“Crépol: une France qui bascule?”: l'interview de Jordan Bardella en intégralité

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Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, était l'invité de BFMTV dans le cadre de l'émission spéciale “Crépol: une France qui bascule?” consacrée à la mort de Thomas, 16 ans, dans un bal de village, et à ses suites.
Transcript
00:00 Bonsoir Jordan Bardella, je vous demande du Rassemblement National, merci d'avoir accepté notre invitation.
00:06 Première question, est-ce que vous êtes d'accord avec le diagnostic d'Olivier Véran sur le drame de Crépole,
00:12 lorsqu'il dit "ce n'est pas une simple rixe en marge d'un bal de village, mais un drame qui nous fait courir le risque d'un basculement de notre société" ?
00:18 Vous faites le même constat ?
00:20 C'est bien, tous ces gens-là se réveillent après 30 ans, parce que je crois que M. Véran était au Parti Socialiste avant,
00:27 de laxisme judiciaire, d'impunité pénale, de politique migratoire complètement dérégulée,
00:35 de diabolisation de tous ceux qui, comme mouvement politique, ont alerté le pays et le peuple français,
00:41 de cette perte d'autorité dans la société, de cette archipélisation du pays.
00:46 C'est bien que tous ces gens se réveillent, mais vous savez, MacArthur résumait les batailles perdues en deux mots trop tard.
00:53 Et je crains que nous soyons aujourd'hui sur une ligne de crête, alors que la France vit un état d'urgence sécuritaire sans précédent,
01:00 et qu'il faille aujourd'hui avoir à la fois un sursaut sécuritaire pénal et un tournant migratoire,
01:06 sans quoi le pays court à un risque de déstabilisation importante.
01:09 On va reparler du laxisme, de l'impunité, de laxisme que vous pointez pour la justice, de l'impunité pénale, etc.
01:15 Mais simplement, on a intitulé cette émission Crépole "Une France qui bascule" avec un point d'interrogation.
01:20 Pour vous, la bascule, elle a eu lieu ? Vous dites "on est sur une ligne de crête", la bascule, elle n'a pas eu lieu encore ?
01:24 La bascule est à portée de main.
01:27 La bascule vers quoi ?
01:29 Ça fait maintenant plusieurs années dans notre société que certaines personnes alertent.
01:35 Lorsqu'en 2002, ce bouquin est sorti "Les territoires perdus de la République", il a été mis un petit peu sur le côté.
01:43 Lorsque le rapport Robin en 2004, qui s'inquiétait du recul de la laïcité, de la fragmentation des valeurs de la République à l'école,
01:51 on a mis un petit peu ça sous le tapis.
01:54 En 2016, lorsque Patrick Calvard, l'ancien patron des services de renseignement français, était devant une commission d'enquête parlementaire,
02:01 il a dit "je vois, moi, patron des services secrets français, un pays au bord de la guerre civile".
02:06 Monsieur Hollande, dans son bouquin "Adavet et l'homme", juste avant de quitter le pouvoir,
02:10 a dit "les rapports qui me sont remontés pendant cinq ans sur la situation des banlieues m'ont fait penser à des situations de guerre".
02:16 Et puis on a eu, comme une ironie du destin, Monsieur Collomb, qui nous a quittés il y a quelques jours,
02:22 et qui lorsqu'il a quitté le ministère de l'Intérieur, a eu ces mots "je crains que demain nous ne vivions plus côte à côte, mais face à face".
02:30 Ça fait plusieurs années que nous alertons sur ce sujet.
02:32 Moi, je veux dire à nos concitoyens qu'il est encore possible de rétablir l'autorité de l'État, de rétablir la paix civile dans notre société,
02:41 mais que cette volonté politique, elle, incombe un changement total de la politique à la fois sécuritaire, policière, judiciaire, migratoire,
02:52 qui est conduite dans notre société. Donc on peut encore changer les choses.
