Retrouvez Cyril Hanouna désormais le samedi et le dimanche dès 18h50 pour Face à Hanouna !
Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.
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00:00 - Pour lui amener deux costumes au Brésil où il était en visite officielle,
00:03 on a loué deux sièges en première.
00:06 - Oh là là !
00:06 - Donc le deuxième siège, c'était juste pour mettre les deux costumes bien attachés.
00:09 - Non mais il y avait un intendant à côté.
00:11 - Oui mais le problème, alors si je peux me permettre, lui il était où ?
00:14 - Au Brésil.
00:15 - Il est au Brésil.
00:16 - Non mais lui il est où ?
00:18 - Au Brésil.
00:18 - Lui il est au Brésil.
00:19 Et les costumes ils sont où ?
00:20 - À Paris.
00:21 - À l'Elysée.
00:22 - Mais pourquoi ? Lui il est au Brésil et les costumes sont à Paris.
00:24 - Il manque de costumes.
00:24 - Donc là les costumes ils ont appelé Transavia.
00:27 - Ils ont dit voilà, ouais salut.
00:29 Air France.
00:30 - D'accord, ouais.
00:31 - En fait lui il se change beaucoup, là-bas c'est très humide, il manque de costumes.
00:34 On lui achemine deux costumes.
00:35 Il y a un intendant de l'Elysée qui arrive et qui loue le deuxième siège.
00:38 - Ouais mais ils sont pas venus tout seuls les costumes ?
00:39 - Non avec un intendant.
00:40 - Avec un intendant de l'Elysée.
00:41 - Ça coûte 3 555 euros, deux sièges.
00:44 - Alors ouais parce que mon avis d'intendant, il doit voyager en première.
00:47 - Oui et les costumes en première avec lui.
00:48 - C'est beaucoup plus cher.
00:49 - Parce que le problème c'est que si l'intendant de voyage en première,
00:52 s'il met les costumes en écho...
00:54 - Retour l'intendant voyage en écho.
00:56 - Non c'est pour les costumes qu'on loue la première.
00:59 - Énorme, énorme, énorme.
01:00 - Arrêtez-vous, tu dis n'importe quoi.
01:02 - Attends, attends, attends.
01:03 - Tu dis, les costumes, les costumes les ont dit.
01:05 - Non, non, non, non.
01:06 - Attends, attends, attends.
01:07 - Dis n'importe quoi Gilles.
01:08 - Attends, attends, attends, deux minutes, on va pas se résumer l'affaire.
01:10 Pour toi, donc les costumes ont dit, nous si on voyage pas en première, on va pas au Brésil.
01:13 - Absolument.
01:14 - En première.
01:15 - C'est pour qu'il nous arrive impeccable, qu'il ne soit pas froissé.
01:18 - Alors Laurent qui connait bien le dossier.
01:20 - Je connais pas bien le dossier.
01:22 - Mais tu connais le dossier.
01:24 - Répondes à tes dossiers s'il te plaît.
01:26 - J'ai en tout cas plus lu que toi et j'ai vu ce qui a été dit et ce qui a été fait rapidement.
01:32 Y'a un mec de l'Élysée qui a emmené deux costards, parce que le président il faisait 40 degrés là-bas,
01:37 il y avait pas assez de costumes etc., il en change beaucoup, il avait besoin de deux costards.
01:41 Ils ont été amenés par avion Air France et que les costards ont été emmenés par un intendant en business.
01:46 Et pas en première, en business, c'est pas exactement la même chose au niveau du prix.
01:49 - 3 555.
01:50 - Ça serait beaucoup plus cher que ça.
01:52 - 3 555, j'ai donné le prix au...
01:56 - Moi je pense que c'est plus cher.
01:58 - Donc c'est pas de la première, c'est de la business.
02:00 - Et donc il y avait un siège où le mec était là.
02:03 - Tu le parlais le prix, 3 555.
02:05 - Et la merde.
