• il y a 8 mois
"Je savais qu'il ne fallait même pas essayer d'aller avec lui" : Egan Bernal (INEOS Grenadiers) a bien résumé ce qui le séparait de Tadej Pogacar (UAE Emirates), samedi lors de la 6e étape du Tour de Catalogne. Et spécialement quand il a vu le Slovène mettre le pied sur l'accélérateur dans l'avant-dernière difficulté, à 30 kilomètres de l'arrivée. Les chaines Eurosport sont disponibles au sein des offres Canal+, Prime Video et Bouygues Telecom

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Sport
Transcription
00:00 Une arrivée, je crois qu'on est avec Egan Bernal.
00:02 On a envie de dire enfin.
00:05 Enfin parce que les sensations étaient là depuis Paris-Nice.
00:08 Vous avez été malchanceux et là vous obtenez un bon résultat.
00:12 Oui, je ne m'attendais pas à ça honnêtement.
00:16 Je ne sais pas, je suis juste content là.
00:22 Et très très motivé de continuer à travailler.
00:27 Racontez-nous comment ça s'est passé quand Tadej est parti.
00:30 Vous êtes revenu sur Michael Lambda.
00:32 Oui, je savais que Tadej était à un autre niveau.
00:36 Je savais qu'il ne fallait même pas essayer d'aller avec lui.
00:39 Il est à un autre niveau que nous.
00:44 J'ai vraiment géré mon effort.
00:46 Je me sentais bien.
00:48 J'ai fait le job pour essayer de reprendre Lambda.
00:51 Et ensuite on a bien travaillé ensemble.
00:54 Je crois qu'il m'a aidé.
00:57 Il m'a aidé beaucoup.
00:59 Donc je dois vraiment le remercier.
01:01 Merci Lambda.
01:03 C'est une marche importante vers le retour à un plus haut niveau ?
01:08 Oui, je crois que bien sûr c'est une nouvelle marche de franchir.
01:14 Mais je dois garder les pieds sur terre.
01:19 Parce qu'il y a encore beaucoup de travail à faire.
01:22 Je crois que je me dois aussi d'être heureux et fier de moi.
01:29 Et fier de ma famille et de tous les gens qui sont autour de moi.

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