02:55 Je vais répondre à votre question. Je pense qu'on ne changera pas les choses avec les gens qui nous ont conduits aujourd'hui dans la situation dans laquelle nous sommes.
03:02 Monsieur Véran, Monsieur Dupond-Moretti, Madame Borne, Messieurs Macron et Darmanin portent une responsabilité très lourde.
03:08 Et on entendra Olivier Véran vous interpeller, on entendra Éric Dupond-Moretti aussi ce soir.
03:11 Mais ils portent eux-mêmes une responsabilité dans la situation de notre pays.
03:16 Nous vivons aujourd'hui dans une société où il y a une agression gratuite toutes les 44 secondes, 120 attaques au couteau par jour,
03:23 un refus d'obtempérer toutes les 20 minutes. Et tant qu'on ne mettra pas en place ce sursaut sécuritaire politique et migratoire,
03:31 alors nous courrons le risque d'une bascule de notre pays.
03:34 Évidemment, on a compris que pour vous, l'immigration, c'était un problème. Vous faites le lien direct entre immigration et délinquance.
03:40 Sur le sujet de Crépol, vous avez, j'imagine, vu que les neuf mises en examen sont français.
03:47 Oui, c'est bien le problème, madame. Français issus de l'immigration.
03:53 Et alors, qu'est-ce qu'on fait ? Ils sont français ?
03:57 Oui, s'ils sont français, ils se... Vous me posez beaucoup de questions et je pense qu'on va avoir des débats intéressants ce soir.
04:05 Vous savez, il y a beaucoup de gens issus de l'immigration, dont la génération à laquelle j'appartiens,
04:08 qui, quand ils sont arrivés en France, ont fait un effort exigeant, qui était d'oublier une partie de leur culture d'origine
04:13 pour se fondre dans la communauté nationale. Ça s'appelle l'assimilation républicaine.
04:16 L'assimilation républicaine, ce n'est pas "venez comme vous êtes", c'est "devenez ce que nous sommes".
04:20 Or, aujourd'hui, nous avons, je le dis et je l'assume sur le sol de la République française,
04:23 des gens qui sont incontestablement de France, mais, pour citer Max Gallo, dont l'âme est ailleurs.
04:29 Elle est où, cette âme ?
04:31 Elle est dans leur pays d'origine, ou elle n'est en tout cas pas en France.
04:34 Mais leur pays d'origine, vous les renvoyez à deux ou trois générations en arrière, Jean-Bernadette.
04:38 Attendez, on va y venir. Qui se comportent en France comme les ressortissants d'un État étranger.
04:44 Lorsque j'écoute les témoignages, je lis les témoignages dramatiques des amis de Thomas qui étaient sur place,
04:51 ils disent quoi ? Ils disent "ces jeunes de Cité sont venus pour planter des Blancs".
04:56 Ils ne sont pas venus pour faire la fête. J'ai vu qu'on a tenté d'euphémiser un peu la situation,
05:02 de dire "en fait, c'est une rixe", de dire "en fait, ils sont venus avec des couteaux,
05:06 comme si on allait dans une soirée étudiante avec des couteaux pour faire la fête".
05:09 Non, ils sont venus avec la volonté d'en découdre. Je pense que cette génération-là, c'est une génération qui est perdue.
05:15 Et la seule chose qui nous permettra de garder en main ces gens qui sont bien souvent connus des services de police,
05:20 c'est la force des lois, et je trouve que les lois sont beaucoup trop laxistes.
05:23 Il faut s'arrêter là-dessus.
05:24 J'ai pas répondu à la première question.
05:25 Il faut s'arrêter là-dessus, pour ne pas perdre le fil.
05:29 Il faut s'arrêter là-dessus. Vous dites "leur âme est ailleurs". Vous les renvoyez, effectivement.
05:34 Non, je ne les renvoie pas.
05:35 Vous les renvoyez à leurs origines, deux, trois générations en arrière.
