Retrouvez le replay SET 3 de la finale entre la Pologne et l'Italie dans les championnat d'Europe messieurs du 16/09/2023.
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00:00 La suite de cette soirée si spéciale, c'est beau le Palais des Sports de Rome en direct pour la finale de cet Euro.
00:07 Une finale fantastique avec des Polonais exceptionnels face à cette équipe d'Italie.
00:12 La suite de cette finale dans un instant, le temps de faire un point sur le Boldor 86e édition.
00:17 Vous le voyez, vous pouvez suivre cette édition du Boldor sur l'équipe live pour l'intégralité.
00:23 Vous allez sur le site l'équipe, je vous donne rapidement les positions.
00:26 La Yamaha n°7 qui mène désormais la danse devant la Honda n°1, la Suzuki n°12, la BMW n°37 et la Honda n°333, l'écurie n°333 qui avait remporté la précédente édition.
00:39 Le troisième set avec l'Italie qui mène, le premier point vient d'être marqué.
00:44 On rappelle c'est la Pologne qui mène de 7 à 0. C'est un niveau fantastique.
00:49 Benoît Antonin.
00:50 C'est exceptionnel ce que proposent les deux équipes mais surtout la Pologne.
00:54 La grande question, mais Saoud, c'est est-ce que les Polonais vont maintenir ce niveau de jeu stratosphérique ?
00:59 Parce qu'on a l'impression que les Italiens, quand les Polonais jouent comme sur les deux premiers sets, ne peuvent pas tenir.
01:04 Mais ils sont prêts à s'engouffrer dès que le niveau de jeu des Polonais va un petit peu baisser.
01:09 C'est sûr.
01:11 Honnêtement, je ne sais pas ce que vous en pensez Antonin, mais pour moi, il y a plus de chances que le niveau des Polonais baisse un tout petit peu.
01:18 Parce que maintenir un tel niveau pendant 3 sets...
01:21 Et Antonin, Benoît, après cette finale, on écoutera les Français après la défaite dans la petite finale face à la Slovénie.
01:29 Mais quand on voit ça, on n'est pas invité honnêtement.
01:33 Franchement, à l'œil nu, vous êtes des experts du volet, mais à l'œil nu, on a l'impression qu'on n'est pas invité.
01:38 Je n'osais pas trop le dire, mais oui, on n'est pas invité.
01:42 En tout cas, là, aujourd'hui, en 2023, on n'est pas invité à cette finale.
01:47 La France édition 2023, effectivement. Après, là, c'est un registre dans lequel nous, on n'aime pas trop emmener les équipes non plus.
01:53 C'est vrai que ces deux équipes qui se mettent des énormes brins au service, qui jouent beaucoup sur la puissance.
01:59 Quand la France arrive à inquiéter ces équipes-là, ce qui est le cas depuis plusieurs années, c'est qu'elle les emmène dans un registre différent un peu.
02:06 Parce qu'elle est capable de faire notamment Erwin quand il emmène tout le monde avec lui.
02:10 Mais c'est vrai que dans ce registre-là et ces deux équipes-là, en ce moment, honnêtement, je rejoins totalement Messaoud.
02:16 C'est au-dessus.
02:18 Oui, c'est au-dessus.
02:20 Mais bon, espérons que pour les Jeux olympiques, on soit au niveau et qu'on puisse jouer ce genre de match.
02:32 Oui, on aura l'occasion d'en parler parce qu'on va suivre avec Messaoud tout à l'heure en plateau la remise des prix.
02:37 Il y aura de nombreuses réactions des Français qui vont revenir sur cet auroreau en général, sur cette déception lors de la petite finale.
02:48 Et on aura l'occasion de rentrer peut-être en détail sur les perspectives de cette équipe de France au cours des prochains mois
02:56 avec cet objectif des Jeux olympiques qui vont s'ouvrir dans un peu plus de 10 mois maintenant.
03:02 Ça va arriver vite.
03:03 Oui, 10 mois.
03:06 J-314, quelque chose comme ça.
03:10 Est-ce que je suis le début des Jeux olympiques ?
03:15 J-...
03:16 Ça, il faut demander à Messaoud. C'est lui qui fait le découvre.
03:18 Je crois que c'est ça, le découvre, je crois.
