La Promesa Capitulo 320
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00:06 -Maria, tu m'as fait peur avec cette attitude de rébellion ?
00:09 -Non, regarde, Abel, que d'abord tu parles avec les hommes
00:11 et qu'ils te disent qu'il faut changer quelque chose.
00:13 -Très bien, et si ils ne t'écoutent pas ?
00:15 -Alors, tu as un arbre !
00:16 -Cette fois, la cifoule est restée dans la cuisine.
00:18 Mais imaginez qu'elle revienne et que les hommes se sachent.
00:22 Vous aurez un problème et nous aussi.
00:24 -Je suppose que tu t'en occupes de la situation, Simona.
00:27 -Oui, oui.
00:28 -Fais attention, elle ne se répétera pas.
00:30 -J'espère.
00:31 -Je veux rester dans la promesse,
00:33 mais toujours en justice.
00:35 -Si on ne fait pas la justice que tu veux, alors ?
00:37 -Alors, on fait la bague et on va au mieux.
00:41 -Marche, je reviendrai cette nuit.
00:43 -Attends, attends.
00:45 Je dis que, en allant à Cordoba,
00:47 tu seras très proche du Palais des Infants,
00:50 tu pourras te faire profiter et te rapprocher de la mère de Gimena.
00:53 -Maman, ce n'est pas le moment.
00:54 -Et quand est-ce le moment, Manuel ?
00:55 Tu n'as pas visité depuis des semaines.
00:57 -Je vais la visiter, mais pas aujourd'hui.
01:00 -C'est une coïncidence que Mr. Caben ait apparu en justice
01:03 au lieu où tu étais, et Pelaño,
01:05 et tous les balnéariens du pays.
01:07 -Je sais, mais parfois, ces choses se passent.
01:10 -Et encore, je pense que ce n'est pas une coïncidence.
01:14 -Je ne sais pas comment affronter ça.
01:16 Je ne sais pas.
01:17 -Si je me souviens bien,
01:19 tu essaies de parler avec lui encore ?
01:22 -Je dois comprendre pourquoi ils ont emparé mon fils
01:25 comme aide de M. Curro.
01:27 Un garçon qui ne savait rien de la courir.
01:30 -M. Arcos, je ne sais pas si je peux t'aider.
01:34 -Mme Pia, c'est mon fils.
01:37 Et je veux savoir qui a fait cette irresponsabilité.
01:41 -Hanna, il faut faire quelque chose avec ta situation.
01:44 Tu ne peux pas continuer comme ça.
01:46 -Il n'y a rien à faire. C'est ce qui est là.
01:49 -Je ne crois pas que Maria Fernandez ait accordé.
01:52 Et moins maintenant,
01:53 qu'il y a eu un révindicatif récemment.
01:56 -Qu'est-ce que tu dis ?
01:58 -Tu ne le sais pas ?
02:00 Il veut demander aux marquises de meilleures conditions de travail.
02:04 Et s'il ne le dit pas, il va à la colère.
02:06 -Je pense que tout ce que tu fais
02:08 va donner plus de problèmes.
02:10 -Je ne sais pas ce qui va venir.
02:12 Mais je sais ce que nous avons maintenant
02:14 et la vie qu'ils nous font vivre.
02:16 Et je n'aime pas la colère.
02:18 C'est pour ça que je parle de la colère.
02:20 Ce ne serait plus pour toi, mais pour tout le monde.
02:23 Tu devrais t'aider.
02:25 -C'est son caractère.
02:27 Mais ça ne veut pas dire qu'il est une mauvaise personne.
02:30 -Il me ressemble à un démon.
02:32 -Non, elle m'a aidée quand j'avais le mal.
02:35 Qu'elle soit très forte,
02:37 elle est très sèche.
02:39 Mais elle est prête à défendre sa famille,
02:42 peu importe la coste.
02:44 -Je voulais te poser la question,
02:47 si tu te mets beaucoup de l'eau de bois,
02:50 tu te rends plus noire ?
02:52 Ou pas ?
02:54 -Je ne sais pas.
02:56 -Il y a beaucoup de mots qui parlent de l'arme et de la courir.
03:00 Je peux choisir.
03:02 Mais non, je vais appeler mon fils.
03:05 -C'est vrai.
03:07 Mais la marquise a insisté
03:09 que son fils accompagne le seigneur Curro dans la courir.
03:21 -Voilà.
03:22 Tout est en ordre pour qu'il reçoive
03:25 la première remèse de plus tôt.
03:28 Je lui appellerai pour de futurs envies.
03:35 Je ne peux pas continuer à parler.
03:38 Merci de nouveau. Au revoir.
03:40 -Bonjour.
03:43 Il n'est pas encore très tôt.
03:45 -Je n'ai pas eu d'autre choix.
03:47 Je voulais me calmer pour me concentrer sur l'important.
03:52 Tu vas bien ?
03:54 Tu es un peu tensée.
03:56 Tu as parlé avec Romulo de l'accident ?
03:59 -Oui, je l'ai fait.
04:01 Au début, je l'ai trouvé évasive.
04:04 J'ai l'impression que Romulo m'avait raconté quelque chose.
04:08 -Qu'as-tu fait ?
04:09 -Je suis allée voir la seigneur.
04:11 Je lui ai expliqué comment je me sentais
04:13 car je voulais lui donner des informations.
04:15 -Et tu as trouvé quelque chose ?
04:17 -Hier soir, Romulo m'a appelée à son bureau.
04:20 Et il y avait aussi la seigneur.
04:22 -Et ?
04:23 Ils t'ont raconté quelque chose de réel ?
04:25 -Oui.
04:26 -Quoi ?
04:27 On sait qui a ordonné les couples à la chasse ?
04:31 -Romulo m'a dit qu'il avait fait une enquête
04:34 avec le marquès.
04:35 Ils ont conclu qu'il n'y avait pas eu qu'un accident.
04:38 -Oui, oui.
04:39 J'ai entendu ça de Alonso.
04:41 Mais il n'était pas convaincu.
04:43 Il a laissé l'enquête pour la manque de preuves
04:46 plutôt que de convaincance.
04:48 -A la base, je pensais qu'ils se taient
04:50 pour ne pas s'en occuper.
04:52 En particulier, dont Romulo.
04:54 -Ce serait le plus plausible.
04:56 Comme marquès, il a la dernière parole
04:58 dans ce genre d'événements.
05:00 Et s'il y avait une négligence,
05:02 c'est son responsabilité.
05:04 -Rien de plus loin de la réalité, Ignacio.
05:07 -Que veux-tu dire ?
05:08 -Quand Don Romulo a organisé les couples à la chasse,
05:12 il n'a pas été le seul à faire le couple
05:14 avec Féliciano.
05:16 -Alors, qui l'a fait ?
05:19 -Tant que ça peut paraître surprenant,
05:23 c'était une ordre directe de la marquèse.
05:26 -De Cruz ?
05:27 Tu es sûre ?
05:29 -Oui.
05:32 Don Romulo et Doña Pia
05:34 se sentaient convaincus et sincères.
05:36 Ils se sentaient désolés que Féliciano ait tué.
05:39 Je sais qu'ils ne mentent pas,
05:41 car il était très apprécié par tous.
05:44 -Je ne comprends pas.
05:46 Cruz s'occupe souvent de ces menestres ?
05:49 -Dans tous les ans que je lui ai servi,
05:51 il n'en avait jamais fait.
05:53 -Alors, pourquoi l'a-t-il fait ?
05:55 -Je ne sais pas. Je ne trouve pas d'explication.
05:58 Je le regarde toute la nuit,
06:00 sans même le regarder.
06:02 Tu veux que je le demande ?
06:04 -Non.
06:05 Confronter-le avec elle est la dernière chose à faire.
06:08 -Alors ?
06:09 -Peut-être que tu te comportes comme si tu ne savais rien.
06:14 -Mais, Ignacio, on va voir...
06:16 -Je m'en occuperai.
06:17 Tu as déjà fait assez.
