Vaccin contre la Covid : Maître Brusa affirme que "nous sommes dans une tromperie !"

  • l’année dernière
Avec Maître Carlo Alberto Brusa, avocat et auteur de “Pour un lendemain sans libertés volées” publié aux éditions Guy Trédaniel.

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Transcription
00:00 et vous dites "mais c'est Pfizer lui-même qui dit ce n'est pas un vaccin".
00:04 Et vous avez preuve à l'appui, vous avez le rapport, je le rappelle, c'est intéressant,
00:09 ce n'est pas le rapport qui est signé avec l'Union Européenne,
00:12 mais le rapport que Pfizer a signé avec l'Afrique du Sud, c'est bien ça.
00:16 - C'est le contrat. - Le contrat, pardon, le contrat de vente.
00:18 Oui, ce n'est pas le rapport, bien sûr, c'est le contrat de vente qui date de 30 mars 2021.
00:24 Voilà, et alors on ne va pas lire ce rapport complètement, mais il est en son intégralité.
00:29 Mais il y a quelques phrases qui sont assez parlantes, dites-nous.
00:33 Alors il y a un élément que je me permets de rappeler,
00:36 c'est quand même un pays comme l'Afrique du Sud qui a permis d'avoir connaissance
00:41 de la forme des contrats que presque tout le monde a signé.
00:46 - Oui. - Arrêtez, les éléments que nous avons...
00:48 Vous voulez dire que, pardon, le contrat de l'Afrique du Sud ressemble beaucoup à ce...
00:51 - C'est un contrat pro-forma. - Un contrat pro-forma, en réalité.
00:54 Donc l'Union Européenne a signé pratiquement les mêmes...
00:57 J'ai la preuve avec l'Albanie, quelques mois après, c'est exactement le même texte.
01:01 - D'accord. - Et la chose importante, c'est que la Cour de Pretoria,
01:03 après avoir eu un collectif de médecins, etc., qui demandent la transparence,
01:08 publie, demande, fait injonction sous-extrême à l'État soud-africain de publier le contrat.
01:15 Or, je rappelle à tout le monde que le contrat, il y avait une clause de convivialité
01:19 qui était insérée dans tous les contrats.
01:21 Par exemple, le CABEP, le Canada, a refusé la publication des contrats
01:26 parce que la directrice de Pfizer a dit "si vous publiez le contrat, faites attention,
01:30 ça pourra remettre en cause notre capacité à commercialiser avec vous,
01:34 risque même d'enlever les usines". Donc on a utilisé le chantage.
01:37 Je rappelle à tout le monde que l'Union Européenne, on a permis à quelques députés de l'Union Européenne
01:42 de se rendre dans une pièce fermée, sans téléphone, sans crayon,
01:46 pour aller regarder les contrats, qui en plus étaient biffés.
01:49 - Michel Rivasi et Virginie Joron, pour ne citer qu'elles, nous l'ont dit.
01:53 - Absolument, et ils n'ont pas pu rapporter grand-chose parce que la plupart du contrat était biffé.
01:57 Maintenant, on a ici le contrat.
01:59 Il est publié, c'est le contrat que j'ai récupéré de la cour de Pretoria,
02:04 de la publication, qui est mis sur le site,
02:06 et là, il y a une clause, qui est une clause extraordinaire.
02:09 C'est l'article 5.5 de ce contrat, qu'on retrouve aussi dans le même draft,
02:13 dans le même projet de contrat du 30 mai avec l'Albanie, dans lequel il dit
02:18 - C'est Pfizer qui demande à l'acheteur ? - C'est Pfizer, c'est un contrat.
02:22 - C'est une clause contratuelle, qui dit
02:26 "L'acheteur reconnaît que le vaccin et les matériaux liés au vaccin,
02:31 ainsi que leurs composants et matériaux constitutifs,
02:34 sont en cours de développement."
02:37 - Déjà c'est... - "Sont en cours de développement."
02:39 - C'est déjà très intéressant. - Oui, bien sûr.
02:41 - Et que, à raison de circonstances d'urgence de la pandémie de Covid-19,
02:46 je rappelle que nous sommes au mois de mars 2021,
02:49 la déclaration de pandémie était faite le 30 janvier,
02:52 et que Pfizer déclare avoir déjà son vaccin,
02:55 le 10 juillet, avec une publication faite par BioNTech,
02:58 dans un communiqué de presse, avec la convention qui était inscrite avec l'FDA.
03:02 Je continue.
03:03 Et continuerons d'être étudiés après la fourniture du vaccin
03:07 à l'acheteur, en vertu du présent accord.
03:10 Et maintenant, l'acheteur...
03:12 - Attendez, juste redites cette phrase, vous dites que les conditions...
03:15 - Oui, vous dites que les effets, les études ne sont pas achevées.
03:20 - Absolument, et continueront d'être étudiées.
03:23 - Donc, oui, les études ne sont pas achevées et continueront d'être étudiées.
03:26 - Ils continueront d'être étudiées, c'est quand même extraordinaire.
03:28 - Après la livraison des vaccins. - Après la livraison.
03:30 - D'accord. - Je sais que ça.
03:32 - La fourniture du vaccin, en vertu du présent...
03:34 Et là, il y a la phrase incroyable.
03:36 L'acheteur reconnaît à notre que les effets à long terme
