Sorties ciné du 01 novembre

  • l’année dernière
Quels films sortent au cinéma cette semaine ? La rédaction vous fait découvrir les films qui font l'actualité
Transcript
00:00 *Générique*
00:16 Bonjour à tous, c'est par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les cimes à l'affiche.
00:21 Drames, biopics, documentaires, comédies sociales et comédies sont à l'affiche cette semaine.
00:26 Avec tout d'abord le drame historique signé Marco Bellocchio, "L'Enlèvement".
00:30 Nous prendrons le large avec la première réalisation de Géraldine Danon, "Flow".
00:34 Nous nous pencherons sur le théorème de Marguerite d'Ananovion.
00:38 Gilles Legardinier viendra nous parler de sa première réalisation, "Complètement cramé".
00:42 Nous prendrons la direction du Brésil pour le documentaire "Portrait fantôme".
00:46 Nous ferons la connaissance de Monsieur le Maire.
00:48 Et nous partirons à la chasse au trésor pour "Inestimables" de et avec Eric Faticelli.
00:55 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir
00:59 le classement des films en salles établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:04 En troisième position, "The Bud Generation" obtient 3,2/5.
01:10 Juste au-dessus, avec 3,8/5, on retrouve "Second Tour".
01:15 Et cette semaine se place en première position "The Whole Oak" qui obtient 3,9/5.
01:23 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:25 L'enlèvement de Marco Bellocchio revient sur l'affaire Mortara, une histoire vraie survenue à Bologne en 1851.
01:35 Le septième enfant d'une famille juive a été baptisé en secret par une servante catholique
01:39 qui pensait qu'il ne survivrait pas à un épisode de fièvre extrême.
01:43 Soixante ans plus tard, les gendarmes de la papauté arrachent l'enfant à sa famille pour le conduire à Rome.
01:52 M. Mortara, son fils, Edicardo, a été baptisé et a eu l'ordre de prendre.
01:57 Au nom d'un principe, le pape qui était le roi aussi, il ne voulait pas accepter de redonner ce garçon à sa famille.
02:11 Il y a des principes dans la religion d'intolérance, d'objectifs.
02:21 C'est difficile, il n'existe pas une religion qui mette en discussion ces principes.
02:28 Pour le pape Pio IX, le garçon c'était une espèce de symbole contre l'athéisme, contre le communisme, contre le socialisme.
02:46 C'est une histoire du passé, mais c'est indirectement le présent.
02:50 C'est mon destin de vivre dans le présent, oui.
02:57 Si je commence à penser au passé, à la jeunesse qui est passée, alors on entre dans une dépression.
03:10 C'est le présent qui compte, mais aussi Sainte, refuser le passé.
03:15 Pour son premier long métrage, Flo, Géraldine Danon rend hommage à la petite fiancée de l'Atlantique, Florence Artaud.
03:32 Le palmarès exceptionnel de cette navigatrice a connu son apogée en remportant un prix de la première édition du film.
03:39 Elle a été épougée en remportant La route du Rhum en 1990.
03:43 Je suis venue voir les bateaux, je suis venue voir la mer.
03:47 Je vous présente Florence.
03:51 Vous êtes directement dans l'Atlantique avec moi.
03:54 Quand j'ai vu la photo de Florence Artaud, je me suis dit que ça allait être un joyeux défi.
03:59 La terre ne nous manque pas.
04:01 En attendant les vacances sont finies ma chérie, c'est la fac maintenant ta priorité.
04:06 J'ai commencé à travailler en amont sur toutes les archives qu'avait laissées Florence.
04:10 Et il y en a beaucoup, elle les met partagées.
04:12 Il y a des livres, il y a des interviews, il y a des émissions de télé, de radio.
04:16 Ta fille est un marin.
04:18 D'abord Florence était une grande amoureuse.
04:20 Et je pense que sa vie intime est parfaitement liée avec sa vie de marin.
04:24 Je vais faire la Whitbread.
04:26 Pas de gonzesses à bord, rien quoi.
04:29 Tu te barres sans moi le bout du monde c'est ça ?
04:32 Et se passer dans sa vie intime a déclenché ce qui est arrivé après sur l'eau.
