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Quels films sortent au cinéma cette semaine ? La rédaction vous fait découvrir les films qui font l'actualité
Transcription
00:00 *Musique*
00:16 Bonjour à tous et par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les 6 malafiches.
00:21 Histoire vraie, drame, comédie dramatique, fantastique et animation sont au programme cette semaine
00:26 avec tout d'abord une incroyable histoire vraie "The Money" de Craig Gillespie.
00:31 Nous irons en Afrique pour Augur de Balogi, nous découvrirons la tresse de Laetitia Colombani,
00:37 Cattel Chilivéré viendra nous parler de "Le temps d'aimer",
00:39 nous nous rendrons en Espagne pour "Les filles vont bien" d'Itza Soharana,
00:43 le fantastique sera au coeur de Conan de Bertrand Mandicot,
00:47 Vim Van Derst nous amènera au Japon avec "Perfect Days"
00:50 et nous déroulerons le tapis rouge pour le Disney de Noël "Wish, Achat, La Bonne Etoile".
00:55 *Musique*
00:56 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine,
00:59 nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles
01:02 établi par les étoiles des spectateurs sur le site AlloCiné.
01:06 En 3ème position, "Rien à perdre" obtient 3,9/5.
01:11 Juste au-dessus, avec 4/5, on retrouve "Testament".
01:17 Et cette semaine se place en 1ère position "Mars Express" qui obtient 4,2/5.
01:23 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:25 *Musique*
01:28 Après "Moi, Tonya" en 2017, Craig Gillespie s'attaque à nouveau
01:31 à une incroyable histoire vraie avec "Dumb Money".
01:33 Le film raconte comment un homme ordinaire, aidé de ses followers,
01:37 a ébranlé Wall Street en misant sur une entreprise à laquelle personne ne croyait.
01:43 - Yo, what up everybody ?
01:44 - Roy and Kitty here.
01:45 - I'm gonna pick a stock and talk about why I think it's interesting
01:48 - and that stock is...
01:50 - GameStop.
01:51 - I love this guy.
01:52 *Applaudissements*
01:54 - Retail traders hooked into GameStop.
01:56 - I think they think it's a good investment.
01:58 - It looks like there's one guy driving all the buying.
02:01 - Who is this guy ?
02:03 J'avais très envie de prendre le public par la main et de le faire participer à cette folie.
02:08 C'était essentiel.
02:09 Il fallait qu'il soit en mesure de ressentir la frustration et la colère
02:13 créées par la duplicité du système financier.
02:16 - Wall Street is betting that this company is gonna fail.
02:19 If it fails, these hedge fund assholes make a shit ton of money.
02:24 - Seventy thousand people have watched this video.
02:27 - Roy and Kitty, I love you !
02:29 - If he's in, I'm in.
02:32 C'est un voyage émotionnel avant tout
02:34 et nous avons enlevé au montage beaucoup d'explications techniques
02:38 pour ne garder que ce dont on avait besoin.
02:41 - You should probably dial in.
02:43 - Holy fucking shit.
02:44 - Do you have a minute ?
02:45 - I...
02:47 Hum...
02:48 Ce qui m'a fasciné dans cette histoire, c'est la nature du collectif
02:52 qui s'est créé de manière positive.
02:54 Souvent sur les réseaux, c'est la négativité qui polarise les gens.
02:59 Là, c'était des gens de tout horizon
03:02 qui se sont rassemblés pour manifester leur frustration
03:05 contre la manipulation de Wall Street.
03:07 - ...of accountability.
03:08 - You got rich dudes pissing in their pants right now.
03:11 - They're coming after you.
03:12 - We need to talk about the GameStop situation.
03:15 - Hold it down, hold it down.
03:16 - Retail traders always lose.
03:19 - You've been served.
03:20 - Wall Street cheated.
03:22 - Surprise, surprise.
03:23 - Nous avons voulu créer un double sentiment.
03:26 Le public sortira du cinéma
03:28 avec un ressenti proche de la colère et de la frustration,
03:32 mais également une touche d'optimisme,
03:35 ce qui n'était pas facile à obtenir.
03:37 - There's no hope for the little guy.
03:38 - Win, win, win.
03:41 - Shitballs.
03:43 - Maybe now, there is.
03:45 - Fuck yeah.
03:46 ...