03:40 et l'efficacité du vaccin ne sont pas connus à l'heure actuelle.
03:48 Et qu'il peut y avoir des effets indésirables du vaccin
03:53 qui ne sont pas connus à l'heure actuelle.
03:56 En outre, dans la mesure où cela est applicable,
03:59 l'acheteur reconnaît que le produit ne sera pas sérialisé,
04:02 cette phrase est une phrase technique.
04:04 Mais ce qui compte, c'est 1) méconnaissance des effets à long terme.
04:08 Méconnaissance à l'heure actuelle, nous sommes le 30 mars 2021,
04:12 sur l'efficacité et méconnaissance des effets indésirables.
04:16 M. Bercoff, et je le dis à tous vos auditeurs et tous les spectateurs,
04:20 en même temps, le 30 mars 2021,
04:24 avec un jour de décalage,
04:26 le journal Le Monde, comme les autres journaux de France et de Navarre,
04:30 affirmait l'Union Européenne a reçu plus de 100 millions de doses de vaccins,
04:35 la Covid-19 sur l'ensemble.
04:37 Covid-19, Pfizer et BioNTech affirment que leur vaccin est efficace à 100%
04:44 chez les 12-15 ans.
04:46 Voilà.
04:48 - Dans Le Monde, donc le lendemain... - Le lendemain !
04:50 - ...dû, ouais. - On a quelqu'un qui achète une tondeuse,
04:53 et qui dit "je reconnais que j'achète une tondeuse,
04:55 mais je ne sais pas si je pourrais tondre mon jardin".
04:57 - Et combien de temps, et si le tondon biais efficacement...
05:01 - Et de l'autre côté on dit "nous vendons des tondeuses magnifiques qui tondent la pelouse".
05:04 - Voilà. Maintenant, monsieur, moi je suis juriste, ça c'est pas du complotisme.
05:08 C'est une chose qui ne peut que faire comprendre que nous sommes dans une tromperie,
05:13 parce que juridiquement parlant, ça s'appelle une tromperie.
05:16 Et la force de Pfizer, c'est qu'ils espéraient que ce contrat...
05:21 Pourquoi Pfizer s'est battu pour que ce contrat ne soit pas publié ?
05:24 Parce qu'ils savaient qu'avec la publication, tout allait se révéler.
05:28 Parce que quand vous parlez de la clause de responsabilité,
05:31 c'est une autre clause exorbitante,
05:33 on entend beaucoup des professeurs de droit on dit "mais non, c'est des clauses qu'on trouve classiques".
05:36 - La clause de responsabilité hallucinante, ça on le sait.
05:39 - Quand on a les deux, quand on a quelqu'un qui dit "je ne sais pas ce que je te vends",
05:44 c'est quand même phénoménal.
05:46 - "Mais je te le vends quand même, et s'il y a des effets secondaires, je ne suis pas responsable".
05:49 - Et alors là, c'est quelque chose d'exceptionnel.
05:51 Parce que les effets secondaires, on ne les sait pas.
05:53 Alors il y a beaucoup de professeurs qui ont tenté.
05:57 Maintenant, regardons la chose et la réalité actuelle.
06:00 Une chose très simple.
06:02 Regardez comment fonctionne.
06:04 Quand je me suis battu pour dire "les vaccins que vous avez mis sont des vaccins qui sont expérimentaux etc."
06:10 J'ai attaqué y compris l'Agence Nationale de Sécurité des Médicaments,
06:13 et le Vidal, je me suis fait condamner.
06:15 Il a fallu aller en appel.
06:17 Et aujourd'hui, quand le Vidal disait "mais non, moi j'ai inscrit toutes les choses qui sont vraies".
06:21 Le Vidal aujourd'hui, qu'est-ce qu'on trouve ?
06:23 Je vous le dis.
06:25 Et les gens doivent le savoir, parce que quand on fait la campagne de vaccination,
06:28 et qu'on dit "tout va bien", ils sont sûrs à 100%,
06:31 il suffit d'ouvrir le Vidal, à Comirnaty,
06:33 Comirnaty, parce que je dis à tout le monde qu'aujourd'hui,
06:36 le seul vaccin quasiment utilisé est le vaccin Pfizer.
06:39 Le Moderna, l'Itanairenne, il est très peu utilisé.
06:43 - Le Vidal date de quand ce Vidal ?
06:45 - Là, c'est la dernière publication, à primer les pierres.
06:47 - D'accord. Et ils disent ?
06:49 - Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite,
06:53 après vaccination par Comirnaty.
06:55 - Nous en avons parlé ça, effectivement.
06:57 - Oui, mais on va coter, les données disponibles indiquent
06:59 que la plupart des cas se sont résolus
07:01 certains cas ont nécessité un soin médical intensif,
07:04 et un cas et des cas d'issue fatale ont été observés.
07:09 - Ouais. - Attention, c'est ce qui est écrit par le Vidal,
07:13 alors que quand vous avez des mots qui sont encore plus forts,
07:17 dans la note Comirnaty, annexe 1 de son propre vaccin,
07:22 ils n'utilisent pas le mot "fatale", parce que le mot "fatale" ça fait penser à fatalité.
07:25 Et les gens, quand ils pensent à fatalité, ils pensent à quelque chose qui peut ne pas arriver.
07:29 - Pas du tout. Le mot "fatale", en étymologie, veut dire
07:32 quelque chose qui va arriver inéluctablement.
07:34 - Ouais, et puis ils pensent à la mort. - Absolument.
07:36 - Absolument. - Bien sûr.

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