Valérie Hayer et l'Histoire, Olivia Grégoire chante, changement de sexe des soldats en Espagne
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Transcript
00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états, les perles du jour.
00:04 Tu dis parfois, tu dis souvent n'importe quoi, c'était l'hymne d'amour d'Alain Barrière,
00:10 mais là franchement je ne sais pas s'il faut accorder un tel sens et faire un hymne d'amour à Valérie Ayer,
00:18 la candidate effectivement, la tête de liste pour de renaissance, pour les élections européennes.
00:25 Elle parle Valérie Ayer, elle parle, elle parle effectivement et puis elle dit des choses quand même assez étonnantes
00:32 et à un moment donné ça fait partie de tout ça de la même démarche.
00:36 Est-ce qu'il y a derrière ignorance crasse, inculture absolue,
00:40 essayer de trouver des comparaisons et des historiques qui n'ont rien à voir ?
00:46 Écoutez ce qu'elle a dit lors de son premier meeting Valérie Ayer,
00:51 on aura quelques bruits d'ambiance également, écoutez.
00:54 Hier, Daladier et Chamberlain, aujourd'hui, Le Pen et Orban.
01:00 Les mêmes mots, les mêmes arguments, les mêmes débats.
01:04 Nous sommes à Munich en 1938.
01:08 Nous les tournons des légers, nous les tournons des légers, nous les tournons des légers.
01:18 Voilà, c'était le meeting de Valérie Ayer, magnifique.
01:22 Voilà, nous sommes effectivement en pleine, je dirais en pleine confusion,
01:27 je ne sais pas si on peut parler de confusion.
01:30 Enfin, elle dit voilà, Le Pen c'est Daladier et Orban c'est Chamberlain
01:36 et nous sommes à Munich évidemment, c'est-à-dire les distributions d'érols,
01:41 déjà faites par quelques intellectuels assermentés,
01:46 donc Poutine c'est Hitler, Zelensky c'est Churchill,
01:52 et puis voilà, et puis ces Français de la cinquième colonne
01:58 qui osent dire que peut-être il faudrait quelques négociations,
02:03 peut-être qu'avec ce qui se passe actuellement aujourd'hui
02:07 et qu'au lieu de faire la guerre jusqu'au dernier ukrainien,
02:11 on pourrait quand même négocier.
02:13 Ceux qui disent quand même que peut-être que l'Europe aurait à jouer un rôle médiateur
02:19 entre les Etats-Unis et la Fédération de Russie,
02:22 non non, vous êtes des collabos, voilà, vous êtes des muniquois,
02:28 muniquois, oui c'est vrai, muniquois, j'ai envie de lui dire un peu vulgairement,
02:32 "Munique ta mère", et est-ce qu'elle réfléchit un peu,
02:35 est-ce que les personnes qui lui font son texte réfléchissent un peu,
02:39 est-ce que Le Pen est aujourd'hui Premier ministre comme l'était Édouard Daladier ?
02:44 Édouard Daladier, rappelons-le, qui ne croyait pas que le Führer allait se contenter
02:49 de la région frontalière et des Sudètes avec la Tchécoslovaquie,
02:53 qui est allé à contre-coeur signer à Munich,
02:57 et quand il rentre à Paris en avion, et il entend la foule l'acclamer,
03:02 et il dit quoi, Édouard Daladier, il dit "Ah les cons, ils n'ont rien compris".
03:07 Chamberlain, lui, effectivement, même chose,
03:10 et puis Daladier, il était quoi, figure du Parti Radical Socialiste ?
03:14 Il avait été porté au pouvoir par la vague du Front Populaire, Édouard Daladier.
03:18 Enfin, c'est pas exactement Marine Le Pen, c'est pas, vraiment pas Victor Orban.
03:24 Qu'est-ce que ça veut dire de sortir des comparaisons
03:28 qui ne sont évidemment pas raisons historiques et qui n'ont rien à voir ?