03:52 - Augur de Balogi met en scène le retour au Congo
03:55 d'un homme qui, après 15 ans d'absence,
03:57 veut présenter sa femme enceinte à sa famille.
03:59 Considéré comme un sorcier par les siens,
04:01 il rencontre 3 autres personnages
04:03 qui, comme lui, veulent s'affranchir du poids des croyances.
04:07 - Le seul moyen de s'intégrer,
04:09 c'est d'accepter que l'on est différent.
04:11 - 18 ans.
04:14 - A part la route, rien n'a changé ici.
04:17 - C'est un film choral qui raconte le parcours de 4 personnages
04:20 qui sont considérés comme sorciers et sorcières
04:22 et comment leurs chemins de vie vont s'entremêler.
04:25 - Ça veut dire quoi déjà, Zagoulou ?
04:27 - La tâche du diable.
04:29 - Ce que je voulais, c'est ce patriarcat.
04:32 C'est cette chape de béton
04:34 qui pèse au-dessus de la tête de mes personnages.
04:37 - Et c'est quoi ? C'est une parade ?
04:39 - Allez, Augur !
04:42 - Je vais te faire un bisou.
04:44 - Je crois qu'Alice a bien compris qu'on n'est plus dans le même espace-temps.
04:49 - Ah bah voilà, timing parfait.
04:52 - Zagoulou, sors de son corps !
04:55 - La position de Kofi nous permet de découvrir
04:58 celles de ceux qu'on croit être les bourreaux
05:01 qui en fait sont les premières victimes.
05:03 - Oh, ma belle, elle a un œil !
05:05 - Je vais te faire un bisou !
05:07 - On ne peut pas se faire un bisou !
05:09 - Ce qui est intéressant avec Tchala,
05:12 c'est qu'elle met sa famille et la société
05:15 en face de leurs contradictions.
05:17 Elle leur dit "voilà, je suis différente et je suis parmi vous".
05:20 - Qu'est-ce qu'il y a ?
05:21 Pourquoi tu ne veux pas qu'on se fasse un bisou ?
05:23 - Elle représente une jeunesse que je connais en Afrique
05:27 qui est exubérante et qui se bat pour sa liberté.
05:31 - Tu as cru pendant longtemps ce que maman disait ?
05:33 - Maman ?
05:34 - Quand les croyances deviennent collectives, on les valide.
05:37 Et on pense qu'elles sont réelles.
05:40 Et du coup, ça devient un sujet qui est universel,
05:42 qui n'est pas juste une société quelque part en Afrique.
05:45 - Mais toi, qu'est-ce que tu vas pouvoir faire pour lui ?
05:47 - La Tresse de Laetitia Colombani est l'adaptation
05:56 de son best-seller éponyme qui est un hommage aux femmes
05:59 et à leur résilience.
06:00 Le film raconte le destin de trois femmes sur trois continents
06:03 qui ne se connaissent pas, mais qui sont liées sans le savoir.
06:06 - Tu es un peu comme Bama ou Thakur.
06:09 Tu as appris à écrire ?
06:11 - Tu veux que je te parle ?
06:13 - Tu peux aller au laboratoire.
06:16 - Eh, bonne !
06:18 - Je veux y aller !
06:21 - Non, tu l'as fait la dernière fois !
06:23 - Hey, hey, hey ! On arrête de se battre, s'il te plaît ?
06:25 - Partout où j'allais dans le monde, que ce soit en Inde,
06:28 où je vais régulièrement, en Chine, sur le continent africain,
06:32 en Argentine, au Pérou, les femmes, encore aujourd'hui,
06:37 dans notre époque actuelle, sont discriminées quelque part,
06:41 en tout cas sont enfermées dans des carcans,
06:43 portent des chaînes, parfois très visibles, c'est le cas en Inde,
06:47 où les femmes ne sont pas considérées comme les égales des hommes,
06:50 elles leur sont inférieures.
06:51 - Arrêtez-vous !
06:52 - Comment ?
06:54 - Je ne sais pas.
06:55 - On devrait quitter ce lieu.
06:57 - Si on quitte ce lieu, où allons-nous ?
06:59 - Maman, où allons-nous ?
