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LE DÉBRIEF D'ASSE-AJACCIO (0-0)
- Les Verts enchaînent un 8è match sans défaite avec ce très terne match nul 0-0, face à Ajaccio dans le Chaudron.

L'ÉDITO DE LOLO
- Laurent Hasse attend plus de Florian Tardieu.

L'OEIL D'ALAIN BLACHON
- Alain nous montre la justesse technique, ou tactique des Verts. Notamment le jeu long trop prévisible face à Ajaccio.

LA LÉGENDE DE L'ASSE
- Michel Roux nous parle de René Domingo, le joueur qui le plus porté le maillot vert dans l'Histoire.

L'INVITÉ : MC Pampille
- Le rappeur et humoriste stéphanois nous présente son prochain spectacle "Le Vert Solitaire", les 17 et 18 novembre, et 8 et 9 décembre au Pax (Saint-Étienne).

LE TEMPS ADDITIONNEL
- La courte défaite des filles face au PSG (0-1) ; Dylan Batubinsika parle de sa sélection de RDC ; Et puis un attaquant à retrouver dans le quiz de Laurent Hess.

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Transcription
00:00 (Générique)
00:19 Bonsoir à toutes et à tous, bienvenue sur le plateau de Club ASS, vous en avez pris l'habitude maintenant.
00:23 On réagit à chaud après la rencontre à domicile, ce 0-0 face à Jacques Chiou.
00:29 Messieurs, qu'est-ce que vous en avez pensé ?
00:31 Moi, je le trouve assez faiblard à cette heure, ce 0-0.
00:35 Oui, par rapport à l'organisation ajaxienne, je pense que le 0-0 est le bienvenu.
00:43 Il aurait fallu que Sissoko, au bout de 15 minutes de jeu, allonge un petit peu son pied,
00:48 ou chose du 55, pour pouvoir marquer ce but qui aurait libéré les Stéphanois
00:54 et qui aurait grandement avantagé l'équipe stéphanoise.
00:57 Parce qu'on a bien vu qu'Ajaxio était venu pour faire le match nul.
01:00 Là, finalement, on a le plus tremblé, c'est sur la tête de Toussigar où il y a eu ce poteau.
01:05 A part ça...
01:06 Oui, il est le plus tranchement seul, il est le tout marquage, il reprend le ballon de la tête,
01:09 il la met bien, mais il la met fort heureusement pour nous, elle n'a pas tapé le bas du montant.
01:15 C'est la meilleure occasion du match, de part et d'autre.
01:18 Mais c'est vrai qu'on a assisté à un match assez terne, peu fécond en occasion, en opportunité.
01:25 Comme le disait très bien Alain, c'est vrai qu'on aurait pu débloquer la situation au bout d'un quart d'heure.
01:29 Sur ce centre de Cafaro qui était fuyant, qui avait battu Mathieu Michel,
01:33 mais sur lequel il a manqué une pointure à Ibrahim Sissoko pour avoir le score.
01:38 C'est vrai qu'après, ça nous aurait rendu le match plus facile.
01:41 Malheureusement, ça n'a pas été le cas.
01:42 On a eu pas mal de réussites ces dernières semaines.
01:45 Ce soir, on a eu, également, sur le poteau, mais ça n'a pas été suffisant pour enlever la mise.
01:50 Alain, c'est quoi ? C'est l'enchaînement de trois matchs en une semaine qui a commencé à peser ?
01:54 Certainement, même si on peut considérer que la fin de match a été quand même probante pour nous.
01:59 On a poussé, poussé. Ça veut dire que physiquement, l'équipe était bien en place et tout.
02:04 Malheureusement, elle nous a manqué un petit peu ce brin de réussite qui nous accompagnait jusqu'à présent.
02:10 Sur un corner, la tête de Charbonnier qui passe à côté. Il y a eu deux ou trois situations.
02:15 Mais l'équipe a été solide. Et puis, on a rencontré une équipe vraiment bien organisée défensivement.
02:22 Quand c'est comme ça, il faut être vraiment très, très bon techniquement et mettre de l'intensité pour surprendre un bloc défensif aussi serré.
02:30 J'aimerais vous entendre aussi sur la titularisation de Sisoko.
02:34 C'est le meilleur défenseur, le meilleur remplaçant quand il entre en jeu.
02:41 Et à chaque fois qu'il a été titulaire, contre Troyes et contre Ajaccio, ça n'a pas marqué.
02:45 Oui, c'est vrai qu'il a rencontré une défense quand même vraiment acharnée.
02:51 Il a décroché beaucoup pour participer aux jeux offensifs de son équipe.
02:55 Malheureusement, il n'a pas eu les ballons à part celui qui est l'occasion avec Cafaro sur le centre de Cafaro.
03:01 Il a manqué son occasion. C'est vraiment dommage.
03:06 Mais moi, j'aurais bien aimé terminer le match avec une association Sisoko-Charbonnier.
03:12 Peut-être sur le prochain match, ce sera contre Laval.
03:14 Michel, j'aimerais bien t'entendre aussi sur le quatrième match sans prendre de but.
03:19 Ça veut dire quelque chose ?
03:21 Oui, ça veut dire quelque chose parce que quatre clean sheet,
03:25 dont deux matchs à l'extérieur et deux matchs à la maison.
03:28 Avant, on avait pris un but à Caen.
03:30 Mais un but qui n'avait pas compté, je dirais, puisqu'il avait été encaissé à la 93e alors qu'on menait 2-0.
03:35 Donc c'est extrêmement important.
03:38 C'est probant en plus parce que, dans un premier temps, il faut être solide.
03:44 Ne pas concéder d'occasion, ne pas prendre de but.
03:46 On l'a vu ces deux dernières saisons, Ajax-Yoéléard qui sont montés.
03:50 Ils sont montés avec un minimum de jouerie, je dirais, de coefficient de spectacularité.
03:56 On dit maintenant.
03:57 Mais en revanche, un réalisme froid, important.
04:02 C'est encore le cas aujourd'hui. On le voit pour Laval.
04:05 Aujourd'hui, ils ont remporté leur huitième match en dix rencontres,
04:08 huit fois avec un but d'écart simplement et avec énormément de clean sheet
04:13 et des buts marqués sur des corners, notamment des coups piarrétés.
04:17 On s'est remis en position d'avoir des ambitions.
04:21 Après deux matchs, on était mal parti.
04:23 Depuis, on reste sur huit matchs, cinq victoires, trois nuls et, comme vous le dites, quatre clean sheet.
04:28 Ça veut dire quelque chose et c'est quand même prometteur pour l'avenir,
04:32 même si on attend un petit peu plus d'efficacité offensive.
04:35 Et bien voilà pour le débrief de cette rencontre. On vous laisse.
04:38 On va retrouver Dylan Batoubine-Sika qui va nous parler de son programme pour la Trêve internationale.
04:43 Merci beaucoup, messieurs.
04:44 Et voilà, de retour sur le plateau de Club ASS.
04:46 Dylan Batoubine-Sika, on l'entendra d'ici quelques minutes.
04:50 Ce sera plutôt en fin d'émission, effectivement, de nous parler de son voyage avec la République démocratique du Congo.
04:56 Il vient d'arriver en sélection, mais il va rester en Europe.
04:59 Vous l'entendrez en fin d'émission.
05:00 En attendant, on va présenter les quatre personnes qui m'accompagnent sur ce plateau
05:06 avec Michel Roux, la légende de l'ASS avec toi.
05:10 Chaque semaine, on reviendra effectivement sur un joueur de légende, une date de légende,
05:15 enfin tout ce qui fait que depuis 90 ans, ce club est à part.
05:19 Aujourd'hui, on parle de…
05:20 René Domingo.
05:21 C'est le joueur qui a le plus porté le maillot stéphanois et qui a été le plus souvent capitaine.
05:26 Ce n'est pas le plus connu, mais c'est une vraie légende.
05:28 Il a un très beau palmarès.
05:30 Il est connu par les lieux.
05:31 C'est lui qui a écrit les premières pages de notre palmarès.