06:19 Maintenant, c'est à moi.
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09:24 -Hombre, vous êtes ici.
09:26 Et sains et sauvés.
09:28 -Oui, parce que nous n'étions pas là.
09:30 Ni que nous venions de la guerre.
09:32 -On est allé à Wuhan, mais on n'est pas venu aussi tard.
09:36 -Vous voyez qu'il n'y avait pas de raison d'aller à l'armée.
09:39 -A l'armée pour quoi ?
09:41 -Votre téléviseur était très inquiétant
09:44 quand il a su que vous sortiez de la promesse.
09:46 -C'est vrai ?
09:48 -Jusqu'à ce qu'on me dise que vous étiez de retour à Palacio,
09:51 je n'ai pas pu dormir tranquillement.
09:53 -Vous exagérez, téléviseur.
09:55 Comme vous pouvez le voir, je suis parfaitement bien.
09:57 -Catalina et moi étions avec lui.
09:59 On ne laissait pas tomber dans un bain.
10:01 -C'est logique que ton téléviseur s'inquiète.
10:04 Au final, jusqu'à peu près,
10:06 nous étions tous en train de mourir pour votre vie.
10:08 -Oui, mais je suis bien.
10:10 Je ne dois pas être encerclé tout le jour.
10:12 Par ailleurs, il se passe quelque chose à l'armée ?
10:16 -Oui.
10:18 Il a manché de café.
10:20 Nous évitons que la marge se ressente.
10:22 Tu peux la laisser.
10:24 Tu continues après, quand nous terminons de déjeuner.
10:27 -Oui, madame.
10:29 -Et maintenant ?
10:32 Déjeunons, enfin.
10:35 -Au revoir.
10:36 ...
10:40 -Au moment où tu as essayé le boucan...
10:42 -Oui, je suis désolé.
10:45 -Tu ne te sens pas mieux ?
10:48 -Non, ce n'est pas ça, Catalina.
10:50 Je me sens bien, mais je n'ai pas trop appétit.
10:52 -Peut-être qu'il faudrait appeler le docteur Bueno.
10:56 -Non, ce n'est pas nécessaire.
10:58 -Je ne peux pas croire en toi.
11:07 Je sais que quelque chose t'arrive.
11:09 Si tu ne me le dis pas, je ne peux pas t'aider.
11:11 Que se passe-t-il ?
11:14 -Je ne sais pas exactement ce que c'est.
11:17 -Tu sais que tu peux m'avouer, non ?
11:20 Essaye de m'expliquer, s'il te plaît.
11:23 Hier, tu m'as dit que la préparation de la fête te dérangeait.
11:28 -Et d'autres choses, c'est pas seulement ça.
11:30 -Je me sens que c'est ça, ce qui t'a fait mal.
11:33 -Je me sens que c'est ça, ce qui t'a fait mal.
11:36 -Alors...
11:40 Je crois que le "tire y afloja" que nous gardons avec ton famille
11:44 m'a peut-être un peu dégouté.
11:46 -Je comprends.
11:48 -Invités par ici, servis par là,
11:50 que si une fête pour tout le monde,
11:52 que si maintenant quelque chose de plus comédien...
11:54 Je ne sais pas, Catalina.
11:55 Je me sens comme une balle de tennis, d'un côté à l'autre de la chaîne.
11:58 -Tu te sens comme si tout se passait autour de toi,
12:01 à l'extrême de ta volonté.
12:03 -Exactement.
12:04 C'est pour ça que je t'ai proposé d'aller au balnéarie.
12:07 -Si nous venait très bien de nous déconnecter.
12:09 -Maintenant, je pense que nous ne devrions pas aller plus loin.
12:13 Même si...
12:15 Nous pouvons encore y aller.
12:18 -Où?
12:20 -Je ne sais pas. Je n'y ai pas encore pensé.
12:23 Mais...
12:24 Ils disent que voyager est la meilleure solution pour s'éteindre.
12:27 -Voyager où?
12:31 -Nous pourrions visiter ta soeur, Léonore.
12:33 -Aux Etats-Unis?
12:34 -C'est ça.
12:35 -Mais tu as vu comment m'a dit mon père quand nous lui avons proposé de voyager ici?
12:39 -Et au final, il a cédé.
12:40 -Oui, en nous imposant une carabine.
12:42 Comme pour lui dire "maintenant que nous allons en Amérique".
12:44 -Bon, Catalina, mais si nous ne l'essayons pas, nous ne saurons jamais si c'est possible.
12:47 -Et notre affaire de conservateur?
12:49 -Notre affaire va bien temps en temps.
12:51 Et il le fera aussi si nous le faisons.
12:53 Tu as vu que nous sommes allés quelques jours et il n'a pas explosé.
12:56 -Allons voir.
12:57 Nous serons de l'autre côté de l'océan.
12:59 Si quelque chose se passe, nous serons là pour résoudre le problème.
13:02 -Bon, nous résoudrons les problèmes à la retour.
13:04 C'est bon, Catalina.
13:06 Nous pourrions le passer parfaitement.
13:09 -Le passer parfaitement n'est pas une priorité en ce moment.
13:12 -Mais nous verrions ta soeur, Léonore.
13:15 Et c'est important.
13:16 -C'est que je trouve ça fou, sincèrement.
13:19 Et avec notre fête à Anciernes, je ne trouve pas ça bon pour faire un voyage si long.
13:23 -Oui, la fête.
13:24 -Je vais la voir?
13:25 -C'est bon, je ne t'insiste plus.
13:27 Mais promets-moi que tu y penseras.
13:30 -C'est bon.
13:34 Je le ferai.
13:35 -Tu ne te rends pas compte de ce que nous t'avons fait, Maria?
13:47 -Je ne sais pas.
13:49 -Pour quelque chose de stupide ou la disposition d'une copine,
13:53 je dois changer le jour libre.
13:54 -Pour quelle disposition tu parles?
13:56 Parce que tu es la seule qui nous donne des douleurs de tête.
13:59 -Moi? Pourquoi tu dis ça?
14:01 -Mais que c'est que ça de faire enranger tes copines pour qu'ils aillent à la fête, Maria?
14:04 -Moi?
14:05 -Oui, toi.
14:06 Et pour plus, Henry est derrière nous.
14:08 -Bon, c'est vrai que j'ai dit quelque chose,
14:10 mais avec ce Henry, je n'ai pas parlé à Nadena.
14:12 -Mais que se passe-t-il dans ta tête?
14:13 Nous allons nous en douter de tout, Maria.
14:15 -Bon, je ne voulais pas que ce soit un secret.
14:17 Je savais que plus tôt ou plus tard, vous allez vous en douter.
14:19 -Bon, mieux que mal.
14:20 Mieux que mal. Il reste un peu d'espérance, mais au moins, tu reconnais sa manque.
14:24 -Un moment que je n'ai pas manqué à personne.
14:26 Et si ça vous paraît que j'ai fait quelque chose ou que je m'étais cachée,
14:29 c'est parce que j'ai préféré aller avec caution.
14:31 -Avec caution?
14:32 -Oui, avec caution.
14:33 En parlant à peu près, de l'un à l'autre.
14:35 Parce qu'une frappe, c'est quelque chose de très sérieux.
14:37 Et si la voix se courait, tout pourrait rester en eau de mortade.
14:39 -Voilà, nous connaissons son point de vue
14:41 en ce qui concerne la position de son collègue de service.
14:44 -Maria, nous savons que le travail ici est dur.
14:47 -Oui, mais ce n'est pas plus dur que dans les autres châssis de la commune,
14:50 ni même que dans le reste de l'Espagne.
14:52 -Oui, et le traité est même meilleur.
14:54 -Bon, grâce à vous deux.
14:56 Mouna ne s'en fout pas, elle sait que dans la promesse, il y a beaucoup de choses bonnes,
14:59 à part de vous.
15:00 -Vous nous faites danser l'eau.
15:02 -Les chambres sont très confortables, dans ce qui est possible.
