Revue de Presse du 23 Juillet 2024 avec Mouhamed Alimou Ba
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00:00Cette préoccupation centrale des Sénégalais, vous le savez, des jeunes surtout, c'est de trouver du travail avec un taux de semenche tournant autour de 20% en 2023.
00:10Cette difficulté à trouver du boulot est particulièrement forte pour les moins de 35 ans qui représentent les deux tiers de la population.
00:18Mais à cette préoccupation note le quotidien. Ce juin, désormais, la perte d'emploi. Le journal a exploité le rapport annuel des statistiques du travail en 2023.
00:30Cette année-là, justement, relève le journal. Les inspecteurs du travail et de la sécurité sociale ont fait état d'un nombre total de plus de 61 000 contrats de travail enregistrés,
00:40soit 15% de moins par rapport à l'année 2022. Parmi ces contrats, 50,79 CDD, 31% de CDI, 6% sont constitués de stages non concluants, 5,29 constitués d'emplois saisonniers.
00:55Le journal Le Quotidien relève toujours que le cœur du marché bat au ralenti. Les statistiques du travail révèlent que 579 emplois ont été supprimés
01:08et 123 établissements fermés la même année. Les BTP, le commerce, la restauration, entre autres, sont les secteurs les plus touchés.
01:16Le quotidien indique que depuis plus de nombre, il y a ce problème. Les inspecteurs du travail confient avoir visé 60 023 contrats l'année dernière, soit 15% de moins que l'année dernière.
01:29Walfadrie informe que plus de 6 milliards de FANSEFA ont été versés dans le cadre des ruptures de contrats.
01:35A l'amiable commentaire de Sucré, salé donc du quotidien emploi au Sénégal, la préservation des emplois est un sérieux problème dans ce pays.
01:45Les statistiques du travail montrent qu'on crée autant d'établissements qu'on n'en perd dans ce pays. Il y a la réalité économique, l'environnement des affaires, le problème de gestion.
01:55L'État, qui est toujours gourmand, ne laisse aucune miette aux entreprises qui collent mat avant de finir par mettre la clé sous le paillasson.
02:02Chaque année, dit le journal, le rituel des statistiques du travail nous le rappelle. Quelles mesures structurelles a-t-on mises en place pour inverser la courbe, se demande le journal.
02:13C'est une bonne question, mais on cherche encore la réponse et non sexuellement.
02:19Pour le moment, l'on cherche justement encore cette alerte, dont des grands défenseurs du projet, la figure du projet de Papa Légnan hier, alerte à Dioma et Sonko.
02:29Le jour le reprend et résume sa pensée, le directeur général de la RT explique qu'on y a un langage franc avec les Sénégalais, selon Papa Légnan.
02:38Après les cent premiers jours, les nouvelles autorités doivent dire la vérité au peuple et procéder à des changements.
02:44Justement, juste trois mois au pouvoir et on se rend compte que les choses les plus élémentaires sont en réalité des urgences à régler.
02:52L'unique solution, dit-il, est de dire la vérité au peuple et procéder à des ruptures.
02:56Sinon, ce sera le retour de bâton, a-t-il pensé sur X Twitter.
03:02En poste, selon le journal qui sonne comme on en veut, si l'on en croit.
03:06Par ailleurs, Bougane Gaydani de Gomsabop, sur ça, relève que cette sortie médiatique a été polémique.
03:13Beaucoup de patriotes n'ont pas compris ce qui ressemble à un début de lâchage.
03:18Tribune, note qu'après ce tweet, Papa Lé a effectué une visite à Touba Mbaki, reçue par le Khalif général des Mourides là-bas.
03:25Selon sur ça, cette visite entre dans le cadre de la préparation du Grand Magal de Touba Mbaki.
03:31La couverture médiatique de ce grand rendez-vous par la RTS.
03:35Les Descartes qui font monter le ton à Dakar du fait des contrôles routiers systématiques qu'ils assimilent à du harcèlement.
03:42Sur ça, a donné la parole à certains d'entre eux qui soupçonnent le nouveau régime de vouloir les dégager de la capitale sénégalaise.