03:20 Mais j'étais pas... Par contre, ce que je peux vous annoncer à coup sûr, c'est que demain à 15h, sur le plateau de l'équipe,
03:27 effectivement, on est à 314 jours des Jeux. Daryl Bultor, Stéphane Boyer et Erwin Hengapet seront en compagnie de Messaoud Bentert qui...
03:36 On est ravis qu'ils viennent nous voir, surtout après une déception comme ça.
03:41 Ça prouve que c'est des garçons toujours aussi sympas, abordables, parce que ça doit être très, très dur pour eux ce soir.
03:49 Oh, la bonne défense de Kaschmarek. Est-ce que ça va revenir ?
03:52 Oui, Zatorski qui se bagarre. Ça ne suffira pas.
03:54 Et l'Italie qui entame de la meilleure des manières ce troisième set.
04:00 Ils n'ont pas le choix. Ils sont menés 2-0. S'ils veulent espérer gagner ce match, il faut qu'il y ait... Comment dire ? Un rebellion ?
04:12 Ou une rebellion, du coup.
04:13 Pardon, une rebellion.
04:15 Un sursaut, c'est ça le terme que vous cherchez. En tout cas, oui, un rebond, une réaction.
04:21 Et ça va partir peut-être de ce garçon, mais c'est aussi une équipe...
04:26 Alors contrairement à la Pologne où on sait qu'il y a Wilfredo Leon entouré de son armée de joueurs de grands talents,
04:33 cette équipe italienne, c'est un peu plus équilibré, entre guillemets.
04:37 Ça peut être Romano, notamment. Oh, et Wilfredo alors ? Tout là-haut, seul au monde.
04:43 Et en plus, il a enchaîné. Il a fait la réception et il enchaîne à l'attaque.
04:48 Wilfredo Leon, Messieurs, Dames. 30 ans. Ça fait 15 ans qu'il est au plus haut niveau, parce que vous l'avez dit tout à l'heure,
04:54 il a débarqué à 15 ans sous le maillot de Cuba. Il était déjà exceptionnel.
05:00 C'était un phénomène et au fil des années, le phénomène a survolé le volet mondial.
05:06 Et là, il a voulu faire très mal à la réception italienne. Et l'Italie qui mène 5-3.
05:11 Oui, Wilfredo, contre qui je jouais il y a 15 ans en World League, qui avait déjà à 15 ans fini meilleur serveur de la compétition.
05:20 Il avait surpris tout le monde. Et c'est Mignuc qui rentre.
05:26 À la place de Leon, justement, pour limiter au maximum l'impact des serveurs italiens.
05:33 Les trois passages derrière. Alors on perd un peu sur l'attaque, parce que Leon n'est pas là pour les pipes, notamment.
05:39 Mais voilà, en réception. Ouh là, petite bougie, comme on dit dans le volet. Pris par Fefe De Giorgi, l'entraîneur.
05:46 Et je crois que j'ai l'impression qu'il se plaignait du genou, Leon. C'est aussi pour ça qu'il est sorti, je crois.
05:51 Ah oui, ça peut être un...
05:54 Parce que c'est Mignuc, c'est plus un attaquant qu'un réceptionneur. C'est Mignuc, c'est un...
06:00 Très bon attaquant.
06:03 Très, très bon attaquant.
06:05 Et c'est peut-être aussi... Bien vu, Antonin, c'est peut-être aussi pour reposer un peu Wilfredo Leon.
06:12 Oui, ça s'est bien fait. La fixation au Galassi.
06:17 Il retrouve de la fluidité dès que la réception arrive.
06:23 Oui, les Polonais qui ont un petit peu baissé sur ce set au niveau du service.
06:29 Et on le sent, le passeur italien qui est un petit peu dans un fauteuil.
06:34 Et quand vous avez Giannini dans un fauteuil, ça tourne toujours mieux.
06:39 Galassi, qui sert superbement.
06:43 Ça va être une relance dans les mains, certainement, de Giannini. En tout cas, la via qui s'applique.
06:48 La fixation, et ça enchaîne avec Russo.
06:53 Et ça fait 7-4 pour l'Italie.
06:55 Là, voilà la réaction des champions du monde.
06:57 Il fallait s'y attendre. Ils ne sont pas champions d'Europe et champions du monde pour rien, les Italiens.
07:03 Il y aurait forcément eu une réaction. Elle est là.
07:06 Galassi, deuxième. Camille, une énorme bombe sur son service précédent.
07:16 Est-ce qu'il va enchaîner face aux trois réceptionneurs polonais ?