07:01 - C'est aussi le cas dans des sociétés comme celle du Canada,
07:05 qui est décrite dans une des parties du film,
07:08 cette société proche de la nôtre,
07:10 où les femmes ont conquis l'égalité sociale,
07:13 mais où en même temps, elles vivent des grandes inégalités
07:16 dans la sphère professionnelle, on parle du plafond de verre,
07:20 on parle de l'inégalité des salaires,
07:22 et puis aussi dans la sphère domestique.
07:24 - Nous sommes pleines de débit.
07:26 Que nous sera de nous ?
07:27 - J'ai peur que je n'ai pas de bonnes nouvelles.
07:30 - Les femmes portent énormément de choses sur leurs épaules,
07:34 elles portent le monde entier sur leurs épaules.
07:36 - Les historiens parlent de leurs origines,
07:39 mais pour beaucoup, les Amazons restent un mystère.
07:42 - Le Tandemay de Cattel-Kinivéré se situe en 1947.
07:53 Une serveuse, dans un hôtel-restaurant,
07:55 mère d'un petit garçon, fait la connaissance
07:57 d'un étudiant riche et cultivé.
07:59 Entre eux, c'est comme une évidence,
08:01 mais l'un et l'autre ont des choses à régler
08:03 concernant leur passé respectif.
08:05 - Daniel !
08:07 Merci beaucoup.
08:12 - Y a pas de quoi.
08:13 - Je vais pas lui partir. Merci.
08:15 - C'est le temps qu'il faut pour aimer,
08:17 le temps qu'il va falloir à cette femme
08:19 pour s'autoriser à aimer son enfant.
08:21 - Le temps d'aimer, c'est le temps qu'il faut
08:24 pour un jeune homme aussi, pour apprendre à aimer sa mère.
08:29 - Depuis la dernière fois, j'ai pas arrêté de penser à vous.
08:31 - C'est un hommage à ma grand-mère,
08:33 hyper important dans ma vie, qui fait que je suis qui je suis.
08:35 La manière dont elle m'a à la fois transmis son secret
08:38 et une pulsion de vie énorme.
08:41 - Vous l'aimiez, la père de Daniel ?
08:43 - En fait, ça n'a pas duré longtemps.
08:45 - C'est des gens qui tombent pas vraiment amoureux.
08:48 Y a pas d'évidence délirante au départ,
08:50 mais on va les voir petit à petit
08:52 vraiment s'aimer profondément.
08:54 - C'est ça qui est beau, c'est qu'ils commencent à s'aimer,
08:56 ils s'aiment de plus en plus au fur et à mesure du temps.
08:58 - Comment on va faire pour retrouver ce changement ?
09:01 - Daniel ! Pourquoi tu me fais ça ?
09:03 - Est-ce que pour être un couple,
09:05 il faut forcément avoir une complicité sexuelle
09:07 ou est-ce que ça peut être juste une complicité intellectuelle ?
09:10 C'est quoi être parent ?
09:13 Est-ce que la biologie est si importante ?
09:16 Est-ce qu'on peut être une mauvaise mère
09:19 alors qu'on est une mère de 100 ?
09:21 Est-ce qu'on peut être un bon père alors qu'on n'est pas le père biologique ?
09:24 - Daniel, arrête-toi !
09:25 - C'est quoi son nom ?
09:26 - Ton seul père, c'est François, c'est lui qui t'a élevé.
09:28 - Dis-moi son nom !
09:30 - Je te connais pas en fait.
09:32 - Est-ce que c'est vrai tout ça ?
09:33 - Nous deux.
09:35 - Je suis sûre d'une chose, c'est que je suis pas heureux sans toi.
09:37 - La légèreté est au cœur de "Les filles vont bien" d'Itza Soharana.
09:46 Cinq filles, durant l'été, se réunissent dans une maison à la campagne
09:49 pour répéter une pièce de théâtre.
09:51 A l'abri de la chaleur écrasante,
09:53 elles échangent leurs points de vue sur l'amitié, l'amour et la mort.
09:56 - Bonjour !
09:57 - Bonjour !
09:58 - Les filles vont bien ?
10:00 - Pas mal, j'ai failli me couper les têtes.
10:02 - Combien de temps je suis ici ?
10:05 - Trois.
10:06 - Ok, on va reprendre.
10:07 - L'idée c'est d'essayer le matin,
10:09 - C'est ici, c'est ici !
10:10 - Le temps libre pour la soirée.
10:12 - Et ils m'ont dit que le cinéma, il y a des choses qui fonctionnent.
