L'Afrique a réalisé d'énormes progrès en matière d'innovation faisant du continent un pôle émergent de la technologie, a indiqué, le président de la CGEM, Chakib Alj, lors du panel "Africa : The innovation engine".
Vidéo: A. Bziouat
Montage: M. Basraoui
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00:00 [Musique]
00:05 [En anglais]
00:34 Mesdames et Messieurs,
00:36 vous allez tous m'accepter que le financement est clé
00:39 pour la survie de nos startups et de nos compagnies.
00:43 Réussir à résoudre le déficit de décision doit être réellement résolu
00:46 en créant et en promouvant des véhicules de financement plus innovants
00:50 ainsi que de mobiliser l'investissement institutionnel ou corporéel
00:55 pour la rénovation.
00:57 Je suis heureux de voir dans cette salle
00:59 de nombreux banquiers et fonds de l'équité privée.
01:03 J'espère que vous allez tous venir avec beaucoup de monde.
01:06 Les fonds sont essentiels, mais les talents sont aussi importants.
01:11 Les startups technologiques ne créent pas seulement des solutions innovantes,
01:15 mais aussi génèrent des opportunités d'emploi pour nos continents.
01:19 La population est en train de doubler en 2050.
01:22 Mais pour moi, le plus grand défi est de garder les talents de la compagnie.
01:29 Au lieu de se préoccuper seulement du rêve de marque,
01:33 nous devons travailler à offrir un sol plus clair pour l'Afrique,
01:36 les ressources humaines et le réel environnement
01:39 pour leur permettre de réaliser leurs rêves.
01:43 Un environnement en bonne santé inclut un climat de business en bonne santé,
01:49 des lois supportantes, une meilleure qualité de vie
01:53 et un dialogue ouvert avec les policiers.
01:56 Je ne peux pas conclure mes remarques sans mentionner l'accès au marché.
02:00 Nous devons tous soutenir l'innovation, la consommation
02:03 et générer des demandes pour trouver des solutions.
02:07 Ce défi doit être réalisé au niveau local, mais aussi au niveau continental.
02:11 Un framework harmonisé est essentiel pour améliorer l'accès au marché régional.
02:17 Sans l'accès au Internet, l'innovation numérique ne survivra pas.
02:21 Donc, c'est notre devoir, comme gouvernements, de travailler avec le secteur privé
02:24 pour offrir l'environnement dans lequel ils peuvent essayer.
02:28 Je pense que les gouvernements peuvent en faire plus,
02:30 en plus de nous offrir l'infrastructure, les compétences,
02:36 la technologie et le défi.
02:39 La manipulation des modèles a été réalisée par un firme local.
02:42 Le réchauffement du marché digital a été réalisé par un local.
02:45 La régistration de données a été réalisée par un local.
02:49 Nous avons mis ensemble trois entrepreneurs technologiques
02:52 pour trouver une plateforme sur laquelle nous pouvons appliquer
02:56 et payer pour l'accès aux services de gouvernement.
03:01 Et ils l'ont fait. C'est ce que nous appelons le Ganadro-Eco.
03:03 Les gouvernements peuvent utiliser leur puissance d'achat
03:06 pour stimuler l'écosystème technologique et de l'innovation.
03:10 Nous leur devons aussi donner des enseignements financiers,
03:16 des services de conseil business aussi.
03:18 Ils sont des innovateurs, des techniciens.
03:20 Ils ne peuvent pas être les meilleurs businesspeople,
03:24 mais ils ont besoin de ces compétences pour pouvoir
03:27 croître dans des entreprises viables.
03:29 Ce sont tous les choses que nous pouvons faire.
03:31 Merci beaucoup, Ministre Owusu.
03:33 Ministre Owusu, je vais me tourner vers vous.
03:34 Le ministre Owusu et le ministre Muzourje ont dit
03:37 que nous sommes un gouvernement.
03:38 Nous sommes dans le business de prendre des décisions
03:40 et de se mettre sur le sol.
03:41 Vous êtes dans le business de faire de l'argent.
03:44 Prenons-le de votre point de vue.
03:47 Vous êtes le chef d'un capital de l'ASK,
03:51 avec des grands investisseurs dans votre capital.
03:54 Quelle a été votre voyage jusqu'à présent?
03:56 Et comment voyez-vous le futur de l'économie d'insurance en Afrique?
04:00 Merci pour votre question.
04:02 Nous avons commencé à investir dans le secteur de l'insurance en 2017.
04:09 Aujourd'hui, nous gérons un business de brokerage.
04:12 Nous gérons un business de micro-insurance et de transport en affinité,
04:18 ce qui signifie que nous vendons des petites politiques
04:21 à un grand nombre de personnes.
04:24 Après six ans, nous avons réussi à multiplier par 25
04:29 le valeur de notre investissement.
04:32 Nous allons nous tourner en France pour ma prochaine question.
04:35 Nous allons aller dans les détails très précis.
04:39 Parlez-nous de ce chemin que vous avez emprunté à Abba Technologies,
04:44 vous qui avez avant été un serviteur de l'État,
04:48 et qui êtes parti ensuite vers le secteur privé.
04:51 Merci, très cher ami.
04:53 Lors de la création d'Abba Technologies,
04:55 ce que nous souhaitions donner comme mission,
04:58 c'était de préserver la santé, l'environnement, la sécurité.
05:01 Pour nous, c'est un moyen de pouvoir les préserver.
05:03 Et lorsqu'on parle de ces technologies-là,
05:05 on a voulu s'inscrire dans la vision de la souveraineté,
05:09 souveraineté industrielle et sanitaire,
05:11 que Sa Majesté a produite pour le Maroc, que Dieu l'assiste.
05:15 Et lorsqu'on parle de la souveraineté industrielle et technologique,
05:18 vous allez prendre un téléphone, une caméra, un capteur,
05:23 vous avez trois éléments majeurs.
05:25 [Musique]