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00:00 *Générique*
00:15 *Voix de l'opéra*
00:22 L'affluence était forte ce mardi dès 9h du matin devant le siège de Casino dans le quartier de Châteaucreux.
00:27 Un millier d'employés s'est réuni pour s'élever contre un démon tellement redouté du groupe aux 125 ans d'existence.
00:33 "Je suis pas la seule mais on a des crédits à côté, on a certaines situations de famille, on a des enfants donc voilà, ça devient compliqué."
00:40 "Beaucoup de salariés se posent des questions sur leur avenir, ce que le groupe compte faire des salariés,
00:48 de ce qui va reprendre les magasins, si on va être rachetés, si on va être vendus, donc ça amène un climat un petit peu tendu au niveau des magasins."
01:00 "On sait que notre magasin en est solidaire quand même envers notre directeur, voilà donc on continue à travailler jusqu'à ce qu'on peut, après on attend les nouvelles justement."
01:11 Un cortège dans lequel des Stéphanois, pas nécessairement salariés du groupe, se montraient simplement solidaires.
01:16 "Parce qu'à mon âge on a vu Manufrance s'arrêter, on a vu la sidérurgie se démanteler, aujourd'hui on voit une nouvelle épine dorsale qui est menacée."
01:26 "Il y a ceux qui travaillent, il y a ceux qui font leurs courses, il y a ceux qui allaient dans les cafétérias, il y a ceux qui utilisaient éventuellement ces discounts."
01:36 Et c'est derrière le portrait de Geoffroy Guichard que des élus se trouvaient en première ligne du cortège.
01:41 "Aujourd'hui le premier enjeu c'est celui des emplois sur ses ventes des hyper et des super."
01:46 "L'enjeu suivant c'est celui de la proximité à travers la logistique, la marque de référence, de l'ensemble du réseau de distribution qui devra rester fort derrière."
01:54 "Et ensuite l'offre de reprise de l'ensemble du groupe, monoprix, franc-prix et autres, c'est extrêmement fort."
02:00 Et à la fin de la manifestation, des leaders syndicaux ont été reçus par le maire de Saint-Etienne.
02:04 Forcément un quai pour l'un des plus gros employeurs de la ville avec 2000 personnes rien qu'au siège de Casino.
02:10 "On se demande ce qui va rester à la fin, c'est tout simplement."
02:12 "Il y a une relation affective très forte entre... On a tous des membres de notre famille qui travaillent au Casino."
02:19 "Donc au-delà de ça, je dirais que c'est un grand groupe national et ça regarde effectivement jusqu'au président de la République l'avenir du groupe Casino."
02:28 Notez que Gaël Pedrillo s'entretiendra directement avec le ministre de l'Économie ce vendredi.
02:34 [Générique]
02:39 De chez soi ou devant l'entrée du service, il faut désormais contacter le 15 pour demander à être admis aux urgences.
02:48 Après deux premières expérimentations au mois de juin et juillet, le CHU renouvelle le dispositif.
02:53 "L'idée c'est de ne pas envoyer tout le monde aux urgences s'ils ne nécessitent pas."
02:57 "Et le fait de faire passer les gens par la régulation du 15, et bien ça permettra de qualifier un petit peu la demande."
03:05 "S'ils ont besoin d'accéder à une structure d'urgence, s'ils vont accéder à une structure d'urgence, il n'y a aucune difficulté là-dessus."
03:10 "Mais si on peut leur trouver une alternative à cet accès aux urgences, et bien c'est tout autant intéressant pour les usagers."
03:18 Concrètement, comment se passe la demande de soins non agrémentée ?
03:22 L'usager appelle le SAMU, qui le redirige vers un médecin qui déterminera ensuite de l'urgence ou non de la demande.
03:28 "Et son médecin traitant c'est qui du coup ?"
03:31 "Ça change pas grand chose, ça fait quelques fois un peu plus d'appels."
03:35 "Mais en soi, nous on le traite comme un dossier classique, donc ça ne change rien."
03:39 "Je pense pas que ce soit plus difficile à gérer, en soi je pense qu'on a l'habitude de faire notre travail."
03:44 "Donc je vois pas plus de difficultés en tout cas."
03:47 "D'accord, une tentative de suicide, mais vous n'êtes pas avec elle du coup ?"
03:50 "Je pense que quand on fait ce métier, il faut savoir justement faire la distinction entre les émotions, etc."
03:55 "Après il y a des fois où on a des cas qui sont un peu plus difficiles à gérer."