07:24 Slivka, Semenyuk, Satorski. C'est trop long.
07:28 Mais la bonne nouvelle pour la nationale, c'est que pour la première fois de cette finale, ils sont devant dans un 7.
07:37 Même si ils n'ont pas encore fait un écart assez confortable pour vraiment mieux respirer.
07:46 J'aimerais bien avoir quelques infos sur Léon.
07:50 Est-ce qu'il ne tue pas pour rentrer ? Est-ce qu'il le garde pour les 7 suivants ?
07:55 Janusz, pas de soucis sur ce service, cette fois, et mis sur orbite par Cianelli.
08:01 Micheletto, monstrueux sur son poste 4.
08:06 Quelle belle attaque.
08:08 Poste 4, on le rappelle.
08:10 Antonin à la gauche du filet.
08:17 Quand c'est comme ça, c'est trop haut, c'est trop rapide.
08:21 Là, on ne peut pas faire grand-chose.
08:23 Cianelli qui sert très bien.
08:27 Il avait bien réagi Rousseau au bloc, mais Hubert remporte son duel.
08:33 Hubert qui fait un gros, gros match.
08:37 Il est monstrueux.
08:39 Il est monstrueux parce que les duels de centraux, il a du client en face.
08:45 Mais oui, c'était vraiment pour le faire respirer.
08:49 Trois positions arrière.
08:51 Wilfredo Léon qui revient au filet.
08:54 Parce que vous le savez, les voleyeurs tournent à chaque position.
09:00 Ils font trois positions devant, trois positions derrière.
09:03 Et on tourne à chaque fois qu'on reprend le service.
09:06 Oh, le petit service là.
09:08 Pourquoi ils ont attaqué ce ballon ? C'est un ballon rendu aux Italiens.
09:11 Ils vont peut-être s'en mordre les doigts, les Polonais, de cette gestion un peu approximative.
09:17 C'était l'occasion de revenir à une longueur.
09:20 Je n'ai pas compris la relance de Léon qui a fait une relance à une main.
09:24 Du coup, ça a un petit peu précipité le jeu polonais.
09:27 Ils auraient pu prendre du temps.
09:28 Mais le passeur polonais, il n'est pas obligé non plus d'envoyer une fixation comme ça, un peu au casse-pipe.
09:40 Ce genre de match avec un tel niveau d'intensité et d'exigence,
09:44 les petits détails comme ça sont parfois absolument gigantesques de conséquence.
09:51 Allez, petit embarque polonais.
09:55 On n'a pas eu le son des consignes des Polonais.
10:08 Léon qui va être sûrement la cible en réception encore une fois des Italiens.
10:12 C'est une des consignes, je pense, donnée par le coach italien.
10:19 Il est en train de faire un petit défi.
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16:39 Il va être en train de faire un petit défi.
16:41 Il a cherché pourtant cette grande diagonale.
16:43 C'est son angle.
16:45 Ça lui permet de cibler Wilfredo Léon.
16:47 Ça lui permet de cibler Wilfredo Léon.
16:49 De travailler avec sa main.
16:51 De coiffer ce ballon.
16:53 Il sort pour 10 centimètres.
16:55 Il sort pour 10 centimètres.
16:57 Attention Wilfredo Léon.
16:59 Il pousse aux abris.
17:01 Il pousse aux abris.
17:03 Ça va faire du bien aux Italiens.
17:05 Ça va faire du bien aux Italiens.
17:07 Ça fait deux échecs pour lui dans cette troisième manche.
17:09 Ça fait deux échecs pour lui dans cette troisième manche.
17:11 L'Italie respire mieux.
17:13 L'Italie respire mieux.
17:15 Quel niveau de jeu quand même.
17:17 Quel niveau de jeu quand même.
17:19 De la part des deux équipes.
17:21 De la part des deux équipes.
17:23 C'est un tout petit peu baissé côté polonais.
17:25 C'est un tout petit peu baissé côté polonais.
17:27 Mais comme je disais, a priori, ça c'était plutôt prévisible.
17:29 Mais comme je disais, a priori, ça c'était plutôt prévisible.
17:31 Mais ça nous offre un troisième set.
17:33 Mais ça nous offre un troisième set.
17:35 La petite fin de Slivka.
17:37 Micheletto en poste 4.
17:39 Et voilà !
17:40 Petit break.
17:41 Deux points d'avance pour l'Italie.
17:42 Deux points d'avance pour l'Italie.
