Revue de Presse du 29 Mars 2024 avec Mouhamed Alimou Ba
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00:00 à la une de votre revue de presse Alimou, Bassirou Dioumaïfaye au palais en vue de la passation de service.
00:07 C'est cela. Le président nouvellement élu a été reçu hier au palais de la République du Sénégal
00:13 par le président Makis Alassékoti Ousmane Sanko tel un nombre tutélaire dans le protocole.
00:20 Le journal se demande s'il s'agit d'un coach en arrière-plan. Mais poursuivons,
00:26 car hier c'était visite guidée dans les locaux mais surtout essonge autour des dossiers brûlants du pays
00:33 relève de son côté le journal Les Echos. En vue de la cérémonie d'investiture, le président Salles s'investit pleinement.
00:40 L'Obs informe ce matin que Makis organise même pour Dioumaïfaye. Il a donc démarché plusieurs invités,
00:46 le président de la CDIO, celui de la Mauritanie, est attendu tout comme un grand invité surprise.
00:52 Et le journal Le Quotidien soutient qu'hier c'était la première, donc sans faille, note le journal.
01:01 L'entrevue était plutôt chorégrale. Le journal Les Echos a noté beaucoup de familiarité hier entre Makis Alassékoti Ousmane Sanko
01:08 à côté de sourire après les coups. Face à face, sourire, poignet de main, à côté de formules de salutation du genre
01:15 président Nangadef Nakaia Rambi, comment vous vous portez et la forme. Les deux hommes sont en tête à tête, ont été en tête à tête
01:23 hier sur la fonction de président, les dossiers de l'État, ainsi que sur la passation de services et l'appréciation de cèdement.
01:31 Bassirou va donc prêter cèdement, vous le savez, le 2 avril au CICAD avant de se rendre aussitôt au palais de la République
01:38 pour la passation de services avec l'actuel locataire du palais de la République qui va lui céder le fauteuil de chef d'État du Sénégal.
01:46 En attendant, Makis Alassékoti Ousmane Sanko va préparer tous les dossiers de passation de pouvoir.
01:52 Le 4 avril, le Sénégal va célébrer encore la fête de l'indépendance, mais selon Vox Populi, il n'y aura pas de défilé,
01:59 mais une cérémonie de lever des couleurs au palais de la République. Mais en attendant, une question à laquelle le nouveau président
02:05 ne peut se dérober, qui de Marie Oudapsa faille sera la First Lady Sainte-Roche, le contraire.
02:12 Sources indiquent que le choix va être délicat. Professeur Moussa Diaoune vole à son secours.
02:17 Il note que, logiquement, c'est la première dame qui va être donc la First Lady, mais c'est au président de traiter cette question avec son protocole.
02:25 Lors des cérémonies officielles, des visites d'État et autres dîners, Bassirou devra s'afficher qu'avec une seule épouse
02:33 qui sera donc vue et connue de la République. L'enjeu du choix, pointe le journal, c'est d'éviter les malaises protocolaires au Sénégal.
02:41 Et comme à l'étranger, un Gambie, Baro a réglé la question en choisissant la première. En Afrique du Sud, Jacob Zuma n'avait choisi officiellement
02:50 aucune de ses femmes. Pour le moment, Bassirou a quelques jours pour se déterminer. Et le même journal indique que depuis des jours,
02:57 il crècha donc l'hôtel Azalaye. Mon confrère informe que son propriétaire est un ami personnel du président.
03:04 Ça laisse dire. Du côté de Benoît, la défaite est toujours amère, vous le savez, à accepter. Mais Makissa l'a demandé à tout le monde de se calmer,
03:13 de faire preuve de résilience. Les dernières confidences de Makissa l'enconseille les ministres. Il est revenu plutôt sur la défaite, les raisons.
03:22 Il a fait aussi le procès de la transhumance. Il faut revoir le parti de la paire. La paire donc est reconsidérée au plus vite.
03:29 La manière de faire de la politique à la base, assurer et assumer son statut d'opposant. L'As note que de toutes les façons, Benoît n'a pas le choix.
03:39 Et pour ce faire, il faudra s'unir pour se réinventer ou disparaître. Le journal Les Échos note que Makissa l'a demandé à ses militants, donc,
03:47 de retourner très vite à la base. Et la paire, la bataille pour la succession est ouverte.
03:53 Notre enquête des membres du cabinet du président Salle qui s'attendait, eux, à ce que Makis les appuie financièrement, bien sûr, qu'il leur donne un peu de cash,
04:03 avant de s'en aller, eh bien, ils n'ont pas touché un rond. On taque à tôt, s'en passe, pour le dire trivialement.
04:11 A contrario, lui, Makis Salle, est parti pour se faire une nouvelle santé, avec peut-être moins de pression.
04:17 Buzz Bill jour informe qu'il va rejeunir aussitôt son poste d'envoyé spécial de 4P, là-bas, ses 5 millions de Foncefa par mois, 40 millions pour des billets d'avion, du personnel à son service.
04:30 Le journal parle de Belleville, après le pouvoir sud-quotidien, qui relève, qui préfère rester pied sur terre, après l'euphorie de la nouvelle alternance.
04:40 Notre Kodjo Maï est attendu, doit très vite inclencher des actes de rupture, gens forts et entraînants.
04:47 Dans le cadre de la gouvernance, il y a beaucoup à faire. Le journal rappelle que, par exemple, pour la réfection du building administratif du Sénégal, l'État a englouti des milliards, et il est jusque-là inachevé.
04:59 Sud-quotidien parle d'anomalies de gouvernance du président Salle, des vagues de recrutement, par ailleurs, signalées à l'agence sécurité de proximité, 39 CDI en tout.
05:09 Du côté du PDS, le nouvel allié de Expassey, vous le savez, Karim Ouad a appelé à soutenir Diomaye président.
05:15 Tafsir Khoï, le porte-parole du PDS, tout comme d'autres, ont pris le contre-pied.
05:19 Et bien, 4 jours après cette victoire, Karim sort le sabre pour dégager de son poste Tafsir Khoï, qui ne porte désormais plus la parole du Parti démocratique sénégalais.
05:30 Il n'envoie plus la parole, et donc, il a payé sa défiance vis-à-vis de Karim.
05:37 On termine par du sport.
05:39 L'Amine Kramara a qu'à ouvrir dans l'Observateur.
05:42 Le jeune Amine, donc, la canne reste toujours un souvenir amer dans le journal Estade Quotidien.
05:50 Le Sénégal, l'absence de verticalité dans le jeu.
05:54 Le journal note que les lions sont aux flancs d'Ismaël Sarr.