05:41 Si vous arrivez au pouvoir, un jour, Jordan Bardella, vous, d'autres rassemblements nationaux,
05:49 ce sont ces Français-là aussi dont vous devrez vous occuper. Vous ne les renverrez nulle part.
05:55 Vous arrêtez aujourd'hui l'immigration en France.
05:58 Oui, pour me concentrer sur les problèmes du pays.
06:01 Il peut y avoir crépoles. Ça ne change pas la donne.
06:04 Mais je n'ai jamais dit, et je ne dirai jamais aux Français, parce que je ne mens pas aux gens,
06:08 que le risque zéro n'existe pas.
06:10 Et merci de me permettre de rappeler que nous voulons stopper l'immigration.
06:15 Parce que si on ne stoppe pas aujourd'hui l'immigration,
06:18 qui fait que nous accueillons chaque année dans notre pays l'équivalent de la ville de Toulouse de manière légale,
06:22 et d'après M. Patrick Stéphanini, qui est quand même spécialiste de la question de l'immigration,
06:26 900 000 clandestins sur le sol de la République française.
06:28 Mais les jeunes dont nous parlons ce soir, vous ne les renverrez nulle part.
06:31 J'y viens.
06:32 Ils sont Français. Ils resteront en France.
06:33 D'abord, on arrête d'aggraver le problème.
06:35 Parce qu'en faisant rentrer des centaines de milliers de personnes chaque année dans notre pays,
06:39 on déstabilise la société française,
06:41 et on entraîne les conditions d'un chaos partout sur le sol de la République française,
06:45 non plus seulement dans les banlieues, mais désormais du Trocadéro aux Crépoles.
06:49 Il n'y a plus un seul territoire français qui est épargné par l'insécurité.
06:53 Je prends les déclarations du préfet Moutou des Alpes-Maritimes.
06:55 Il dit quoi ?
06:56 La quasi-totalité de mes chiffres de l'insécurité dans mon département sont liés à la délinquance étrangère.
07:01 Alors, je vous mets à l'aise. Je vous mets à l'aise.
07:04 Vous grossissez le trait.
07:06 Si, j'ai les chiffres de Hugues Moutou, je l'ai entendu hier sans doute comme vous sur BFM TV.
07:10 Il parle du quartier des Moulins à Nice, et il dit, ce sont ses chiffres, 70 % de la délinquance.
07:16 Monsieur Switek, franchement.
07:17 70 % de la délinquance de rue dans ce quartier-là, c'est de la délinquance étrangère.
07:20 Vous savez quoi, Monsieur Switek ?
07:22 Je ne vais pas me battre respectueusement avec vous
07:25 pour essayer de vous démontrer par A+B et par tous les chiffres
07:28 qu'il y a un lien entre l'immigration et l'insécurité.
07:30 Vous contestez cette affirmation par des chiffres, c'est votre droit.
07:34 Moi, je maintiens mon affirmation et je propose aux gens qui nous regardent
07:38 de se faire un avis.
07:40 Et je peux vous dire qu'il n'y a pas un Français qui nous regarde là, à 7h sur BFM TV
07:44 qui considère qu'il n'y a pas de lien entre l'immigration et l'insécurité.
07:47 On n'en est plus là.
07:48 Alors pourquoi vous vous opposez au projet de loi immigration
07:51 qui est en ce moment à l'Assemblée nationale
07:53 et qui permettrait, selon Gérald Darmanin, d'expulser l'intégralité des délinquants étrangers ?
07:57 Qui permettrait, selon Gérald Darmanin,
07:59 ce texte de loi n'est pas un projet de loi contre l'immigration,
08:03 il est un projet de loi pour l'immigration.
