L'émission "Téléfoot" du 29 mars 1987 a été marquée par plusieurs événements importants du championnat de France de football de première division :
Le match entre Montpellier et Nice (4-0) :
Montpellier a réalisé une excellente performance en dominant Nice 4 à 0. Les buts ont été marqués par Catalano (5e), Gillot (22e), Armitano (35e) et Jola (40e). Cette victoire a permis à Montpellier de se hisser à la troisième place du classement, à six points du leader Marseille.
Le match entre Saint-Étienne et Marseille (1-1) :
Le match entre Saint-Étienne et Marseille a été serré et s'est soldé par un score nul de 1 à 1. Le but marseillais a été marqué par Cubay sur coup franc (30e), tandis que le but stéphanois a été inscrit par Gégan (68e). Ce résultat a permis à Marseille de conserver sa première place au classement, avec un point d'avance sur Bordeaux.
Les autres résultats de la journée :
Bordeaux a battu Lille 1-0.
Metz a battu Nancy 2-0.
Strasbourg a battu Laval 3-1.
Monaco a battu Le Havre 2-1.
Paris Saint-Germain a battu Toulouse 4-2.
Cannes a battu Rennes 2-1.
Le classement à l'issue de la journée :
Marseille 44 points
Bordeaux 43 points
Montpellier 38 points
Auxerre 37 points
Monaco 36 points
Toulouse 34 points
Nantes 33 points
Metz 32 points
Strasbourg 31 points
Paris Saint-Germain 30 points
Lille 29 points
Saint-Étienne 28 points
Cannes 27 points
Laval 26 points
Rennes 25 points
Nancy 24 points
L'émission "Téléfoot" a également diffusé des reportages sur d'autres sujets liés au football, tels que les coulisses des clubs, les transferts et les interviews de joueurs et d'entraîneurs.
Le match entre Montpellier et Nice (4-0) :
Montpellier a réalisé une excellente performance en dominant Nice 4 à 0. Les buts ont été marqués par Catalano (5e), Gillot (22e), Armitano (35e) et Jola (40e). Cette victoire a permis à Montpellier de se hisser à la troisième place du classement, à six points du leader Marseille.
Le match entre Saint-Étienne et Marseille (1-1) :
Le match entre Saint-Étienne et Marseille a été serré et s'est soldé par un score nul de 1 à 1. Le but marseillais a été marqué par Cubay sur coup franc (30e), tandis que le but stéphanois a été inscrit par Gégan (68e). Ce résultat a permis à Marseille de conserver sa première place au classement, avec un point d'avance sur Bordeaux.
Les autres résultats de la journée :
Bordeaux a battu Lille 1-0.
Metz a battu Nancy 2-0.
Strasbourg a battu Laval 3-1.
Monaco a battu Le Havre 2-1.
Paris Saint-Germain a battu Toulouse 4-2.
Cannes a battu Rennes 2-1.
Le classement à l'issue de la journée :
Marseille 44 points
Bordeaux 43 points
Montpellier 38 points
Auxerre 37 points
Monaco 36 points
Toulouse 34 points
Nantes 33 points
Metz 32 points
Strasbourg 31 points
Paris Saint-Germain 30 points
Lille 29 points
Saint-Étienne 28 points
Cannes 27 points
Laval 26 points
Rennes 25 points
Nancy 24 points
L'émission "Téléfoot" a également diffusé des reportages sur d'autres sujets liés au football, tels que les coulisses des clubs, les transferts et les interviews de joueurs et d'entraîneurs.
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00:38 À la une du Téléfoot New Look d'aujourd'hui, la 29ème journée du championnat,
00:42 les extraits de tous les matchs avec en particulier un certain Saint-Etienne OEM.
00:46 Saint-Etienne OEM, c'était également, vous le savez, une affiche dans le début des années 70.
00:50 Nous y reviendrons, comme nous reviendrons sur la journée de mercredi dernier,
00:54 où il y a eu de bien jolis buts.
00:56 Nice en a encaissé quatre à Lens, mais reste malgré tout fidèle au poste,
01:00 c'est ce que vous expliquera Bernard Renault.
01:03 Pour la rubrique étrangère, suite de la paire Schuster,
01:06 Michel Enfrol était cette semaine à Barcelone.
01:10 La deuxième division, enfin, avec le match au sommet Montpellier-Cannes
01:14 et en prime, un reportage de Philippe Ouy sur Laurent Blanc, le joueur qui monte.
01:18 - Il ne descend pas. Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, bonjour.
01:24 J'espère que vous avez bien dormi. On vous a enlevé une heure de sommeil.
01:26 Ce n'était pas évident, ça tombe très mal quand il y a Téléfoot.
01:28 Vous allez mieux le faire en semaine. Il y a eu deux journées de championnat.
01:30 Thierry, le plus simple, c'est encore de commencer par la première.
01:32 - Oui, tout à fait. Celle de mercredi, c'était la 28ème.
01:35 Il y a eu 25 buts de marqué. Ça ne nous était pas arrivé depuis longtemps.
01:38 Alors, Didier, on va attaquer ça tout de suite avec la rencontre Marseille-Lille
01:43 avec une équipe marseillaise qui se maintient au sommet.
01:45 - Oui, Marseille qui fait match nul à l'extérieur et qui l'emporte à domicile.