17:43 Un nouveau !
17:44 Là aussi, c'est très haut.
17:52 Ça tape dans les mains de Janusz.
17:54 Main extérieure, très intelligent.
17:56 C'est bien joué.
17:59 Daniel Elavia.
18:01 Receptionneur attaquant de 22 ans de cette équipe italienne.
18:08 Au service.
18:10 Sur Léon.
18:11 Sur les consignes.
18:12 Il ne s'en prend trop de risque.
18:14 Desch-Marey qui est défendu.
18:17 Desch-Marey qui est défendu.
18:18 Desch-Marey qui est défendu.
18:19 Desch-Marey qui est défendu.
18:20 Desch-Marey qui est défendu.
18:21 Desch-Marey qui est défendu.
18:22 Desch-Marey qui est défendu.
18:23 Desch-Marey qui est défendu.
18:24 Desch-Marey qui est défendu.
18:25 Desch-Marey qui est défendu.
18:26 Desch-Marey qui est défendu.
18:27 Desch-Marey qui est défendu.
18:28 Desch-Marey qui est défendu.
18:29 Desch-Marey qui est défendu.
18:30 Desch-Marey qui est défendu.
18:31 Desch-Marey qui est défendu.
18:32 Desch-Marey qui est défendu.
18:33 Desch-Marey qui est défendu.
18:34 Desch-Marey qui est défendu.
18:35 Desch-Marey qui est défendu.
18:36 Desch-Marey qui est défendu.
18:37 Desch-Marey qui est défendu.
18:38 Desch-Marey qui est défendu.
18:39 Desch-Marey qui est défendu.
18:40 Desch-Marey qui est défendu.
18:41 Desch-Marey qui est défendu.
18:42 Desch-Marey qui est défendu.
19:08 Desch-Marey qui est défendu.
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22:27 Desch-Marey qui est défendu.
22:30 Desch-Marey qui est défendu.
22:33 Desch-Marey qui est défendu.
22:36 Desch-Marey qui est défendu.
22:39 Est-ce qu'il demande à Tchannet ? Il demande quoi à Nikola Gribic ?
22:42 Je ne sais pas, je n'en ai aucune idée.
22:44 Regardez à quelle hauteur il va taper aussi.
22:47 Il a failli la retoucher aussi.
22:50 Parce que là ils sont là. Le bloc polonais.
22:55 Ouh, ouvert qui ne s'arrête jamais de monter.
22:58 La hauteur ! Il n'arrête jamais de monter.
23:00 Il était même plus haut que Léon.
23:02 Exceptionnel.
23:03 Emi Chiedeto, 17-16.
23:07 Bien tenu, bien tenu. Woutfriedo Léon en poste 4.
23:10 Il est freiné encore.
23:12 Zatovski qui est là, tranquille.
23:14 La fixation, il travaille les blocs.
23:16 Au bloc, pardon, les Italiens.
23:18 Il fait le tour du terrain avant d'aller servir.
23:21 Exceptionnel ça aussi.
23:23 L'attaque de Kochanovski.
23:25 On voit que Léon est vraiment attendu.
23:28 Les Italiens vont directement sur lui, sur les ballots.
23:31 C'est Norbert qui fait un tour d'honneur avant d'aller servir.
23:34 C'est Hubert.
23:37 Norbert Hubert.
23:39 Et le voilà, 17 partout.
23:43 4 aces déjà dans ce match.
23:46 Et le 5e !
23:50 Mais non, mais ce n'est pas possible.
23:52 Et le 5e avec la réussite !
23:54 Il est là, il est peut-être là, l'improbable héros de cette finale.
23:58 C'est impossible, je n'ai jamais vu ça arriver comme ça.
24:02 Avec un peu de chance là, mais en tout cas, on la provoque la chance.
24:06 Il s'engage à fond, effectivement.
24:09 Le fait de si bien servir, tous les réceptionneurs sont très loin,
24:13 reculent pas sur leurs appuis.
24:15 Et sont évidemment encore plus surpris.
24:18 Là, s'il remet un ace, c'est vraiment le héros de la finale.
24:22 C'est lui qui avait lancé les hostilités avec 3 aces lors du 1er set.
24:28 Et le 5e, c'est lui qui a fait le coup.
24:31 18 partout !
24:37 Ah, ça va être...
24:40 Et lui alors, est-ce que c'est lui qui peut sauver la nation italienne ?