15:05 Et en ce qui concerne la remplissage de l'endor, grâce à ce qui cuisine,
15:08 qui cuisine, on mange de l'excellence.
15:09 -Oui, et nous connaissons parfaitement les avantages de servir dans ce palais.
15:13 -Oui, mais il y a aussi ses inconvénients, et c'est pour ça que je me moque.
15:16 -Maria, nous savons que ce qui vous inquiète le plus,
15:18 ce n'est pas le traité que nous ont donné les hommes.
15:20 -Et le salaire ?
15:21 -Non, non, non, le salaire est raisonnablement juste.
15:24 -Et le traité, c'est correct.
15:26 -Bon, sur ce, nous devrions parler, Doña Pia.
15:28 Parce que vous ne vous souvenez pas que vous avez travaillé jusqu'à ce jour où il y a eu la lumière ?
15:32 -Bien sûr que non, je ne m'oublie pas, Maria, bien sûr que non.
15:34 -Et tout ce qui s'est passé avec Dieguito ?
15:35 Si ça nous a bien traité, que Dieu descend et le voit.
15:38 -A la promesse, il y a beaucoup de choses bonnes,
15:40 mais il y a aussi des hommes qui sont plus mauvais que la quine.
15:42 -Maria Fernandez.
15:43 -Dites-le moi, M. Romulo,
15:46 que vous avez amené à ce poste de majorité,
15:48 après tant d'années dédiés au service des hommes.
15:51 -Mais c'est bon.
15:52 -C'est ce que je dis, c'est bon.
15:54 -Maria !
15:55 -C'est bon de s'endurer l'abuse et de nous traiter comme des marionnettes.
15:59 -Mais tu exagères, Maria Fernandez, s'il te plaît.
16:01 -Je ne suis pas exagérant, Doña Pia.
16:02 Et depuis, je vous avoue que je ne vais pas me tordre le bras.
16:05 -Donc, pour faire confiance à son comportement.
16:07 -Bien sûr, pour faire confiance, que ce soit ce que ce soit, pour faire confiance.
16:09 Et je vous dis de l'esprit, que vous devriez vous unir à la promesse.
16:14 -A la promesse, Maria, s'il te plaît.
16:17 -D'abord, nous parlerons avec les hommes, c'est clair.
16:19 Mais si ils ne nous écoutent pas, c'est la seule façon de défendre nos droits.
16:23 Et ça ne fonctionnera pas si nous sommes tous unis.
16:26 La force, c'est la union.
16:27 ...
16:34 ...
16:37 -Catalina.
16:38 -Ouh.
16:42 -Ce bruit de la bouche ne vous fait rien de bon.
16:45 -Pardonne-moi, tante.
16:46 -Je me souviens de ne pas vous voir à l'avenir avec les autres.
16:50 Mais vous voir comme ça, ça me calme.
16:53 -Je suis désolée, nous avions des choses à parler.
16:56 -Je comprends les choses.
16:58 Des amoureux, je suppose.
17:00 Alors, qu'est-ce que tu as ?
17:02 Un mal des amours ?
17:03 -Je ne suis pas sûre.
17:06 -Alors, détends-toi.
17:07 -En réalité, rien de grave n'est arrivé.
17:10 -Vas-y, je te connais très bien.
17:13 Tu sais que tu peux me dire de quoi tu parles ?
17:16 -Je ne sais pas ce qui se passe à Pellay, récemment.
17:19 -Ne t'en fais pas, mais le comte de Daniels a toujours été un peu bizarre.
17:25 -Tante.
17:26 -Pardonne-moi.
17:27 Pardonne-moi.
17:28 Alors, qu'est-ce qu'il t'a fait, cette fois ?
17:30 -Il m'a proposé de partir aux Etats-Unis.
17:35 -A l'Amérique ?
17:36 -Oui.
17:37 -Mais, mon Dieu !
17:38 Vous n'êtes même pas mariés.
17:40 -Oui.
17:41 -Il faut permettre une sortie au balnéarie, je comprends,
17:44 mais un voyage de ces caractéristiques, ton père ne l'acceptera pas.
17:48 Même si vous alliez avec une équipe de carabines.
17:51 -Non, je peux assurer qu'il ne le fera pas.
17:53 -Et pourquoi il s'est mis à faire tant d'efforts ?
17:57 -Il dit que je peux visiter ma soeur Leonor.
18:03 -La volonté est bonne.
18:04 -Oui, mais c'est complètement imprévisible.
18:07 -Et en plus, ça supposerait un retard additionnel sur ton mariage.
18:11 -J'y ai aussi pensé.
18:13 -Ah...
18:15 -Je suis désolé de l'avoir alarmé, je ne me suis pas réconnu.
18:28 -Ne t'en fais pas.
18:29 C'est vrai que tu as été encerclé pendant longtemps et que tu as besoin de sortir.
18:33 -Ce n'était pas prévu.
18:35 Je veux dire, Martine et Catalina voulaient faire un tour du village
18:39 et prendre l'occasion de envoyer une carte à Leonor.
18:42 -En plus, la marquise était au courant.
18:44 -Oui, nous l'avons dit et elle n'a pas posé aucun obstacle à ce que je sois.
18:48 -Tranquille, mon ami.
18:50 C'est moi qui dois te tembler et te laisser plus libre.
18:53 Tu as bien senti de t'éloigner du palais ?
18:55 -Beaucoup.
18:57 Pour un instant, j'ai pu laisser tout en retard.
18:59 Le tir, la chose de Féliciano, le confinement, tout.
19:04 -Je suis désolé d'avoir été si strict avec ça.
19:07 -Bien, vous ne vous inquiétez pas pour moi.
19:10 Et je ne peux que vous remercier.
19:13 Et éviter de créer une autre inquiétude.
19:17 -Je te dis que rien ne se passe.
19:18 -Bien, selon ce que disait la tia Cruz,
19:21 hier, vous avez eu un désagréable malheur.
19:23 -Oui, oui.
19:24 Je me suis fait émerveillé.
19:26 Mais c'est évident que je n'avais pas de motifs.
19:28 -Je vous assure que non.
19:29 Je n'ai pas pris de risque.
19:31 -Je sais.
19:32 Je sais que vous et vos copines êtes des personnes cauteloses, mais...
19:35 -Mais quoi ?
19:38 -Je suppose que c'est ma faute, Curro.
19:40 Je suis plus tranquille en t'ayant ici.
19:43 -C'est pour ça que j'ai été si strict avec le confinement.
19:46 Mais en principe, il n'y a pas de motifs pour que tu ne puisses pas t'éloigner de ton Sanchez.
19:53 C'est la vérité.
19:54 -Comment que "il n'y a pas de motifs" ?
19:56 Tu veux dire que ton doute sur le fait que les tirs...
19:59 -Il me semble que tout a été un tragique et inexplicable accident.
20:03 Je n'ai pas de preuves d'autre chose.
20:06 -Tu devrais avoir vu les yeux des garçons
20:14 quand Alonso les a dit qu'il n'avait pas regardé jusqu'à ce qu'ils reviennent de leur voyage.
20:18 Ni qu'ils sortent toutes les nuits, je dis.
20:22 -Je suppose que c'est la nouveauté qui l'a alterée, madame.
20:25 -J'aimerais que ce soit cela.
20:27 En réalité, la culpe est de...
20:29 de ta possession du accident de la cage.
20:32 Excuse-moi, Petra.
20:42 Je ne devrais pas avoir évoqué le sujet.
20:45 Je sais parfaitement que si quelqu'un a du mal à se rappeler de ce jour, c'est toi.
20:51 -Ne t'en fais pas, madame.
20:52 -Tu n'as pas encore réussi à te réparer, non ?
20:56 -Je l'essaie, madame. Je vous l'assure.
21:00 Et pardonnez-moi, car ça me coûte.
21:03 Et parfois, je n'arrive pas à le cacher.
21:06 -Ne dis pas de bêtises, Petra.