01:53 L'idéal pour être champion, tout comme Bordeaux d'ailleurs.
01:56 Ici, c'est un premier but de Papin après une heure de jeu.
02:01 Donc, Lille a bien résisté.
02:03 Et puis, 11 minutes plus tard, on va retrouver Jean-Pierre Papin.
02:06 Jires est juste à la sortie. C'est très bien fait.
02:08 Il avait jeté un petit coup d'œil avant. Le deuxième but de Papin.
02:11 Donc, l'OM qui l'emporte de but à zéro. Pas de but dans le match au Cermes.
02:14 - Et au sein de l'équipe toulousaine, un homme qui revient à grandes enjambées
02:21 après avoir été blessé, Marsico, qui se fait justice lui-même sur pénalty
02:25 juste avant la mi-temps contre Sochaux.
02:27 Colin l'avait fauché. 1 à 0 donc pour Toulouse.
02:32 47e minute sur une action encore de Marsico.
02:35 C'est le jeune Pavon qui marque son premier but en division 1.
02:38 2 à 0. 44e, 47e. On ne peut faire mieux.
02:42 Juste avant et juste après la mi-temps.
02:44 Et 10 minutes plus tard, c'est Sylvestre sur Puffon des Ferniers
02:47 qui sauve l'honneur pour Sochaux.
02:50 - Monaco l'a échappé belle à domicile devant Toulon.
02:54 Vous voyez un derby avec beaucoup de carton jaune.
02:57 C'est classique. Et en effet, Toulon avait ouvert la marque
03:00 à l'ancien Monégasque, Roger Icord à la 52e minute.
03:03 Et puis, 3 minutes plus tard, on allait retrouver René Marsiglia.
03:08 Il est un petit peu du pays lui aussi car s'il a joué dans le Nord,
03:12 il est originaire de Marseille et plus précisément des Caïols.
03:16 L'équipe des Caïols qui nous a donné de très très bons joueurs.
03:19 Donc 2 buts à 0. À cet instant alors, les Danois montent.
03:22 Ils vont tenter le tout pour le tout. Busque l'erbie pour une fois du pied droit.
03:26 Et finalement Ferrage qui était entré en courbe au jeu à la place de Daniel Bravo.
03:29 Réduit la marque, 2 buts à 1. Et toujours les grands blonds sur ce genre de couffant.
03:36 Et c'est finalement l'erbie. Le ballon est détourné.
03:39 Qui égalise pour Monaco à 5 minutes de la fin.
03:42 Un parc des princes au tir plein. Mais où sont les PSG Nantes d'antan ?
03:47 La fumée des pétards des supporters du PSG n'est pas encore dissipée
03:51 lorsque Suzyk du pied gauche ouvre la marque à la 5e minute.
03:55 1 à 0 pour les Parisiens. Mais très belle égalisation de Cambouaré à la 67e minute.
04:03 1 partout. Et il faudra un pénalty à la 66e minute pour que Ali Lodzic trompe son ex-coéquipier Jean-Paul Bertrand de Manne.
04:11 Et le PSG l'emporte 2 à 1.
04:13 Beaucoup de buts à l'aval. Et le Racing qui ne s'est pas trop remis de sa défaite dans le derby.
04:20 En compagnie de son élimination en coupe. Et un superbe couffant de Patrick Delamontagne à la 27e minute.
04:26 Un but de Obokiri. Et il y a de quoi à la 34e minute.
04:32 Enfin en 2e période c'est un but toujours pour l'aval de Rozo.
04:37 Une nouvelle lucarne. Et Litvarski réduira la marque après une heure de jeu.
04:42 Il était bien trop tard. Donc l'aval a emporté 3 buts à 1.
04:48 Le carton du jour en faveur de Lens et aux dépens de l'Olympique Gymnast Club de Nice.
04:53 5e minute. Une balle de Catalano pour Tobolic. Cafouillé par la défense niçoise.
04:59 Et 1 à 0 pour les 100 Aeor.
05:04 22e minute. Joli couffrant de Gillo. Et 2 à 0.
05:09 35e minute. Mésentente Armitrano-Curbelo qui exploite Tobolic.
05:15 3 à 0. Et juste avant la mi-temps, exploit de William Joléa.
05:21 Ça a dû faire plaisir à papa. Et 4 à 0 à la mi-temps. La messe était dite depuis longtemps.
05:26 Brest-Saint-Etienne. Un tout petit but marqué par Guégan à la 68e minute de cette partie.
05:34 Il vient d'entrer en jeu Guégan. C'est pratiquement son premier ballon.
05:39 A la suite de ce mauvais rebond et donc se renvoie de Casaleda.
05:43 Nancy-Rennes. But de Stéphane. Superbe lob. Très intelligemment joué.
05:56 1 à 0 pour l'Ecossais et pour Nancy. Et pénalty de Nagy. 2 à 0.
06:01 Nancy a gagné le match de la peur face à Rennes.
06:04 Le Havre-Bordeaux. Donc Bordeaux, je vous l'ai dit, comme Marseille. Match nul à l'extérieur.
06:08 Le soir à domicile, Bordeaux qui avait ouvert la marque par l'inévitable Farjon.
06:13 Toujours là où il faut. Philippe Farjon, c'est vraiment un cas à la 46e minute.
06:17 Mais 5 minutes plus tard, 6 minutes plus tard, plus exactement, un joli lob de pain.