24:44 Le 2e passeur de cette équipe.
24:47 Ça a fait mal, nous, contre les Français.
24:50 Riccardo Spertoli.
24:55 Il connaît sa cible, c'est Wilfredo Léon.
24:58 Il engage et il trouve le milieu avec Zatorski.
25:01 Wilfredo Léon.
25:03 Il était pas loin, Spertoli, là, de se glisser sous cette balle.
25:06 Qu'est-ce qu'elle est importante, celle-là !
25:08 Je ne sais pas pourquoi il allait la chercher en Corse, alors qu'il aurait pu...
25:11 Enfin, il avait le temps de mettre les deux mains sur la défense.
25:14 C'est dommage, parce que c'était bien freiné par le bloc.
25:18 Regardez.
25:20 C'est dur, c'est dur, c'est dur.
25:22 Il va pas moins mettre le poignet.
25:24 Les Polonais qui sont devant.
25:29 À 6 points du match.
25:31 Chaque serveur polonais, maintenant, sait qu'il peut faire basculer cette rencontre.
25:36 Du bon côté pour son équipe.
25:38 Kaszmarek qui a tout envoyé.
25:39 La FIA qui répond avec cette superbe diagonale.
25:42 Il fait 19 partout.
25:46 Quel est le prochain serveur polonais ?
25:49 Monsieur Léon.
25:51 Ce n'est pas Tchanovski, je crois.
25:53 C'est le mec qui était en deux, là.
25:55 C'est là où il peut faire la diff.
25:59 Déjà, il faut qu'il fasse le side-out.
26:02 Déjà, Micheletto.
26:05 Déjà, Micheletto.
26:06 Non, c'est Romano.
26:08 C'était Romano, oui.
26:09 Romano n'arrive pas.
26:11 Un peu comme Micheletto, d'ailleurs.
26:13 Les deux serveurs gauchers, capables de faire des dégâts énormes avec leur service,
26:18 dans cette finale, Antonin n'arrive pas à trouver l'efficacité.
26:21 À moins que celle-là vienne accrocher un petit bout de ligne.
26:25 Un peu comme la nôtre, avant-hier, contre les Italiens.
26:30 Oui, non, sauf que la nôtre, elle était bonne.
26:32 Celle-là, 23-24.
26:33 Là, elle est bien dehors.
26:35 20-19.
26:40 Pression maximale sur les champions du monde.
26:46 Et là, qu'est-ce qui se passe, là, de Wilfredo Léon, pour cher Antonin Rosier ?
26:50 Ouf, là, il…
26:52 Il réfléchit, il réfléchit pas, mais il se dit…
26:54 Là, il va.
26:55 Je peux faire basculer cette finale.
26:57 Je peux vous dire qu'il va mettre, parce qu'il a…
26:59 Le premier titre de champion d'Europe à la Pologne depuis 14 ans.
27:02 C'est parti.
27:06 Wilfredo Léon.
27:07 Oh non !
27:08 Qu'est-ce que c'est que ce service ?
27:10 130 km/h !
27:12 Mais non !
27:14 Je vous ai dit, je vous ai dit.
27:15 C'est fantastique !
27:16 Sur la ligne comme ça, mais comment le sortir ?
27:19 Quel joueur !
27:20 Alors qu'il a fait deux fautes.
27:21 Deux fautes à…
27:22 Regardez la zone, trouvez !
27:23 C'est intouchable !
27:24 Oh là là !
27:25 Alors qu'il a fait deux fautes juste avant.
27:27 Non mais quel joueur !
27:29 Extraterrestre !
27:30 Teniamo precisi in alzata e giochiamo i nostri col.
27:39 Vai, ragazzi !
27:40 Bien !
27:41 Allons-y, allons-y !
27:42 On s'est endormis !
27:43 Et pourquoi il est important ce match pour Wilfredo Léon ?
28:06 Parce qu'il pourrait décrocher avec la Pologne.
28:09 Tout simplement son premier titre.
28:11 Le tout premier, lui qui a été naturalisé,
28:14 a commencé à jouer avec cette équipe polonaise en 2019.
28:17 Son premier titre européen.
28:20 Oui, toutes compétitions confondues.
28:22 Il y a eu la VNL, mais…
28:25 Il n'a pas réussi encore, notamment aux Jeux Olympiques,
28:28 stoppé par l'équipe de France.
28:30 Et celle-là, à la VIA, il fallait la faire.
28:32 Elle n'était pas évidente.