04:01 "Mais après c'est vrai que quand on sait que le médecin prend le relais derrière, tout de suite ça nous soulage un petit peu."
04:07 "Et on se dit que voilà, on a fait notre prise en charge à nous, mais que le médecin s'occupe du reste."
04:11 Les urgences pédiatriques ne sont pas concernées par ce dispositif, qui empêche les urgences adultes d'être engorgées.
04:17 Pour rappel, en 2021, 51 000 adultes avaient été admis dans ce service du CHU de Saint-Etienne.
04:23 Le SAMU, quant à lui, avait reçu 330 000 appels sur la même période.
04:43 Les visages sont fermés, voire crispés. Les verts ont été dominés par Guingamp.
04:49 Malgré l'ouverture du score d'Aïmen Mouefek, les Stéphanois se font punir et s'inclinent pour le cinquième match de suite.
04:55 C'en est trop pour les supporters.
04:57 "Ça fait 20... 20... Bah j'ai quoi ? J'ai 22 ans ? C'est 20 ans que je suis porte synthé."
05:02 "Qu'est-ce qui a changé ? Beaucoup de choses."
05:06 "Bah déjà le coach, pas de test pour moi, c'est mort, c'est fini."
05:09 "La direction, part, définitivement, mais dans des conditions potables."
05:15 "Pas avec n'importe comment, parce qu'on sait le football d'aujourd'hui comme il est."
05:19 "Et qu'on remette tout à plat, et puis que les joueurs se remettent en condition."
05:22 "Parce qu'il n'y a pas de temps, ils ne se sont pas dit de porter le maillot."
05:25 "J'en pense qu'il serait vraiment grand temps qu'ils changent d'esprit d'équipe."
05:30 "Parce que franchement, ça commence à devenir un peu désespérant."
05:33 "Je pense que l'entraîneur aussi, parce qu'au bout d'un moment, il commence à en avoir marre."
05:36 "Donc je pense qu'il devrait partir, ça serait beaucoup mieux, je crois."
05:39 Et justement, après le coup de sifflet final, il a fallu attendre très longtemps
05:43 pour voir un officiel du club s'approcher des médias.
05:46 Laurent Batless a appris la nouvelle par son board, il n'est plus l'entraîneur de la Sainte-Étienne.
05:52 Le désormais ancien coach des Verts a toutefois pris le temps d'annoncer la nouvelle aux joueurs dans le vestiaire.
05:57 Joueurs qui ne cachaient pas leur désillusion, sans pour autant s'arrêter en zone mixte.
06:02 Après de longues minutes d'attente, Jean-François Soukas se présente seul, face aux médias.
06:07 Non pas en conférence de presse, mais bien en zone mixte.
06:10 Sans dire que Laurent Batless n'est plus l'entraîneur, le président de l'exécutif laisse entendre qu'un autre vent arrive au club.
06:17 "On a considéré qu'il fallait une nouvelle mobilisation, autour peut-être d'une nouvelle dynamique."
06:27 "Laurent a été comme toujours, aider Cecile au nord, il a entendu, il ne voulait évidemment pas."
06:38 "Je sais ce que représente pour Laurent ce club là, et je sais la responsabilité qui est la mienne."
06:47 "C'est aussi de, pas de tourner cette page, mais d'ouvrir une nouvelle dynamique."
06:53 Ce sera donc Laurent Huard, le directeur technique du centre de formation, qui prendra l'intérim.
06:58 Alors jusqu'à quand, et pour être remplacé par qui ? La suite au prochain épisode.
07:04 C'est peut-être grâce au lieu, ou au buffet, proposé après le prélèvement,
07:15 mais les donneurs de sang sont bien là, et en nombre, dans ce salon du stade Geoffroy Guichard.
07:19 "C'est un acte simple, qui ne monte pas beaucoup d'efforts, et qui a des bons résultats."
07:24 "Ca ne me coûte rien, juste une heure de mon temps."
07:27 "Je fais le sang, je fais le plasma, et je suis inscrit à la moelle épinière."
07:30 "C'est agréable, en général je travaille ici, d'une autre manière, mais jamais en tant que visiteur."
07:36 "Pourtant ma famille, mon père a toujours donné en tout cas son sang, il nous a bien inculqué ces valeurs là."
07:40 "En plus à côté, moi je suis infirmier, je travaille à l'hôpital, donc je sais la valeur que c'est de donner son sang."
07:45 S'installer sur le lit, c'est donner 480 ml de sang, une opération renouvelable jusqu'à 6 fois par an pour les hommes, 4 pour les femmes.