21:08 -Je comprends, madame, que pour vous,
21:10 ce n'est pas agréable d'avoir une flingue comme Don Tello.
21:14 -Tu as toute ma compréhension.
21:18 Et tout mon soutien pour ce que tu as besoin. Je te l'ai déjà dit.
21:21 -Merci, madame.
21:23 Et en basant cette confiance,
21:29 sans aucun sentiment d'importunité,
21:32 il y a quelque chose que je voudrais te demander.
21:36 -Vas-y.
21:38 -Si tu n'en as pas besoin,
21:41 je voudrais savoir pourquoi...
21:43 pourquoi tu as décidé que je devienne une femme.
21:47 Pourquoi tu as décidé que mon fils
21:48 soit le personnel de travail pendant la chasse ?
21:51 -Je supposais que c'était un bon personnel pour mon soeur.
21:58 -Mais pourquoi ?
22:01 -Je suis consciente que Félicia n'a pas tué
22:08 que quelques connes dans sa vie
22:10 et qu'elle n'a pas d'expérience dans ce genre de chasse.
22:15 -Je suis désolée, madame, mais je ne comprends pas.
22:17 -Curro est très têtu.
22:21 Il ne sait même pas presser un clavier.
22:24 Mais si il avait eu un bon aideur à côté,
22:28 il aurait pu le faire bien.
22:32 -Alors tout ça a été pour...
22:35 pour endommager son fils.
22:38 -Tu sais que je ne pouvais pas permettre
22:44 que mon fils fasse fête de tout
22:46 la usurpation d'un titre qui appartenait à mon père.
22:49 Mais je l'ai fait avec la plus absolue des innocences, Petra.
22:54 Je pensais simplement que ces garçons
22:57 s'occupaient plus de parler que de chasser.
23:00 -Oui, ils ont fait un très bon coup.
23:04 -C'était pas en vain, c'était son aide à la caméra.
23:08 Qui mieux que lui pour être à son côté ?
23:10 -Et il l'a fait.
23:12 Il l'a fait.
23:13 Pratiquement jusqu'au dernier moment, madame.
23:16 -Petra, si j'avais imaginé
23:20 que quelque chose de tel pouvait se passer,
23:23 je n'aurais jamais pensé exposer ton fils,
23:27 Féliciano, à quelque chose de tel.
23:30 -Vous ne le saviez pas.
23:32 -Comment dis-tu ?
23:35 -Vous ne saviez pas que Féliciano était mon fils.
23:41 -C'est vrai, mais...
23:42 Mais je savais qu'il était ton familier.
23:45 Et je t'assure que j'aurais préféré
23:48 que Curro aie la glorie ce jour-là
23:51 pour que les choses se fassent comme elles se sont.
23:56 Petra, tu sais que je suis très désolée, n'est-ce pas ?
24:03 -Oui, madame.
24:06 Je sais.
24:08 Je sais.
24:10 -Je crois que c'était un merveilleux bain-marie.
24:13 -Vous avez bu ces eaux ?
24:15 -Oui, de toutes manières.
24:17 Il y avait différentes piscines selon la température.
24:21 -C'est incroyable.
24:23 -Pourquoi ?
24:25 -On a aussi deux températures pour se plonger.
24:28 Froide ou comme vous le dites, calme.
24:31 -C'est incroyable.
24:33 -C'est incroyable.
24:35 -C'est incroyable.
24:38 -C'est incroyable.
24:39 -Vous vous êtes bien soignée ?
24:44 -Je n'ai pas de soucis, Simone.
24:46 Le service était très attentif.
24:48 -Et la nourriture ?
24:50 -Pas si bonne que celle-ci.
24:52 Mais elle n'est pas trop bonne.
24:55 -C'est parce que vous êtes très bonne.
24:57 -Plus bonne que le pain blanc.
24:59 Il faut que vous le passez de Guinda.
25:01 -Oui, je crois.
25:03 C'est un peu de mal qu'on revienne si vite.
25:07 -C'est la réaction de la indisposition du gendarme.
25:09 -Il n'y a pas grand-chose à dire.
25:12 -Quand il vous a dit qu'il se trouvait mal ?
25:15 -Il ne m'a pas dit.
25:17 Il s'est trompé et il m'a presque emportée.
25:19 Il m'a tiré la cuillère de thé, le pauvre.
25:21 -Pauvre. C'est parce que vous avez mangé.
25:24 -A la base, ce n'était pas le cas.
25:27 Mais il s'est senti mal, il a eu des nausées
25:30 et il a insisté sur la retour.
25:32 -C'est incroyable.
25:34 C'est parce qu'il se trouvait vraiment mal.
25:36 -Bien sûr.
25:37 Mais le premier que j'ai fait,
25:39 c'est demander au docteur Bueno de l'examiner.
25:42 -Et qu'a-t-il trouvé ?
25:44 -C'est le plus curieux. Rien.
25:46 Abel a dit qu'il était parfaitement.
25:48 -Ce serait quelque chose de passager.
25:50 Regarde-le par là.
25:52 Bien est ce qui se passe.
25:54 -Bien sûr.
25:56 Et vous, que se passez-vous ici ?
25:58 -La mer de Augusto,
26:00 jusqu'à ce qu'on ait eu une visite inopportune.
26:03 -De qui ?
26:05 -La femme d'Antoñito.
26:06 -Votre femme ?
26:08 -Oui.
26:10 Elle est venue sans me dire,
26:12 et de très mauvaise façon,
26:14 elle a demandé que mon fils revienne avec elle.
26:16 -Vraiment ?
26:18 -Mais avec quel droit ?
26:20 -Parce qu'il est un vieux.
26:22 Vous devriez avoir vu ce qu'il a fait.
26:24 -Je suis désolée, Simona.
26:26 C'était un moment très compliqué pour vous.
26:29 -Oui, madame.
26:31 Mais tout s'est bien terminé.
26:34 -Je comprends alors que Virtudes reste ici.
26:37 -Oui, malheureusement, elle reste ici, madame.
26:40 -Et c'est pour cette visite que j'ai noté l'ambiance un peu étrange,
26:43 ici en bas ?
26:45 -Cela peut être pour autre chose, madame Catalina.
26:48 -Ah oui ?
26:50 Et qu'est-ce qui se passe ?
26:52 -Un sujet un peu délicat,
26:54 qu'il faut traiter avec une certaine discrétion.
26:57 -Ce ne sera pas si toutes les dames et la rue
27:03 semblent être au courant ?
27:04 -C'est exactement pour cela, madame.
27:07 -Dites-moi ce qui se passe.
27:10 -Que se passe-t-il, madame ?
27:13 -Simona.
27:15 Candela ?
27:17 -C'est bien, on vous le raconte,
27:23 mais on vous prie d'être un peu bénévole.
27:27 -Bénévole avec qui ?
27:30 -Avec Maria Fernande.
27:32 -Avec Maria Fernande.
27:33 -On doit être valide.
27:41 On doit se battre contre les injustices de ce monde.
27:45 Comme le disaient les Français,
27:47 liberté, égalité et plus parner !
27:50 -Il a vraiment dit ça ?
27:53 -Oui, ma fille, oui.
27:55 Et parce qu'on était seuls et qu'on se battait,
27:58 sinon, je me suis mis à la table.
28:01 -Il faut que tu le jures.
28:02 Averia et moi, on a fait quelque chose de similaire
28:04 pendant que nous portions la robe.
28:06 -Il a aussi dit ça ?
28:08 -Il avait plus raison que un saint.
28:10 -Et qu'est-ce qu'il vous a dit ?
28:12 -Je n'ai pas de bons souvenirs comme toi.
28:15 -Mais tu en as un, non ?
28:17 Si tu dis qu'il t'a convaincue.
28:19 -Tu peux imaginer.
28:21 Les vérités du maître barquier, comme on dit.
28:23 Si tu es née riche,
28:25 tu as toutes les facilités du monde
28:27 et tu dors sur des couches de sèche.
