhabilite Karim.

05:49 Sur le cadre de Khalifa, on réhabilite Khalifa.

05:52 Malgré tout ce qu'on a dit et fait, on a dû aller à la case départ

05:56 car on se retrouve avec un adversaire plus ténèbre qui s'appelle Ousmane Sonko.

06:00 Il est un homme très difficile à battre.

06:03 Donc, il faut que l'on se réunisse.

06:07 Mais pour se réunir, il faut qu'on s'assure de l'unité.

06:11 - Mais pourquoi? - Je veux dire que

06:18 au Sénégal, même nos débats, nos discussions, nos échanges

06:25 même la presse, tout doit changer.

06:28 Chaque Sénégalais doit changer de prisme et de paradigme.

06:35 Il faut que l'Amérique soit plus propre.

06:39 Il faut qu'on s'assure de l'unité.

06:41 Comme l'équipe de football, on doit être plus proche.

06:46 On doit être plus proche de la 3-0.

06:50 On doit être plus proche de la 3-0.

06:54 On doit prendre des décisions.

06:56 C'est la source de motivation.

06:59 La source de motivation dans ce pays, c'est que

07:01 au Sénégal, nous avons tout.

07:03 Quand je vois Thiagel Maïga parler au président Sale et au président Ouattara

07:08 que je veux parler à son cadet, le président Macky Sale

07:13 et à son doyen de la Côte d'Ivoire, le président Ouattara

07:16 il faut refuser d'être à la manette

07:22 d'être utilisé par une puissance étrangère qui n'en a que pour elle.

07:27 C'est ça, c'est le cadeau.

07:29 C'est ce que nous avons perdu jusqu'à présent.

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