07:54 "Une personne, ça peut aller à deux personnes différentes, parce qu'on prélève le sang total, ce qu'on appelle nous le sang total."
08:02 "Mais en service de préparation, par la suite, c'est transformé, la poche est transformée, on sépare le plasma des globules rouges."
08:09 "Ca peut aller à plusieurs personnes, à deux personnes différentes."
08:12 Le don du sang est-il en baisse dans le département ?
08:15 Les besoins sont toujours importants, les stocks s'amenuisent, mais par rapport aux autres régions, la Loire est plutôt bonne élève.
08:21 "Nous on a, au niveau de la région et au niveau du département, on est quand même bien."
08:27 "Parce que c'est quand même une région qui est assez généreuse, qui est riche."
08:30 "Mais par exemple, aujourd'hui, on a à peu près, on va dire, une douzaine de jours de stock."
08:38 "On devrait être à 14, on a sur les groupes hauts en état, moins de 10."
08:43 "Et pour être confortable, il faut au moins être à 12."
08:45 Il arrive que les dons de la Loire soient envoyés dans des régions où les stocks sont plus faibles, comme en PACA ou en Île-de-France.
08:50 Le FS souhaite à nouveau sensibiliser la population, véritable enjeu, pour promouvoir à nouveau le don du sang.
09:03 Le constat est alarmant. Le frelon est en hausse dans les départements et les apiculteurs sont les premiers à être impactés.
09:10 Le frelon tue les abeilles, les mange et les empêche de sortir se nourrir.
09:15 "Cette année, en fait, quand il fait très froid, on ne peut pas aller visiter les ruches."
09:21 "Donc là, je suis dans l'incertitude pour le moment, de savoir s'il n'y a pas des frelons qui sont installés à l'intérieur de la ruche."
09:29 Des pièges de fortune sont créés et permettent de se rendre compte de la recrudescence des frelons.
09:34 "Il y a un piège qui a été réalisé et là, vous voyez, il y a au moins 5 cm de cadavres de frelons asiatiques."
09:42 Peu importe l'arbre ou le support, une reine frelon peut s'y sentir bien et y bâtir un nid.
09:47 Le CFA du BTP de Saint-Etienne en a récemment fait les frais et c'est grâce au syndicat départemental des apiculteurs de la Loire
09:54 que le nid a été aperçu puis traité.
09:57 Pour les formateurs de l'établissement, le danger est important mais difficile de savoir à qui s'adresser dans cette situation.
10:03 "J'en ai aucune idée. Apparemment, c'est des frelons asiatiques en plus."
10:08 "J'aurais appelé un service de la ville ou les pompiers qui m'auraient peut-être enseigné."
10:15 "On est un établissement accueillant du public, souvent des jeunes personnes."
10:21 "Si la personne est allergique, on ne sait pas ce qui va se passer."
10:27 "Ils sont tombés à point nommé."
10:30 Malgré la taille importante du nid, accroché à 8 m de haut, cette entreprise de l'arricamari n'avait pas remarqué la présence des frelons.
10:37 Problème, le nid est au-dessus du parking. Heureusement, le syndicat l'a remarqué et est plutôt bien équipé.
10:44 "C'est la pointe de la perche pour pouvoir rentrer à l'intérieur du nid, envoyer la poudre, l'insecticide qui va sortir par les petits trous."
10:54 Le thermomètre affiche 1°C, les frelons ne sortent pas.
10:58 Mais même si Rachid est qualifié pour détruire les nids, il est obligé d'enfiler sa combinaison pour rester en sécurité avant de commencer la destruction.
11:06 "On a 20 cm du nid, on perce le nid, on ouvre la vanne, la fameuse vanne, et donc le produit monte, en fait c'est de la permétrine, la permétrine monte à l'intérieur du nid."
11:17 "Il n'en faut pas beaucoup pour pouvoir détruire le nid, et donc ça tue les frelons."
11:24 "Après on attend une petite demi-heure et en fait on détruit le nid, on fait tomber le nid pour ne pas le laisser sur place."
11:34 Dans le nid, les frelons et larves ne sont pas totalement morts, il faut donc se dépêcher de remettre du produit.
11:40 Les salariés de l'entreprise assistent curieux mais aussi surpris à la scène.
11:44 Alors pour contrer ce manque d'informations sur les dangers des nids, le syndicat des apiculteurs propose un plan en deux étapes.
11:50 "Une étape prévention, c'est la capture des rennes, des futurs rennes en printemps."