02:10 - C'est vrai que quand on sait que ton ami Jean-Luc Mélenchon ne voyage qu'en première,
02:16 lui, c'est en revanche, parce qu'il paraît qu'il a mal au dos, je comprends que tu connaisses les prix des billets.
02:20 - Oh !
02:22 - Simon d'Empoignant ce samedi, y'a du Rituti et Loul.
02:26 - Et le mec en question de l'Élysée, il est revenu en écho pour rentrer à Paris, voilà point barre.
02:31 - Bah il est là, il est là.
02:33 - Les costumes qu'on va avancer, c'est parce qu'il faut de la place, mec.
02:36 - Non mais, qui faut de la place ?
02:37 - Les costumes, il faut qu'ils soient absolument à l'aise.
02:40 - Vous les mettez sur un sein, tout simplement.
02:42 - Alors moi, ce que j'aurais fait, moi, je suis quand même...
02:46 - Spécialiste des costumes.
02:48 - Moi, ce que j'aurais fait, j'aurais mis les costumes en soutes, je suis d'accord.
02:51 - Bien sûr.
02:52 - Et là, j'aurais trouvé là-bas quelqu'un qui...
02:55 - Pour défroisser les volies.
02:56 - Exactement.
02:57 - Ça aurait coûté moins cher.
02:59 - J'aurais donné un...
03:00 - Ça repasser.
03:01 - Et moi, vous me connaissez, j'aurais moi-même repassé les costumes.
03:05 - Non mais, je m'y attendais.
03:07 - Non mais, Laurent...
03:08 - Non mais, attendez, pardonnez-moi.
03:10 - Si vous voulez me faire dire que je trouve ça très cher et un peu scandaleux et un peu con, je suis d'accord.
03:15 - Non, non, non, non, non, non, non, non.
03:17 - Alors, pardon, s'il vous plaît.
03:19 - Mais il faut dire les trucs.
03:20 - Patricia, Patricia.
03:21 - Non mais, j'attends effectivement, c'est tout.
03:22 - Non, excuse-moi, mais elle est évidente.
03:24 - J'attendais la conclusion de Laurent et heureusement, tu me rassures,
03:27 quel que soit le dossier, quel que soit la première, le business, le je-sais-pas-quoi,
03:30 tout est grotesque dans cette affaire.
03:32 On n'arrête pas de parler qu'on a un pays ruiné, exsangue et qu'on n'en peut plus.
03:35 Et là, on raconte aux gens qu'il y a deux costumes qui voyagent en business.
03:38 Ça n'a aucun sens. Il n'y a pas des commerces au Brésil.
03:40 On ne peut pas envoyer quelqu'un pour acheter des costumes à roues de fer.
03:42 - Tu peux dire la vérité ?
03:43 - La dernière fois, je le dis, la vérité, j'étais à Paris.
03:47 Dans le sud, il y avait quelque chose.
03:49 Eh bien, j'ai fait voyager deux paires de chaussettes en première dans le train.
03:53 (Rires)
03:55 - Dans le train.
03:56 - Je le dis. Maintenant, ça ne me retombe pas dessus.
03:58 - Tu ne l'as avoué.
03:59 - C'est l'argent des Français et c'est des enfants.
04:00 - Ça ne me retombe pas dessus.
04:01 - Mais comment c'est même possible, en fait, qu'il pense ça ?
04:03 - Le niveau du timing, au moment où Emmanuel Macron est au Brésil,
04:07 les chiffres records du déficit tombent.
04:09 On a Gabriel Attal au moment où Emmanuel Macron est au Brésil,
04:12 qui va faire un 20h de TF1 pour dire qu'il va falloir se serrer la ceinture.
04:14 - Eh, les enfants, faisons pas de démagogie.
04:15 - Non, non, non.
04:16 - Attends, excuse-moi, attends, attends, ma gauche.
04:17 - Non, non, non, c'est pas une histoire de symbole.
04:18 - Attends, faisons pas de démagogie non plus.
