Cherté de vie

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00:00 [Musique]
00:12 [Musique]
00:38 [Rires]
00:41 En tout temps, je sens très mal parce que tout est devenu cher.
00:46 Le matin, tu viens me prêter pour aller au marché, on te dit.
00:49 Le transport qui est à 200 km/h, c'est passé à 500.
00:52 Et c'est vu comme on appelle.
00:54 Plus du tout.
00:56 Donc, c'est des affaires censées diminuer.
01:00 Après même qu'au marché, quand on va faire le marché, on peut pas acheter le truc.
01:04 Les femmes qui ont vers la marchandise de la bus, elles disent que le truc soit devenu cher.
01:09 Parce que le cabriolet, quand il nous casse, ça va nous arranger.
01:15 Avant, c'était 200.
01:18 Et maintenant, on a fait ça à 300.
01:21 À jamais, c'était 300. On a fait ça à 350.
01:24 Juste parce que les cabriolets ont augmenté.
01:27 Les recettes ont augmenté.
01:29 Les recettes, avant, c'était 27 000.
01:32 Et c'est devenu 35 000.
01:34 Comme on a aussi 30 000 francs chaque matin à l'heure.
01:39 Tout ça, ça compte.
01:41 Donc, si on fait à jamais 500, ça coûte le retard.
01:45 C'est pour ça que nous, on bouge aussi. On empêche le transport.
01:49 Voilà. Sinon, là, y'a pas de problème.
01:52 À jamais, c'est 500, pour l'heure, 300.
01:55 Les matins, c'est en bouteille aussi. Souvent quand il pleut, on augmente le tarif.
01:59 Ça devient plus cher que ça.
02:02 Moi, c'est une fois chanmé.
02:04 Je me suis élève en France et en Brésil.
02:06 J'ai reçu un film de boxe.
02:08 J'ai fait un allurement.
02:10 C'est pas un accident, c'est un péché.
02:12 C'est que les deux semaines sont passées à 3.
02:15 C'est la chanteuse.
02:17 Je suis devenu un joueur.
02:19 C'est ça. C'est ça.
02:21 Mon nom, c'est Claverie Yaya.
02:23 À la North Bretagne, tout le monde voyait le film.
02:26 Voilà. Maintenant, ça coûte le point la même là.
02:29 C'est la France.
02:31 Les matins, je suis dans l'hémisphère.
02:33 Je dois faire 9 voyages.
02:35 Et dans la journée, tu dois faire 4 voyages.
02:37 Tu dois faire le recèl, tu dois faire le carburant.
02:39 Toi aussi, tu dois faire pour toi.
02:41 Donc, quand c'est comme ça, on doit augmenter pour gagner un peu aussi.
02:46 Le carburant, c'est augmenter.
02:49 En Sabo, c'est ça aussi. On augmente.
02:52 Il n'y a pas de Sénégal qui se plaint.
02:54 Il n'y a pas de Sénégal qui se plaint.
02:56 Les Sénégalais, ils connaissent.
02:58 Si vous payez, vous payez bien.
03:00 Si vous payez chahutement, ça vous fait.
03:02 Il faut dire que non, ils vont laisser plaigner parce que non, il n'y a pas ça dedans.
03:05 Voilà. Dans nous, on est là pour lutter.
03:08 Souvent, il n'y a pas récette.
03:10 À côté de ça, même là, le Bretagne, il est obligé de prendre son bar.
03:13 Il se dit que non, on ne peut pas donner ce que on a.
03:15 Tu vois, non. Voilà, ça brise.
03:18 [Bruit de moteur]
03:22 [Musique]
03:35 [Bruit de moteur]

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