11:57 "Donc si une renne attrapée, une renne frelon bien sûr, attrapée c'est un nid de frelons en moins."
12:02 "Donc on va essayer de faire ça aux particuliers, aux communes."
12:06 "Et le deuxième plan c'est détruire les nids à moindre coût, pour que les gens sachent faire qu'ils se retournaient pour détruire les nids et que ça soit fait à un coût correct."
12:15 Cette année, le syndicat a détruit une soixantaine de nids dans le département, c'est six fois plus qu'en 2022.
12:21 Pour stopper l'invasion des frelons, les apiculteurs accompagnent également les mairies tout au long de l'année.
12:27 Depuis trois ans, en sortie de Covid pour relancer les bars a été pensée cette synthé Sainte-Barbe.
12:38 Et cette année, quelques menus manifestations spécifiques.
12:41 La sortie du numéro un d'époque par les ex-journalistes du Petit Bulletin.
12:45 Et une une consacrée aux mineurs, jamais seule. Réaction d'un normand pour la première fois, la Sainte-Barbe stéphanoise.
12:53 "Je crois que c'est la solidarité qui fait que c'est... On se croche les uns des autres et puis on laisse personne dans la galère."
13:01 "Je crois que c'est surtout la solidarité qui joue je crois."
13:04 Rue Notre-Dame, le bar tourne à plan avec des bières Sainte-Barbe.
13:07 "Ça se passe super bien, c'est chouette, les gens sont encore en rendez-vous, ça fait plaisir."
13:11 Un spécialiste brassard de son état teste les nouveaux goûts.
13:14 "Je ne peux pas parler de ses bières, c'est juste la mienne, donc ce ne serait pas bien."
13:17 A l'entrée, un stand tatouage dédié.
13:20 "Il va thématiser sur le thème de la Sainte-Barbe, donc surtout sur les mineurs."
13:23 "Des motifs qui reviennent souvent dans les thèmes de la mine, donc on a des sacs d'or, des mains de squelettes qui cherchent de l'or."
13:29 "On a un canarie qui servait d'alerte pour les coups de grisou."
13:36 "On ne cherche pas à avoir quelque chose d'historique ou de réaliste."
13:39 Tout un imaginaire entre le monde des pirates et celui des marins, les mineurs ne semblent pas tatoués.
13:44 La Sainte-Barbe dont on parle autour des tables, comme un Everest pour le duo Sorbet-Citron.
13:50 "Pour moi, la Sainte-Barbe, ça représente Saint-Etienne et on est là pour la célébrer comme chaque année."
13:54 "La Sainte-Barbe, pour moi, c'est vraiment l'Everest et l'ascension personnelle dans la vie de tous les jours."
13:59 Leur Everest, c'est de faire 10 millions d'abonnés sur les réseaux.
14:02 Alors, en redescendant sur Terre, avec le théâtre d'impro, de la bande des Grisons.
14:07 "Attention !"
14:09 Des impros express, 3 minutes, 1 minute, 50 secondes.
14:13 "C'est bon !"
14:15 Alors, on continue avec un plan B, chez les voisins Destination.
14:22 Plan B et plan tube des années 70.
14:26 Voilà un plan B qui nous donne envie de nous rendre au bal des mineurs.
14:35 Et chez Barberousse, l'entrée est comme à la mine, un tunnel, la vierge.
14:38 Mais le bal des mineurs se résume à une pinte à chou-terre.
14:41 On est loin de la tradition des mineurs ou des métallos.
14:44 Tant pis, on verra l'année prochaine.
14:46 Loire-Foret propose une nouvelle application, Illiwap, à partir de janvier 2024,
14:57 qui permettra à toutes les communes de l'agglomération d'avoir accès à des renseignements et des alertes sur une même plateforme.
15:04 En fait, Loire-Foret est tous les jours présente dans les communes, présente chez l'habitant, ne serait-ce qu'à travers l'eau potable par exemple.
15:11 Et on se devait de pouvoir communiquer et informer au plus près nos habitants des compétences de Loire-Foret et des informations.
15:18 Et nous nous rendons bien compte que ce n'est pas toujours facile d'accéder à l'information.
15:22 On peut avoir des informations sur les tarifs de l'eau potable.
15:25 On aura bientôt un portail sur la taxe d'enlèvement d'ordures ménagères incitatives, avec un accès au nombre de levées dès 2025.
15:32 Bref, tout un tas d'infos, d'actualités.
15:34 La moitié des communes du site possédait déjà ce service, mais avec cette mutualisation de l'application, le coût total est diminué.