04:19 - C'est une histoire de symbole.
04:20 - C'est une histoire de symbole.
04:21 - C'est une histoire de symbole.
04:22 - C'est une histoire de symbole.
04:23 - C'est une histoire de symbole.
04:24 - C'est une histoire de symbole.
04:25 - C'est une histoire de symbole.
04:26 - Oui, il y a 3 000 de milliards de dettes, tu dis aux Français.
04:27 - Chut, tous les présidents de ce pays et tous les premiers présidents
04:30 ont eu des dépenses qui sont excessives par rapport à des choses.
04:33 - Laurent, arrêtons d'être hypocrite.
04:36 - Laurent, tu es dans une autre époque.
04:38 - Mais non, mais...
04:39 - Mais il est tout jeune, hein.
04:41 - Non, mais à l'époque, on pouvait se permettre tout, d'accord ?
04:43 - Qui ?
04:44 - Qui ?
04:45 - Les Français.
04:46 - Les Français.
04:47 - Les Français.
04:48 - Ça fait des années maintenant que les Français ont dit "ça suffit".
04:49 On est dans une époque où le moindre petit truc est sur les réseaux et les gens sont
04:53 choqués.
04:54 On ne peut pas dire aux Français qu'il va falloir serrer la ceinture.
04:57 - Et être écolos.
04:58 - On ne peut pas dire qu'il faut supprimer des aides à des associations qui aident sur
05:02 le social pour envoyer des costumes à 3 500 euros.
05:07 Je veux dire, comprenez, les gens qui n'arrivent pas à joindre les deux bouts, comment vous voulez qu'ils vivent sans ?
05:11 - Sans parler de l'écologie, sans parler de l'écologie, c'est pas le signe.
05:14 - C'est pas moi qui fais les règles.
05:17 Mais non, justement, c'est pas moi qui fais les règles.
05:18 Quand on nous parle d'écologie toute la journée, qu'on nous dit qu'il faut être écolo, qu'il
05:21 faut faire la transition, etc. et qu'on envoie un mec juste pour deux costumes.
05:24 Je suis désolée, c'est pas moi qui fais les règles.
05:26 - Des costumes, vous n'allez pas les envoyer en vélo au Brésil.
05:28 - C'est rien.
05:29 - C'est rien.
05:30 - C'est pas moi qui fais les règles.
05:31 - C'est rien.
05:32 - C'est rien.
05:33 - Vous ne pouvez pas les prendre à l'avis.
05:34 - Tout ça, pour que ça se termine comment ?
05:35 - Il a fait des communications sur sa chemisette ouverte et pas du tout en costard, sans cravate, etc.
05:39 Il les a même pas utilisées.
05:40 - Si vous plaît, si vous plaît.
05:41 - Moi, ce qui me choque, c'est le retour en éco.
05:43 - Qu'est-ce qu'il y a là, Renaud ?
05:45 - Qu'est-ce que tu veux, Renaud, là ?
05:48 - C'est quoi qui te choque ?
05:49 - Non, mais le mépris de l'intendant.
05:50 - Moi, ce qui me choque, c'est le retour en éco.
05:52 - Non, mais le mépris de l'intendant, parce qu'on fait voyager des costumes en business,
05:57 mais par contre, pour le retour, il va en éco.
05:58 - Mais non, mais non.
05:59 - On a fait voyager l'intendant en business avec les costumes quand il est revenu.
06:04 Justement, ils ont fait preuve d'économie pour le coup.
06:06 - Non, mais c'est très drôle.
06:07 - Non, mais non, mais non.
06:08 - Non, non, non, non, non, non, non, non, non.
06:10 - Mais non, mais non, mais non, mais non, mais non, mais non.
06:13 - Moi, je trouve ça très drôle que le mec, quand il est avec les costumes, il est en business,
06:18 il est sans costume, mais là, en éco, ce connard.
06:20 - Mais oui, c'est ça.