10:15 - La film...
10:16 A l'origine de ce film, j'avais plusieurs désirs concomitants.
10:19 Mon désir le plus fort était de brosser le portrait de ces quatre personnes,
10:23 ces quatre femmes, ces quatre amis.
10:25 Je les connais intimement et je connais leur parcours de vie et de travail.
10:29 Disons que je ressens en elles une richesse et une humanité
10:32 dont je voulais faire la matière d'un film.
10:34 - Il y a des choses qui ne peuvent pas s'apporter, non ?
10:37 Comment s'interprète un amour si tu ne l'as pas vécu ?
10:40 - C'est comme...
10:41 Je ne sais pas, quand tu as un enfant, c'est comme si tu avais un pacte avec la vie.
10:44 Comme tu ne peux pas mourir.
10:45 - Quand tu entres dans un scénario, tu dois trouver ton endroit
10:48 pour que tu saches que tu peux toujours rentrer chez toi.
10:52 - Elles ont accepté mon invitation avec beaucoup de générosité.
10:56 Elles ont vraiment partagé ce qu'elles étaient,
10:59 sur le plan artistique mais aussi sur le plan humain.
11:02 Pour ce qui était pour moi, avant tout une expérience,
11:05 un film est ça et plus qu'autre chose.
11:07 En plus, il s'agit d'un premier film et elles ont complètement accepté de se livrer.
11:13 Aussi, j'ai jugé important qu'elles conservent leur prénom réel
11:16 pour justement puiser dans cette humanité que je ressentais en elles
11:19 et surtout pour différencier d'autres rôles qu'elles composent dans leur vie d'actrice.
11:23 - Avec Conan, Bertrand Mandicot nous propose une relecture au féminin
11:35 des aventures de Conan le barbare.
11:37 On suit le destin de cette héroïne, incarnée par six actrices différentes
11:41 depuis son enfance jusqu'à son accession au sommet de la cruauté.
11:45 - Mais qui voici ?
11:47 - Une définition possible de la barbarie, c'est la vieillesse qui tue la jeunesse.
11:52 - Vous ne connaissez pas Conan ?
11:54 - Alors il y a plusieurs façons de tuer sa propre jeunesse,
11:57 en allant contre ses principes, en rejetant ce qu'on a été, etc.
12:02 Donc j'ai poussé cette idée à son paroxysme et j'ai voulu faire comme ça
12:06 le portrait d'une femme à travers les époques, à travers le temps
12:13 et ça a été ça le premier moteur.
12:16 - Tu sais qui je suis ?
12:18 - Non.
12:19 - Je suis toi.
12:20 - Qui dit barbarie dit Conan.
12:22 Je suis parti à la source de ce qu'est Conan, c'est-à-dire Conan avec deux N.
12:26 C'est une figure mythologique qui appartient à la mythologie irlandaise
12:31 et c'était un personnage, un conquérant, qui était entouré de démons à tête de chien.
12:36 - Je suis toi dans dix ans, Conan.
12:39 - Je suis admirative qu'il essaie à chaque fois de se réinventer.
12:45 - J'aurais tout fait pour remonter le temps et prendre votre chemin.
12:49 - C'est toujours comme un combat avec lui-même d'être plus créatif, d'être éveillé.
12:53 Et c'est ça que j'admire et c'est ça qui me stimule aussi en tant que comédienne.
12:57 - Si l'amour est brutal avec vous, soyez brutal avec lui.
13:03 - Je décrirais Conan comme un objet en même temps...
13:07 à la frontière entre l'imaginaire et en même temps un réel très sombre.
13:15 - Perfect Days de Wim Wenders nous entraîne à Tokyo pour une réflexion émouvante et poétique
13:21 sur la recherche de la beauté dans le quotidien.
13:23 Un homme chargé de l'entretien des toilettes publiques s'épanouit dans une vie simple
13:27 et un quotidien très structuré.
13:29 Koji Yakusho a obtenu le prix d'interprétation masculine cette année à Cannes.
13:39 - C'était une invitation ouverte.
13:51 Si j'allais aimer les architectes et les toilettes,
13:57 on pourrait peut-être faire une petite série de cométrages sur les architectes et leurs toilettes
14:02 et cette conception de construire quelque chose de si petit.