15:41 Il passe de 50 000 euros à 20 000, financé entièrement par l'agglomération pour les 87 communes.
15:48 Dans la salle Jean d'Asté, il y a ceux qui mangent et ceux qui dansent.
16:00 Que ce soit sur la piste de danse ou dans l'assiette, toutes les convives semblent apprécier le moment.
16:05 C'est assez sympa, c'est la première fois que je viens et je trouve bien.
16:09 Je suis tombée sur une bonne table vu que j'étais seule.
16:12 Ça va très bien.
16:13 Très bien, très conviviale, je suis très contente.
16:16 Je passe une matinée formidable.
16:20 J'ai dansé, mais vu mon âge, les jambes elles sont un peu...
16:24 Elles suivent pas toujours.
16:27 On se retrouve avec des anciens collègues.
16:30 Je suis pas champion des bandes de la danse, à part les slow.
16:34 Et sur un twist endiablé, vous aurez peut-être reconnu le maire de Rive-de-Gillet.
16:39 Bonjour, ce n'était pas moi qui dansais sur la piste de danse.
16:42 J'ai pas de talent, vous l'avez bien vu, j'espère que vous avez pas filmé de trop près, parce que c'est un peu dramatique.
16:55 Mais en tout cas, c'est leur vue aussi de partager des moments joyeux, sympas.
16:59 Une ville, c'est ça, c'est à la fois des moments difficiles à certains moments.
17:02 On a été gâtés en 2023 de ce point de vue, du quotidien.
17:06 Et puis aussi des moments de bonheur qu'il faut savoir savourer et partager.
17:09 Et donc en cette fin d'année, c'est les repas avec les seigneurs de la ville
17:13 où on est heureux de partager ces moments de retrouvailles, de convivialité.
17:17 Sur quatre jours, ils sont plus de 500 seigneurs à être invités à manger et danser.
17:22 Tous ne se connaissent pas, certains viennent même seuls.
17:25 Il y a beaucoup de femmes, il y a beaucoup de personnes qui vivent seules
17:28 et qui n'ont pas l'occasion de pouvoir sortir parce qu'elles ne sont pas véhiculées.
17:33 Donc sur la ville de Rive-de-Gier, venir faire une journée de festivité,
17:37 et puis en semaine en plus, parce que le week-end, peut-être il y a les enfants qui passent.
17:42 La semaine, les enfants sont au travail.
17:45 Donc on l'a imaginé de cette façon-là.
17:48 Avec ce banquet dansant, Rive-de-Gier ouvre ses festivités de fin d'année.
17:52 Le village de Noël sera quant à lui accessible à partir du 8 décembre.
17:57 Dans ce livre, vous verrez les meilleurs produits issus des lieux les plus beaux de France.
18:08 Et dans la Loire, c'est la fourme de Montbrison qui est à l'honneur sur quatre pages.
18:13 C'est finalement une reconnaissance d'être dans ce livre.
18:16 Et il est très très bien fait.
18:18 Finalement, les quatre pages les plus importantes, elles commencent à la page 160.
18:22 Et c'est pour parler de la fourme de Montbrison.
18:24 Un fromage qui multiplie les labels.
18:26 AOP, site remarquable du goût, inscrit au patrimoine culturel immatériel.
18:31 Maintenant, le président du syndicat de la fourme de Montbrison voit encore plus grand.
18:36 Mais il me semble aussi qu'il y a des éléments fondamentaux
18:39 qui ont été découverts par des recherches archéologiques sur ce territoire,
18:43 qui ont une valeur à mon avis patrimoniale inestimable.
18:47 Et j'ai envie de rêver, je me dis que c'est peut-être le territoire dans sa globalité
18:53 qui devrait être connu à l'UNESCO.
18:56 Associé gastronomie et patrimoine, c'est tout l'objectif de ce livre.
19:00 C'est pourquoi il a été présenté au château de Goutelas, demeurant datant du XVIe siècle.
19:05 Le château de Goutelas actuellement appartient à la Loire-Forêt.
19:09 C'est un symbole, c'est un site absolument magnifique qui est au cœur de Loire-Forêt.
19:14 Et j'ai trouvé que c'était l'idéal, le site idéal pour pouvoir présenter un livre
19:20 sur le patrimoine et sur les sites remarquables du goût.
19:23 Ce livre est déjà disponible dans les librairies et les offices de tourisme.
19:27 Mais vous ne pourrez pas acheter uniquement les 4 pages qui concernent Montbrison.
19:32 [Musique]

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