06:22 Et nous en resterons là un partout.
06:25 Et en levée de rideau de ce match, c'était la fête du variété pour son 1000e match.
06:36 Ils étaient tous là, venus quelques-uns de très loin, comme Pouchekas ou M. Foote, Serge Blanco ou Marius Trezor.
06:42 J'ai eu l'occasion de jouer plusieurs fois avec Serge dans des matchs de variété.
06:47 Je crois qu'il a des qualités certaines. C'est dommage qu'il ait choisi le rugby.
06:51 Marius, vu son gabarit, je crois qu'il aurait pu me remplacer à l'arrière.
06:57 Je crois qu'il est né pour ça. Il a le sens du jeu. Il a un bon coup de pied. Pourquoi pas.
07:02 S'il avait voulu, même s'il veut, il peut venir jouer encore bien ici.
07:07 Pour le 1001e match jeudi à Montauban, Pouchekas ne sera pas là.
07:11 Mais pour le 2000e, il a promis de revenir affûté.
07:14 Ça va maintenant. Ne rajoutez pas. Je ne parle pas pour moi, je parle pour mon fils.
07:22 Alors qu'est-ce qui s'est passé à la première division ? Dites-le.
07:27 On va vous le dire, Léo Ferré, la première division, le frais, la viande fraîche, c'était hier soir.
07:33 Mais nous avons quelques petites boîtes de conserve ici à Téléfoot.
07:36 Saint-Etienne-Ouem, on vous l'a dit, c'était le match du jour.
07:39 Mais on vous l'a dit aussi dans les titres, c'était une assez belle affiche il y a quelques années.
07:43 On va revenir avec la petite boîte de conserve après la viande fraîche, c'est promis.
07:47 Retournons au stade Geoffroy Guichard, 15 ans en arrière.
07:50 Que reste-t-il de nos amours ? Que reste-t-il de ces beaux jours ?
07:55 Une photo, vieille photo de ma jeunesse.
07:59 Souvenez-vous dans la foulée de Jules Vincat, Jean-Paul Escale, Toussourir, Lopez, Odoul, Novi, Cullat, Leclerc, Magnusson, Bonnel, Skoblar et Couicou.
08:10 Ça c'est pour Marseille, pour Saint-Etienne maintenant.
08:12 Carnus, Durkowicz, Farizon, Camérini, Bosquier, Herbin, Parison, Larquet, Harvey Revelli, Caïta et Saramagna.
08:18 Et finalement c'est Marseille qui attaquera côté gauche.
08:22 Ici en blanc donc avec ce long centre de Lopez, cette tête de Couicou.
08:26 Heureusement que Carnus ne relâche pas car Josip Skoblar est toujours à l'affût.
08:30 Roger Magnusson de son côté semble en grande forme.
08:33 Ça tombe bien pour Saint-Etienne car Carnus également.
08:37 Sur le banc, Albert Bateux et Pierre Garonner s'inquiètent.
08:41 Ils ont tort car Saint-Etienne va bénéficier d'un pénalty sur cette action.
08:44 Et oui indiscutablement il y a une main de l'arrière droit Lopez.
08:48 Ce qui ne semble pas du goût de Jules Vincat et de Jean-Paul Escale.
08:53 Harvey Revelli s'interpose, finalement beaucoup de palabres pour pas grand chose puisque Caïta rate le pénalty.
08:59 Mais quelques minutes plus tard, un tir terrible de Robert Herbin.
09:03 Et cette fois les filets gardés par Jean-Paul Escale tremblent une première fois.
09:07 Saint-Etienne mène un but à zéro.
09:10 Ce ne sera pas le score à la mi-temps car il s'en passe des choses dans ses 45 premières minutes.
09:14 Comme ici par exemple, une faute de Camerini sur coup et coup.
09:17 Mais l'arbitre n'intervient pas, ce qui surprend Magnusson, Noubé et tous les joueurs de l'OM.
09:22 Qui attaque toujours avec Leclerc qui change complètement là-bas pour Skoblar.
09:25 Cette fois ça y est, c'est l'égalisation.
09:28 Deux rebonds et Carnus qui rate d'un rien cette manchette.
09:32 Un but partout à la mi-temps.
09:37 En deuxième période, le match sera toujours équilibré sous les yeux de Mario Zatelli et Marcel Leclerc, l'ancien président de l'OM.
09:44 Apprécier ces feintes de cordes Charlie Loubet au dépens de Robert Herbin.
09:49 Mais contrairement aux apparences, c'est Saint-Etienne qui va l'emporter.
09:53 Marquer donc le but de la victoire par Christian Saramagna.
09:57 Pour une fois du pied droit.
09:59 Il manque quelques centimètres à Jean-Paul Escale.
10:03 Score final 2 buts à 1 pour Saint-Etienne malgré un dernier raid de Charlie Loubet.
10:09 C'était la dernière action. Coup de sifflet de l'arbitre.
10:11 Cette fois ça y est, côté Stéphanois on peut lever les bras en forme de V.
10:14 V comme victoire.
10:16 Et bien Marseille a pris sa revanche.
10:21 Hier soir vous le savez, mais c'est tellement frais que c'est pas prêt.
10:24 On est en train de couper la viande.
10:26 Alors on va passer maintenant au sujet suivant.