14:06 - Vous n'êtes pas enceinte, vous n'êtes pas triste ?
14:11 - J'ai donc proposé une fiction qui contenait leurs toilettes.
14:18 Je me suis dit qu'ils vont certainement dire non et je retourne.
14:21 Comme ça j'ai quand même fait mon devoir.
14:24 À mon état de m'en occuper, ils étaient super contents.
14:28 - Maman et l'homme ne sont pas du tout similaires.
14:31 - Dans ce monde, il y a beaucoup de mondes.
14:35 Il y a des mondes qui sont liés mais qui ne sont pas liés.
14:39 - Au début, je sentais qu'on touchait à quelque chose d'assez spécial.
14:44 Parce que le film parlait d'un homme qui était content avec le peu qu'il avait,
14:50 qui avait vécu une autre vie avant, clairement,
14:53 une vie beaucoup plus privilégiée que nettoyer les toilettes,
14:58 mais qui était très content de vivre avec peu.
15:03 Et ça, je trouvais que c'était un sujet quand même important aujourd'hui.
15:07 - Nii-san, tu es vraiment en train de nettoyer les toilettes ?
15:13 - Et puis l'acteur a rempli ce rôle d'une manière si complète
15:17 qu'il était devenu l'objet d'un documentaire sur une personne de fiction.
15:23 Et ça, c'était quelque chose que je n'ai jamais fait dans ma vie.
15:28 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:31 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:34 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:37 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:40 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:43 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:46 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:49 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:52 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:55 - Un film qui est vraiment très bien réalisé.
15:58 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
16:01 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
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16:52 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
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16:58 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
17:01 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
17:04 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
17:07 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
17:10 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
17:13 - C'est un film qui est vraiment très bien réalisé.
17:16 - Le but pour ce film, c'était que les spectateurs puissent ressentir le même plaisir
17:20 - que j'ai eu en compagnie des classiques Disney avec lesquels j'ai grandi.
17:23 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
17:30 - Conségui-mich' entrar no mey-o que nin-youn' arti-ste afri-caro na-kel tempo t'in-ya consé-gui.
17:43 - Conségui-mich' entrar no mey-o que nin-youn' arti-ste afri-caro na-kel tempo t'in-ya consé-gui.
17:47 - Conségui-mich' entrar no mey-o que nin-youn' arti-ste afri-caro na-kel tempo t'in-ya consé-gui.
17:50 - Je voulais que tu me regardes, regarde papa,
17:58 - contre toutes les fois où vous m'aviez fait comprendre, mon père et toi,
18:01 - que je n'étais pas le fils que vous auriez voulu avoir.
18:03 - Eddie Belgold, c'était pas moi, c'était ce que j'ai jamais réussi à être.
18:06 - Pour moi, Edouard Louis, c'était vraiment le nom de la liberté, le nom de la réinvention.
18:09 - A chaque fois qu'on dit "je change", on donne la possibilité à d'autres personnes de dire "je veux changer".
18:14 - Vous êtes au courant ?
18:25 - Oh, c'est une histoire de photos, je trouve ça complètement idiot.
18:29 - Je suis celle que l'on épingle.
18:32 - Je suis la fille des bulles.
18:36 - Je suis la fille des bulles.
18:39 - Comment je m'évade ?
18:49 - Quand je fais des rêves, je m'évade.
18:52 - Pour moi, les films pornographiques, ça met absolument pas en valeur les femmes
19:02 - parce que ça devient des objets de consommation.
19:04 - S'il n'y avait pas le féminisme, il n'y aurait pas toute cette déconstruction de la masculinité toxique.
19:10 - Du coup, dans la tête des personnes qui ne connaissent pas la transidentité, un homme n'est pas devenu une femme.
19:14 - Un homme n'est pas devenu une femme.
19:16 - Quelqu'un veut se revenir, et ils le transforment en un malade.
19:24 - C'est bizarre.
19:27 - Nous sommes tous en lien, et nos noms sont sur la table.
19:30 - Mais pourquoi nous ?
19:32 - Plus ça dure, plus ça devient entrainé.
19:36 - Chaque arme qu'il utilise est directement en lien avec la table de la grâce.
19:39 - C'est ça, le film.
19:42 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
19:46 Voilà par ici les sorties, c'est fini. Rendez-vous la semaine prochaine.
19:48 Et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma !

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