08:05 Quand on a un article 3 qui facilite la régularisation des clandestins,
08:11 c'est une prime à l'illégalité et cet article de loi,
08:14 et ce texte de loi, je le dis aux Français,
08:16 va constituer l'un des plus grands appels d'air migratoire de toute la Ve République
08:20 puisqu'il va permettre à des gens qui viennent sur le sol français,
08:22 qui violent la loi,
08:24 et qui disent que c'était une petite loi
08:26 et qu'éventuellement, ils pouvaient même s'abstenir.
08:29 À la condition qu'il n'y ait pas l'article 3, monsieur Jeudy.
08:33 Alors, sur le sursaut,
08:35 ce que vous appelez au sursaut sécuritaire, pénal et migratoire,
08:40 là, pour être précis, parce que là, vous dites, vous appelez au sursaut.
08:43 Qu'est-ce que vous mettez dans votre sursaut de concret comme mesure sécuritaire et pénale ?
08:48 D'abord, il faut un tournant.
08:50 Je laisse de côté l'immigration parce qu'après, vous allez me dire, c'est pas...
08:53 Je mets de côté l'immigration quelques instants.
08:55 Alors, soyez précis sur le tournant sécuritaire et pénal.
08:57 Considérant que nous arrêtons, nous arrivons au pouvoir et que par un référendum, nous maîtrisons l'immigration.
09:00 Il faut un sursaut en matière pénale.
09:03 Il n'y a pas un seul de ces jeunes
09:05 qui se livrent à de telles rasias,
09:08 à de telles violences parfois inhumaines,
09:11 qui craignent la justice.
09:13 La justice française, aujourd'hui, ne fait plus peur.
09:15 Et les décisions de justice sont bien trop souvent
09:18 aux yeux des victimes, du côté des agresseurs,
09:21 plutôt que de naître aux yeux, du côté des victimes.
09:24 Donc, un, il faut un sursaut en matière pénale.
09:26 Il faut renforcer les sanctions contre les mineurs.
09:28 Il faut mettre fin aux remises automatiques de peine.
09:31 - Ça a déjà été le cas. - Non, non, non.
09:34 On peut rentrer dans le détail. Ça n'a pas été fait.
09:36 - Il a supprimé la suppression, la réduction automatique de données.
09:40 - Et voilà. Donc, la suppression des remises automatiques de peine,
09:43 en soi, n'a pas été abrogée.
09:45 Deuxièmement, il faut rétablir des peines planchées pour casser la récidive.
09:48 Il existe dans le droit français des peines maximales.
09:50 Je pense qu'il doit exister des peines planchées et des peines minimales
09:53 pour casser la récidive.
09:54 Troisièmement, il faut nous remettre au niveau européen
09:56 en termes de places de prison.
09:58 - 18 000 nouvelles places de prison annoncées par Eric Dupond-Morizi.
10:01 - Annoncées quand ?
10:03 - Annoncées là. C'est un texte qui a été voté en octobre par le Parlement.
10:07 - D'accord. Merci. On est en quelle année ?
10:10 - 2023. - D'accord. Ils sont au pouvoir depuis 2017.
10:13 Depuis 2017, on nous promet ces places de prison qui ne sont pas arrivées.
10:17 Quatrièmement, il faut... - Il y en a une partie d'arrivée.
10:19 - Quatrièmement, il faut... - Pas la totalité, mais une partie d'arrivée.
10:21 - Il faut que les prisons soient rétablies.
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13:35 - Il faut que les prisons soient rétablies.
13:37 - La justice, combien de temps a passé ?
13:39 - Trois ans ? Quatre ans ?
13:41 - Il faut que j'attende quatre ans avant de m'exprimer sur le meurtre d'un gamin de 16 ans ?
13:43 - Mais dans ce cas, tout le monde dit n'importe quoi.
13:45 - Il faut que je...
13:47 - Si il y a une enquête qui est en cours, quand on n'a pas les motivations,
13:49 - Vous savez quoi ? Vous irez dire ça aux amis de Thomas,
13:51 - Qui, eux, ont dit, lorsqu'ils sont venus,
13:53 - Ils sont venus pour planter des blancs.