10:28 On reviendra bien entendu sur ce match du jour.
10:31 Normalement vous devriez voir des petits feux d'artifice là derrière.
10:34 Pour vous rappeler que le Racing avait organisé une soirée toute particulière à la fin.
10:39 Juste avant la trêve.
10:42 Voilà vous vous souvenez, il y avait 10 000 jeunes invités.
10:45 C'était avant et après le match Racing contre Nancy.
10:50 Le Racing l'avait emporté.
10:52 On a essayé de continuer cet effort du côté des dirigeants du Racing.
10:56 Hier où il y avait encore beaucoup d'invités.
10:59 15 000 jeunes pour ce match Racing Club de Paris - Toulouse.
11:04 Vous voyez, ils sont ravis.
11:06 C'est une bonne chose.
11:08 C'est vraiment qu'ils vont être contents quand on va rentrer.
11:10 Les jeunes sont ravis.
11:12 Les moins jeunes aussi.
11:13 C'est bien.
11:14 Ça fait plaisir à tout le monde.
11:16 Et à certains, il y a toujours des pistonnets dans cette histoire.
11:18 Eux, ils se sont trouvés une tribune à l'aise.
11:21 Pour recevoir le match dans de bonnes conditions.
11:24 Et tant et si bien que le parc des princes est plein.
11:27 C'est curieux.
11:28 Il y a toujours un accoutrement un peu spécial.
11:30 Mais que voulez-vous.
11:31 Ce match, c'était aussi la soirée de l'espace.
11:35 Il était placé sous le signe de la soirée de l'espace.
11:38 Et il y en a un petit peu de l'espace.
11:40 Bernard Bureau ne l'en profite pas ici.
11:43 Une petite maison-tente.
11:45 Avec Francescoli.
11:47 Nous sommes donc en premier mi-temps.
11:48 Le Racing est sur notre droite.
11:49 Attaque avec Cusso.
11:51 Non.
11:52 Un bon tacle de Thilly.
11:53 Mais on se gêne un petit peu.
11:54 Et cela aurait pu faire l'affaire de Lidlbarski.
11:56 Attention quand même aux contre-toulousains.
11:59 Toulouse qui ne joue sans Durand.
12:01 Et qui sera privée de Marsico au bout d'une demi-heure de jeu.
12:03 Ici un arrêt bien délicat de Dominique Leclerc.
12:05 Sous la menace de Belus.
12:06 Qui avait donc remplacé Marsico après une demi-heure de jeu.
12:09 Et à deux minutes de la fin de cette première mi-temps.
12:12 Une superbe occasion pour Yannick Stoppira.
12:16 Mais ça passera à côté.
12:18 Dominique Baudis, le maire de Toulouse.
12:20 Qui est toujours là à domicile.
12:21 Et même de temps en temps à l'extérieur.
12:22 Puisqu'il était hier soir au parc des princes.
12:23 Il sera bien déçu à la suite de cette action.
12:26 Évidemment une première mi-temps pas vraiment extraordinaire.
12:29 Du côté du racing.
12:30 Alors les chercheurs se penchent.
12:32 Quel est le problème ?
12:33 Faut regarder vers la haut.
12:34 Comment faire ?
12:35 Pour que la fusée parte une bonne fois pour toutes.
12:39 Bien elle va partir.
12:40 Elle ne va pas vraiment atteindre son objectif.
12:41 En deuxième mi-temps.
12:42 Puisque le racing ne va pas l'emporter.
12:43 Mais enfin elle va partir.
12:44 Et on va assister c'est vrai à une bonne deuxième période.
12:47 Surtout du côté du racing.
12:48 Avec tout d'abord cette tentative de Fernandez.
12:52 Bien repoussé par Bergerot.
12:54 Cette accélération de Francescolli.
12:56 Lidvarski qui lance bien Bureau là-bas.
12:58 Mais qui va également vite.
12:59 Bureau et Francescolli n'a pas eu le temps de se replacer.
13:01 Il arrive un petit peu tard sur cette action.
13:04 Ce n'est pas terminé.
13:05 Un bon contre ici avec Fernandez.
13:06 Bousculé par Lestage.
13:07 Mais M. Delmer a une belle réaction.
13:08 Fernandez commet une faute.
13:09 Mais ensuite.
13:10 Donc finalement il laisse l'avantage.
13:11 S'il avait ciflé une première fois.
13:13 Et bien il aurait avantage en quelque sorte.
13:15 Celui qui faisait la première faute.
13:16 C'est à dire le défenseur Lestage.
13:18 Ça continue à la suite d'un corner.
13:21 C'est une tête de Germain.
13:22 Qui ne passe pas si loin.
13:23 Vous voyez qu'il y a quelques occasions.
13:25 Ici regardez c'est amusant.
13:26 Passy va tirer un coup franc.
13:27 Mais au dernier moment.
13:28 Il va hésiter.
13:29 Et boum.
13:30 Il se fait mal.
13:31 Ce sont des choses qui arrivent.
13:32 Il va y quitter à la pelouse.
13:33 5 minutes avant la fin.
13:34 Et on va se quitter dans cette partie.
13:37 Avec à 2 minutes du coup de sifflé final.
13:39 Une superbe occasion pour Ruggiani.
13:40 Qui sera contrée au tout dernier moment.
13:41 Car il faut dire effectivement.