05:35 Laurent S, à tes côtés.
05:36 Bonsoir.
05:37 C'est une éternité qu'on ne t'a pas vu, Laurent.
05:39 Pendant que ça gagnait, Dylan.
05:40 Il fait un match nul et je reviens.
05:41 Tu étais en vacances, non ?
05:42 Oui, j'étais un peu parti.
05:43 Avec toi ?
05:44 Je n'ai pas fait un tour en vélo comme toi.
05:47 Avec toi, on parlera de Tardieu, un peu en retard, on va dire.
05:51 Oui, un vaincu, Tardieu, mais pour l'instant, il nous laisse un petit peu sur notre faim.
05:56 Ce n'est pas le Tardieu de sa grande époque troyenne.
05:59 On espère dans les prochaines semaines.
06:01 Et puis, Alain Blachon, l'œil d'Alain Blachon.
06:04 Pour toi, il manque de la justesse technique.
06:05 On le verra.
06:06 Voilà, oui, deux ou trois situations où, que ce soit dans le placement ou dans les
06:10 prises de balles ou la transmission du ballon, il y a des petites erreurs qui gangrènent
06:15 le jeu offensif Stéphano.
06:16 Et puis, l'invité ce soir, MC Pompille.
06:20 Bonsoir.
06:21 Bonsoir, mon gars.
06:22 Ça va ?
06:23 Oui, ça va.
06:24 Ça va bien ?
06:25 Mon petit blé, mon petit cadeau.
06:26 On parlera avec toi du Vert Solitaire.
06:28 Ben oui.
06:29 Vert Solitaire qui revient.
06:30 C'est mon spectacle.
06:31 Oui, c'est la deuxième automne, deuxième hiver, on va dire, où tu le présentes.
06:35 Tout à fait.
06:36 On le fait, mais à Saint-Etienne.
06:37 Eh ben oui, parce que c'était à Saint-Just-Saint-Rembert.
06:39 Tout à fait.
06:40 Là, c'est le grand moment.
06:42 Le retour en Terre Sainte.
06:43 Le Vert Solitaire, il y aura à boire et surtout à manger, comme on dit.
06:46 Eh ben, il y aura de tout et on en parlera dans cette fin d'émission.
06:49 Avant cela, on va revenir sur la compo parce qu'on a fait le débrief.
06:53 Justement, la compo qui a été mise en place par Laurent Batless, encore le 4-3-3, pas
06:58 beaucoup de changements.
06:59 Deux changements seulement dans le 11 de départ.
07:02 Le fond bas qui remplace Mouefek et puis Sisoko à la place de Charbonnier.
07:06 Bon, bah, Sisoko, titulaire, c'est un Sisoko qui ne marque pas.
07:10 Oui, mais bon, il a travaillé énormément et puis il n'a pas eu beaucoup de ballons,
07:16 ce qui l'a obligé à décrocher un peu pour participer au jeu.
07:19 Et comme Cafaro, Diarra, malheureusement, blessés trop rapidement, n'ont pas pu profiter
07:26 un petit peu des espaces de décrochage qui auraient pu leur permettre de plonger un petit
07:31 peu plus dans le dos de cette défense ajaxienne.
07:34 Avant d'écouter les supporters, parce que c'est quand même important, surtout à Geoffroy
07:38 Guichard et surtout quand on en est sevrés, du moins on n'en est pas les Cops, j'aimerais
07:42 juste entendre Laurent Ess parce qu'on ne t'a pas vu dans le débrief et on ne t'a pas
07:45 vu la semaine dernière quand on a parlé du 4-3-3, ce 4-3-3.
07:48 Jusqu'à maintenant, c'était des victoires.
07:49 4-3-3, il y a différents 4-3-3.
07:51 Moi, c'est un 4-1.
07:54 Et Sisoko, je rejoins Alain, il est vachement isolé quand même, que ce soit Sisoko ou
07:59 Charbonnier.
08:00 Ce n'est pas facile de jouer en pointe dans cette équipe parce qu'il n'y a pas beaucoup
08:05 de soutien.
08:06 Sisoko, pour un gars solide gaillard de 1m90, je trouve qu'il est souvent par terre.
08:12 Il résiste difficilement aux charges.
08:15 Je ne comprends pas trop.
08:17 Je le trouve emprunté dans son jeu, dos au but.
08:20 Et heureusement qu'il y a les pénaltys, sinon il serait qu'à un but.
08:23 Mais c'est toujours mieux que Charbonnier qui est à zéro but.
08:26 Vous avez entendu le débrief.
08:27 Messieurs, Messieurs d'hommes, évidemment, vous qui nous regardez, vous avez entendu
08:33 le débrief.
08:34 Ceux qui sont autour de la table, on va écouter le débrief des supporters.
08:37 Désormais, on les a croisés après ce match.
08:39 Compliqué.
08:40 Apparemment, ils étaient un peu fatigués, mais bon, voilà, pas terrible.
08:44 Pas ouf.
08:45 Quelques occasions de chaque côté, mais vraiment pas plus.
08:50 Un petit peu hâché.
08:51 Et puis bon, pas assez d'occasions.
08:54 Franche, je ne sais plus quoi dire.
08:57 Une bonne défense d'Ajaccio.
08:58 En vrai, on aurait pu faire mieux, mais ce n'était pas le meilleur match de la saison.
09:04 Ce n'était pas terrible, je trouvais.
09:07 Toujours un peu pareil.
09:08 On joue, on pousse devant, mais il n'y a rien, il n'y a pas de jeu, il y a des pertes
09:12 de ballons, il y a plein de choses.
09:14 Ça ne change pas.
09:15 On avait fait quatre matchs sans défaite.
09:18 On a eu de la chance à chaque fois.
09:20 Mais voilà, c'est triste.
09:22 Après, on n'a pas perdu, donc c'est déjà ça.
09:25 Mais oui, on aurait pu faire mieux.
09:28 C'est une belle série, donc il faut que ça continue.
09:32 Mais il va falloir un peu se reposer.
09:34 Ce n'était pas terrible ce soir.
09:36 C'est vrai, quand il y a les Cops, moi je suis abonné Copenor, on était à Henri-Point,
09:40 c'est totalement différent.
09:41 Quand les Cops sont là, c'est vrai que ça pousse beaucoup plus.
09:44 Mais bon, pour moi, il y a du jeu qui ne va pas.
09:49 Le jeu ne va pas.
09:50 C'est triste.
09:51 Voilà, pour les supporters, c'est un peu la soupe à la grimace quand même à la sortie
09:56 du stade.
09:57 Et on va enchaîner directement avec l'édito de Lolo.
10:00 Première édito de cette saison.
10:02 Tu voulais nous parler de la dernière recrue arrivée cet été, Florian Tardieu.
10:06 Un petit peu déçu.
10:07 Il y a les stats.
10:10 L'ASS est invaincu depuis que Florian Tardieu a rejoint le club.
10:14 Mais par rapport à son apport, je trouve que pour l'instant, ça ne saute pas aux yeux.
10:20 Il perd quand même beaucoup de ballon.
10:23 Et je ne le vois pas en gratter énormément.
10:26 Il est amené à jouer un rôle très important dans l'équipe puisque Batley se relève vraiment.
10:31 C'est lui qui est devant la défense, un peu en regista, à la Pirlo.
10:36 Mais il en est loin du niveau de Pirlo.
10:38 Et pour l'instant, il est loin du niveau de Tardieu quand il était à 3.
10:43 La saison où 3 montent.
10:45 Après, les circonstances atténuantes, il vient d'arriver.
10:48 L'ASS a pas mal enchaîné les matchs.
10:51 Même si ce ne sont pas des matchs de rugby, de l'Irlande, à haute intensité.
10:55 Quand ils disent qu'on a joué il y a 3 jours contre Dunkerque,
11:00 et qu'ils se servent de ça pour dire qu'on n'a pas été très bons 3 jours après contre Ajax-Yaux,
11:09 ça me fait un petit peu rire quand même d'avancer cette excuse-là.
