4/6 : La Ferme Saint-André et Caritas Alsace avec René Epp

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00:00 Merci Yves Riedl, dans la ferme Saint-André, avec René Hepp.
00:04 Merci à tous ceux qui sont avec nous sous la couche, sous les yeux, comme vous le voyez.
00:09 La ferme Saint-André, merci à tous les volontaires.
00:12 Vous êtes venus à Foltepit ?
00:14 Caritas, ça fait plus de 20 ans que je connais Caritas.
00:21 Caritas est une grande fédération,
00:28 c'est-à-dire qu'il y a beaucoup de membres, plus de 800 personnes qui travaillent là-dedans.
00:35 Et ils ont tous un seul homme, le mien est au centre.
00:42 Tu peux commencer par le petit, le moyen, le grand, on a aussi des anciens.
00:48 On est beaucoup de gens ici.
00:50 Je suis membre de la grosse administration de Schlossburg.
00:54 Et que faites-vous ici au bureau, comme volontaire ?
00:57 Comme volontaire, quand le directeur ou le représentant vient,
01:01 je demande s'il peut m'aider,
01:03 je suis là et je dis « Viens, pas de problème ».
01:06 Comme jeune retraité, je peux m'occuper de la fête.
01:09 Combien d'heures vous prenez pour faire ça ?
01:12 Je suis un ancien, mais je viens ici,
01:15 quand j'ai besoin, je viens, pas de problème.
01:18 On doit toujours se séparer, se séparer de la fête,
01:21 avant de pouvoir faire ce qu'on veut faire.
01:23 Quels sont vos projets avec Caritas dans les prochaines années ?
01:27 Est-ce que, comme beaucoup d'entreprises, vous allez aider les gens ?
01:29 Vous utilisez encore beaucoup de choses, comme l'argent ?
01:32 L'argent, l'argent, c'est ça.
01:35 J'ai entendu à la radio, les restaurants du cœur,
01:41 ils ont des demandes,
01:43 je pense qu'à Strasbourg, il y a peut-être 110 demandes par an,
01:45 un déficit.
01:46 Là, on est plus ou moins financé par le Gouvernement,
01:51 par le département,
01:52 et on doit nous aider un peu,
01:55 c'est-à-dire qu'on doit produire.
01:56 Là, on a un grand chef, c'est Freddy.
01:59 On doit nous aider un peu,
02:01 pour qu'on puisse amener un peu d'argent.
02:04 Et le vendeur de nourriture et de fruits,
02:07 ça se fait seulement dans les maisons de Caritas ?
02:10 Oui, c'est une recette, c'est un revenu.
02:13 Mais les demandes ne sont jamais trop grosses.
02:15 Quand un tracteur est en danger et qu'il faut le réparer,
02:18 c'est 100 euros, sinon on ne le donne pas beaucoup plus.
02:20 Donc, il faut savoir ce qu'on veut,
02:23 l'argent qui vient, qu'on veut le connaître.
02:25 Et le deuxième gros problème,
02:27 c'est qu'on doit trouver des gens qui viennent venir et nous aider à travailler.
02:31 Donc, Pôle Emploi,
02:33 toutes les entreprises qui existent,
02:36 doivent nous aider un peu.
02:38 On a toujours le même but.
02:39 Les gens nous font travailler,
02:42 on leur donne un peu d'argent,
02:43 et les autres nous aident.
02:45 Et puis,
02:47 vous avez aussi le droit de vendre.
02:50 Et c'est important,
02:52 comment on peut aider les volontaires de Caritas ?
02:54 Pouvons-nous en faire un?
02:56 Oui, tout le monde peut appeler et demander.
02:59 Je suis allé quelques heures,
03:01 on m'a répondu qu'on pouvait tout faire.
03:03 En tant qu'administrateur,
03:04 on peut faire des affaires,
03:06 on peut faire des affaires,
03:08 on peut faire tout.
03:09 Il n'y a pas de fausses tâches.
03:10 Non, il n'y a pas de fausses tâches.
03:12 On fait ce qu'on veut.
03:14 C'est clair.
03:15 C'est tout.
03:16 Vous, à Fridelsen,
03:17 vous êtes aussi ouvert à l'entreprise.
03:20 Vous vous en prenez en compte ?
03:21 Oui, oui, oui.
03:22 Je lui ai dit tout à l'heure,
03:24 « Arrêtez-moi vos commandes,
03:26 je vais m'en aller. »
03:28 Alors, vous voyez,
03:29 j'ai eu le plaisir de vous voir comme volontaire.
03:32 Au Caritas Alsace,
03:33 vous avez eu
03:34 beaucoup d'activités.
03:36 Nous avons tout écrit sur francebleu-alsace.fr
03:39 pour que vous puissiez y aller.
03:41 Merci pour ce que vous faites,
03:43 pour tout aider.
03:45 Merci.
03:46 Et que Dieu vous protège.
03:48 Retrouvez tout France Bleu sur francebleu.fr
03:53 [SILENCE]

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