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##LES_PERLES_DU_JOUR-2023-11-28##
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NewsTranscription
00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états, les perles du jour.
00:04 Ce que vous entendez n'est pas Jacques Brel, c'est Elon Musk, ou Elon Musk en français,
00:10 qui dit à Anne Hidalgo et à Karine Lacombe, ne me quittez pas, ne me quittez pas, ne me quittez pas,
00:18 car dans une tribu de monde, la maire de Paris a décidé de supprimer son compte Twitter.
00:25 Voilà, selon elle, le réseau social X, X Twitter, propriété d'Elon Musk,
00:31 est devenu un outil de déstabilisation de la démocratie, et elle n'y va pas de main morte dans sa tribune au monde, Anne Hidalgo.
00:41 Elle dit ceci, c'est quand même extraordinaire, parce que tout ce qui se passe,
00:45 voilà, c'est l'arme de destruction massive de nos démocraties, vous voyez,
00:51 ce n'est plus tel ou tel intégrisme, telle ou telle dictature,
00:55 ce n'est plus l'Iran, ce n'est plus la Russie, ce n'est plus la Chine, ce n'est plus...
01:00 Non, non, non, non, non, non, c'est X, c'est X, surtout depuis qu'Elon Musk en a pris effectivement le contrôle.
01:08 Voilà, ingérence étrangère, polémique, rumeurs, manipulation grossière, dit Claude Hippa public, propulsée par l'arc de rite, voilà.
01:17 Cette plateforme et son propriétaire agissent délibérément pour réserver les tensions et les conflits.
01:23 C'est tout à fait intéressant, c'est-à-dire qu'il y a aujourd'hui, la liberté est en danger, par qui ?
01:29 Eh bien, par X, effectivement, par X, évidemment, X et Elon Musk.
01:34 Avant, quand il y avait, effectivement, c'était surveillé par le FBI et la CIA, tout allait bien.
01:40 Voilà, je crois profondément à la démocratie, dit Anne Hidalgo,
01:45 je crois à la discussion, ne laissons pas les ingénieurs du chaos prendre nos destins en main,
01:50 ne laissons pas nos démocraties se déliter tous les jours sur nos écrans.
01:53 En fait, c'est pratiquement Hitler + Paul Plot + Mussolini, Elon Musk, voilà.
01:58 Voilà, il faut faire une grève du tweet, vous vous rappelez, les grèves du tweet qu'avaient essayé de lancer nos fake checkers, là c'est drôle.
02:07 Eh bien, là voilà, je m'en vais, je suis venu te dire que je m'en vais,
02:10 et qui lui emboîte le pas ? Eh bien, personne d'autre que le docteur Karine Lacombe.
02:16 Effectivement, elle dit comme Anne Hidalgo, je vais partir de X,
02:20 merci avec cette tribu de nous pousser à accélérer le mouvement,
02:23 pour rester fidèle à mes convictions, à mes engagements, etc., etc., eh bien je vais partir.
02:28 Et alors, elle ajoute, parce qu'elle a eu quelques contradicteurs, Karine Lacombe, pardon,
02:33 et elle dit "Ah, mais si des personnes comme moi partent, vous n'existerez plus, petit comte", elle parle à un tweetos,
02:41 "Karson, nous vous laiteri un fin grain de poussière dans l'anonymat des comptes inutiles, oui, éloignez-vous les gueux".