11:14 Mais pour Tardieu, il joue bien parce qu'il n'est pas joué pendant 6 mois à 3.
11:18 Il a été énormément blessé la saison dernière.
11:20 Qu'est-ce qui lui manque du coup ?
11:22 Du coffre ?
11:23 Je pense que la technique, il l'a.
11:25 On l'a vu sur une action à Caen, où c'est lui qui décale.
11:29 Quelques repères et puis faire monter cette ligne de milieu de terrain,
11:34 Fonba ou Mouefek, Bouchoiri, qui joue trop à sa hauteur.
11:39 Quand on reçoit Dunkerque et que tu as le milieu de terrain,
11:41 quand j'arrive au stade, la compo avec Tardieu, Mouefek, Bouchoiri,
11:45 je me suis dit "purée, là ça va jouer au ballon quand même".
11:48 Résultat, on a vu encore la bouillie de foot qu'il y a eu.
11:52 Effectivement, c'est assez compliqué en ce début de saison pour Florian Tardieu,
11:56 qui a marqué sur pénalty.
11:57 Du côté de Caen, en début de saison, on va enchaîner avec l'œil d'Alain Blachon,
12:03 parce que tu disais, Tardieu c'est dedans aussi, il manque de la justesse.
12:09 Alors on va se rapprocher de l'écran, justement, où on va voir la causerie.
12:20 Alors là, je te coupe tout de suite, mon petit Anthony.
12:25 J'ai la pression aujourd'hui, parce que Benoît et Sébastien qui m'ont mis…
12:31 Un carton jaune.
12:32 Les deux réalisateurs de cette émission.
12:34 Voilà, exactement, ils m'ont mis un carton jaune la semaine dernière,
12:36 en me disant "il faut que tu bouges plus Alain, il faut muscler ton jeu".
12:40 Alors justement…
12:41 Je vais essayer d'être à la hauteur.
12:43 C'est bon, tu vas au-delà de graves déconvenus, comme disait Mesaquet.
12:45 Voilà, c'est ça.
12:47 Alors justement, le manque de justesse, ici, juste dès le début de la partie.
12:50 Oui, il n'y a pas grand-chose. Stop.
12:52 Merci Benoît.
12:53 On voit cette position de Bouchoiri, il est bien derrière cette ligne de 4 d'Ajaccio,
12:59 parce que c'est comme ça qu'il faut qu'ils jouent les deux,
13:01 avec Tardieu qui se met dans cette intermédiaire pour faire la transition.
13:07 Et là, il va pouvoir attaquer, il n'est pas très loin de Sissoco et tout.
13:10 Donc c'est comme ça qu'il fait.
13:12 Mais malheureusement, Bouchoiri, il adore décrocher pour récupérer le ballon.
13:16 Alors justement, si on laisse aller…
13:18 Voilà, il décroche et il élimine personne.
13:20 Il doit y avoir deux secondes pour donner ce ballon. Stop.
13:23 Il aurait dû être dans cette zone.
13:25 Je vous parle de ça tout de suite parce que justement, j'enchaîne avec Laurent.
13:31 Mais c'était surtout sur cette action-là, je voulais tout simplement expliquer à notre public
13:38 que pour décaler, pour faire des renversements de jeu,
13:42 il faut fixer l'adversaire d'un côté et puis faire le renversement.
13:46 Là, on a sorti le ballon, deux secondes à Bouchoiri pour donner cette balle ici.
13:51 Le décalage n'est pas fait et on voit que cette équipe d'injection,
13:54 elle est positionnée comme ça et elle l'a déjà anticipée.
13:58 Regardez les mouvements et les pieds des joueurs, elle a anticipé.
14:02 Donc on n'a pas pu réussir cette transition.
14:06 Et là, Brianson qui fait une petite erreur parce qu'il insiste, il force un peu le jeu sur Diera,
14:12 qui aurait dû assurer une passe avec Petro pour recommencer la situation.
14:17 On va voir la suite justement avec Anthony Brianson qui va allonger le jeu.
14:22 Et malheureusement, le défenseur a tout lui.
14:24 Exactement.
14:25 Une autre action où on voit que là, c'est dans la même situation,
14:30 on est en train de fixer d'un côté, on récupère le ballon, c'est un peu lent,
14:36 mais on retourne encore une demi-seconde.
14:40 Et là, on voit bien qu'on a fixé cette défense ajaxienne qui, en général,
14:46 se resserrait beaucoup à l'intérieur.
14:48 Et donc le décalage, il l'est fait.
14:50 La prise de balle de Tardieu est vraiment excellente.
14:53 Et donc, sur sa prise de balle, il s'oriente et il va pouvoir donner ce ballon sur Cafaro.
14:58 Qui est là-haut.
14:59 Qui est là-haut et là, c'est une action réussie.
15:02 C'est parti, Benoît.
15:04 Non, alors on n'a pas vu la fin de l'action.
15:07 On n'a pas vu la fin de l'action.
15:09 Et la fin de l'action, c'est simplement Ajax qui a resserré sur Cafaro.
15:12 Exactement.
15:14 Là, on voit, malheureusement, c'est la prise de balle.
15:18 Le manque de justesse.
15:20 Voilà.
15:21 Donc, on passe à l'action suivante qui sera la plus longue.
15:25 Voilà, 4.
15:27 Donc là, on vient de récupérer le ballon.
15:30 Et on voit qu'il y a déjà 3, 4, 5 joueurs avec Tardieu.
15:34 La défense de 4.
15:36 Et 5 joueurs avec Tardieu.
15:38 Bouchoiri doit rester un petit peu dans le dos.
15:40 Ce n'est pas son travail.
15:42 Lui, son travail, c'est de rester ici pour récupérer les ballons
15:45 et faire l'entréisation avec Sisoko.
15:47 Comme tu l'as dit, il était isolé, Laurent.
15:49 Donc voilà.
15:51 Malheureusement, lui, il sort.
15:53 Quand on dit casser une ligne, c'est éliminer celui-là, celui-là et celui-là.
15:56 Voilà, c'est ça.
15:57 Il doit être derrière.
15:58 Là, il dit à tout le monde.
15:59 Il y a 5 joueurs.
16:00 Lui, il n'a rien à faire ici.
16:02 Il va récupérer.
16:03 Il dit, c'est parti, Benoît.
16:05 Voilà, c'est parti.
16:07 Il dit à tout le monde, ne touchez pas.
16:09 2, 3, 4, 5 secondes.
16:12 Top !
16:13 Pour faire cette passe-là.
16:15 Et il y a 1, 2, 3, 4, 5, 6.
16:18 Mon petit Sisoko, mon Cafaro et mon petit Diera,
16:22 ils sont tout seuls.
16:24 Il n'y a personne.
16:25 Le seul qui est dans la bonne zone, c'est Fonba.
16:28 Donc voilà.
16:29 Et l'équipe d'injection n'est absolument pas déstabilisée
16:34 parce que regardez, il y a tout le bloc défensif qui est là.
16:38 Donc on continue.
16:39 Ce qu'on ne sait pas, c'est,
16:41 est-ce que ce n'est pas ce que Batteless lui demande à Bouchoiri ?
16:44 C'est quand même une de ses grosses qualités,
16:46 de ressortir le ballon proprement, de gagner un peu des mètres.
16:49 C'est sûr, quand il fait une passe comme ça,
16:51 ça ne sert à rien qu'il décroche.
16:52 Donc on demande un petit peu plus de précision
16:55 et un peu plus de justesse tactique dans la position.
16:58 Même Tardieu, qui est ici, qui refait une remise à Battu.
17:03 Ce n'est pas la peine.
17:04 Lui, il doit être dans ce dos.
17:06 Et lui, il doit être ici, dans le dos de Fonba, Bouchoiri.
17:11 Ça doit être dans le dos du milieu de terrain.
17:13 Et Tardieu, il est entre l'attaquant et les milieux de terrain
17:17 pour faire la transition.
17:18 Là encore, bon, justesse tactique et technique.
17:21 Parce qu'on voit que sur cette action,
17:23 l'équipe d'injection, qui est sur l'aspect défensif,
17:26 ils font attention.