06:21 Et qu'en plus, j'espère, le costume est plus important que l'intendant, du coup.
06:24 - Oui, parce que...
06:25 - Oui, c'est ça.
06:26 - Non, mais non.
06:27 - Apprenez des trucs sur cette affaire.
06:29 1, il avait pas que les costumes, il avait aussi des affaires personnelles.
06:31 2, tu es obligé...
06:32 - Les affaires personnelles.
06:33 - Mais non, mais attends.
06:34 - Mais ça sonne bien.
06:35 - Mais si, mais si, je suis pas faux à rien dire, c'est faux.
06:37 Et me demandez pas de justifier, j'ai dit ce que je pensais, c'est scandaleux.
06:40 - L'hôtesse lui a proposé de mettre les 2 costumes dans un placard.
06:42 - Mais qu'est-ce que tu fais ?
06:43 - Tu connais l'hôtesse, toi ?
06:44 - Tu connais l'hôtesse ?
06:45 - Tu connais l'hôtesse, toi ?
06:46 - Ben voilà.
06:47 - J'ai lu le dossier, contrairement à "Bataillé Fontaine".
06:49 - C'est moi.
06:50 - Tu as envoyé le truc ?
06:51 - Ah, tu as envoyé le truc ?
06:52 - C'est le jour.
06:53 - Oh, mon Dieu.
06:54 - Oh, mon Dieu.
06:55 - Contrairement à "Bataillé Fontaine".
06:56 - Ah, le truc mythique, ça.
06:57 Contrairement à "Bataillé Fontaine".
06:58 - Ils étaient en 7D, les costumes.
06:59 La première hôtesse, elle voit 2...
07:00 Elle dit "Mais qu'est-ce que font les costumes attachés ? Mettez-les dans le placard."
07:01 "Ah non, non, non, non, il faut pas les déplier, ils sont dans leur housse, bien attachés comme ça."
07:02 - Ben oui.
07:03 - On entend le délire.
07:04 - Il y a un intendant délisé qui est aux ordres et qui fait ce qu'on demande de faire.
07:17 - Si on avait eu moi, j'aurais pas touché les costumes.
07:21 - Ben voilà.
07:22 - Je suis l'intendant, je touche pas les costumes.
07:23 Mais qu'est-ce que tu racontes ?
07:24 - On aurait dû les mettre dans la soute.
07:25 - Et ils ont pris quoi, les costumes, sucrés ou salés ?
07:26 - J'ai même entendu...
07:27 - Non, parce que...
07:28 Parce que c'est pour savoir, quand même.
07:29 Mais attends.
07:30 - Mais c'est pas vrai.
07:31 - C'est pas vrai.
07:32 - C'est pas vrai.
07:33 - Mais c'est pas vrai.
07:34 - C'est pas vrai.
07:35 - C'est pas vrai.
07:36 - C'est pas vrai.
07:37 - C'est pas vrai.
07:38 - C'est pas vrai.
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09:35 - C'est pas vrai.
09:36 - C'est pas vrai.
09:37 - C'est pas vrai.
09:38 - C'est pas vrai.
09:45 Des mesures qui lui vont parfaitement bien.
09:47 - Mais ils sont pas si organisés pour les parents.
09:49 - Mais non, mais oui.
09:51 - Il va pas aller chez Bushfield au Brésil.
09:53 - Non, mais pourquoi il va pas aller chez Bushfield ?
09:55 - Mais il est très sympathique.
09:57 - Mais, Renault, Renault.
09:59 - Marque française au Brésil, ça aurait été très bien.
10:01 - Quand il essaye de nous faire croire que l'été, il est sympathique,
10:03 en bermuda, avec un t-shirt et qu'il veut de la boxe dans son poutine-ball.
10:05 Il est normal, il est bien.
10:07 - Mais là, il était en visite officielle, il va pas être en bermuda,
10:09 il a arrêté de dire des conneries aussi.
10:11 - Donc, ça lui représente deux costumes.