13:42 Que la défense de Toulouse.
13:43 A fait un très très bon match.
13:44 Et que Toulouse visiblement était venu.
13:45 Pour faire le match nul.
13:46 Ensuite c'est le spectacle.
13:51 Le satélite.
13:52 Il y a Hiti qui est dedans.
13:53 La guerre des étoiles.
13:54 Le retour de Gédi.
13:55 Et tout et tout.
13:56 Il est prêt ?
13:57 Il est prêt ?
13:58 Et bien voilà.
13:59 Une bonne nouvelle.
14:00 Saint-Etienne OEM est prêt.
14:01 Alors allons-y pour le match du jour Thierry.
14:02 On a juste inversé.
14:03 Donc on a fait passer les Parisiens et Gédi.
14:04 Avant le leader marseillais.
14:05 Alors on se rend à Juillet.
14:06 Et on va se faire un petit peu.
14:07 Un petit peu de plaisir.
14:08 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:09 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:10 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:11 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:12 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:13 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:14 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:15 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:16 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:17 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:18 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:19 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:20 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:21 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:22 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:23 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:24 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:25 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:26 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:27 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:28 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:29 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:30 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:51 On va se faire un petit peu de plaisir.
15:07 On va se faire un petit peu de plaisir.
15:34 Le calme des Bordeloires, c'est le tumulte du tunnel de Geoffroy Guichard.
15:38 Castaneda a fait le vide dans sa tête.
15:40 Il sait que la soirée face à Papin, Giresse, Sliskovic sera de toute façon très difficile.
15:48 Il est 20h30 pour l'AFC.
15:50 C'est l'opération maintien.
15:52 Passe par un bon résultat.
15:54 Un résultat positif quand ce Marseille dépense sur le coup de 22h15.
16:00 Le match, meilleure affluence de la saison à Saint-Etienne.
16:03 45 000 spectateurs, ambiance impressionnante.
16:07 Et on a failli assister au but le plus rapide du championnat.
16:10 Il aurait été marqué après 5 secondes de jeu, si ce ballon avait fini sa course au fond des filets.
16:18 Saint-Etienne domine, 8 minutes de jeu, tout droit.
16:21 Arrêt de baille sur ce coup avec le 3-3.
16:24 François décime un peu plus tard d'une double entorse.
16:27 Malgré sa blessure, il continuera à jouer.
16:30 Il refusera même d'être remplacé pendant la deuxième partie.
16:33 L'OM joue en compte 20 minutes de jeu.
16:37 Joli travail de Sliksovic pour le petit 3 du terrain.
16:41 Un ballon pour Jean-Pierre Papin mais repris raté par l'avanceur de Maxence.
16:46 Le Saint-Honoré domine, néanmoins ils ont des problèmes pour s'infiltrer dans la défense marseillaise.
16:53 Alors il tire de loin, exemple avec ce tir de Ribard qui passe à côté.
16:58 37 minutes de jeu à la suite d'un centre de Bonobon.
17:02 C'était sûr de pétiller, d'autant que sa chance, belle, encore une fois, bien jouée.
17:08 Partie animée, jeu de remarquable qualité, le tout dans le meilleur esprit.
17:13 Certes, il y a eu des fautes, mais regardez, c'est un blanc qui relève le vert et c'est un vert qui va relever le blanc.
17:20 Bravo !
17:22 42 minutes de jeu à présent, et Monsieur Benali assure un coup franc.
17:28 Il est tiré par Sliksovic, tête de Kuben, Marseille mène 1 à 0.
17:34 Le ralenti, en fait, Kuben sur ce coup franc effleure à peine le ballon, mais c'est suffisant.
17:51 Et la réussite est à l'arrivée, Marseille à la mi-temps mène donc par 1 à 0.
17:56 La deuxième période, elle est commencée depuis 3 minutes seulement,
18:01 quand Monsieur Caméra a aussi une bien belle occasion de réaliser.
18:04 Un momentaire de 2 minutes presque, il déverrouille un ballon pour Michel,
18:08 une pour Ney, pour la France-France.
18:11 Là aussi, on va revoir, rien à dire que notre Marseille est bien sereine.
18:16 Tout à l'heure, le ballon a frappé l'intérieur du poteau et il est rentré.
18:21 Là, il est revenu en jeu.
18:23 Le seul accrochage du match, Thimo qui s'énerve quelques peu dans le dos de l'arbitre,
18:29 il s'en prend à Sliksovic, pas très rassuré, l'idiotisme de l'homme.
18:33 Mais le général, il est plus rapidement rentré à 1.
18:38 En tout cas, Marseille mène donc toujours par 1 à 0.
18:42 Encouragé par leur public, les Stéphanois font le maximum pour égaliser.
18:46 Encore ici, une belle occasion et selon un principe qui a fait déjà ses preuves,
18:51 Thimo dans le rôle du remiseur, mais Ribard rate complètement sa reprise.
18:56 Attention toujours aux contre-marseillais, là le ballon va parvenir à Forster,
19:02 le défenseur allemand de Marseille.
19:04 Il tire, met sa face au-dessus.
19:06 Il reste maintenant 10 minutes à jouer.
19:10 C'est le moment peut-être de souligner la formidable partie,
19:13 encore une fois réussie par Joseph-Antoine Bell.