17:27 C'est une équipe qui a été très précautionneuse.
17:29 C'est parti, Benoît, sur cette passe de Battu,
17:32 qui va donner à Brianson.
17:34 Perte de balle.
17:35 Qu'est-ce qu'ils font ?
17:36 Ils avancent.
17:37 On gagne.
17:38 On gagne une dizaine de mètres.
17:39 Et surtout, nous, on se met un petit peu en difficulté.
17:42 Regardez, on arrive, au lieu d'avoir une position offensive,
17:45 on arrive en attaque.
17:47 Et nous, on est avec le gardien.
17:49 Donc, ce n'est pas bon, les pertes de balles,
17:52 qui font qu'une mauvaise prise de balle,
17:55 là aussi, ça permet à Ajaccio de récupérer le ballon.
17:58 Parce que là, on verra un bon pressing de Fonba et de Yara,
18:04 qui redonnent tout de suite la balle à l'équipe.
18:07 Encore une fois, manque de justesse technique.
18:09 Et puis, il y a aussi le repli défensif,
18:12 qui a un peu laissé adhésif, du moins une fois,
18:15 ça a été le plus gros frisson, le poteau d'Ajaccio.
18:17 Voilà, exactement.
18:18 Là, on va analyser la sit-up d'entrée.
18:20 On voit Cafaro, qui avait attaqué,
18:22 qui avait cherché à gagner le coup franc,
18:25 alors qu'il a les jambes et il a la qualité de vitesse et de dribble
18:30 pour éliminer ces joueurs.
18:32 Il n'a pas besoin de chercher les coups francs.
18:35 Donc, il perd le ballon.
18:36 L'équipe d'Ajaccio récupère la balle.
18:39 Ils pertent.
18:40 Là, top.
18:41 Là, on voit que Yara recule.
18:44 Benoît, s'il te plaît.
18:46 Voilà, on voit que Benoît...
18:48 Yara.
18:49 Yara s'arrête.
18:50 Il vient de se claquer.
18:51 Donc, vous avez assisté en direct au claquage de Yara,
18:55 qui coupe complètement sa course,
18:57 ce qui permet à Jabol de faire son décalage.
19:01 C'est parti.
19:02 Voilà, un décalage.
19:06 Petro, qui n'a pas le temps de serrer top.
19:09 Voilà.
19:10 Le bon travail, là, il faut positiver Apia,
19:14 qui était un petit peu en retard,
19:15 qui fait l'effort pour passer devant son adversaire
19:18 et dévier le ballon.
19:19 Donc, c'est vraiment très bien.
19:21 Toute la défense est bien en place.
19:23 C'est reparti.
19:25 Ça va aller jusqu'à Marquetin.
19:30 Voilà.
19:31 Top.
19:32 Là, problème.
19:34 Problème, parce que Petro, il est pris entre deux joueurs.
19:38 Il faut qu'il surveille ce gars.
19:39 Il doit parler.
19:40 Je ne sais pas s'il le fait,
19:41 mais il doit parler à Brianson pour lui dire
19:43 "Attention, tousse-gare, il est un petit peu là".
19:46 Brianson, il doit dire à Batut
19:48 "T'es un petit peu trop devant,
19:49 parce que devant, tu ne sers à rien, là.
19:51 Plus haut, ça ne sert pas d'y aller,
19:53 puisqu'il y a Fonba qui est bien en place
19:55 et qui peut défendre sur les deux Ajacciens
19:58 qui vont combiner, là.
19:59 Et notre ami Tardieu, il est ici.
20:02 Et normalement, notre ami Bouchoiri,
20:04 il est sur Jabol.
20:05 Donc, juste se parler, ces trois joueurs,
20:08 pour que lui recule un petit peu.
20:10 Brianson s'occupait de tousse-gare.
20:12 Et Petro, bien placé,
20:13 mais il surveille de son côté.
20:15 Il surveille.
20:17 Donc malheureusement, à mon avis,
20:19 il n'y a pas de discussion.
20:20 C'est parti.
20:21 Stop !
20:23 Reviens un petit peu, légèrement.
20:26 Voilà, top !
20:28 Là, qu'est-ce qu'on voit ?
20:29 Notre ami Bouchoiri qui a laissé passer Jabol,
20:33 qui part tranquille.
20:34 Donc, Batubin-Sika qui a monté.
20:36 Batubin-Sika qui n'a pas été entendu
20:39 ou on ne lui a pas parlé.
20:40 Donc, il est là.
20:41 Il ne sert à rien, parce que le ballon,
20:43 un défenseur central,
20:44 il doit être ici pour récupérer
20:45 tous les centres des adversaires.
20:47 Il n'a rien à faire.
20:48 D'autant plus qu'il y avait Fonba,
20:50 il y a Tardieu.
20:51 Malheureusement, Bouchoiri ne fait pas son travail.
20:53 Donc, Jabol, il plonge automatiquement.
20:56 Brianson, il est perturbé.
20:58 Et il est obligé,
20:59 puisqu'on cherche à s'occuper
21:02 des joueurs les plus dangereux.
21:03 Les plus dangereux, c'est lui qui est en mouvement
21:05 et qui risque de toucher le ballon de la tête.
21:07 Et tousse-gare, en vieux briscard qu'il est,
21:09 il reste bien entre les deux,
21:10 parce qu'il sait que Petro
21:12 ne va pas pouvoir aller sur lui.
21:13 Vu qu'il a ce mec-là à s'occuper.
21:15 Et ce qui fait que ça donne
21:17 la meilleure action du match.
21:18 Et tousse-gare, il peut ouvrir le score.
21:21 Et finalement, heureusement, c'est le poteau
21:23 de justice technique de tousse-gare.
21:24 Merci beaucoup Alain.
21:25 C'est beaucoup plus clair.
21:26 Quand on regarde le football
21:29 dans les yeux d'Alain Blachon,
21:30 tout de suite, on comprend beaucoup plus de choses.
21:33 Et soyez attentifs également,
21:35 mesdames, messieurs,
21:36 quand vous regardez du foot,
21:38 de voir que le foot, c'est essentiellement
21:40 une question de positionnement et de temps.
21:42 C'est ça.
21:43 C'est surtout ça.
21:44 Donc si on a le bon positionnement,
21:46 on arrive à combler le temps.
21:48 Sinon, ça se gâte assez rapidement.
21:50 Et actuellement, le jeu stéphanois
21:52 que Laurent veut prôner,
21:53 c'est-à-dire un jeu de possession
21:55 et un jeu de passe,
21:56 il n'est pas assez performant
21:58 dans la vitesse du ballon.
22:00 Ce que je vous ai fait voir à tout début,
22:02 pour faire des décalages,
22:03 des trucs comme ça, on fixe,
22:04 on fait du petit jeu à deux ou trois,
22:05 tac, rapidement, ça doit partir.
22:07 Les ballons, ils doivent fuser.
22:08 C'est presque des tirs sur les partenaires.
22:11 Si vous regardez les matchs de Coupe d'Europe,
22:13 les ballons, ça ne traîne pas.
22:14 Ça met une seconde pour faire quasiment 30 mètres.
22:17 Et nous, c'est un peu lent.
22:20 En plus, on a certains joueurs,
22:21 à l'image, vous l'avez fait voir,
22:22 Bouchoiri, qui décroche déjà
22:25 et qui conduit son ballon en deux, trois secondes,
22:27 alors qu'il doit le faire beaucoup plus vite.
22:29 Ça ralentit tout le jeu offensif de la SS.
22:32 On va écouter justement Laurent Batless
22:33 qui va nous parler de cette série
22:35 et des points pris.
22:36 Huit matchs sans défaite pour la S.S.
22:38 On t'étienne désormais.
22:39 C'est important de là où on vient
22:42 et de là où on était,
22:43 il y a sept, huit matchs en arrière,
22:44 de pouvoir être aujourd'hui à deux points du deuxième.
22:48 On avance, on prend des points.
22:50 C'est ce que je leur dis.