13:55 - Je vous l'accorde, monsieur Switek, le caractère raciste,
13:57 - Aujourd'hui, en l'état actuel des choses, n'a pas été reconnu.
13:59 - Je trouve ça étrange, compte tenu des témoignages.
14:01 - Mais je ne me mets pas à la place de la justice, et on verra ce que dira la justice.
14:03 - Mais je connais la réalité de mon pays.
14:05 - Parce que j'ai 28 ans, et je sais ce que vivent les jeunes aujourd'hui en France.
14:07 - Et je sais qu'aujourd'hui, il y a beaucoup de gens qui nous regardent,
14:09 - Beaucoup de jeunes, beaucoup de parents,
14:11 - Beaucoup de familles qui nous regardent,
14:13 - Et qui sont très inquiètes de cette insécurité
14:15 - Qui se multiplie partout sur notre sol,
14:17 - Et qui fait qu'aujourd'hui, en France,
14:19 - Parce que vous avez le malheur d'être là,
14:21 - Au mauvais endroit, au mauvais moment,
14:23 - Parce que quand vous êtes une femme,
14:25 - Vous avez le malheur, aux yeux de certains,
14:27 - D'avoir une mini-jupe, ou une jupe,
14:29 - À 23h sur le RER, en Seine-Saint-Denis,
14:31 - Et que ça ne plaît pas à certaines personnes,
14:33 - Et que vous êtes contrainte de changer de trottoir,
14:35 - De modifier votre tenue, ou de modifier vos déplacements.
14:37 - Ça, c'est la réalité, c'est l'angoisse quotidienne,
14:39 - La terreur quotidienne, avec laquelle vivent des millions de Français.
14:41 - Et non plus seulement dans les grandes villes,
14:43 - Mais aussi dans les campagnes.
14:45 - Moi, je pense que le job premier d'un responsable politique français,
14:47 - C'est de protéger le peuple français.
14:49 - C'est de protéger les Français de cette insécurité,
14:51 - Qui trouve sa source, je l'ai dit, dans une politique d'immigratoire complètement folle,
14:53 - Et dans une politique pénale, qui est beaucoup trop laxiste.
14:55 - En l'occurrence, et on y revient,
14:57 - En l'occurrence, ils sont français.
14:59 - Donc, Crépol, vous n'auriez pas pu, même vous, au pouvoir,
15:01 - Vous n'auriez pas pu l'éviter.
15:03 - Mais, excusez-moi, quel rapport ?
15:05 - Eh bien, le rapport, il est simple.
15:07 - Ils sont français, donc la politique migratoire,
15:09 - Si vous la changez, elle ne changera rien.
15:11 - Non mais, oui, enfin, on évite peut-être d'aggraver le problème.
15:13 - Je veux dire, on est en Ile-de-France.
15:15 - Dans les transports en commun d'Ile-de-France.
15:17 - Le ministère de l'Intérieur nous dit quoi ?
15:19 - 93%, c'est pas les chiffres du RN,
15:21 - C'est les chiffres du ministère de l'Intérieur.
15:23 - 93% des vols qui sont commis dans les transports en commun d'Ile-de-France.
15:25 - 63% des agressions sexuelles sont le fait d'étrangers.
15:27 - Donc, les étrangers qui viennent sur le sol français pour commettre des crimes et des délits,
15:29 - Je les renvoie chez eux.
15:31 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:33 - Là, ce que l'on vous dit justement, c'est que vous mélangez tout.