10:13 - Si, c'est son compte.
10:15 - Stop, stop, stop, stop, stop, stop, stop.
10:17 Là, vous êtes insupportables, donc vous vous taisez,
10:19 et on va donner la parole au plus calme d'entre nous.
10:22 Gilles Verdez.
10:24 (Rires)
10:26 (Rires)
10:28 - Il va apaiser tout ça.
10:30 - Ceux qui tentent de défendre ça, comme monsieur, là.
10:33 - Mais si, mais si, c'est très bien.
10:35 - J'ai rien dit, je crois que c'est une langue de connerie, je le condamne.
10:38 - Soyez honnête, soyez honnête.
10:40 - Mais je dis pas de connerie.
10:42 - Vous n'avez pas fait du consulting pour monsieur Macron,
10:45 ses associés, les gens qui travaillent comme ça ?
10:48 - Conflit d'intérêts !
10:50 (Rires)
10:52 - Le plus calme, le plus calme.
10:54 (Rires)
10:56 - Ah oui !
10:58 - Eh, eh, eh, eh, je vous donne un conseil, reprends le Ramadan.
11:02 (Rires)
11:04 - Depuis qu'il a arrêté le Ramadan, il part en cacahuète totale.
11:07 - Il n'y a aucun conflit d'intérêts.
11:09 - C'est très grave.
11:11 - J'ai sûrement, tout l'année, ce truc, j'ai...
11:13 - C'est très grave.
11:15 - Chut, laisse-le parler, là.
11:17 - C'est une connerie de com', c'est une connerie en tout cours.
11:19 - Non, faisons pas 3 heures, et surtout, ressortons pas...
11:21 - Mais vous êtes producteur de l'émission, ou quoi ?
11:23 (Rires)
11:25 - Les vieux éléments des magots, à savoir,
11:27 les films au Brésil, "Nature que si",
11:29 "Ah oui, je l'ai à soupe", c'est le président de la République.
11:31 - Mais alors ?
11:33 - Mais il y a rien de magot.
11:35 - Dès comme ça, t'en auras, tous les jours,
11:37 - Un mille jus à 155,
11:39 - La bouteille de Bordeaux qui sert à table,
11:41 mais ta démagogie, tu peux la déverser tous les jours,
11:43 - Mais c'est pas de la démagogie.
11:45 - Mais si, ça en est, tu le sais très bien.
11:47 - On peut changer les détails.
11:49 - On a eu le chef des présidents français,
11:51 il n'y a pas longtemps, sur ce plateau.
11:53 Le mec, il pourrait te faire un livre comme ça,
11:55 il peut faire des conneries, les au dernier moment.
11:57 - Demande aux français de faire des efforts, alors.
11:59 - C'est parce que c'est deux costumes, ça vous excite bien.
12:01 - Il n'a même pas mis, et après, il se met en scène,
12:03 avec les montres tournères,
12:05 "président super cool, je ne mets pas de costume,
12:07 je ne mets pas de chemise", et en fait, on ne savait pas,
12:09 mais dans la suite, il a dû devenir deux costumes.
12:11 - Fake news.
12:13 - En plus, on met de l'écologie, il n'y a rien qui va.
12:17 - Donc je vais vous le dire,
12:19 chez vous, si vous nous regardez,
12:21 ne faites pas voyager de costumes,
12:23 seul.
12:25 - Et personne ne fait ça.
12:27 J'ai oublié des fringues, je vais me faire livrer des fringues,
12:29 depuis chez moi.
12:31 - Qui n'a jamais fait ça ?
12:33 - Vous n'avez jamais rien fait.
12:35 - Vivez avec votre temps.
12:37 Moi, la dernière fois, j'avais oublié deux balles de ping-pong,
12:39 je les ai fait venir à Paris-Rio.
12:41 - En fait.
12:43 - Les deux balles de ping-pong, comme ça, en première.
12:45 - Et la ceinture.