03:33 Alors je veux bien qu'aujourd'hui, c'est vraiment la grande, c'est ça,
03:38 c'est-à-dire que la grande et pure, c'est, voilà, il faut se battre,
03:43 nous allons entrer en guerre, mais attention, vous avez remarqué,
03:46 non, non, non, on n'est pas en guerre contre la Russie,
03:49 on ne va pas envoyer des soldats se battre contre la Russie,
03:52 on va envoyer des soldats non combattants en Ukraine.
03:55 Vous savez, il sortit l'expression absolument magique et miraculeuse,
03:59 des soldats non combattants, et oui, voilà, c'est intéressant,
04:03 les vingt ans de guerre pacifistes, c'est n'importe quoi,
04:07 et c'est inadmissible, je dis pour quelqu'un qui est responsable politique,
04:11 quelle que soit sa délimitation, qui soit de gauche, de droite, extrême ou pas,
04:16 d'aller faire le vingt ans de guerre et d'aller faire, effectivement,
04:20 de se battre, de se battre, attention,
04:25 de faire semblant de se battre, mais ça suffit,
04:29 mais discutez, pas un mot, vous avez remarqué, dans cette campagne,
04:33 pas un mot sur la négociation, pas un mot sur ce qu'on peut faire, non, non, non, ça y est,
04:37 alors que Poutine ne soit pas un ange, c'est le moins que l'on puisse dire,
04:41 c'est un autocrate, mais ça veut dire quoi ?
04:44 Ça veut dire qu'il faut savoir où, très sincèrement,
04:47 où on est, on dit que pour l'Ukraine, on va se battre comme on s'est battu pour l'Apollo,
04:52 pour faire 30 off 40 ou les Sudettes, est-ce que c'est la même situation ?
04:55 Absolument pas, mais voilà, alors à ce moment-là, dites-le,
04:59 allez, pour ceux qui veulent faire la guerre, allez-y, allez-y,
05:04 et puis on verra un peu ce qui se passe, allez-y, proclamez, proclamez,
05:08 et on a entendu, vous avez entendu ici, dans mon émission à Sud Radio, etc.,
05:12 ce que disent un certain nombre de généraux, ce qu'on dit à un certain nombre de colonels,
05:16 je ne parle pas des généraux de plateau et je ne parle pas des colonels de plateau, bien sûr,
05:19 ils disent "attendez, on fait quoi ? On fait quoi avec 15 000 soldats
05:23 et on tient combien ? 3 jours, comment on fait ? "
05:26 Alors ça veut dire qu'il faut céder ? Non, ça veut dire qu'il faut discuter.
05:30 Et quand on entend les trois quarts des pays européens, les 4/5ème, y compris l'OTAN,
05:35 et y compris les États-Unis dire "on n'enverra pas de soldats se battre en Ukraine",
05:39 alors il faut savoir de quoi on parle quand on est candidate Renaissance
05:44 aux élections européennes et tête de liste.
05:46 Vous parlez au nom de qui ? Vous parlez au nom de quoi ?
05:49 Vous êtes prêts à engager Renaissance pour aller se battre en Ukraine ?
05:52 Alors faites-le ! Mais dites pour qui vous parlez et au nom de qui vous parlez.
05:58 Merci Valéry Hayer.
06:00 On marque une courte pause sur Sud Radio, on se retrouve pour les U.E.
06:04 et les bravos d'André Bercov, vous allez voir, il y a peut-être quelqu'un du gouvernement
06:07 qui pourrait intégrer une célèbre émission de télé.
06:10 A tout de suite sur Sud Radio.
06:13 Sud Radio Bercov dans tous ses États, midi 14h. André Bercov.
06:18 Ici Sud Radio.
06:21 Les Français parlent au français.
06:26 Je n'aime pas la blanquette de veau. Je n'aime pas la blanquette de veau.
06:32 Sud Radio Bercov dans tous ses États.
06:35 Eh bien, vous savez que nous aimons beaucoup nous, The Voice,
06:41 on est à un certain nombre, et bien il y a une nouvelle candidate à The Voice
06:46 qui va se présenter, qui est vraiment bien, on va vous faire entendre
06:50 parce que nous on aime bien encourager les jeunes talents, les talents d'avenir
06:55 et ça fait partie aussi de la vocation de la radio et de l'émission.