04:36 A partir de maintenant, je donnerai ma vie pour mon rêve.
04:40 Tu as trouvé où ton petit accent Marie Chantal ?
04:43 Il y a une façon de s'aimer entre Florence Artaud et Olivier de Carceauxon qui est celle de deux marins.
04:49 Qui s'aiment avec également leur amour de liberté, leur amour de la mer et leur amour d'indépendance et de plein d'autres choses.
04:58 La mer est un personnage à elle, hormis le fait qu'elle a ouvert la voie à toute une génération de femmes,
05:02 qu'elle est allée se confronter aux hommes sur leur propre terrain.
05:05 Ce qui m'intéresse c'est les fractures.
05:07 La mer, la mer des marins, la mer des loups de mer, la mer aux furies, la mer sans pitié, loin de tout.
05:12 C'est le destin d'une femme et dans cette femme-là, il y a la navigatrice,
05:17 il y a cette femme issue d'un milieu très bourgeois, il y a la rencontre avec un autre milieu.
05:26 On l'appelle la petite fiancée de l'Atlantique aujourd'hui.
05:28 Moi je trouve qu'on pourrait l'appeler la petite fiancée de la destinée.
05:31 Elle jongle avec la mort tout au long de sa vie et le fait de côtoyer la mort donne l'impression d'être encore plus vivant.
05:37 C'est la première à mettre le mot marin en féminin.
05:40 C'est un merveilleux défi, Mademoiselle Artaud.
05:44 Avec le théorème de Marguerite, Anna Novion nous plonge dans l'esprit d'une brillante mathématicienne
05:55 dont l'existence va basculer suite à une erreur dans la présentation de sa thèse.
05:59 Je m'appelle Marguerite Hoffmann, j'ai 25 ans et je suis en dernière année thèse de mathématiques à l'UNS.
06:05 Les mathématiciens sont aussi des gens qui s'amusent, qui sont beaucoup dans le jeu, qui aiment le challenge.
06:10 La conjecture de Goldbach, c'est l'un des problèmes non résolus les plus importants en mathématiques.
06:14 C'est un film de quête, c'est un film de vertige.
06:17 Pas trop stressée ma fille chérie ?
06:19 Je suis en pleine relecture là.
06:21 C'est un film où on suit des personnages, principalement un qui est le personnage de Marguerite.
06:25 J'ai pas compris ton calcul de la constante C, tu peux pas chasser K, N et Delta simultanément ?
06:29 En effet, ça invalide tout votre raisonnement.
06:33 Une fille qui est sur des rails toute sa vie, elle en sort, elle se retrouve confrontée à ses propres démons
06:38 et à découvrir au fond pourquoi vraiment elle fait des mathématiques.
06:41 Faut être solide pour travailler sur Goldbach.
06:46 C'est un problème labyrinthique.
06:50 C'est quelqu'un qui au début est enfermé, qui a peur, qui travaille d'une manière totalement solitaire,
06:55 qui a peur des gens, qui a peur de l'irrationnel des sentiments
06:58 et qui préfère mettre tout ce qui est de l'ordre de l'irrationnel à l'écart
07:02 et qui progressivement va être attiré par cet irrationnel.
07:06 Je regrette vraiment que vous ayez arrêté les mathématiques.
07:10 Comment vous pouvez dire ça alors que vous m'avez écartée du jour au lendemain ?
07:16 On est dans des grandes écoles, on est chargé de travail, chargé d'une responsabilité aussi
07:21 parce qu'on est censé représenter l'élite.
07:24 Donc tout ce contexte-là était tout à fait propice à développer la chute d'un personnage.
07:30 Le personnage de Marguerite, on est organiquement en prise avec elle
07:44 et on l'emmène dans la complexité de son cerveau.
08:10 Pour son premier film, complètement cramé, Gilles Le Gardinier a adapté son propre roman éponyme.
08:15 L'homme n'a plus le cœur à rien depuis le décès de son épouse.
08:19 Il quitte Londres pour revenir en France dans une propriété où il a connu sa femme
08:23 mais suite à un quiproquo, il se retrouve à jouer les majordomes à l'essai.