22:51 Après, oui, il faut améliorer pas mal de choses.
22:55 On le voit.
22:56 Et notamment, ce qui est intéressant,
22:58 c'est encore une fois, sur la fin de match,
23:00 on a poussé pour essayer de gagner ce match.
23:03 Ça s'est joué à peu de choses.
23:05 En première mi-temps, il y a eu une ou deux occasions.
23:07 On a commencé, je pense, le premier quart d'heure.
23:09 On a eu deux, trois occasions
23:11 qui auraient pu être mieux gérées, je pense.
23:14 Après, c'est vrai que c'était un troisième match aussi
23:17 dans la semaine.
23:19 On prend des points.
23:21 Je ne dis pas que tout est parfait, loin de là.
23:23 Mais aujourd'hui, je préfère être à ma place
23:25 que d'autres équipes.
23:27 Laurent Batless qui est fatigué, selon M.Sipompi.
23:30 Il est fatigué, il est crevé.
23:31 Même lui, il s'ennuie, j'ai l'impression.
23:33 Ça fait dix matchs désormais.
23:34 On peut déjà passer à une première estimation
23:41 de là où devrait être le club, une première analyse.
23:44 Déjà, ce qui est bien, c'est que la défense
23:46 est devenue imperméable.
23:48 Ça fait quand même quatre matchs.
23:50 Désormais, quatre clinches.
23:52 Grâce aux gardiens.
23:53 Grâce aux gardiens.
23:54 Grâce beaucoup aux gardiens et pas mal à la chance.
23:56 Et un petit peu aux potos.
23:57 Parce que des fois, contre je ne sais plus quel match d'avant,
24:00 je ne sais plus lequel c'est, c'est lui avant.
24:03 Justement, c'était Dunkerque.
24:05 Même par Dunkerque, ils se sont fait transpercer.
24:08 On a vu effectivement la semaine dernière
24:10 les nombreuses occasions.
24:11 Dunkerque qui pose le 1-3-0 à la mi-temps.
24:12 Largement.
24:13 En deuxième mi-temps, de la 45e, la 46e à la 75e,
24:18 il y a 80% de possession de balles pour Dunkerque
24:22 à domicile contre Saint-Etienne.
24:23 Ce qui est assez fou.
24:24 Ce n'est juste pas possible.
24:25 Sachant que Dunkerque n'a pas montré non plus
24:27 le plus de beau football qu'on ait vu jusqu'à maintenant.
24:29 Je trouve que la plupart des matchs qu'on a gagnés,
24:31 on ne l'a pas gagné grâce à notre propre qualité,
24:33 mais grâce aux faiblesses adverses.
24:34 Dunkerque, le gardien, il a de l'avance.
24:36 On est au stade, on le voit, il a de l'avance.
24:37 Il doit sortir.
24:38 Il a de l'avance sur Bentaygui.
24:40 Sur Bentaygui quand il y a le pénalty.
24:41 Et il n'y va pas, il provoque le pénalty.
24:43 D'un mot rapide, l'affaire Batoubine-Sicca-Brianson,
24:47 on a vu, il y avait encore de la communication à avoir,
24:50 mais globalement, ce n'est pas anodin, 4 matchs.
24:52 C'est bien, c'est solide.
24:54 Puis ils sont dans leur poste, je pense,
24:56 c'est deux joueurs qui aiment bien jouer à 4.
24:58 Donc, ils se retrouvent dans leur domaine de prédilection.
25:02 Justement, je vous propose de les écouter.
25:04 Dylan Batoubine-Sicca et Anthony Brianson
25:07 sur ces clins d'chiffres qui ne sont pas anodins.
25:09 Oui, bien sûr que c'est une vraie satisfaction.
25:12 Il faut garder ça.
25:14 Je pense que ça montre aussi une certaine solidité,
25:19 une solidarité aussi, parce qu'il n'y a pas que les défenseurs.
25:22 Je pense que c'est un travail de toute l'équipe.
25:24 Sur les matchs auparavant, Larsso nous a sorti quelques belles parades.
25:29 Aujourd'hui, il a eu un peu moins de travail.
25:31 Donc, tant mieux pour nous, pour lui.
25:33 Mais on sait qu'on peut s'appuyer là-dessus.
25:35 Donc, c'est bien.
25:36 Maintenant, il faut se lâcher peut-être un peu plus offensivement.
25:42 C'est ça que je disais à la fin avec mes collègues.
25:45 C'est qu'on reste sur, je crois que c'est sur les 6 derniers matchs,
25:49 on a fait peut-être 5 clins d'chiffres.
25:51 C'est comme ça, 4.
25:54 Donc, c'est super pour nous en tant que défenseurs.
25:56 Pour prendre des buts, c'est top.
25:58 Et on veut continuer comme ça.
26:00 Après, on a besoin aussi de marquer des buts pour gagner les matchs, forcément.
26:04 Mais on sait que si on ne prend pas de buts, on a quand même un point dans la poche.
26:08 Donc, c'est important pour nous en tant que défenseurs de se nourrir de ces clins d'chiffres.
26:13 Bon, là, pour le coup, ce n'est pas trop de la méthode Coué.
26:16 C'est quand même important pour eux.
26:18 De toute façon, le système de jeu, on a fait combien d'émissions
26:21 où on disait que ça n'allait pas ce système ?
26:23 Ils y arrivent à 2, pas besoin d'être 3.
26:26 Derrière, ils y arrivent très bien.
26:28 La paire, elle a l'air d'être assez solide et complémentaire.
26:31 Moi, c'est sur l'apport des latéraux, l'apport offensif des latéraux.
26:34 Quand même, il faut qu'ils en fassent un petit peu plus.
26:36 Petro, je trouve que ce n'est pas son meilleur rôle quand il est vraiment latéral.
26:40 Il s'accroche.
26:42 Et Apia, il n'y va pas.
26:44 Je sais le nombre de fois que je vois Cafaro qui a le ballon et qui les loupe.
26:50 Mais il n'y va pas. Il ne prend pas l'espace.
26:52 Il n'aide pas Cafaro, Apia.
26:54 250 matchs de Ligue 1, Apia.
26:56 Il doit avoir un rayonnement autre que ce qu'il a, je trouve.
26:59 Effectivement, c'est l'axe encore de progression.
27:01 On va rapidement parler du leader de cette Ligue 2, la Val.
27:06 Pourquoi ? Parce que ce sera le prochain adversaire de la SS.
27:08 C'est dans 15 jours, tout pile, puisque ce sera un petit peu moins,
27:12 même de 15 jours maintenant, le lundi 23 octobre à 20h45,
27:16 ce déplacement chez le leader.
27:17 Le leader est sur la même dynamique que la SS.
27:19 Huit matchs sans défaite, six victoires consécutives quand même pour les Lavalois.
27:24 Ils ont gagné huit matchs, huit fois avec un seul but d'écart.
27:29 Et eux, ils ont une défense aussi en fer, une défense de fer, pardon.
27:35 Et puis, ils ont un duo Vargas-Chukwunte qui fait vraiment des ravages.
27:41 Toujours la même action, corner, et puis Chukwunte, il jaillit,
27:45 il place son coup de tête et derrière, ils sont solides, bien organisés.
27:49 Ils sont réussis depuis le début de saison.
27:51 Ils ont quand même déjà 25 points sur 30 possibles.
27:55 Alors avec ce total-là, il y a une seule équipe qui n'est pas montée.
27:59 C'est le Paris FC.
28:02 Ils sont montés parce qu'il y avait à ce moment-là encore trois accessions.
28:05 Sinon, ils seraient restés sur le quai.
28:09 Mais toutes les autres équipes sont montées avec un tel total.
28:12 C'est vrai que 25 points après dix journées, c'est un total dont on rêve.
28:17 On se remémore la saison dernière des fêtes de 1 du côté de Laval.
28:21 C'était une fin de saison où les Verts étaient quasi sûrs d'être maintenus.
28:26 Il y avait presque eu un non-match.
28:28 Oui, on avait raté deux buts quasiment immanquables avec Ibrawa-Dji.