07:00 Écoutez.
07:01 Sud Radio Bercov dans tous ses États.
07:04 The Voice et vous allez écouter donc notre nouvelle candidate.
07:10 Elle n'est pas encore entrainée de The Voice, mais je trouverai lamentable qu'ils ne la prennent pas.
07:16 Écoutez.
07:17 Avant de préparer un petit discours un peu plus formel,
07:20 je voulais partager ses paroles.
07:24 Qui se bat ?
07:29 Suis-moi.
07:33 Blafarde.
07:38 Et je te montrerai.
07:40 Prends garde.
07:42 Sous mon sein la grenade.
07:46 Sous mon sein la grenade.
07:49 Sous mon sein est...
07:51 Grenade.
07:53 Bon, je ne vais pas faire 4 minutes de chanson, il fait beaucoup trop beau.
07:57 Mais ça n'est pas la vocation. Bravo à vous.
08:00 Elle a de l'humour, elle a de l'humour.
08:02 C'était Olivia Grégoire, évidemment, vous l'avez reconnue, elle a de l'humour.
08:06 Mais franchement, franchement, quelle voix quoi, quelle voix, quelle voix, quelle la voce, quelle belle la voce.
08:11 Elle est, comme vous le savez, ministre déléguée chargée des PME.
08:14 Et c'était vendredi, la journée internationale des droits des femmes.
08:18 Et 101 entrepreneuses étaient reçues à Matignon avec Gabriel Attal et Aurore Berger.
08:24 Donc voilà, on a chanté cela.
08:29 Et c'était beau, voilà, sous mon sein la grenade, magnifique, etc.
08:34 Bon, écoutez, ça fait assez plaisir, parce que, voilà, moi je trouve, très sincèrement,
08:40 on a écouté ça, on s'est dit "bon, pas ça, bon, c'est amusant,
08:43 et puis vraiment c'est bien qu'Olivia Grégoire ait chanté".
08:46 Mais moi je vais vous dire, écoutez, puisque aujourd'hui, au fond,
08:51 toutes les discussions ne sont plus, comme j'ai dit,
08:53 des discussions sur ce qui se passe au niveau du chômage, du pouvoir d'achat, etc.
08:58 Les agriculteurs, tout ça, non, non, maintenant ça va être un peu l'IVG,
09:03 ou ça va être le droit de faire des plaisanteries en privé même, et en famille.
09:09 C'est un peu, quand même, il faut le dire, on est en sociétal et en liberté de plus en plus surveillés.
09:17 Eh bien, écoutez, au moins, amusez-nous.
09:19 Nous, on aimerait que tous les ministres, tous les politiques,
09:23 qui prennent la parole en public, commencent par une chanson.
09:27 Ce ne serait pas beau, ça ?
09:29 Voilà, là on écoute un tout petit peu Clara Luciani.
09:32 Oui, Clara Luciani, c'est elle qui chante la chanson.
09:35 Écoutez.
09:36 Alors franchement, franchement, auditeurs du Sud Radio, tous les amis,
09:52 vous préférez la version Olivia Grégoire ou la version Clara Luciani ?
09:56 Non, dites-nous, écrivez-nous, SMSez-nous sur Facebook et tout,
10:01 dites-nous ce que vous en pensez.
10:03 Mais de toute façon, je crois que non, il n'y a pas de problème,
10:06 évidemment, les chanteuses chantent, les politiques, politiciens,
10:10 mais chantez, je vous assure, ça nous fera tellement du bien.
10:13 Étant donné que les nouvelles, pour le moment, ne sont pas absolument fabuleuses,
10:17 le fait que vous entonniez quelques airs comme ça,
10:20 moi je vois très bien, par exemple, Gabriel Tal, chanter "Moi je m'en fous,
10:26 je m'en contrefous, avec le destin je vais bras-dessus, bras-dessous",
10:32 et puis par exemple, Gérald Darmanin, "Quand on arrive en ville",
10:39 ce serait bien là aussi, et puis tous les autres, je suis sûr que ce serait absolument,
10:44 au moins, ça nous ferait sourire pendant un moment.