08:27 L'entrée du personnel se fait par l'office. Que noix !
08:33 J'ai mis une annonce pour recruter un employé de maison.
08:37 Trop la classe ! On dirait un british !
08:39 Je suis un british !
08:40 Ça va pas être simple.
08:42 Qui sait ce qu'il nous apportera ?
08:44 C'est l'histoire de quelqu'un qui pense que sa vie est derrière lui
08:47 et qui va se rendre compte qu'il a tort.
08:49 Madame reçoit surtout dans ce salon, enfin lorsqu'elle recevait.
08:52 Aujourd'hui plus personne ne vient.
08:54 Vous savez monsieur Steak, je suis bien content de ne plus être le seul homme ici.
08:58 Elles sont quand même spéciales ces dames.
09:00 Chaque métier demande une expertise. Je n'étais pas certain d'avoir celle de réalisateur.
09:04 Ce n'est pas moi qui ai choisi de le devenir. On m'a convaincu.
09:08 Et pour mon plus grand bonheur, on m'a placé en situation de le faire.
09:12 Mais j'ai avancé très modestement, très humblement.
09:15 C'est une course de fond. Et puis vous pilotez des avions de chasse.
09:18 Donc ça va très vite, c'est très réactif, c'est très puissant, c'est fabuleux.
09:22 Mais vous n'avez pas intérêt à vous louper. Parce qu'ils ont un regard.
09:25 Et John est l'homme le plus élégant, le plus éduqué, le plus affectueux du monde
09:29 avec ceux qui disent ce qu'ils font et qui font ce qu'ils disent.
09:31 Je vous ai menti.
09:34 Madame ! Madame !
09:37 Savez-vous pourquoi je suis ici, Madame ?
09:40 Je vais être très honnête, pour moi ce n'est plus mon film.
09:42 C'est vraiment le leur.
09:44 Mon privilège a été de les filmer, d'être le premier spectateur.
09:47 Mais ça ne sont plus mes personnages.
09:49 Je vois Andrew Blake, je vois Nathalie Bovillier.
09:52 Ils ont complètement confisqué l'histoire pour le meilleur.
09:55 C'est devenu collectif, c'est devenu leur film.
09:58 Je n'ai même plus la mémoire de ce que j'en avais fait dans mon roman.
10:02 Une femme que j'admire beaucoup m'a dit un jour qu'il faut toujours garder l'espoir.
10:08 Même si on n'y croit plus.
10:11 Portrait fantôme de Kleber Mandozafiliou est un documentaire sur sa ville natale, Récif.
10:23 À travers le temps, le cinéma, le son, l'architecture et l'urbanisme.
10:29 Avec les années, tout s'est transformé laissant un goût doux amer au cinéaste.
10:33 Quand le film est sorti au Brésil, j'ai reçu des plaintes.
10:45 Notamment du genre. Il n'y a pas assez de fantômes.
10:48 Mais en fait, cela dépend vraiment de la façon dont on regarde.
10:58 Je ne parle pas que de cinéma, mais aussi de l'idée que l'on s'est fait des fantômes plus généralement.
11:02 Ils sont partout constamment.
11:05 Je crois que mon film se focalise plutôt sur le temps qui passe.
11:17 Quand on passe sa vie entière dans certains endroits, nos maisons, les rues, ou dans des cinémas,
11:24 dans ces films, il faut toujours s'attendre à croiser la route d'un fantôme.
11:28 Pour ce qui concerne mon documentaire, j'ai pour ma part comptabilisé 35 fantômes sur toute la durée du film.
11:41 Je crois que la caméra est toujours très sensible aux choses spirituelles.
11:50 Au début de Portrait fantôme, on verra qu'adolescent, j'avais pris une photo d'un fantôme et cette photo est dans le film.
11:56 Jusqu'à aujourd'hui, j'ignore toujours comment cette apparition s'est fixée sur mon négatif.
12:02 Mais on en a beaucoup parlé autour de moi. J'étais considéré comme un médium.
12:17 Monsieur le Maire, co-réalisé par Karine Blanc et Michel Tavares, est une comédie sociale basée sur une histoire vraie.
12:23 Le maire d'un petit village montagnard se bat pour éviter la fermeture annoncée de l'école.