28:30 Mais si tu es née pauvre...
28:31 -Si tu es née pauvre, tu dors sur des couches de sèche
28:33 et tu dois te conformer aux œuvres.
28:35 Si tu as de la chance,
28:37 ils ne te mèneront pas à mourir.
28:39 Mais je ne vois pas comment on peut changer tout ça.
28:42 -C'est ce que nous lui avons dit.
28:44 Les choses sont ainsi depuis que le monde est le monde,
28:46 mais elle a l'air d'être entrainée de les changer.
28:49 -Et elle l'est.
28:51 Et elle ne peut pas nier la passion qu'elle a.
28:53 -Bien sûr.
28:56 Elle a un cœur et une vie.
28:59 Elle a un cœur et une vie.
29:00 -Et tu vas l'aider dans tout ça, non ?
29:05 Je m'en rappelle.
29:07 -Qu'est-ce qu'il t'a donné ?
29:12 -Une couteau.
29:15 Très belle et très bonne.
29:17 Fais-moi le favor de la donner à Salvador quand je partirai.
29:27 -Quoi ?
29:28 -On a fini par être des bons amis.
29:32 Il a sûrement hâte de me souvenir.
29:36 -Theresa.
29:48 -Qu'est-ce que tu fais ici ?
29:51 -Je suis venu te voir.
29:53 -Je suis venu te voir.
29:56 -Je suis venu te voir.
29:57 -Theresa.
30:00 Si tu es avec elle dans tout ça...
30:05 -Je ne sais pas.
30:10 Je n'ai pas vraiment l'esprit.
30:13 -Tu ne vas pas l'aider ?
30:17 -Oui, je suppose que oui.
30:23 Pour la solidarité avec les compagnons.
30:26 Comme dit Maria, il est très important que nous soyons tous ensemble.
30:30 -Je te disais que tout ça ne pouvait pas te laisser froid.
30:35 -C'est à ça que tu es en train de t'en tromper, Salvador.
30:39 Tu ne t'imagines pas combien.
30:43 -Viens.
30:44 -Bébé, tranquille.
30:46 Merci.
30:48 -Respire.
30:50 Tu vas te faire un pain pourri.
30:52 -Et maintenant, tu nous dis que tu es si malheureuse ?
30:55 -Il s'est passé quelque chose sur le chemin.
30:57 -C'est quoi ?
30:59 -C'est un problème de la santé.
31:01 -C'est quoi ?
31:03 -C'est un problème de la santé.
31:05 -C'est quoi ?
31:07 -C'est un problème de la santé.
31:09 -C'est quoi ?
31:11 -C'est un problème de la santé.
31:12 -C'est quoi ?
31:14 -C'est un problème de la santé.
31:16 -C'est quoi ?
31:18 -C'est un problème de la santé.
31:20 -C'est quoi ?
31:22 -C'est un problème de la santé.
31:24 -C'est quoi ?
31:26 -C'est un problème de la santé.
31:28 -C'est quoi ?
31:30 -C'est un problème de la santé.
31:32 -C'est quoi ?
31:34 -C'est un problème de la santé.
31:36 -C'est quoi ?
31:38 -C'est un problème de la santé.
31:40 -C'est un problème de la santé.
31:41 -C'est un problème de la santé.
31:43 -C'est un problème de la santé.
31:45 -C'est un problème de la santé.
31:47 -C'est un problème de la santé.
31:49 -C'est un problème de la santé.
31:51 -C'est un problème de la santé.
31:53 -C'est un problème de la santé.
31:55 -C'est un problème de la santé.
31:57 -C'est un problème de la santé.
31:59 -C'est un problème de la santé.
32:01 -C'est un problème de la santé.
32:03 -C'est un problème de la santé.
32:05 -C'est un problème de la santé.
32:07 -C'est un problème de la santé.
32:09 -C'est un problème de la santé.
32:10 -C'est un problème de la santé.
32:12 -C'est un problème de la santé.
32:14 -C'est un problème de la santé.
32:16 -C'est un problème de la santé.
32:18 -C'est un problème de la santé.
32:20 -C'est un problème de la santé.
32:22 -C'est un problème de la santé.
32:24 -C'est un problème de la santé.
32:26 -C'est un problème de la santé.
32:28 -C'est un problème de la santé.
32:30 -C'est un problème de la santé.
32:32 -C'est un problème de la santé.
32:34 -C'est un problème de la santé.
32:36 -C'est un problème de la santé.
32:38 -C'est un problème de la santé.
32:39 -C'est un problème de la santé.
32:41 -C'est un problème de la santé.
32:43 -C'est un problème de la santé.
32:45 -C'est un problème de la santé.
32:47 -C'est un problème de la santé.
32:49 -C'est un problème de la santé.
32:51 -C'est un problème de la santé.
32:53 -C'est un problème de la santé.
32:55 -C'est un problème de la santé.
32:57 -C'est un problème de la santé.
32:59 -C'est un problème de la santé.
33:01 -C'est un problème de la santé.
33:03 -C'est un problème de la santé.
33:05 -C'est un problème de la santé.
33:07 -C'est un problème de la santé.
33:08 -C'est un problème de la santé.
33:10 -C'est un problème de la santé.
33:12 -C'est un problème de la santé.
33:14 -C'est un problème de la santé.
33:16 -C'est un problème de la santé.
33:18 -C'est un problème de la santé.
33:20 -C'est un problème de la santé.
33:22 -C'est un problème de la santé.
33:24 -C'est un problème de la santé.
33:26 -C'est un problème de la santé.
33:28 -C'est un problème de la santé.
33:30 -C'est un problème de la santé.
33:32 -C'est un problème de la santé.
33:34 -C'est un problème de la santé.
33:36 -C'est un problème de la santé.
33:37 -C'est un problème de la santé.
33:39 -C'est un problème de la santé.
33:41 -C'est un problème de la santé.
33:43 -C'est un problème de la santé.
33:45 -C'est un problème de la santé.
33:47 -C'est un problème de la santé.
33:49 -C'est un problème de la santé.
33:51 -C'est un problème de la santé.
33:53 -C'est un problème de la santé.
33:55 -C'est un problème de la santé.
33:57 -C'est un problème de la santé.
33:59 -C'est un problème de la santé.
34:01 -C'est un problème de la santé.
34:03 -C'est un problème de la santé.
34:05 -C'est un problème de la santé.
34:06 -C'est un problème de la santé.
34:08 -C'est un problème de la santé.
34:10 -C'est un problème de la santé.
34:12 -C'est un problème de la santé.
34:14 -C'est un problème de la santé.
34:16 -C'est un problème de la santé.
34:18 -C'est un problème de la santé.
34:20 -C'est un problème de la santé.
34:22 -C'est un problème de la santé.
34:24 -C'est un problème de la santé.
34:26 -C'est un problème de la santé.
34:28 -C'est un problème de la santé.
34:30 -C'est un problème de la santé.
34:32 -C'est un problème de la santé.
34:34 -C'est un problème de la santé.
34:35 -C'est un problème de la santé.
34:37 -C'est un problème de la santé.
34:39 -C'est un problème de la santé.
34:41 -C'est un problème de la santé.
34:43 -C'est un problème de la santé.
34:45 -C'est un problème de la santé.
34:47 -C'est un problème de la santé.
34:49 -C'est un problème de la santé.
34:51 -C'est un problème de la santé.
34:53 -C'est un problème de la santé.
34:55 -C'est un problème de la santé.
34:57 -C'est un problème de la santé.
34:59 -C'est un problème de la santé.
35:01 -C'est un problème de la santé.
35:04 -Ah !
35:05 -Et je ne vous ai pas dit le plus intéressant ?
35:07 -Vous savez qui j'ai rencontré quand je sortais de l'ayuntement ?
35:10 -A Calixto Gutiérrez.
35:12 -Qui est-ce ?
35:14 -Ah, oui, pardon.
35:16 -Calixto est un collègue de l'étudiant Abel et un ami.