15:35 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:37 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:39 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:41 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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15:47 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:49 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:51 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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15:55 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:57 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
15:59 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:01 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:03 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:05 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:07 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:09 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:11 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:13 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:15 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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16:21 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:23 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
16:25 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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21:25 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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21:29 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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21:37 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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22:25 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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22:29 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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23:15 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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23:19 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:21 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:23 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:25 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:27 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:29 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:31 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:33 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:35 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:37 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
23:39 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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23:45 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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23:59 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:01 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:03 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:05 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:07 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:09 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:11 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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24:15 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:17 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:19 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:21 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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24:25 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:27 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:29 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:31 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:33 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:35 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:37 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:39 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:41 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:43 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:45 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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24:51 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:53 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:55 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:57 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
24:59 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:01 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:03 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:05 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:07 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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25:11 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:13 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:15 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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25:19 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:21 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
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25:25 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:27 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:29 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:31 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:33 - Quand, aux ressortissants, quand aux citoyens,
25:35 - Après, d'ailleurs au passage, la plainte de Marine Le Pen contre Eric Dupond-Moretti, elle est déposée ?
25:40 - Elle est en train d'être préparée, elle sera déposée,
25:42 - Je n'ai pas échangé avec Marine avant l'émission,
25:44 - Mais, en tout cas, elle sera déposée,
25:46 - Parce que, moi, j'en ai assez,
25:48 - Que, pas mon mouvement politique,
25:51 - Mais, en fait, le représentant de 42% des gens qui ont voté pour Marine Le Pen lors de l'élection présidentielle,
25:56 - Se fasse, en permanence, insulter, mépriser, cracher au visage,
26:01 - On rappelle ce qui s'est passé hier, peut-être ?
26:03 - Madame Borne, M. Dupond-Moretti, donc maintenant, ça suffit.
26:06 - Eric Dupond-Moretti ?
26:07 - Je ne veux pas la judiciarisation du débat politique, mais, en fait,
26:09 - Quand on se fait insulter, à un moment donné, stop,
26:11 - Parce que, quand ils m'insultent, et quand ils insultent Marine Le Pen, j'arrive,
26:15 - C'est nos électeurs qu'ils insultent, et ce sont des Français, de toutes conditions,
26:19 - De toutes origines, qui viennent de tous les horizons politiques,
26:22 - Qui ont voté pour nous, qui en ont marre de cette insécurité,
26:24 - Et qui estiment, légitimement, je le crois, qu'il faut, aujourd'hui, un retour de l'autorité dans notre société,
26:30 - Et, croyez-moi, lorsqu'il s'agira de rétablir l'autorité, notre main ne tremblera pas.
26:33 - Donc, vous allez porter plainte contre Eric Dupond-Moretti.
26:35 - Je rappelle le contexte, il a dénoncé les propos incendiaires du Rassemblement National,
26:40 - Il vous a dit "faites d'abord le ménage chez vous, chassez de vos rangs les gudards, les identitaires, les nazillons, les racistes,
26:46 - Les antisémites qui sont planqués dans vos officines économiques."
26:50 - Qu'est-ce que le GUD incarne pour le Rassemblement National, à l'heure actuelle ?
26:54 - Mais pourquoi vous ne demandez pas, monsieur...
26:56 - Ancien syndicat violent d'extrême droite.
26:58 - Dupond-Moretti... Vous savez, moi je suis candidat...
27:00 - Non, je vous demande à vous !
27:02 - Non, mais je ne vous connais pas, je n'étais pas né pendant le GUD, donc...
27:05 - Mais il faut demander à monsieur Dupond-Moretti, qui a l'air de s'y connaître,
27:08 - Puisque vous savez que j'étais candidat aux élections européennes il y a 5 ans,
27:12 - Et que j'avais en face de moi la candidate de monsieur Macron, Madame Loiseau,
27:17 - Qui avait été, elle, membre du GUD lorsqu'elle était étudiante.
27:20 - Donc, peut-être, faut-il demander à monsieur Dupond-Moretti.
27:23 - Il n'y a pas de membres du GUD qui sont aujourd'hui adhérents du Rassemblement National.
27:26 - Il y en a eu, et il y en a peut-être encore aujourd'hui, dans l'atmosphère du Rassemblement National.
27:30 - Mais attendez, le GUD...