10:48 Et en ce moment, on en a pas mal besoin, non ?
10:51 Oui mais Mylène Forner, là vous êtes dépassée, sans hésitation, je suis un garçon,
10:58 c'est plus le problème, non, non, non, non.
11:00 Je vous dis, on est en plein sociétal, et vous savez que parmi toutes les lois
11:04 qu'on est en train de faire, il y a la fameuse loi trans.
11:06 Et alors ceux qui ont tout battu tous les records, et ça c'est formidable, c'est l'Espagne.
11:12 Et oui, vous n'êtes pas au courant, vous allez voir, c'est franchement formidable.
11:16 Alors voilà, il y a une loi transgenre en Espagne,
11:19 qui a été votée en février 2023, donc il y a un an.
11:24 Voilà, donc c'est la loi d'égalité réelle et effective des personnes trans.
11:30 Alors que dit cette loi votée en Espagne, il y a un an ?
11:34 Elle consacre le droit à l'autodétermination de genre,
11:39 c'est-à-dire la possibilité de changer le sexe figurant sur les papiers d'identité,
11:44 sans autre démarche qu'une déclaration publique de non-conformité,
11:48 avec le sexe assigné à la naissance.
11:51 Une mesure mise en place pour rendre les carrières dans les forces armées
11:55 et des sécurités plus attrayantes pour les femmes.
11:57 Voilà, c'est pour les hommes, voilà.
11:59 C'est-à-dire, moi j'ai demandé, bon, Esteban Rania, qui est un homme,
12:03 enfin jusqu'à preuve du contraire,
12:05 et bien ici il a envie de dire, écoutez, moi c'est sur mes papiers d'identité,
12:08 mais j'ai envie d'autre chose.
12:10 Thibaut Salter, même chose. Moi, la même chose.
12:12 Enfin voilà, on peut changer le...
12:14 Alors, qu'est-ce qui se passe ?
12:16 Et bien ce qui se passe, c'est que les soldats ibériques,
12:20 certains soldats espagnols,
12:22 et bien ils ont senti qu'il y aurait,
12:25 parce qu'en fait on veut attirer les femmes dans l'armée espagnole,
12:28 et donc ils vont bénéficier ainsi davantage financier maternel
12:31 réservé aux militaires de sexe féminin.
12:33 Puisque je n'ai qu'à me proclamer.
12:35 Je dis, ouais d'accord, quand je suis né garçon,
12:37 mais moi je me sens fille, je me sens femme, etc.
12:40 Bon, et alors c'est très intéressant,
12:43 parce que le caporal Roberto Perdigores
12:46 a dit au journal El Español,
12:49 il a dit ceci,
12:50 "De l'extérieur, je me sens comme un homme hétérosexuel,
12:54 mais à l'intérieur, je suis lesbienne."
12:57 Et voilà ! Et le tour est joué !
12:59 Qu'est-ce qu'on va s'embêter, hein ?
13:01 C'est pour ça que j'ai fait le changement juridique
13:05 pour devenir une femme.
13:07 Ah bon ? C'est pour ça, simplement ?
13:09 Ah non ! Pourquoi ?
13:11 Il a reconnu auprès de journal
13:15 avoir bénéficié, tout de suite, hein,
13:17 vous dites, voilà, je me sens femme,
13:19 il a bénéficié d'une augmentation de salaire de 15%,
13:22 ainsi que l'accès à certains avantages matériels
13:25 tels qu'une chambre privée,
13:27 avec salle de bain,
13:28 ce que n'ont pas les soldats, les soldats hommes.
13:31 Il a été aussi autorisé
13:33 à porter les cheveux plus longs que ceux autorisés pour les hommes,
13:36 et les boucles d'oreilles interdites aux soldats de sexe masculin.
13:39 Mais pourquoi on interdit les cheveux longs,
13:42 pour les cheveux longs et les boucles d'oreilles ?