35:21 -Et je pense qu'il a aussi participé à la soignance des blessés.
35:25 -Vous avez bien su, Romulo.
35:27 -Et vous avec un cerveau blanc.
35:29 -C'est vrai.
35:32 -C'est un cerveau blanc.
35:33 -C'est un cerveau blanc.
35:35 -C'est un cerveau blanc.
35:37 -C'est un cerveau blanc.
35:39 -C'est un cerveau blanc.
35:41 -C'est un cerveau blanc.
35:43 -C'est un cerveau blanc.
35:45 -C'est un cerveau blanc.
35:47 -C'est un cerveau blanc.
35:49 -C'est un cerveau blanc.
35:51 -C'est un cerveau blanc.
35:53 -C'est un cerveau blanc.
35:55 -C'est un cerveau blanc.
35:57 -C'est un cerveau blanc.
35:59 -C'est un cerveau blanc.
36:01 -C'est un cerveau blanc.
36:02 -C'est un cerveau blanc.
36:04 -C'est un cerveau blanc.
36:06 -C'est un cerveau blanc.
36:08 -C'est un cerveau blanc.
36:10 -C'est un cerveau blanc.
36:12 -C'est un cerveau blanc.
36:14 -C'est un cerveau blanc.
36:16 -C'est un cerveau blanc.
36:18 -C'est un cerveau blanc.
36:20 -C'est un cerveau blanc.
36:22 -C'est un cerveau blanc.
36:24 -C'est un cerveau blanc.
36:26 -C'est un cerveau blanc.
36:28 -C'est un cerveau blanc.
36:30 -C'est un cerveau blanc.
36:31 -C'est un cerveau blanc.
36:33 -C'est un cerveau blanc.
36:35 -C'est un cerveau blanc.
36:37 -C'est un cerveau blanc.
36:39 -C'est un cerveau blanc.
36:41 -C'est un cerveau blanc.
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36:45 -C'est un cerveau blanc.
36:47 -C'est un cerveau blanc.
36:49 -C'est un cerveau blanc.
36:51 -C'est un cerveau blanc.
36:53 -C'est un cerveau blanc.
36:55 -C'est un cerveau blanc.
36:57 -C'est un cerveau blanc.
36:59 -C'est un cerveau blanc.
37:00 -C'est un cerveau blanc.
37:02 -C'est un cerveau blanc.
37:04 -C'est un cerveau blanc.
37:06 -C'est un cerveau blanc.
37:08 -C'est un cerveau blanc.
37:10 -C'est un cerveau blanc.
37:12 -C'est un cerveau blanc.
37:14 -C'est un cerveau blanc.
37:16 -C'est un cerveau blanc.
37:18 -C'est un cerveau blanc.
37:20 -C'est un cerveau blanc.
37:22 -C'est un cerveau blanc.
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37:26 -C'est un cerveau blanc.
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37:35 -C'est un cerveau blanc.
37:37 -C'est un cerveau blanc.
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37:41 -C'est un cerveau blanc.
37:43 -C'est un cerveau blanc.
37:45 -C'est un cerveau blanc.
37:47 -C'est un cerveau blanc.
37:49 -C'est un cerveau blanc.
37:51 -C'est un cerveau blanc.
37:53 -C'est un cerveau blanc.
37:55 -C'est un cerveau blanc.
37:57 -C'est un cerveau blanc.
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38:00 -C'est un cerveau blanc.
38:02 -C'est un cerveau blanc.
38:04 -C'est un cerveau blanc.
38:06 -C'est un cerveau blanc.
38:08 -C'est un cerveau blanc.
38:10 -C'est un cerveau blanc.
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38:31 -C'est un cerveau blanc.
38:33 -C'est un cerveau blanc.
38:35 -C'est un cerveau blanc.
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38:39 -C'est un cerveau blanc.
38:41 -C'est un cerveau blanc.
38:43 -C'est un cerveau blanc.
38:45 -C'est un cerveau blanc.
38:47 -C'est un cerveau blanc.
38:49 -C'est un cerveau blanc.
38:51 -C'est un cerveau blanc.
38:53 -C'est un cerveau blanc.
38:55 -C'est un cerveau blanc.
38:56 -C'est un cerveau blanc.
38:58 -C'est un cerveau blanc.
39:00 -C'est un cerveau blanc.
39:02 -C'est un cerveau blanc.
39:04 -C'est un cerveau blanc.
39:06 -C'est un cerveau blanc.
39:08 -C'est un cerveau blanc.
39:10 -C'est un cerveau blanc.
39:12 -C'est un cerveau blanc.
39:14 -C'est un cerveau blanc.
39:16 -C'est un cerveau blanc.
39:18 -C'est un cerveau blanc.
39:20 -C'est un cerveau blanc.
39:22 -C'est un cerveau blanc.
39:24 -C'est normal que tu aies faim.
39:25 Le voyage à Cordova se fait très dur par cette route pleine de courbes.
39:28 -Oui, mais ça a été bien.
39:30 C'est toujours un plaisir de se perdre dans les rues de Cordova.
39:33 -Je pensais que c'était pour résoudre les problèmes bureaucratiques de la promesse.
39:37 -C'est ce qui s'est passé, mais tu vas m'avoir convaincu qu'il y a du temps pour tout faire.
39:41 -Oui, mais tu n'as pas passé un temps très long, non ?
39:44 Quelques heures, plutôt.
39:46 -C'est vrai, mais j'ai pu m'en servir au maximum.
39:49 J'ai même pu voir la fabrique d'huile qui a souffert de ces incendies.
39:53 -Oui, ce qui reste de l'huile, plutôt.
39:56 -C'est ça.
39:58 -Et quelle impression t'a fait ?
40:00 -Je dois te reconnaître que je suis étonné de la voir avec mes propres yeux.
40:05 Et en fait, je crois que seulement ainsi, tu peux t'en faire une idée de la grandeur de ce qui s'est passé hier.
40:11 -C'est ça, oui.
40:13 -Abel, tu vois, je me demandais si tu avais le contact de certaines des personnes
40:21 avec lesquelles tu as travaillé main-à-main, en t'assurant les blessés.
40:24 -Bah non, non, non, parce que nous ne faisions que travailler.
40:30 -Et je te vois très intéressé, non, sur ce sujet.
40:34 C'est pour quelque chose en particulier ?
40:37 -Non.
40:39 -Bien, oui.
40:45 -Je t'ai confié que, tu vois, pendant que je passais par Cordoba,
40:48 je me suis rencontré avec un vieil connu de notre.
40:52 -Ah.
40:54 -Calixto Gutierrez. Tu te souviens ?
40:57 -Vaguement.
40:59 -Il a étudié la médecine, je ne me souviens pas si c'était un an avant ou après que toi.
41:04 Le fait est que... il m'a dit qu'il aidait aussi comme volontaire,
41:09 en t'assurant les blessés.
41:12 -Ah, je ne m'y attendais pas. Mais bon, quelle coïncidence, non ?
41:15 -Oui.
41:17 Ce qui me semblait une énorme coïncidence, c'est qu'il m'a dit qu'il ne t'avait pas vu par là-bas.
41:23 Et c'est curieux, car c'était le responsable de l'hôpital de campagne
41:27 qui a été installé à côté de la fabrique.
41:29 Ce n'est pas curieux ?
41:31 -Bien, pas vraiment, en réalité, parce que...
41:35 on ne travaillait que avec les collègues.
41:39 Ils étaient très pressés, et il n'y avait pas de temps pour reposer.
41:42 Imaginez.
41:44 -Bien sûr.
41:46 Oui, ça devait être ça.
41:48 -Une indisposition ?
41:58 -Oui, je crois que oui.
42:00 -Oh mon Dieu, on dirait qu'on a été mal regardé.
42:03 -Oui, oui, Maria Fernandez.
42:05 -Que veux-tu dire ?
42:08 -Qu'est-ce que tu veux dire, monsieur Baeza ?
42:09 C'est précisément ce que Maria a dit.