28:32 Après, on avait concédé un penalty qui n'existait pas.
28:35 Qui n'y était pas, mais l'action avait été…
28:37 Laval commençait leur série.
28:39 Je crois que maintenant, ils en sont à neuf victoires consécutives à la maison.
28:42 Ils étaient quasiment injouables chez eux.
28:45 Ils jouent encore, eux, le maintien.
28:47 Parce que le maintien, ils l'ont obtenu à la 93e minute la saison dernière.
28:51 Incroyable. C'est démiraculé.
28:53 On a beaucoup parlé de Bordeaux-Rhodès, mais eux, ils se sont accrochés jusqu'au bout.
28:56 En allant gagner à l'extérieur, ils se sont sauvés.
28:59 Et depuis, ils sont sur une dynamique incroyable.
29:02 Et puis, avec pas mal de réussites.
29:04 On peut voir, par exemple, l'arrêt pas très académique de Samassa.
29:07 Il me semble qu'il a claqué au-dessus de sa barre transversale.
29:10 Et puis, non, finalement, il se trompe de main, il se trompe de geste.
29:14 Et finalement, ça retombe.
29:15 Ils ont beaucoup de réussites et ils ont eu une efficacité maximale.
29:18 Ibrawa-Dji, il a prononcé le nom.
29:20 Ibrawa-Dji, on attend son retour avec impatience, quand même, non ?
29:23 Il est où ?
29:24 Il est où ? Mais qu'est-ce qu'il a ?
29:26 Depuis la deuxième journée, il a un tacle sympathique.
29:31 La cheville ?
29:32 Il a un tacle sympathique à Rodez.
29:34 Et depuis, malheureusement, il n'a pas repris le...
29:36 Il manque.
29:37 Il manque, effectivement.
29:38 On va voir le classement de Ligue 2.
29:40 Justement, on n'a gardé que la première partie de ce classement.
29:44 On figure le stade Lavalois, 7 points en avance sur la Sainte-Étienne.
29:48 Qui reste pour l'instant dans le wagon de têtes, 5e, juste devant Rodez.
29:52 Qui fait un bon début de saison.
29:54 Donc, c'est pas mal pour les Verts.
29:56 Ils ont bien redressé la barre.
29:57 Mais, voilà, il reste encore des manques dans le jeu.
30:00 Les favoris qui ne sont pas au rendez-vous.
30:02 À part Ausserre.
30:03 Je pense qu'Ausserre a une équipe...
30:05 Ausserre-Angers.
30:06 Une belle équipe, Angers.
30:07 Mais on voit que dans la première partie de tableau,
30:09 il n'y a pas Caen et il n'y a pas Bordeaux.
30:11 Qui étaient annoncés comme les deux principaux concurrents de l'SS.
30:14 Bordeaux, ils ont une autre chance.
30:15 Désormais, c'est trouvé un successeur à Bruno Guillon.
30:17 Non, ce n'est pas Bruno Guillon.
30:19 David Guillon.
30:20 Il n'est pas le même.
30:21 L'autre, il est à la radio.
30:22 C'est David Guillon, effectivement, qui a été remercié
30:25 après cette défaite de trop face à Laval.
30:29 On va se pencher sur le classement.
30:31 On l'a vu, la légende de la SS.
30:33 Avec Michel Roux.
30:36 Michel, tu voulais nous parler d'un joueur qui tombe sous le sens.
30:41 Celui qui a le plus porté le maillot vert.
30:43 Je vais vous parler d'une époque révolue
30:46 que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.
30:48 Celle des joueurs qui sont restés fidèles toute leur carrière
30:51 à une seule équipe.
30:53 Et ce n'est pas Loic Perrin.
30:54 Loic Perrin en fait partie.
30:55 Lui, c'est un cas à part dans les années 2000.
30:59 Moderne.
31:00 Dans l'ère moderne du foot, tout à fait.
31:02 À l'époque de René Domingo, c'était plus fréquent.
31:07 Mais il a disputé 537 matchs avec la SS
31:11 en étant 424 fois capitaine.
31:14 Et c'est lui qui, on le voit sur les images,
31:17 c'est lui qui a, avec son équipe,
31:19 l'équipe entraînée par Jean Snella et François Vicar,
31:23 il a joué avec ses deux entraîneurs,
31:25 notamment, mais souvent avec Jean Snella,
31:27 écrit les premières pages,
31:30 les premières lignes de notre palmarès,
31:33 ce qui est brillant,
31:34 puisqu'il a remparté la Coupe Drago,
31:36 la Coupe de France,
31:37 le Championnat de France,
31:38 le premier en 1957,
31:39 avant malheureusement de connaître une fin de carrière prématurée.
31:44 En 1964, on jouait un match à Valenciennes.
31:48 À Valenciennes, il y avait un dénommé Kocic
31:51 qui était un joueur très dur.
31:54 Il a cassé dans sa carrière,
31:56 il a un bilan sympathique de trois jambes brisées.
31:59 Et malheureusement, ce jour-là,
32:01 il a fracassé à Domingos,
32:04 double fracture tibia-perronnay,
32:06 145 jours de plâtre,
32:08 et il n'a plus jamais rejoué.
32:10 Ça a été la fin d'une carrière brillante.
32:14 Un seul petit bémol,
32:16 c'est qu'il a une seule cap internationale,
32:18 avec deux autres Stéphanois ce jour-là,
32:20 Claude Hab et Richard Tinaski,
32:22 un match à Wembley contre l'Angleterre.
32:24 Sinon, il a été brillantissime.
32:26 C'était un joueur qui savait tout faire
32:28 et qui montrait l'exemple.
32:30 C'était le capitaine parfait.
32:32 - René Domingos, vous en saurez plus sur cette légende.
32:35 Les 90 ans de la SS ont mis beaucoup de légendes,
32:39 et d'ailleurs qui seront fêtées face au Paris FC le 4 novembre.
32:42 Je crois qu'il y a des groupes de supporters
32:45 qui ont dit que ce serait plutôt en fin de saison
32:47 parce qu'ils n'auraient pas le temps et la logistique nécessaire.
32:50 Merci beaucoup Michel.
32:52 Après l'épisode sur Dunkerque la semaine dernière,
32:55 la légende de René Domingos va passer à notre invité.
32:59 - Ah ! - Désormais, MC Pampi.
33:01 - Je ne suis pas une légende, moi.
33:03 - Mais bien sûr que si, une légende à Saint-Étienne,
33:06 déjà pas encore à la S Saint-Étienne.
33:08 - À la métar. - Mais à la métar.
33:10 Je n'ai pas envie de te tourner le dos, MC Pampi.
33:12 - Tu fais comme tu veux, mon gars.
33:14 - Je vais te demander juste de te placer.
33:16 - Il faut bosser, maintenant. - Oui, c'est ça.
33:18 MC Pampi, regardez, on le met en face aussi.
33:23 - Ça fait peur. - Des chroniqueurs.
33:26 - J'ai l'impression d'être dans The Voice.
33:28 - Retournez-vous, messieurs.
33:30 Et si MC Pampi vous convainc, vous vous mettrez face à lui.
33:34 Bon, MC Pampi, pourquoi entre-soi ?
33:37 Il y a une actube assez chargée.
33:39 - Parce que tu m'aimes bien, déjà.
33:41 - Ah oui, déjà. - Je t'aime bien aussi, moi je viens.
33:43 Tu m'invites, je suis bien content.
33:44 J'ai une actube, bien sûr, j'ai fait mon one-man musical.
33:47 Ils appellent ça comme ça.
33:48 - Alors, ils l'appellent aussi le ver solitaire.
33:50 - Il s'appelle le ver solitaire.
33:52 Jeu de mot. Je ne sais pas si tu as saisi le double sens.
33:56 - Effectivement.
33:57 Alors, justement, avant de saisir tous les doubles sens d'MC Pampi,
34:00 je vous propose de regarder un extrait du teaser de ver solitaire.
34:05 - John Kelly dans le crombat !
34:13 - MC Pampi !
34:19 - Qui s'est cru ?