13:44 Voilà ! Voilà où on en est,
13:46 chez nos amis espagnols,
13:48 c'est intéressant, à ce jour,
13:50 41 militaires stationnés à Ceuta,
13:52 enclave espagnole située au nord du Maroc,
13:54 ont décidé de changer de genre.
13:56 41, voilà, mais c'est un début.
13:58 Alors, cependant, cependant,
14:00 ils ne sont pas allés jusqu'au bout,
14:02 c'est-à-dire que la plupart d'entre eux ont conservé leurs organes génitaux masculins,
14:05 puis l'osété faciale, oui, parce que
14:07 l'opération, les hormones,
14:09 la chirurgie, hein,
14:11 ça fait un peu mal tout ça, voilà.
14:13 Mais certains ont changé de nom,
14:15 d'autres gardent leur parti moine, origine.
14:17 Alors, évidemment,
14:19 ça fait, ça fait quand même
14:21 du bruit en Espagne, quand même,
14:23 tout le monde n'est pas tout à fait d'accord.
14:25 Voilà, mais
14:27 la loi a été votée, la loi d'égalité
14:29 réelle et effective des personnes trans,
14:31 donc,
14:33 ils disent "oui, mais attention", disent une certaine partie
14:36 des féministes ou des formations de droit,
14:38 disent "attention à l'effacement
14:40 juridique du sexe biologique,
14:42 ça pourrait être impéré les espaces réservés
14:44 où les femmes se sentent en sécurité", et oui,
14:46 même les féministes disent "si les hommes
14:48 vont alors venir dans les toilettes
14:50 des femmes, etc., qu'est-ce qu'on va devenir ?"
14:52 Voilà. Et en fait,
14:54 une enquête de l'Institut de sondage
14:56 Sigma DOS, affirmait en octobre
14:58 2022 que 65%
15:00 des Espagnols jugeaient problématique
15:02 le droit à la libre
15:04 autorisation du genre, ça veut dire
15:06 qu'il y a 35% des Espagnols
15:08 qui sont absolument déterminés
15:10 à ce qu'on puisse changer
15:12 de sexe uniquement en en parlant.
15:14 Pas besoin
15:16 d'hormones, pas besoin de représentation,
15:18 pas besoin de tout ça.
15:20 Vous voyez que les élections
15:22 européennes, ça avance, ça avance,
15:24 c'est ça, ce sont
15:26 les sujets les plus importants
15:28 qui vont nous occuper. Non, bien sûr,
15:30 mais en attendant, mais quelle
15:32 folie, quand même, quelle folie,
15:34 quelle folie de
15:36 voir que,
15:38 encore une fois, si
15:40 quelqu'un a envie de changer
15:42 de genre, changer de sexe,
15:44 et qu'il est
15:46 effectivement majeur, parce que je pense
15:48 que peut-être que ce n'est pas à 7,
15:50 à 8 ans qu'on pourrait le décider,
15:52 mais à 18 ans, pourquoi pas ?
15:54 Mais qu'on en fasse une loi, et qu'on en fasse une loi
15:56 qui permet, parce qu'il nous faut
15:58 des soldats, parce qu'il nous
16:00 faut des militaires femmes,
16:02 et bien de décider que
16:04 s'il y a des hommes qui ont envie de se sentir femme,
16:06 sans que ça change quoi que ce soit,
16:08 ni à leur physique, ni
16:10 à leur genre, ni etc.,
16:12 mais ils se proclament femmes, et tout va bien
16:14 dans le meilleur des mondes. Ça va être très
16:16 intéressant, les Amazones
16:18 sont de retour, ça commence
16:20 en Espagne, mais ça finira
16:22 où ?
16:24 On marque une courte pause sur Sud Radio,
16:26 on va se retrouver après les infos
16:28 de 13h pour le Face à Face d'André Bercoff,
16:30 où vous aurez la parole au 0826
16:32 300 300, et puis on est en direct
16:34 et évidemment sur le Facebook Live
16:36 pour poser toutes vos questions également,
16:38 sinon 0826 300 300.
16:40 A tout de suite sur Sud Radio, ne bougez pas.
16:42 [Musique]
16:44 SUDRADIO, parlons vrai, parlons vrai.