28:33 Elle était surtout importante.
28:35 Parce que Léon avait encore très très bien servi.
28:37 C'était une balle haute, là.
28:39 La consigne respectée, celle de Fefe De Giorgi au temps mort,
28:42 qui a demandé à ses joueurs de tenir la réception
28:44 et de mettre le deuxième contact au filet pour jouer dans le bloc.
28:46 Parfaitement exécuté, merci Uber Eno pour la traduction.
28:49 Il enchaîne la VIA, très bien servi.
28:52 Ouh la kachmarek, ouh la kachmarek.
28:54 La passe, le slivka, pas facile.
28:56 La passe en manchette aussi, pas évidente.
28:58 La VIA, la défense qui ne tient pas.
29:00 Et la VIA qui fait recoller l'Italie à 21 partout.
29:03 L'espoir est toujours là.
29:04 C'est fou ce match.
29:07 À un moment, on sent que c'est les Polonais qui ont le dessus.
29:11 Et puis, deux points après, les Italiens reviennent.
29:15 La VIA, il est héroïque.
29:17 C'est lui qui fait l'attaque juste avant.
29:19 Capital pour faire tourner le service de Wilfredo Léon.
29:22 Et c'est lui qui claque cette attaque pour faire recoller l'Italie.
29:25 C'est pas Giannelli, c'est pas Micheletto, c'est pas Romano, c'est la VIA.
29:30 Et oui, comme je vous le disais, c'est un match très très difficile.
29:34 Et comme je vous l'ai dit, c'est une des pièces maîtresses de cette équipe d'Italie.
29:42 C'est l'une des forces de cette équipe italienne.
29:44 Tous les joueurs peuvent faire basculer ce match, sont capables de faire des grosses différences.
29:50 Un petit coup ouvert sur la tête.
29:56 Un petit coup de coude, des fois ça arrive au bloc, en retombant.
30:01 Vous entendez l'ambiance ?
30:02 C'est de la folie !
30:04 Les supporters polonais qui sont aussi venus.
30:24 Les supporters sont venus supporter leur équipe polonaise.
30:30 Oui, bien fait, bien fait de jouer en fixation avec Koczanowski.
30:33 Le central italien qui ne s'était pas du tout engagé et qui était en attente, certainement de Léon.
30:39 Sur la 3 mètres plein centre.
30:41 Regardez, c'est le gamin de 21 ans qui dit à ses coéquipiers "les gars, on reste calme, la tête !"
30:47 C'est vrai.
30:48 Oh là là, elle est belle cette attaque de Koczanowski aussi.
30:53 Quelle hauteur !
30:58 Et c'est là où il faut être chaud.
31:01 Et c'est là où il débarque au service.
31:03 Quelle belle réception de Balasso.
31:05 Micheletto, c'est soutenu, c'est bien fait Galassi.
31:08 Oh superbe, c'est magnifique.
31:09 Alors là, elle est importante celle-là.
31:12 L'effret de Léon, au filet.
31:14 Non, elle n'y va pas.
31:15 Slivka qui rend ce ballon, relance de la via dans les mains.
31:18 Et l'attaque qui s'enlève !
31:19 Elle est dehors !
31:20 Aïe, aïe, aïe, Romano qui attaque dehors !
31:22 Non, non, elle n'est pas touchée, elle n'est pas touchée même si...
31:25 Romano, Yuri Romano va demander.
31:30 Est-ce qu'il va prendre une challenge ? Je ne sais pas.
31:32 Mais j'ai bien l'impression qu'elle soit très très loin.
31:36 Bien bien dehors.
31:37 Du bloc polonais.
31:38 Ouh, celle-là !
31:39 Ouh, celle-là Antonin !
31:40 Elle fait mal.
31:42 Elle fait très très mal aux Italiens.
31:43 Oui.
31:44 Ils sont sur un filet, effectivement.
31:46 Je vous l'ai dit, si les Polonais arrivent au contact en fin de 7 comme ça, en fin de 3ème,
31:50 en étant menés 2-0, forcément la pression, elle est sur les Italiens.
31:54 Et là, vous qui êtes pointu comme Romano, il force un peu cette attaque, non ?
31:59 Il force un peu l'attaque et surtout qu'il dévise, j'ai l'impression.
32:04 Pourtant, le contreur central polonais n'était pas là.
32:10 Il était un peu en retard.
32:11 Il avait de l'espace pour attaquer grande diagonale.