02:48 Voilà, oui, c'est intéressant, simplement, on parle de démocratie, mais quand on entendait,
02:55 sur BFM TV, RMC Avo, en 2020, le confinement est efficace, on l'a vu en mars-avril, aucun doute,
03:03 9 novembre 2020, quand on voit la même Karine Lacombe, qui disait "Oui, j'ai signé la tribu de moments que les enfants portent un masque,
03:11 à partir de 6 ans à l'école, oui, je l'ai signé", la même Karine Lacombe, toujours, le 23 décembre 2020,
03:20 c'est quasiment sûr que les vaccins qui vont être mis sur le marché seront efficaces sur ce nouveau Mario, c'est quasiment sûr,
03:28 et voilà, et puis attention, attention également les fêtes de Noël, la même Karine Lacombe, en décembre 2020,
03:34 il ne faut pas faire ces réunions de famille avec les grands-parents qui sont en situation de fragilité,
03:38 et vous vous rappelez de cette vidéo que l'on nous a vu partout, nous avons vu cette petite fille qui vient embrasser sa grand-mère,
03:44 et puis la mirage suivante, la grand-mère est attubée, voilà, ce sont les petits qui empoisonnent les grands-parents,
03:50 on avait vu ça partout, et ce sont ces gens-là qui nous donnent des leçons de liberté, ce sont ces personnes-là, Anne Hidalgo,
03:58 vous parlez de transparence, vous parlez de démocratie, mais oui, bravo Anne Hidalgo, et puis vous dites "je quitte X, 7 égouts mondial",
04:05 oui, mais alors, Anne Hidalgo, les 10 milliards de déficit de la ville de Paris que nous allons payer, nous les parisiens,
04:13 vous en parlez ? Où c'est passé ? Où sont passés les 10 milliards ? C'est intéressant de le savoir, c'est extraordinaire
04:22 que ces gens-là, qu'ils devraient balayer devant leurs portes, ah non, ils s'en prennent à qui ?
04:27 Eh bien, ils s'en prennent, évidemment, quand il y a la fièvre, on s'en prend à qui ? Au thermomètre, bien sûr,
04:32 car on aime ou on n'aime pas X au Twitter, où il y a le meilleur et le pire, bien sûr,
04:37 mais enfin, ça représente quoi ? C'est le miroir qui réfléchit des bonnes choses du monde ou des mauvaises choses du monde,
04:47 des imbéciles et des intelligents, mais ça s'appelle la liberté d'expression, et il faut des lieux d'expression de la liberté,
04:54 évidemment, ce que vous voudriez, c'est qu'on n'entende que vous, qu'on n'entende que le corps du bien,
04:59 et puis le reste, faites ce que je dis, faites pas ce que je fais, allons, allons, écoutez, revenez sur X,
05:05 on aimerait vous entendre, parce que vous allez nous manquer, Karine Lacombe, vous allez nous manquer, Ridalgo, vraiment !
05:11 Et puis, si vous ne revenez pas, eh bien, nous, en tout cas, il y a un certain nombre de millions qui allons rester sur X et sur Twitter,
05:19 surtout depuis qu'Elon Musk en a pris la propriété.
05:24 Terre de France.fr, le premier site d'articles français et patriotes présente...
05:29 [Musique]
05:44 Sud Radio Bercov, dans tous ses états...
05:47 - Et oui, on reparlera encore longtemps de ce qui s'est passé, il y a une semaine, dans le petit village de 500 habitants de Crépole,
05:56 et puis ce qui s'est passé, il y a deux ou trois jours, à Romain Surizère, action, réaction,
06:03 les conséquences pour la justice et le reste, est-ce que deux France s'affrontent, ou même trois ? On en parle tout de suite.
06:12 Sud Radio Bercov, dans tous ses états...
06:14 - Les faux-culs, les faux-culs, les faux-culs, c'est vrai, hein, qu'est-ce qu'il y en a, les faux-culs ? Il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup, hein.
06:20 C'est les escrocs qui chantent les faux-culs, mais c'est pas mal, c'est un échange de bons procédés.
06:26 - Alors, hors dons que le porte-parole du gouvernement était à Crépole pour parler aux habitants suite à ce qui s'était passé il y a une semaine,
06:36 je rappelle un mort, des blessés, 17 blessés, avec quelques personnes qui étaient venues comme ça, avec des longs couteaux, la nuit, des longs couteaux,
06:46 et oui, pour régler leur compte à un certain nombre de jeunes qui festoyaient tranquillement dans la salle des fêtes,
06:53 on sait ce qui s'est passé, on va pas revenir là-dessus, mais quand même, mais quand même, mais quand même...