03:48Selon les Descartes, avec les vacances citoyennes patriotiques, les nouvelles autorités veulent les pousser à retourner à la terre.
03:55D'où les contrôles routiers devenus systématiques.
03:58A l'une, Badara Lé, il y a 26 ans, dit nous sentons une volonté inavouée de nous chasser de la capitale.
04:04Alors que tout ce que nous demandons, c'est de nous faciliter le travail.
04:08Dès lors que nous avons choisi le secteur du transport pour être à l'abri du besoin.
04:12On autre jeune de dire je suis dessus par ce nouveau régime.
04:15Qu'est-ce que je n'ai pas donné pour le projet?
04:17Il m'est arrivé de ranger mon enchain pour manifester à mon enchain pour manifester.
04:21Même si on n'est pas à règle, il revient aux autorités actuelles de nous faciliter l'obtention de tous les papiers.
04:27Y compris bien sûr le permis de conduire et la carte grise à des tarifs adorables.
04:32Le tarifiste rappelle la publication.
04:34Aussi, les Descartes se sont spontanément organisés hier pour donner le goût de ce qu'ils vont faire dans les prochains jours.
04:41Si la situation persiste, le titre du journal les Descartes prépare une révolte.
04:47Dans un directeur l'accès difficile au financement, le supplice des jeunes pharmaciens.
04:53Le président interpellé, le confrère décrit que 300 jeunes pharmaciens disposent depuis plus de deux ans
04:59d'arrêter leur permettant d'ouvrir leur propre pharmacie.
05:02L'ouverture d'une pharmacie nécessite un accompagnement de grossistes pour la fourniture de médicaments.
05:08200 et 300 de cette nouvelle génération de pharmaciens se sont vus refuser cet accompagnement.
05:14Les grossistes qui ont préféré les renvoyer auprès des banques.
05:18Note encore la publication.
05:21Pendant ce temps, Fadilou Keïta, le déché de la CDC, continue de ruminer sa colère
05:26et promet de chaquier ceux qui ont mis un feu main basse sur les déniés publics.
05:34On retrouve le visage renfroigné de Fadilou Keïta dans Réunis Quotidien et dans Sourça.
05:38Il dit, la peine que je ressens a passé 70% de mon temps à démêler leurs noms,
05:44à déjouer leurs pièges, à démanteler leurs forfaits au-delà de me faire mal,
05:48me couvre de honte et de tristesse pour mon peuple, réagit Fadilou Keïta sur son compte Facebook hier
05:54au sujet des détournements présumés et reprochés à certains responsables de l'ancien régime.
05:59Fadilou Keïta de poursuivre, ces messieurs qui nous ont précédés ont sciemment distribué nos milliards
06:05avec une désinvolture inqualifiable.
06:08Les mots qui me viennent à l'esprit sont lâcheté, très triste et méchant.
06:11C'était quand je vois tout ce qu'ils ont fait à nos institutions,
06:14j'outre le déchet de la caisse des dépôts et consignations.
06:19Tout noir de colère, vous l'aurez compris, en page intérieure du journal Direct News et Source 1.
06:28En première page du journal, plus de mille jours, énormes dégâts sur les rails du tronçon,
06:32caféine, tambacounda, du chemin à fer.
06:34Le journal note que le train devait siffler en décembre 2023.
06:38Eh bien, ça attend toujours. Récemment, 36 milliards ont été injectés sur ce tronçon et ça attend encore.
06:46On termine par du sport avec le journaliste de Quotidien, Eco de la Tanière, Mercato de Lyon, du Sénégal,
06:54Lamine Camara et Smalsar, toujours en attente.
06:56Le journal écrit que cet été, plusieurs Jeux Sénégalais attirent l'attention des clubs européens
07:00sur le marché des transferts.
07:02Des Smalsars, cotisés par Crystal Palace, à Lamine Camara, à Southampton,
07:06en passant par Habib Diallo, Bouna Sarr et Mouriyaw.
07:10Les Lyons sont prisés partout et on croise les doigts pour eux, bien sûr.