42:11 -Oui, je voulais te demander...
42:13 Oui, il fallait changer de rôle, car une collègue était indisposée.
42:18 Je sais ce que tu veux dire, mais ce n'est pas exactement ce que je voulais te demander.
42:21 -Non, pas exactement.
42:23 -Oui, mais à quoi tu parles ?
42:25 -Il devait avoir vu les visages des filles quand ils ont su qu'il fallait couvrir une collègue.
42:30 -Ce n'était pas drôle, c'est normal.
42:32 -Non, ce n'est pas normal.
42:34 Ils ont montré plus de position que d'habitude.
42:37 Et c'est là que Maria Fernandez est arrivée.
42:39 -Je crois que les consignes de la volée ont un impact très fort sur le personnel.
42:43 -Je comprends.
42:45 -Que pensez-vous, monsieur Baeza ?
42:48 -Si vous voulez que je vous dise la vérité,
42:51 madame Darre, j'ai été à la fois,
42:55 et je crois que Maria Fernandez a le droit de lutter comme elle le fait.
43:00 -Ah, oui, bien sûr.
43:02 -Je me proposerais de me unir à sa cause.
43:04 -Et vous savez ce que je vous dis ?
43:06 Que vous ne me surprenez pas du tout.
43:08 -Ca se passe aussi.
43:10 -Si je ne l'ai pas dit avant, c'est pour la prudence, monsieur Baeza.
43:15 -Je comprends parfaitement.
43:17 Nous avons la responsabilité de garder les intérêts des hommes.
43:22 -C'est ça.
43:24 -Mais nous avons pris tant de temps à représenter le service
43:27 que nous avons perdu la perspective.
43:29 C'est ce que je voulais dire.
43:31 -Ce que je veux dire, c'est que nous ne sommes pas de la famille Lujan, monsieur Baeza.
43:35 Nous sommes ses servants.
43:36 -Oui, c'est vrai.
43:38 -Oui, et même si nous sommes le plus haut de la classe,
43:40 les serfs ne sont pas plus que ça.
43:42 -Non, nous faisons partie du service.
43:44 Je crois qu'il est temps de penser aux intérêts de nous-mêmes
43:49 et aux intérêts de nos compagnons.
43:51 Que pensez-vous, madame Darre ?
43:53 -Je pense que ce que nous décidons, nous ne pouvons pas nous en remettre.
43:56 Il faut donc penser à ça avec grande cauté, monsieur Baeza.
44:00 -C'est ça, bien sûr.
44:02 ...
44:12 -Je n'ai pas arrêté de penser à toi depuis que je suis allé à Cordoba.
44:15 -Moi non plus.
44:17 -Tu as aussi été à Cordoba ?
44:20 Non, je t'ai vu par là-bas.
44:22 ...
44:25 Je l'ai ruiné ?
44:27 -Tu n'as rien ruiné.
44:29 -Je l'ai ruiné.
44:32 -Que se passe t-il par là-bas ?
44:33 Dis-moi.
44:35 -Je ne sais pas ce que te dire.
44:38 Ce que je peux te dire, c'est que j'ai trouvé un lien à tirer
44:41 en ce qui concerne Abel, mais...
44:43 Mais quelque chose me dit que tu ne veux pas en parler.
44:46 -Je veux que tu me dises ce que tu trouves de la ville.
44:49 -Je n'ai pas eu beaucoup de temps, mais...
44:52 La ville est toujours magnifique.
44:55 -Et tu as pu passer par ses rues ?
44:58 -Oui.
45:00 J'ai traversé le pont Viejo et...
45:02 Et je n'ai pas pu arrêter de m'imaginer comment ça serait de passer par là-bas, toi.
45:07 A ton côté.
45:10 -Vraiment ?
45:12 -Tu aimerais voir les rayons de soleil reflétés dans les eaux du Guadalquivir, Hanna.
45:16 -Bien sûr.
45:18 -Tu sais,
45:20 on passerait jusqu'à la victoire de l'archange Saint Raphaël.
45:25 C'est l'ange des rencontres heureuses.
45:29 -Il est capable de réaliser des miracles dans les questions de l'amour.
45:33 -Alors, il faudrait qu'on le convienne.
45:36 -On le fera.
45:43 Un jour.
45:45 -J'espère.
45:47 Mais pour moi, c'est déjà assez de miracles
45:50 pour que nous puissions avoir ces rencontres.
45:53 -Ils ne me connaissent pas.
45:55 -Ils me connaissent à la glorie.
45:58 -Même si ils sont trop fugaces.
45:59 J'oublie les problèmes,
46:04 le punitivité,
46:06 la guerre que Maria Fernandez a commencée,
46:08 le timide que c'est Lope...
46:10 J'oublie tout.
46:12 -Jusqu'à la présence du conde d'Ayala,
46:16 notre ami Abel Bueno, Gimena...
46:18 Pardonne-moi.
46:23 -Ca ne te fait rien.
46:26 -Je sais que Gimena est partie il y a un temps et il me semble que...
46:29 Il me semble qu'elle n'existe plus mais elle existe et ça me rappelle qui je suis.
46:33 -La femme à qui j'aime.
46:41 Je le réparerai.
46:46 Je te le promets.
46:49 Je ne sais pas comment,
46:52 mais je le réparerai.
46:55 Je le réparerai.
46:56 ...
47:22 ...
47:31 -Autre fois ici ?
47:33 -J'avais l'espoir que tu m'aiderais et que tu reviendrais chez moi.
47:36 -Tu vois que non.
47:42 Je ne vais plus n'importe où,
47:44 et moins avec toi.
47:46 -Virtudes !
47:51 -Vas-y, j'ai pas le choix.
47:52 -Je m'en fiche.
48:02 Je ne vais pas me laisser craindre de tes menaces.
48:05 -Ce ne sont pas des menaces.
48:07 C'est le plus sensible.
48:09 -C'est assez. Je ne fais rien de mauvais.
48:11 Je suis ici pour connaître ma mère,
48:13 qui était perdue après tant d'années sans savoir de la question.
48:16 -Pourquoi tu l'as abandonnée ?
48:18 -Je m'en fiche de ce qui s'est passé dans le passé.
48:20 La vie nous a donné une deuxième chance,
48:22 et je ne vais pas la perdre.
48:24 -C'est ta dernière parole ?
48:26 -Bien sûr que oui.
48:28 -C'est bien.
48:30 Tu m'obliges à être tafante.
48:32 -C'est une nouveauté.
48:34 -Ne sois pas impudente et écoute.
48:36 Tu reviendras avec moi,
48:39 ou tu ne rentreras plus chez moi.
48:41 Et tu ne reviendras jamais voir ton frère.
48:44 ...
48:57 ...
49:07 -Bonne nuit, Lope.
49:09 -Tu es encore là ?
49:11 -J'ai terminé mes paèmes.
49:14 J'aimerais te demander si tu as parlé avec Mera.
49:18 -Oui, j'ai parlé avec elle.
49:23 -Vraiment ? Et comment ?
49:25 -Je ne sais pas si je veux te le dire.
49:27 -Vas-y, Lope, tu dois me le dire.
49:29 Tout ce que nous avons fait n'a pas servi à rien.
49:32 -Je ne sais pas si ça sert à rien.
49:34 Je ne dis pas ça pour toi,
49:36 car tu m'as beaucoup aidé et je te le remercie.
49:38 Mais je ne sais pas si j'ai un remède.
49:40 -Bien sûr que tu as un remède, Lope.
49:42 Ne dis pas de bêtises.
49:44 Raconte-moi tout ce qui s'est passé.
49:46 -J'ai essayé de réitérer mes sentiments,
49:49 et j'ai commencé à dire sans sens.
49:53 Et maintenant, je ne sais pas quoi faire.
49:55 -Donc vous en parlez ?
49:58 -Oui.
50:00 -Mais tu n'es pas encore prêt à être sincère avec elle.
50:05 -C'est ce que je crois.