19:15 Dans les sorties, ou sur sa ligne, le gardien de l'OM, tout impeccable.
19:20 Là, il y a encore le gardien de Bégaud.
19:24 Au contraire, à 5 minutes de la fin du match, Marseille aurait même pu marquer un 2ème but.
19:32 Sliksovic a le champ libre, il veut donner à Diallo, mais il est contré.
19:36 Marseille gagne finalement 1 à 0.
19:39 Il y a 35 ans que l'OM n'avait pas gagné.
19:42 A sa place.
19:43 L'homme du match, le public.
19:49 Nombreux, enthousiastes, sans excès, en un mot, formidables,
19:53 même les joueurs marseillais sont d'accord.
19:56 Joseph-Antoine Bell, on a failli vous prendre pour homme du match,
20:03 et puis finalement on a choisi le public.
20:05 Ça change. Vous êtes d'accord avec nous ?
20:06 Je suis surtout content pour le public.
20:08 Il était nombreux, il a crié du début à la fin, moi avec lui d'ailleurs,
20:13 et donc s'il est l'homme du match, je lui dis bravo.
20:16 Comme au vieux temps de Geoffroy Grichard, l'ambiance extraordinaire,
20:20 ça motive pour un match de football, c'est fabuleux.
20:23 Qu'est-ce qu'on ressent au moment d'entrer sur le terrain ?
20:25 Je crois que, de toute façon, c'est aussi motivant pour l'adversaire,
20:28 quand on est ici, quand on voit qu'il y a du monde,
20:30 que ce monde-là est prêt à vibrer pour un match, ça donne envie de jouer.
20:33 Je crois que ce soir, c'était le public, il y avait 45 000 personnes.
20:37 Il y avait une équipe, ils ont poussé du début jusqu'à la fin.
20:40 Je crois que c'est important.
20:42 Jouer devant un tel public, c'est fantastique.
20:44 Il y a toutes les conditions sur lesquelles il faut faire un beau match.
20:47 Et je crois qu'un public fair-play comme il l'est, c'est vraiment bien.
20:49 C'était une belle fête.
20:50 Pour Castaneda, le rêve s'est achevé après une belle reprise.
20:55 Plus de choix, plus de fêtes de culinaires, plus de rassurces.
20:58 Et le Superstadion, Castaneda, n'a plus confiance en eux.
21:03 En seconde période, Castaneda se motive,
21:07 attendant la délivrance sous la forme d'un but qui ne vient pas.
21:10 Ses ordres se perdent dans les couilles des enfants du chars.
21:14 La menace marseillaise est présente jusqu'à la dernière minute.
21:18 22h15, les enfants du chars ruisdent.
21:25 Sans Castaneda, rien ne peut se respirer.
21:27 L'avenir des Verts s'attendit.
21:29 C'est le début du métier de gardien de but.
21:33 Pour Saint-Etienne, comme pour d'autres clubs, la fin de saison sera difficile.
21:39 Autre match important de la soirée d'hier, Metz-Brest.
21:43 L'attaque Messines et Zegnay en fait parler la poudre.
21:45 Martin Tzara.
21:46 Match des extrêmes hier soir à Saint-Symphorien,
21:50 à quelques 900 kilomètres séparent en effet Metz de Brest.
21:54 Et si dans l'Est, Toubaye dans une douce euphorie,
21:57 Metz est sixième.
21:59 Par contre, dans l'Ouest, ce n'est pas vraiment la joie.
22:02 Le club breton classé en milieu de tableau doit faire face en ce moment à des querelles internes.
22:07 Une crise oppose en effet joueurs et entraîneurs à certains dirigeants.
22:12 Ça a été un point de non-retour.
22:16 Donc si c'est comme ça, je crois qu'il y aura l'entraîneur qui va sûrement partir,
22:20 si le président reste.
22:21 Et il y aura sûrement quelques joueurs qui partiront, d'en moins.
22:24 Parce que ça ne peut pas continuer comme ça.
22:26 - Vous agissez très sérieusement maintenant votre départ de Brest.
22:29 - C'est le procédé d'Alevinac-Brest, tout à fait.
22:31 Je vous le promets, je vous laisse aussi.
22:33 Des problèmes qui n'ont toutefois pas empêché les bretons de jouer en vrai pro Brest.
22:38 Ici par l'intermédiaire de Poulikène, inquiète d'entrée et tort de gardien Messin.
22:43 Mais Metz est en grande forme.
22:45 Metz domine.
22:46 Les lorrains emmenés par Missiche et Zegnier prennent de plus en plus l'ascendant sur Brest.
22:51 Et c'est en toute logique que Metz, à cinq minutes du repos, ouvre le score.
22:55 Zegnier au départ de l'action pour Braconi.
22:57 Centre de Markov.
23:00 Et extraordinaire reprise de volée de Zegnier.
23:03 Chalry reste sans réaction.
23:05 Metz exulte.
23:07 En deuxième période, les lorrains vont être euphoriques.
23:14 Tout, mais vraiment tout, va leur réussir face à une équipe brestoise totalement dépassée par le rythme.
23:20 Imprimée par les joueurs de Marcel Husson.
23:23 Carmelo Missiche va donner le tournier à la défense bretonne.
23:25 Missiche, un candidat de plus en plus sérieux pour une place en équipe de France.
23:29 L'attaquant lorrain marque même son but après dix minutes de jeu.
