Gilles-William Goldnadel, avocat de Philippe de Villiers : «Le mot génocide ne gêne pas quand on parle du massacre des Namibiens par les Allemands ou de Sarajevo […] Il n’y a que pour les Vendéens que l’on n’a pas le droit de parler de génocide».
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00:00 l'un des membres de la Terreur disait "il faut exterminer la race vendéenne"
00:04 dont même Baboff qui était un révolutionnaire brutal a dit "c'est un scandale".
00:09 Ils ont programmé...
00:11 - Non mais c'est le mot "génocide".
00:12 - Mais le mot "génocide"... mais je vous dis que le mot "génocide" ne gêne pas
00:17 lorsqu'on parle par exemple du massacre épouvantable des Namibiens par les Allemands,
00:23 lorsqu'on parle encore une fois de Sarajevo.
00:25 - J'ai le texte de...
00:26 - Moi j'ai fait... pardon... avec De Vecchion.
00:28 Je termine là-dessus, avec De Vecchion.
00:30 J'étais à côté du pauvre De Vecchion lorsque il a fait condamner un historien
00:38 parce qu'il refusait de parler de génocide arménien à l'époque.
00:43 Je veux dire, il n'y a que pour les Vendéens qu'on n'a pas le droit de parler de génocide.
00:47 Sous-titrage Société Radio-Canada
00:50 [SILENCE]