50:07 -On va devoir essayer autre chose.
50:10 -Pourquoi ?
50:12 -On pourrait faire encore les choses d'hier,
50:15 la cuisine à la vieille.
50:17 -Maintenant ? -Maintenant, oui.
50:20 Tu as quelque chose à faire ?
50:22 -Non, non.
50:23 -Bien.
50:25 -Manuel.
50:30 -Catalina.
50:34 Quelle expression plus grave ?
50:36 Il s'est passé quelque chose ?
50:38 -Je dois parler, si je t'ai menti.
50:40 -Euh... C'est bien.
50:43 Maintenant, tu m'as vraiment préoccupé.
50:45 -C'est un sujet délicat.
50:48 -Je vois.
50:51 -Sis, si tu viens me parler de ma femme,
50:53 je te dirai que je l'ai vu,
50:55 mais il n'y avait personne au palais des duques des enfants.
50:57 -Et où est-il ?
50:59 -Selon son maire, la famille a voyagé à Madrid
51:02 pour qu'il le voit un spécialiste.
51:04 -C'est une bonne nouvelle.
51:06 Tu n'as pas encore demandé ?
51:08 -Non, mais je l'appellerai la semaine qui viendra
51:11 pour en savoir plus.
51:13 -Je suis contente.
51:15 Mais je ne suis pas là pour ça.
51:17 Elle est le plus petit de mes problèmes.
51:20 -Alors, pourquoi es-tu venu me parler ?
51:21 -J'ai entendu parler de tambours de guerre entre les enfants.
51:25 -Tambours de guerre ?
51:27 -Oui.
51:29 -Tu parles de la guerre en Europe ?
51:31 -Non, peut-être que j'ai utilisé un mot inapproprié.
51:34 Mais le fait est que le sujet est assez grave.
51:37 -Je vois.
51:40 Tu m'interroges sur ce que tu parles ?
51:44 -De la lutte entre les enfants.
51:47 C'est ce que je voulais te parler.
51:49 -Et comment sont arrivés les rumeurs jusqu'à toi ?
51:52 -Parce que j'ai mes propres sources d'informations.
51:55 Et après m'en savoir, j'ai été assez inquiète.
51:59 -Peut-être que la chose n'est pas si grave.
52:04 -Oui, c'est vrai.
52:06 C'est pour ça que je veux parler sérieusement avec toi.
52:08 Et que tu sois complètement sincère.
52:10 Manuel,
52:13 c'est toi qui est en train de faire la guerre entre les enfants ?
52:17 -Oui, c'est moi.
52:18 -Je suis déjà en train de travailler.
52:27 De quel moment veux-tu que je parle de ma enfance ?
52:30 -Je ne veux pas parler de ta enfance aujourd'hui, Lope.
52:33 -Et de quoi veux-tu qu'on parle ?
52:36 -Je veux qu'on parle sérieusement.
52:39 -Sérieusement ?
52:41 -Oui.
52:43 Je veux que tu me racontes comment tu as connu elle.
52:46 -Comment ?
52:47 -Berha et moi nous avons congéniés depuis le premier moment.
52:52 -Et comment as-tu ressenti la rencontre ?
52:56 -Je l'ai vu très indéfense, Hana.
52:58 -Ce que cela a fait en toi ?
53:01 -Un désir intense de la protéger.
53:04 C'est ce que j'ai ressenti au premier moment.
53:08 Berha n'a pas duré longtemps à gagner mon effet, Hana.
53:13 -Et comment l'a-t-elle fait ?
53:15 -Parce qu'elle est toujours prête à aider les autres.
53:18 Parce qu'elle a une sourire magnifique,
53:22 qui ne se vide jamais de sa tête.
53:24 Et quand nous avons commencé à cuisiner,
53:28 elle a été très enthousiaste.
53:31 Elle écoutait tout ce que je lui disais.
53:34 Et quand je le corrigeais,
53:37 elle répondait toujours avec sa voix douce.
53:40 Mais ce n'était pas le seul geste beau qu'elle a eu avec moi.
53:44 Elle m'a toujours gardé en tête.
53:46 Je ne me souviendrai jamais
53:49 de tous ces cadeaux qu'elle m'a fait.
53:52 Et j'ai reçu ce caleçon
53:55 avec mon nom embouti.
53:57 C'est ce jour-là qu'elle m'a montré
54:00 qu'elle m'a fait plus que un cadeau de tissu à fil.
54:04 Elle m'a donné son temps
54:07 et son effort.
54:09 Et c'est à ce moment, Hana,
54:13 que je me réveille tous les matins
54:14 pour la rencontrer dans le corridor.
54:16 Et que je passe mes heures pensant à ses yeux
54:19 et à sa sourire, même quand elle évitait les pommes
54:22 ou la séparait des lentilles.
54:24 J'aime parler avec elle
54:27 et entendre sa voix
54:29 et sa sourire.
54:31 Je ne sais pas, Hana.
54:34 Je suis profondément amoureux de Vera.
54:39 Hana.
54:40 Hana, où es-tu ?
54:43 Hana.
54:44 Hana, où es-tu ?
54:46 Ils savent que je suis de leur côté.
55:09 Ils ont mon soutien.
55:11 Il n'en suffit pas de leur montrer notre soutien.
55:13 Nous devons continuer là-bas.
55:15 La sang ne va pas au riveau.
55:17 Et cela signifie contenir la rage de ta mère.
55:40 Ne me prenez pas pour une folle, Don Pelayo.
55:42 Que caches-tu ?
55:44 Je ne cache rien, Madame Margarita.
55:45 Et si c'était le cas, je ne vous réveillerais pas.
55:48 Je vous le garantis.
55:50 Tu sais que j'apprécie beaucoup ma soeur Catalina
55:52 et je ne laisserai personne
55:54 compromettre son bien-être.
55:56 - Ferme-toi, tu vas me faire mal. - Ecoute-moi, Maria.
55:58 Je sais que tu n'as pas le monnaie du boulot.
56:00 Quel monnaie ?
56:04 Je te l'ai déjà dit.
56:06 Le monnaie qui était dans un sac, dans le boulot.
56:07 Je ne sais pas de quel monnaie.
56:09 Il se passe quelque chose avec moi.
56:10 D'où as-tu cette idée ?
56:12 Ce que je dis, c'est que je te sens bizarre.
56:14 Bizarre et inquiétant.
56:16 Antoñito a toujours été à mon côté.
56:20 Nous avons toujours été ensemble.
56:22 Nous nous aimons beaucoup.
56:23 Je ne sais pas ce que je vais faire si tout cela s'arrête.
56:25 Et que fais-je, Mère ?
56:28 Je ne m'y mets pas, ni à Artavino.
56:31 Maria, pense-le. C'est la solution parfaite.
56:33 En plus, je dois aller à Cordova faire des affaires.
56:37 Je t'ai dit, nous ne nous enlèverons pas.
56:39 Nous serons de retour avant que quelqu'un nous...
56:41 Non, monsieur. Je ne me moque pas.
56:43 Si je me moque, c'est de me voir à l'escalier de Palacio.
56:46 Et pourquoi ?
56:48 Parce que je ne me moque pas.
56:50 Je ne me moque pas.
56:52 Je ne me moque pas.
56:54 Je ne me moque pas.
56:56 Je ne me moque pas.
56:58 Je ne me moque pas.
57:00 Je ne me moque pas.
57:02 Je ne me moque pas.
57:04 Je ne me moque pas.
57:06 Parce qu'ils pensaient qu'il allait se faire une affaire.
57:07 Et c'est que choisir l'amour, c'est toujours un succès.
57:10 Et ne le faire pas,
57:13 c'était le plus gros erreur de ma vie.
57:16 Je garde ça depuis plus de 20 ans.
57:25 C'est une perle du Pacifique.
57:29 Je l'ai acheté pour toi.
57:31 Je l'ai acheté pour toi.
57:32 Sous-titrage Société Radio-Canada
57:35 Sous-titrage Société Radio-Canada