06:58 Donc, Olivier Véran arrive, et avant qu'il ne parle, et pendant qu'il est arrivé, eh ben il a été reçu par la population, hein, à Crépole.
07:06 C'était pas très enthousiaste, écoutez.
07:09 - Monsieur Véran, passez au chaleur !
07:12 - Venez là, vous !
07:13 - Passez au chaleur ! Voici la bière du chaleur !
07:15 - Vous avez une bombe !
07:16 - Vous allez à la veneur, Romain !
07:18 - Vous êtes des fichiers ! Vous êtes des fichiers ! Vous avez une bombe !
07:20 - Reste !
07:21 - Il faut venir !
07:21 - Vous avez une bombe !
07:23 - C'est pas possible !
07:25 - Voilà, c'est ce qu'on a entendu. Vous avez pas honte ? Vous avez pas honte ? Qu'est-ce que vous voulez faire là ?
07:30 Alors voilà, Olivier Véran a expliqué que, oui, c'était pas possible, c'est vrai, on acceptait pas, c'est pas une rique,
07:37 c'est pas un fait divers, c'est un drame, c'est un drame.
07:40 Comme à chaque fois, on vient, on parle, on dit, voilà, je condamne fermement ce qui s'est passé,
07:46 et ça ne se renouvellera pas, et ça se renouvelle, et ça se renouvelle, voilà.
07:53 Mais, juste avant qu'il ne parle, et quelqu'un qui justement voulait le recevoir, mais évidemment il ne l'a pas vu,
08:01 mais il y avait les journalistes qui étaient là, il y avait un habitant de Crépole.
08:04 Un habitant de Crépole qui a parlé la voix d'une certaine France, ou d'une France certaine.
08:11 En tout cas, écoutez ce qu'il a dit, c'est quelque chose qu'on entend beaucoup, qu'on entend, nous, à Sud Radio, chez nos auditeurs, beaucoup.
08:21 Et il a résumé cela, écoutez.
08:23 "Honte au ministre, qui défend depuis toujours tous ces gouvernements, qui défendent la France des cités contre la France de Thomas,
08:32 la France rurale, la France des gens qui élèvent leurs gosses comme il faut, qui les élèvent pas dans la haine,
08:37 la haine de la France et des Français, excusez-moi."
08:41 "On sent votre colère."
08:44 "Oui, parce que ça ne va pas.
08:46 Moi j'ai des enfants, des petits-enfants, j'ai d'ailleurs ma fille qui habite là, Romain, à côté.
08:50 Je ne veux pas qu'ils finissent comme ça.
08:52 Mon gendre fait du rugby, c'est pareil.
08:55 Je connais ce monde-là, nous on fait partie de ce territoire, donc on n'en peut plus.
08:59 Nous on comprend tout depuis longtemps."
09:01 "Vous trouvez que sa visite s'est déplacée ?"
09:03 "Non, mais sa visite, c'est juste le moment de le rencontrer et de lui faire sentir un peu,
09:07 parce qu'ils sont trop dégonflés pour venir nous voir.
09:13 J'aurais voulu dire que tout ça, c'est écrit depuis longtemps.
09:16 On sait ce qui va arriver.
09:18 L'année prochaine, ce ne sera pas avec des couteaux qui viendront, ce sera l'arme automatique.
09:22 Ce ne sera pas comme ça.
09:24 Est-ce que vous comprenez ?
09:25 Même vous aussi, tout le monde peut être visé.
09:29 Des journalistes, on a eu quoi ?
09:31 Les juifs depuis longtemps, des journalistes, des curés, des policiers qui ont été assassinés.
09:37 Et c'est toujours par cette haine qui existe.
09:41 Parce qu'il y a des gens qui, dans notre pays, qui sont arrivés depuis...
09:45 En fait, la guerre d'Algérie n'est pas finie.
09:47 Elle est finie pour nous, Français, mais pas pour les Algériens,
09:50 qui ont toujours inculqué cette haine de la France et des Français depuis 1962.
09:58 Vous comprenez ça ?