23:33 Et ce, une-deux, en pleine surface avec Inzberger.
23:36 A deux à zéro, Metz continue d'attaquer et marque un troisième but.
23:44 Relais Markov-Kastendutsch.
23:47 Centre du libéraux lorrain.
23:50 Inzberger s'efface.
23:51 Zegnay marque son douzième but de la soirée.
23:53 Et c'est le but.
23:54 Le buteur du championnat c'est bien.
23:58 C'est bien si ça peut permettre à l'équipe de prendre des points et de gagner.
24:02 Maintenant pour moi c'est pas une obsession.
24:04 Mais c'est quoi la recette miracle de Metz pour en arriver là ?
24:07 C'est un bon état d'esprit, c'est de bons joueurs aussi.
24:09 Pas de vedettes, mais de bons joueurs.
24:10 Un exemple à méditer car hier soir l'équipe entière est à féliciter.
24:16 Seul petit reproche que l'on peut adresser à Metz c'est d'avoir été trop facile par moments.
24:21 Exemple cette occasion manquée par Markov en fin de rencontre.
24:25 Voilà alors l'aigle à plumes n'est pas très content.
24:32 C'est l'aiglon, c'est l'OGC Nice qui réalise un très beau parcours cette année.
24:35 Comme la saison précédente.
24:36 Pourtant il y a trois ans vous le savez, ils étaient en deuxième division.
24:39 On ne parle pas assez souvent de Nice.
24:40 C'est vrai et lorsqu'on en parle, ce n'est pas toujours en bien.
24:43 Alors Bernard Renault est allé se confesser du côté du boulevard.
24:46 Comment il s'appelle ce boulevard ?
24:48 Boulevard.
24:49 Masséna.
24:50 Mais à coup de pas, c'est vrai, je le confesse bien volontiers.
24:54 On ne parle pas assez souvent de Nice.
24:56 Et pourtant les nicois le méritent depuis deux saisons.
24:58 En première division, ils effectuent un excellent parcours.
25:00 Et pas de chance, quand on parle d'eux, c'est pour les descendre en flamme.
25:04 Alors à Nice, on ne comprend pas, on ne s'explique pas ce syndrome de l'indifférence.
25:08 On ne comprend pas ce procès d'intention fait aux aiglons.
25:12 C'est cette enquête parue dans France Football qui a mis le feu aux coudres.
25:15 En résumé, il était dit qu'à Nice, on avait tiré un trait sur le football de haut niveau.
25:19 Et que maintenant, on vivotait dans l'indifférence générale.
25:22 Piqué au bif, Jacques Médecin, député maire de Nice, se fend de trois feuillets au vitriol.
25:26 Histoire de prouver le contraire.
25:27 On croyait la faire enterrer.
25:29 Mais onze jours plus tard, l'Equipe Magazine publie un bande-essai des équipes de première division.
25:33 Nice y figure à la quinzième place.
25:36 Catastrophe.
25:37 À Nice, on n'apprécie pas du tout de passer pour des fers valoirs.
25:41 Autre période, autre nécessité, autre besoin.
25:44 Nous parlons toujours en millions.
25:46 Puisque la ville de Nice a octroyé en 1987 une subvention de 8 millions de francs à l'OGC Nice.
25:52 Et je crois que ça nous situe tout de même parmi les communes de France
25:56 qui réalisent le plus d'efforts en faveur de leur équipe professionnelle.
26:00 Même quand vous voulez faire venir un grand joueur, on parle en milliards.
26:03 Nous préférons parler en millions.
26:06 Nous avons axé nos efforts au niveau de notre club professionnel,
26:10 principalement sur notre centre de formation.
26:13 Cela démontre bien que nous sommes sages et que nous n'avons pas voulu tomber dans une surenchère
26:18 qui à mon avis est aujourd'hui arrivée à certains excès.
26:22 Le centre de formation de l'OGC Nice.
26:24 Un gros bloc de ciment pas très folichon situé au parc de l'Ouest.
26:27 Il abrite 26 apprentis footballeurs.
26:29 Grandes fiertés niçoises, Mej, Blanc, Massa, Morales, Guérit et Mouffet.
26:33 En sont issus.
26:36 Cible favorite des détracteurs de Nice, l'entraîneur Jean Serafin, 46 ans, depuis 5 ans au club.
26:43 Serafin à qui le public reproche d'être lorrain, calme, parachuté, patient,
26:47 bref de ne pas être le Rambo niçois.
26:49 Le public niçois, comme tous les publics, est assez nostalgique des heures glorieuses
26:56 qu'a connues l'OGC Nice.
26:58 Ce qui souhaiterait se retrouver peut-être les Amalfi, les Bergston, Carré, Bentifour,
27:05 Piantoni des années passées.
27:07 Je crois qu'actuellement il est conscient qu'il y a un excellent travail à effectuer,
27:11 que le résultat suive et que la machine est sur rail.
27:14 Maintenant c'est une question de patience pour qu'il puisse être satisfait.
27:17 Deuxième cible, le recrutement et notamment celui de Larios, réponse de l'intéressé.
27:23 100 minutes de jeu, Jean-François Larios prépare son premier match.
27:27 François Larios prépare son pied droit.
27:29 Le public, enfin un point sur lequel tout le monde est d'accord, c'est le mal niçois.