34:21 Je m'étais perdu
34:23 En train de violer à cacasseur au vent d'une luche
34:26 - Ah ouais, ouais.
34:27 - J'attendais juste le moment venu
34:30 - Oh, il faut une antenne, moi, putain.
34:32 - T'as vu cette intro à l'américaine ?
34:34 Ça fout le vertige.
34:36 - Vous avez la foi, en gros ?
34:37 - C'est quoi cette ambiance ?
34:39 - On se croit au stade des Lumières, à Lyon.
34:41 - Et là, on a pris des tournées, des tournées, des tournées.
34:44 - Alors là, on a bien travaillé, là, avec ça.
34:46 Ça, c'est bien. Maintenant, il faut travailler le vocal velair.
34:48 - Elle fréquente le pilard
34:50 Et il y en a des nyos
34:51 Qui rédiment pas les couronnes pour s'abger dans un bâchon
34:53 Viens faire un viron par chez nous, mon blé
34:56 Bossène si t'as le bop, tu vas finir sec comme un bobber
34:59 - Ça va, tout mon grand, moi, tu sais, rien de neuf, que du 10.
35:02 - Saint-Etienne, mise en chanson
35:07 - Sors-nous comme la rancune des mineurs du fond
35:12 - Promis, je vais revenir
35:17 - C'était émotionnant ?
35:29 - C'était émotionnant.
35:31 - C'était émotionnant, oui.
35:32 - Ouais, effectivement, mais c'est vrai, en plus.
35:35 - J'ai eu la chance d'aller le voir l'année dernière à Saint-Just-à-Rambert.
35:39 - Alors que Laurent, il est pas venu. Je dis ça, je dis rien.
35:41 - Je viendrai, là, je vais venir.
35:43 - Oui, on te filmera, justement, pour être sûr que tu viens.
35:47 Qu'est-ce que c'est un one-man show musical ?
35:50 - C'est à l'américaine.
35:52 C'est-à-dire qu'il y a du stand-up, du sketch, de la musique et de la vidéo.
35:57 On a fait des vidéos spéciales pour le spectacle.
36:00 Dès que je sors de scène, on voit un petit peu ce qui se passe derrière la scène.
36:04 C'est extraordinaire, ce qui se passe derrière une scène.
36:07 C'est un petit peu les coulisses qu'on suit.
36:09 Et quand je rentre, on passe de la fiction à la réalité.
36:13 C'est exceptionnel.
36:15 Comment te dire ? Je mélange tout.
36:17 - Oui, l'enfance à la métar, les anecdotes du film "Les Enfoirés Guichard" ou pas.
36:21 - Ma grand-mère qui intervient dans le spectacle.
36:23 Il y a même le Mich, qui est le factotum de la salle, qui intervient.
36:28 Il y a un peu tout le monde.
36:30 Et à la fin, je me dévoile, je finis à poil.
36:33 - Te dévoiler, ça veut dire sans les lunettes, sans le bob ?
36:36 - Tout à fait.
36:38 C'est une mise en vue.
36:40 Ça part du verre solitaire, le verre Louisan, la fin, toute l'équipe.
36:45 - Il y a beaucoup de fonds aussi dans ce spectacle.
36:47 - Comme quoi, il y en a plein qui m'ont dit hop !
36:49 - Oui, mais non, mais...
36:50 - Donc 2h15.
36:51 - Pour vous dire l'anecdote, je suis allé te voir l'année dernière.
36:55 C'était en pleine Coupe du Monde.
36:56 Il y avait le France-Angleterre en quart de finale de la Coupe du Monde.
36:59 Et j'ai fait un choix, M.C. Pompili.
37:01 - C'est vrai.
37:02 - Comme beaucoup, parce que c'était quasi plein.
37:04 La première date était complète.
37:06 Donc on a décidé de refaire une date,
37:08 mais on n'avait pas vu qu'il y avait le France-Angleterre.
37:10 On n'avait pas capté à l'époque.
37:12 - Là, normalement, il n'y a pas...
37:13 - Les gens regardaient un peu des foulards portables, tu vois.
37:15 Mais comme il y avait des brouilleurs dans le truc, ils étaient...
37:18 En même temps, France-Angleterre.
37:20 - Mais en plus, tu parles du portable.
37:22 - Tout à fait, j'adore les trucs qui me touchent.
37:25 Je parle beaucoup de Saint-Étienne, des verres un petit peu.
37:28 Un peu de Roméier, de mes copains.
37:31 De la ville.
37:33 Je parle de ma ville dans laquelle je suis né.
37:36 Et puis, je parle aussi des sujets qui me touchent.
37:39 - Et justement, il y a matière, en fait.
37:41 Il y a assez à dire avec cette ville de 170 000 habitants
37:44 et un petit peu plus si on prend les alentours.
37:46 - Ah oui, largement.
37:47 Moi, j'y suis né à la clinique du Rampoint.
37:50 Maintenant, c'est Farineur.
37:52 C'est pas pareil.
37:53 C'est pas le même genre de pain qui sort des fours,
37:55 mais ça sert toujours autant des miches, comme on dit.
37:57 Et là-bas, on a toujours vécu.
37:59 On prenait le 6, on allait en descendant le Corforest,
38:02 là où tout le monde fait son jogging.
38:04 Et hop, hop, on allait à Dorian.
38:06 Et puis, on était bien.
38:07 Moi, j'ai des souvenirs plein la tête.
38:09 Donc, je m'en sers pour le spectacle.
38:11 Et ça me permet aussi de dire les choses qui me touchent.
38:14 - Le spectacle, c'est quand ? C'est où ?
38:16 - Le spectacle, c'est le 17 et 19 novembre.
38:19 Et le 8 et 9 décembre, au PAX.
38:21 À Saint-Étienne, rue Élysée-Reclus,
38:24 juste à côté du Palais de Justice.
38:26 Le PAX, le Palais de Justice,
38:28 j'ai l'impression qu'il y aura...
38:30 - On n'espère pas y finir.
38:31 - Non !
38:32 - Effectivement.
38:33 - Ça va bien se passer.
38:34 - Merci beaucoup, M. Bromby.
38:35 Tu restes avec nous pour le temps additionnel ?
38:36 - Mais bien sûr.
38:37 - Bon, parfait.
38:38 Dans ce temps additionnel, on va parler de plein de choses,
38:40 notamment des filles de la LCS.
38:42 Je t'en prie, reprends la place au bout de la table.
38:44 - Ah ! Elles ont failli gagner au Paris, j'ai vu.
38:46 - Oui, elles ont failli...
38:47 Gagner, je ne sais pas.
38:48 Mais en tout cas, elles ont failli ne pas perdre.
38:49 - Ah oui.
38:50 - Ils ont fait un zéro seulement.
38:51 Nathan Vacher, y était.
38:52 On vous laisse regarder ce qui s'est passé à l'étra.
38:53 - Une heure avant le début de la rencontre,
38:57 les supporters répondent présents pour ce match de Galafasso-PSG.
39:01 Dès l'échauffement, plus de 1 000 personnes
39:03 encouragent les Vertes pour les voir créer l'exploit.
39:06 - Je pense qu'il y aura du jeu.
39:08 Et j'espère qu'on va faire du mieux pour qu'on gagne.
39:11 - Au moins le match nul.
39:13 - Après, il y a 2 ans, ça fait match nul contre Lyon,
39:15 donc c'est possible.
39:16 - Je pense qu'il va y avoir du niveau,
39:18 et que ça va être un peu dur,
39:19 mais je pense qu'elles vont rien lâcher,
39:21 parce que c'est une bonne équipe et j'espère qu'on va gagner.
39:24 - Ça sera difficile, mais pourquoi pas.
39:27 - Mais dès la 5e minute, l'exploit s'éloigne
39:29 quand Shaoinga conclut parfaitement
39:31 une bonne action collective des Parisiennes.
39:33 Malgré ce but, les Vertes ne lâchent rien
39:35 et auraient même pu espérer l'égalisation en fin de rencontre.