12:28 Sa rencontre avec une ancienne femme battue et ses deux enfants va bouleverser la vie du village.
12:43 Le maire de l'initiative, c'est Arnaud Diaz, un maire dans les Pyrénées, qui a initié ce projet, mais il a été obligé de sortir des clous.
12:50 Le maire, il leur donne accès comme ça à la salle polyvalente ?
12:53 Vous n'avez pas respecté les procédures d'attribution du logement municipal.
12:57 Nous allons devoir faire évacuer le bâtiment.
13:00 On entendait beaucoup, notamment que dans la ruralité, certains maires ne voulaient plus se présenter.
13:05 Ils ont beaucoup de procédures à respecter. On leur prête beaucoup de pouvoirs, mais ils ont surtout beaucoup de responsabilités dans ces petites communes.
13:12 Le Mardon, c'est un village tranquille et ce serait bien que ça le reste.
13:14 Vous n'avez pas l'air très détendu pour le maire d'un village tranquille.
13:17 Accepter un scénario, il y a quand même quelque part une part d'engagement.
13:21 On se dit, tiens, ce serait bien juste de porter cette histoire et de se dire que peut-être qu'elle va résonner dans l'oreille d'un tel ou d'un tel,
13:31 ou des gens qui sont responsables, des gens qui sont engagés politiquement.
13:35 On se dit, si on arrive à faire résonner cette histoire, c'est déjà bien.
13:41 Le service social prie le fils de Yasmine et elle a nulle part où aller.
13:44 Un établissement social d'insertion de femmes avec enfants, c'est une blague.
13:47 Alors qui a le courage de renvoyer ces femmes et ces enfants dans la rue ?
13:50 Je ne vous laisserai pas mettre en danger le village.
13:52 Partout où je vais, j'ai le bordel à mes trousses.
13:54 On a un film comme Monsieur le Maire et on le voit quand on le présente à travers la France.
13:57 Le public, c'est un public qui vient voir un film.
14:00 C'est-à-dire que tu n'es pas typiquement avec des gens bien précis, qui de toute façon ont déjà un engagement très affirmé,
14:08 que ce soit sur les femmes battues, que ce soit sur la place de la République,
14:11 ou des maires à travers les milieux ruraux, ou les cha... Non.
14:14 Ces gens, ils viennent voir un film.
14:16 Je viens procéder à l'évacuation.
14:18 Je crois que vous devriez appeler les renforts, parce que c'est tout le village qu'il va falloir évacuer.
14:21 Ce que vous avez fait pour elle, ça n'a pas de prix.
14:23 Vous n'êtes pas si con que ça, finalement.
14:25 On va le faire, ce foyer.
14:27 Inestimable, de et avec Éric Faticieli, est inspiré d'une histoire vraie,
14:35 celle de Félix Bianca Maria, qui a découvert en 1985, dans une crique près d'Ajaccio, un trésor inestimable.
14:41 A noter que le deuxième procès du découvert du trésor se déroulera en 2024.
14:46 Regardez ce que j'ai trouvé.
14:49 J'ai cru que c'était des arapèdes, mais en fait c'est des pièces.
14:51 Si elles proviennent de la mer, elles appartiennent à l'État.
14:55 Elles viennent de la terre.
14:57 Ils ont sorti un truc, ou du terrain, ou de l'eau, peu importe, on s'en fout, on n'est pas l'État pour savoir.
15:02 Mais ils ont mis la main sur quelque chose qui allait révolutionner le marché de l'or mondial,
15:06 et qui allait nous ramener à une époque de Rome, où on ne se souvenait même pas de la tête qu'avait cet empereur galien.
15:12 Celle-là, elle est plus grosse.
15:14 Oh putain !
15:16 Oh putain !
15:18 Et où tu les as trouvées ? Parce que toi, il y en a d'autres.
15:20 Eh bien sûr, il y en a d'autres. Je les ai vues, mais je suis fatigué.
15:23 Eh bien, j'étais ému. Je pensais bien sur le protagoniste de l'histoire, mais même,
15:26 soi-même, quand on voit un truc, on a tous eu un "Oh putain, c'est quoi ça ?"