27:32 - Quand on dit les GUDards, les gens se disent "mais qu'est-ce que c'est que le GUD ?"
27:35 - Le GUD, en gros, on parle d'un gros buscule d'extrême droite,
27:39 - Il y a 30 ans...
27:42 - Oui, alors...
27:43 - Voilà, bon, je n'étais pas né en gros, donc il y a 30 ans.
27:45 - Et en fait, ces gens qui ont été...
27:46 - Dont les membres ont porté Marine Le Pen lors de la campagne en 2017,
27:50 - Jusqu'à la présidence du Front National.
27:52 - D'une personne, en l'occurrence.
27:54 - Il y avait beaucoup de gens qui ont eu des engagements radicaux quand ils étaient jeunes.
27:56 - Deux anciens membres du GUD.
27:57 - Dans tous les partis politiques, madame.
27:59 - Il y a des gens qui ont eu des engagements d'activistes aux extrêmes quand ils étaient plus jeunes.
28:06 - Madame Loiseau, qui était la ministre de M. Macron, qui était candidate aux européennes.
28:10 - M. Longuet, me semble-t-il.
28:13 - M. Longuet, qui était ministre de Nicolas Sarkozy, me semble-t-il.
28:16 - Donc, je ne crois pas que ce soit les reliques du GUD,
28:19 - Qui aujourd'hui agressent les gens dans l'espace public,
28:22 - Qui sont responsables d'une agression gratuite toutes les 45 secondes.
28:25 - Moi, je vais vous dire, je vous mets à l'aise, ultra droite, ultra gauche, je condamne.
28:28 - Et je pense qu'il faut dissoudre ces groupuscules, qu'ils soient d'ultra droite ou d'ultra gauche.
28:32 - Mais je ne me sens pas concerné.
28:34 - Qu'on précise les choses.
28:36 - Il y a deux noms qui reviennent systématiquement.
28:38 - Oui.
28:39 - Axel Lusto et Frédéric Chatillon.
28:40 - Deux personnes qui ont une proximité avec ceux qui ont défilé encore le week-end dernier.
28:45 - On sait qu'Axel Lusto et Frédéric Chatillon, leurs entreprises,
28:49 - Ils ont reçu, notamment encore, de la délégation du RN au Parlement européen l'année dernière,
28:53 - Plus de 600 000 euros de contrats.
28:55 - Monsieur Switek, je vous en prie.
28:57 - Et ces gens-là, je finis.
28:58 - Et notamment Axel Lusto a défilé au mois de mai,
29:02 - Lors de manifestations de défilés qui ressemblaient furieusement à ce qu'on a vu le week-end dernier.
29:06 - A cette époque-là, Marine Le Pen l'a dit, elle l'a dit dans le journal Le Monde,
29:10 - Stop, ça suffit. C'est bien qu'il y avait un problème.
29:14 - On ne l'a pas inventé et on ne renvoie pas à 30 ans.
29:17 - Monsieur Switek, les actionnaires des sociétés de communication,
29:21 - Je ne sais pas si vous connaissez, vous, à titre personnel,
29:24 - Les actionnaires de toutes les sociétés de communication, de tous les prestataires qui travaillent avec BFM TV.
29:29 - Les deux personnes dont vous parlez étaient actionnaires d'une société...
29:33 - Ce sont des personnes bien connues de Marine Le Pen.
29:37 - Oui, on en est quatre, à savoir de qui on parle.
29:39 - Mais je vais vous répondre quand même, parce que comme ça je vous aurais répondu.
29:41 - Frédéric Chatillon.
29:42 - Voilà, que personne ne connaît. Mais bon, c'est pas grave.
29:45 - Le fondateur du GUD.
29:46 - Voilà, donc il y a 30 ans.
29:48 - Oui, mais qui est toujours dans votre sphère.
29:51 - Non. Marine Le Pen a tenu ses propos dans le journal Le Monde.