32:14 C'est le contexte un peu qui le fait rater cette attaque.
32:16 Oui, sûrement.
32:17 Il y a de la pression forcément.
32:19 C'est parce que 2-7-0, 22-21.
32:20 Oui.
32:21 Et bon, ce n'est pas fini pour les Italiens.
32:26 Et maintenant, c'est 2-7-0, 23-21.
32:29 Les Polonais à deux points.
32:31 Là, c'est chaud.
32:32 Du sacre continental.
32:33 Kochanowski.
32:36 Oh, oh, oh.
32:37 Quelle réception aussi.
32:38 Il ne touche pas pourtant.
32:39 Oh là là, l'enchaînement, la side-out est superbe.
32:41 On voit la réaction de Fabio Palasso après cette réception.
32:45 La réception de Palasso, là.
32:47 Exceptionnelle.
32:48 On aurait dit Hubert Henault à la bonne époque.
32:51 Dans les mains de Giannelli qui peut enchaîner avec Calassi.
32:54 Oh là, oh là, oh la pression.
32:58 La pression sur Tommaso Rinaldi.
33:01 Un gamin de 21 ans.
33:05 C'était lourd pour lui de le faire rentrer à 22-23 au service.
33:12 Ah ouais, c'est dur.
33:13 On ne l'a pas vu en demi-finale.
33:15 Deux balles de match.
33:16 Il n'était pas rentré de la finale.
33:17 Et ça offre deux balles de match à la Pologne.
33:20 Deux balles de sacre.
33:21 Ce serait fou en Italie, à Rome, que les Polonais s'imposent 3-0 comme ça.
33:27 Ce serait le premier titre international de Wilfredo Leone.
33:30 Après avoir été en finale des championnats du monde en 2010.
33:34 Avec Cuba.
33:37 Janusz Osservis.
33:39 Il s'est encore bien servi.
33:41 Qu'est-ce qu'il a gêné avec son petit service comme ça ?
33:43 C'est freiné.
33:44 Attention, Leone, Leone, Leone.
33:45 C'est un peu fini maintenant.
33:46 Ça va partir en poste 4 sur Slivka.
33:49 Les Italiens qui vont se battre.
33:50 Non, non, ça joue, ça joue.
33:51 Il a touché le filet, mais à l'extérieur.
33:53 Il a touché le filet à l'extérieur.
33:54 C'est pas terminé encore.
33:55 L'arbitre qui ne dit rien.
33:58 Casse-pieds.
34:00 C'est incroyable.
34:01 Ils ont eu trois opportunités.
34:04 Comment ils s'en sortent, les Italiens ?
34:06 Alors, on a vu le filet bouger.
34:08 Je ne sais pas si on va voir l'action, mais on a le droit de toucher le filet si on est à l'extérieur des mirs.
34:15 Donc Micheletto qui allait chercher le ballon et qui a touché le filet.
34:19 Un élément, un poteau, une chaise, on a le droit de toucher.
34:22 Le filet, on n'a pas le droit de toucher à l'intérieur des deux mirs.
34:25 À l'extérieur, c'est...
34:27 Les mirs, c'est les antennes rouges et blanches qui sont sur le côté.
34:31 Qui délimitent le filet.
34:35 Incroyable ce point.
34:37 Et là, c'est les Italiens qui recroisent aux opportunités de fou pour finir ce point.
34:41 C'est dingue.
34:42 Imaginez si les Italiens reviennent.
34:44 C'est fort possible, regardez.
34:45 Qui est au service, Giannelli.
34:47 Qu'est-ce qu'il va nous faire comme service Giannelli ?
34:49 Quelle pression sur le passeur italien.
34:51 C'est monumental.
34:52 Il sert extrêmement bien, mais la réception est superbe.
34:55 Ça va partir en poste de Slivka.
34:57 Slivka qui conclut l'exploit monumental de la Pologne
35:04 qui vient s'imposer 3-7 à 0 à Rome devant plus de 11 000 supporters italiens.
35:10 Ils font tomber les champions du monde et champions d'Europe en titre.
35:14 Il est en armes Slivka.
35:16 Il a été monumental comme tous ses coéquipiers.
35:18 Quelle performance des Polonais.
35:20 Quel match des Polonais, c'est fou.
35:22 Vraiment, quel niveau ils nous ont proposé.
35:25 Ils ont été réguliers et stables tout au long de cette finale.