39:38 - On joue le PSG, qui va jouer avec des champions de mardi
39:40 contre Manchester.
39:41 Il ne faut pas le sortir de contexte.
39:43 Dans les sorties de balle, on commence à être intéressants.
39:46 C'est pour quelques occasions.
39:47 Maintenant, vous avez le PSG qui nous a aussi laissés loin du but.
39:50 On s'est précuré des choses.
39:51 On doit améliorer l'utilisation du ballon,
39:53 on doit améliorer nos occasions, nos situations, l'accompagnement.
39:56 Maintenant, on est le 3e match.
39:57 Je trouve que ce qui a été produit par l'équipe est très encourageant.
40:00 - Même si les Parisiennes affronteront gros en Ligue des champions ce mardi,
40:03 les Stéphanoises, tout juste promues cette saison en D1 Arkema,
40:07 leur ont causé quelques problèmes.
40:09 - Oui, on savait très bien que Saint-Etienne, c'était une très belle équipe.
40:12 Même si elles viennent de monter en D1,
40:15 on savait qu'elles avaient le potentiel pour donner tout leur maximum.
40:21 Donc, elles ont montré.
40:22 Mais voilà, aujourd'hui, c'est les 3 points et on est contentes.
40:24 - Après 3 rencontres, les Verts sont dernières avec un seul point.
40:27 Mais le contenu du match face à Paris
40:29 laisse penser que le meilleur est à venir cette saison pour les Amazones.
40:32 - Déjà, contre Montpellier, qu'il était content de ce qu'on avait fait.
40:36 Aujourd'hui, c'est encore un travail accompli.
40:38 Et plus les matchs vont passer,
40:40 plus on va arriver à être solides encore plus.
40:43 Et pourquoi pas, après, encore accrocher des équipes et gagner.
40:47 - L'objectif est désormais d'engranger un maximum de points pour pouvoir se sauver.
40:51 Après avoir affronté Paris,
40:53 les Verts vont s'attaquer au plus gros du championnat dans le derby face aux Lyonnaises.
40:57 Leur rendez-vous est pris samedi prochain à 21h.
41:00 - Et voilà, vous l'avez entendu, contre Lyon, ça ne va pas être la même.
41:03 En tout cas, ça risque d'être compliqué,
41:05 parce qu'on avait déjà dit ça le week-end dernier.
41:07 Elles font 1 partout face à Montpellier.
41:09 On ne s'y attendait pas.
41:11 Elles perdent 15-0 face au PSG.
41:13 - Ça peut les mettre en confiance.
41:14 - Pourquoi pas, effectivement, tenir.
41:16 En tout cas, le discours de Laurent Mortel,
41:18 c'est d'attendre le plus possible le premier but encaissé.
41:21 Et puis après, c'est la Coupe de France.
41:23 - Si elles jouaient contre les hommes, peut-être qu'elles en changeraient.
41:26 - En tout cas, elles sont plus hautes hiérarchiquement.
41:29 - Tout à fait.
41:31 - Il faut effectivement le dire.
41:33 On va écouter Dylan Batoubinski,
41:35 qui est un des quatre joueurs de l'ASS,
41:37 un des quatre internationaux qui est parti en sélection.
41:40 Il est parti finalement dès samedi soir de Saint-Etienne.
41:43 Après le match, il est arrivé lundi, donc hier, en sélection.
41:47 Avec la République démocratique du Congo,
41:49 il a deux matchs, un en Espagne, un au Portugal,
41:52 face à l'Angola et l'autre, je sais pas, je retrouve.
41:57 En tout cas, on l'a interrogé sur, justement,
42:00 cette parenthèse enchantée en sélection.
42:02 - Alors, le programme, en général,
42:05 on doit voyager assez rapidement pour rejoindre l'effectif, le groupe.
42:11 Là, ça va être... Je devrais arriver en sélection lundi.
42:16 Donc, bon, j'aurai le week-end, là, pour m'organiser.
42:20 Aussi, peut-être, si j'ai le temps, visiter ma famille ou quoi.
42:23 Mais très vite, il faudrait que je prenne l'avion, je pense, lundi matin,
42:26 pour atterrir en Espagne, du coup.
42:29 - Voilà, Dylan Batoubinski, qui est en sélection du 7, le meilleur.
42:33 On entendra également son attachement au pays,
42:36 à la République démocratique du Congo, dans la prochaine émission.
42:39 Ce sera dans 15 jours, après le match de Laval.
42:42 Le quiz de Lolo, pour terminer.
42:44 Vous connaissez le principe, devinez un ancien joueur de la SS.
42:47 - Ça va pas être super dur. - Lebo Mir Moravchik.
42:51 - Non, pardon. - Ça va être très rapide, je pense.
42:53 Un joueur de 26 ans. - Maintenant, il a 26 ans ?
42:56 - Oui. International. Il est pas parti il y a très longtemps,
42:59 il est parti cet été. - Nkunku.
43:02 - 17 buts, 12 passes décisives. J'avais envie de parler de lui.
43:06 Parce que ses débuts sont assez mitigés.
43:09 - Kraso ? - Jean-Philippe Kraso.
43:11 - Début mitigé, quand même, pour Kraso à l'étoile rouge.
43:14 Il a super bien démarré, 5 buts. - Là, c'est un peu plus dur.
43:17 - Un but depuis 2 mois, et en Ligue des Champions, je pense qu'il a été quand même pour ça.
43:21 Le JP, il chauffe le banc, pour l'instant.
43:23 - C'était compliqué, c'était aussi Manchester City et l'IG.
43:26 - Manchester City ? Non, c'était Young Boys.
43:28 Il fait une passe D quand il rentre, mais pour l'instant,
43:31 il a perdu 32 minutes sur les deux matchs.
43:33 Il est remplaçant dans cette équipe de l'étoile rouge.
43:35 - On a disputé que 12, effectivement, la semaine dernière.
43:38 Fasso Young Boys de Bern, merci beaucoup.
43:40 - J'avais envie de parler de lui parce qu'il manque, quand même.
43:43 - Oui, bien sûr. - Son talent, son rayonnement sur l'équipe.
43:46 Dans cette zone-là, ce serait bien qu'on ait un joueur qui...
43:49 - Il y a un peu de ballon ? - Pourquoi pas le rappeler ?
43:52 Si vous avez le numéro, on sait jamais.
43:54 Si ça se passe un peu mal... - Maintenant que la Coupe d'Europe est passée.
43:57 - Oui, peut-être. - C'est ça.
43:59 - Un petit prêt. On aime bien prendre des gens au prêt.
44:01 - Alors, simplement, avant de terminer cette émission,
44:03 parce que c'est passé très vite, un petit pronostic sur le prochain match.
44:06 Laval, on va commencer par MC Brocli.
44:08 - Laval ? Eh bien, ils vont gagner 2-0.
44:11 - Laval va gagner 2-0 ou la S ? - Non, la SS.
44:13 - Ah, la SS va gagner 2-0. Un bon 0-0.
44:16 Meilleur qu'Ajaccio, on espère, en tout cas.
44:18 - Oui, un bon 0-0. Laurent ?
44:21 - Moi, je vais dire 1-0. Un pénalty de 6 au coup.
44:25 - Pour la SS et Michel.
44:27 - Un partout, en espérant me tromper.
44:30 Et que le pronostic de Lolo soit le bon.
44:32 - Moi, je pronostique un 2-1 pour la SS avec un but en fin de match.
44:36 Ils sont dans le dernier quart d'heure. - 2 buts dans le même match ?
44:38 - Oui, oui, pourquoi pas ? - Oui, pourquoi pas ?
44:40 - S'il vous plaît, non. - On verra ça de toute façon
44:42 dans la prochaine émission. Ce sera le lundi 23 octobre.
44:45 Le match sera le lundi 23 octobre. L'émission, donc, le mardi à 19h35.
44:51 Mardi 24 octobre. D'ici là, portez-vous bien et allez les Verts.
44:55 - Merci.
44:56 - Au revoir.
44:57 - Au revoir.
44:59 Sous-titrage ST' 501
45:01 ...

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