29:56 - Je suis président du Rassemblement National depuis un an.
29:58 - La société en question, qu'est la société ?
30:00 - E-Politik.
30:01 - Aujourd'hui, à ma demande, Frédéric Chatillon et Axel Lusso,
30:04 - C'est une demande que j'ai faite aux prestataires.
30:06 - Je dis que nos prestataires doivent faire des prestations, mais ils ne doivent pas faire de la politique.
30:10 - A partir du moment où nos prestataires font de la politique,
30:13 - Dans des idées que je ne considère pas acceptables au regard de ce que je défends moi,
30:18 - Et de ce que défend mon mouvement politique,
30:19 - Alors à ce moment-là, ils ne travaillent plus avec le Rassemblement National.
30:21 - Où ils en sortent ?
30:22 - Ils en sont sortis.
30:23 - Donc c'est terminé ?
30:24 - Le Rassemblement National, par son prestataire que vous citez,
30:29 - Frédéric Chatillon et Axel Lusso, ne sont plus actionnaires de ce prestataire.
30:32 - Mais après, moi j'accepte, je sais que nous on est laserisés matin, midi et soir.
30:37 - J'espère que vous laserisez aussi les prestataires, les actionnaires des prestataires,
30:42 - La boulangère du plombier, des actionnaires des prestataires, pour les autres mouvements politiques.
30:46 - Là, ce n'est pas la boulangère du plombier, c'est l'éléphant dans la pièce, si vous vous souvenez de l'expression.
30:50 - Oui, mais en fait, en l'occurrence, là on parle d'un sujet majeur pour les gens,
30:54 - Qui est l'insécurité et la violence, et en fait on passe cinq minutes à parler,
30:57 - Enfin, l'ultra-droite, en l'occurrence, a été la source de violence depuis le week-end dernier,
31:03 - Oui, mais l'ultra-droite, on parle de 50 types d'ultra-droite,
31:09 - Généralement surveillés, pour la plupart, par les services d'enseignement français,
31:12 - Qui ne représentent personne, et qui sont au nombre, d'après M. Camus, 3000 personnes.
31:18 - Alors, vous ne dites pas comme Eric Zemmour que c'est une invention des médias, l'ultra-droite ?
31:23 - Mais, quand on a des types qui sont arrêtés avec des saluts nazis, des photos d'Irkéens dans leur téléphone,
31:30 - Donc c'est des gens violents, il faut dissoudre les mouvements, vous approuvez la décision de Gérard Darmanin ?
31:33 - Moi, je suis fervent à la dissolution des milices d'ultra-gauche et d'ultra-droite.
31:36 - Parce que, je pense, d'abord, pour répondre sur la manifestation Mme Ahmed dont vous avez parlé,
31:41 - D'abord, on ne répond pas, et je le dis pour que ce soit très clair, on ne répond pas à la violence par la violence,
31:47 - Et on ne répond pas à l'insécurité par des expéditions punitives, par des slogans vengeurs, ou par une justice privée.
31:54 - On y répond par la force des lois et l'autorité de l'État républicain.
31:57 - Et quand Marion Maréchal parle d'eux avec ses termes des "ozo", ce qui a tendance à les rendre sympathiques, ça vous choque ?
32:04 - Je ne suis pas à l'Académie française, excusez-moi, Marion utilise les mots qu'elle veut.
32:09 - On parle de membres très violents qui sont dans la rue avec des barres de fer, qui ont des propos racistes, des ozo, ça ne vous choque pas ?
32:22 - Je ne les appelle pas des ozo, je pense que ce sont des gens qui prônent la violence,
32:28 - Et je suis favorable à la dissolution des milices d'ultra-gauche et d'ultra-droite, je vous ai répondu.
32:33 - Et c'est dit ce soir, merci beaucoup Jordan Bardella d'avoir été notre invité ce soir dans cette soirée spéciale.
32:38 Merci à vous Jordan Bardet.

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