10:00 Je ne pense pas que ce soit une démocratie, une guerre entre jeunes.
10:06 Mais non, il n'y a aucun motif.
10:08 Ils vont inventer n'importe quoi, même s'il y a des motifs.
10:10 Il n'y a rien, de toute façon.
10:11 Ce ne sera rien.
10:12 Le verdict du procès, on le sait déjà.
10:14 On le connaît déjà.
10:16 Qu'est-ce que ça va faire ?
10:17 Il aura quoi, l'assassin de Thomas ?
10:19 Vous le savez comme moi.
10:21 Il aura 8 ans, et puis le procès aura lieu dans 3 ans.
10:25 Ce sera déjà apaisé, on aura oublié Thomas, comme d'habitude.
10:28 Et puis c'est tout.
10:29 Il aura 8 ans, et puis il sortira au bout de 4 ans.
10:31 On peut déjà donner l'issue du procès, avant de le faire.
10:35 Ce n'est même pas la peine.
10:37 Voilà.
10:39 Quel taux de résignation ou de révolte,
10:41 et de révolte-résignation,
10:43 en sont intérêvés un certain nombre de gens ?
10:46 Je crois qu'ils sont très nombreux.
10:48 Crédoc, Dans la Drume, Crépole, et puis ailleurs.
10:53 Et c'est cette justice à deux vitesses, cette France à deux vitesses, disent-ils.
10:59 Alors, c'est quoi la France ?
11:01 C'est le quartier de la Monnaie à Romand-sur-Isère ?
11:03 C'est le petit village de Crépole ?
11:08 C'est quoi ?
11:10 C'est deux trains qui foncent à toute allure sur les mêmes voies ?
11:14 Et le choc se fait quand ?
11:17 Je ne sais pas, on ne va pas épiloguer, mais enfin, voilà.
11:20 Alors on sait simplement, par rapport à ce que disait sur la justice,
11:23 il y a eu, comme vous le savez, des manifestations organisées dans les rues de Romand-sur-Isère,
11:28 par des groupuscules que certains appellent patriotes et d'autres appellent ultra-droites.
11:33 On ne se prononcera pas là-dessus.
11:35 Six personnes ont été condamnées à des peines de six à dix mois de prison ferme,
11:40 en immédiate, comparution immédiate au tribunal de Valence,
11:44 des hommes âgés de 18 à 25 ans, six à dix mois de prison ferme,
11:48 pour avoir participé à ce rassemblement à Romand-sur-Isère lié à la mort de Thomas.
11:54 Très bien, mais elle aura même temps, même temps.
11:57 C'est vrai, on ne va pas dire le nombre de condamnations légères,
12:03 plus que légères, ultra-légères, à des gens qui ont tué, qui ont brûlé,
12:08 qui ont violé, qui ont assassiné.
12:10 Je vais juste, juste, juste parler de...
12:14 En juin dernier, la cour d'appel d'Amia a condamné trois mineurs et un jeune majeur
12:19 à des peines allant de six mois à deux ans de prison avec sursis,
12:24 je dis bien avec sursis,
12:26 pour des agressions sexuelles et des violences commises en 2017 à Creil,
12:30 à l'encontre de Chahina.
12:32 Je rappelle que Chahina avait été violée en réunion et a été ensuite brûlée vive.
12:37 Brûlée vive, Chahina, qui avait effectivement 17 ans.
12:42 Voilà, eh bien, six mois à deux ans de prison avec sursis.
12:48 Alors, il y a un problème, vraiment.
12:50 Tant qu'on n'aura pas réglé cette espèce de...
12:53 de poids de mesure et de géométrie plus que variable,
12:57 je ne sais pas ce que ça va donner, mais très sincèrement,
13:01 le face-à-face et le côte-à-côte de Gérard Collomb, qu'on cite à saciété,
13:05 ce n'est même plus un face-à-face,
13:07 c'est un choc-à-choc, espérons qu'on empêchera cela.
13:11 Mais pour cela, encore faut-il des vertèbres et de la lucidité.