15:30 Ok, laissez-la. Hop, elle est à l'État. Hop, elle est à nous.
15:34 Hop, elle est à l'État.
15:36 Et hop, elle est à nous.
15:38 Vous savez comment j'ai écrit ces trois profils de personnages ?
15:41 Je vous assure que c'est vrai. J'ai fait trois écoles maternelles,
15:45 et je suis allé offrir à chaque élève un petit jouet.
15:49 C'est le cri qu'il lâche.
15:51 C'est pas grave, il est sous garantie.
15:53 Je donnais le jouet à l'enfant, l'enfant le cachait de peur qu'on lui pique.
15:58 Il faisait comme ça, il le montrait pas, il cachait le jouet.
16:01 Ça, c'est le personnage de Didier Bourdon.
16:03 Je veux le cacher, tout ce pognon.
16:05 L'essentiel, c'est de rester discret.
16:07 J'avais la réaction, quand je lui donnais un jouet à un enfant,
16:10 eh bien, il le montrait à tout le monde.
16:12 Il était tout fier du jouet. Ça, c'est mon personnage. Il flambe.
16:15 Ce que tu peux pas avoir avec de l'argent,
16:17 tu peux l'avoir avec beaucoup d'argent.
16:20 Et après, la troisième réaction, c'était, il le gardait dans la main,
16:24 ce nouveau jouet, l'enfant, il regardait autour de lui,
16:27 et puis, au bout d'un moment, il le tendait à son copain.
16:28 Il le donnait à l'autre.
16:30 Ça, c'est le personnage de Félix Biancamari, incarné par Philippe Cortier.
16:33 La Corse, elle a été italienne pendant des siècles.
16:42 Moi, tout petit, à Bastien, on captait mieux l'échelle italienne
16:46 que l'échelle française, parce qu'à l'époque, il y avait pas tous les satellites,
16:49 il y en avait pas beaucoup.
16:51 Et elle était bercée dans la comédie italienne plus que dans la comédie française.
16:56 Évidemment que ça se ressent.
16:57 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
17:05 Quand j'étais petit, ma mère me demandait
17:07 ce que je dirais de ma maison si elle était en feu.
17:10 Je lui répondais, mon sketchbook et mon grand-enfant.
17:14 Je ne mentionne pas mes parents ni ma soeur.
17:17 Ça me rend une personne mauvaise ?
17:21 Ça me rend une personne mauvaise ?
17:24 Non !
17:25 Vous verrez, il va mourir.
17:38 Bon.
17:40 C'est la fin de l'histoire d'Iadros, le début d'Iadros.
17:43 Quand on se dit qu'il y a un cirque, un chantier, un spectacle,
17:45 c'est un spectacle.
17:47 C'est un spectacle.
17:49 C'est un spectacle.
17:51 C'est un spectacle.
17:53 C'est un spectacle.
17:55 C'est un spectacle.
17:57 C'est un spectacle.
17:59 C'est un spectacle.
18:01 C'est un spectacle.
18:03 C'est un spectacle.
18:05 C'est un spectacle.
18:07 C'est un spectacle.
18:09 C'est un spectacle.
18:11 Quand on se dit qu'il y a un cirque, un chantier,
18:12 les gens sont un peu réticents.
18:14 Ils prennent ça sous le fond de la rigolade.
18:16 Mais en finale, c'est quelque chose de très important dans la vie.
18:18 Dans le cirque, il y a la liberté.
18:21 Folle de la fête.
18:29 Tu devrais être le guide.
18:32 Tu viens d'où ?
18:38 C'est l'océan qui m'a ennuyé.
18:41 Ne t'inquiète pas.
18:44 Unis les forces et soyez unis.
18:46 Mahito !
18:48 Mahito, je veux que tu me suives.
18:55 Pourquoi es-tu venu ici ?
18:59 Mahito, tu dois t'en aller !
19:01 Mon monde n'est pas fini.
19:04 Maman !
19:06 Mahito, tu veux que je te suive ?
19:09 Mahito, tu veux que je te suive ?
19:12 Mahito !
19:14 Voilà par ici les sorties, c'est fini.
19:16 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.