27:35 Impossible de déplacer plus de 8 à 10 000 spectateurs, décevant.
27:39 Je crois que ce qu'il faut à Nice, c'est ce qu'aiment les niçois, c'est avoir au sein
27:42 de cette équipe des joueurs qui ont un nom.
27:45 Alors c'est une question de choix aussi, c'est vrai aussi j'aimerais avoir les grands
27:50 noms du football français, aujourd'hui je ne peux pas me les offrir, j'essaie de faire
27:54 un nom et de bâtir un club avec des gens qui sont issus de notre centre de formation.
27:57 Tu préférais avoir des résultats mais pas de grands noms ?
28:00 Je souhaiterais avoir les deux, ce serait pour moi un but et un rêve surtout, car quand
28:08 je n'ai pas les noms, j'essaie d'avoir les résultats.
28:11 Bernard Renault donc et Georges Dominique ont porté bonheur à l'OGC Nice qui restait
28:16 sur trois défaites et qui a renoué avec la victoire en recevant l'aval.
28:20 Georges Dominique.
28:22 Avec d'abord mon cher Thierry l'affiche technique en rouge et noir bien sûr, puis l'affiche
28:28 pyrotechnique et l'affiche musicale.
28:30 Si la chanson de Jeanne Mas fait un malheur, les rouges et noirs niçois ont dégringolé
28:38 8 parades, vous l'avez dit les azuréens restent sur trois défaites alors que les blancs et
28:41 oranges de l'aval sont en pleine ascension.
28:43 Trois victoires de suite, explication du mauvais pas niçois, ici la béquille de Pierre Drey
28:48 aussi le défenseur est hors des terrains jusqu'à la fin du championnat.
28:51 Et Nice vient d'encaisser 8 buts au cours de ces deux derniers matchs.
28:56 Il s'agit donc de retrouver la confiance, elle est bien longue à se dessiner mais ici
29:00 à la 20ème minute on amorce un mouvement intéressant, Morales dangereux, les Lavallois
29:05 concèdent un corner sur la droite biais gauche de Enduro au deuxième poteau, il s'élève
29:10 avec sa masse et sa taille, Jean-François Larios ça s'écrase contre le poteau 1 à
29:15 0 pour Nice.
29:17 Larios qui amorce un bon retour en forme depuis quelques semaines et qui est surtout monsieur
29:22 un but par match depuis trois rencontres.
29:25 Ce but aurait dû donner des ailes aux aiglons mais c'est au contraire Laval qui sera maître
29:30 des opérations.
29:31 25ème minute, centre de Reusso, tête d'Audrin, but mais le 11 de Laval attendait le ballon
29:36 hors jeu, monsieur Wurz n'accorde pas, les fans de Nice ne sont pas mécontents mais
29:40 le match est loin d'être joué.
29:42 Mid-temps 1 à 0 mais Laval toujours coriace.
29:45 Laval toujours coriace, une très bonne équipe, une équipe qui joue sans angoisse de la rénégation,
29:51 sans stress de Coupe d'Europe mais qui joue donc tout à fait libérée, qui reste très
29:56 dangereuse et j'ai l'impression que ça va être difficile pour Nice parce que Nice
30:00 ne maîtrise pas bien cette équipe et son sujet.
30:02 Il a bien vu pour l'instant il fait frais malgré les tambourins, le public est clairsemé,
30:06 ce n'est pas un match folichon, Michel Lemillinaire sent que ses troupes peuvent atteindre l'objectif,
30:11 c'est ce qui se produit, ici montée de Payard, relais avec Ogbukiri, contrôle d'Audrin,
30:16 pied gauche fracassant, Anin joue à Mayonnaise, il reste 15 minutes à jouer, on se dit que
30:22 Laval va réussir son Xème match nul sur terrain adverse mais la Mayonnaise va mal tourner,
30:27 une minute plus tard, Curbelo puis ici Geirrit, Claude Massa, ils sont 3-4 lavalois et finalement
30:34 le Nice 1, dernier mot, 2-1 pour Nice.
30:37 Une victoire qui soulage Nice avant ses 2 petits déplacements à Monaco, mercredi en coupe
30:42 et samedi en championnat.
30:44 Et maintenant avec Yves Kupfermanck, tous les buts de la 29ème journée à l'exception
30:50 de Bordeaux-Nancy, il y en a eu 6 mais malheureusement nous n'avons pas reçu les images.
30:53 Yves Kupfermanck.
30:54 On commence avec l'Île Monaco, les Monégasques en bleu ouvrent la marque dès la 15ème
31:06 minute sur ce corner repoussé par les Lillois, tir de Bijota prolongé par l'inévitable
31:10 Sorren Lerby et Monaco mène donc 1-0.
31:13 Cet avantage, les Monégasques ne le garderont que 5 minutes, Desmet égalisant sur un pénalti
31:19 consécutif à une main de Bijota dans la surface.
31:22 Nouveau point perdu à demi-file par Toulon devant Lens, pas de but, pas d'avertissement,
31:28 RAS.
31:29 Rien ne va plus au FC Nantes qui décidément n'arrive plus à gagner, comble de malheur
31:34 pour les Nantais, ils ont joué à 10 toute la 2ème mi-temps après les blessures de
31:38 Bracigliano, Deboté et Bourouchaga.
31:40 Le seul but du match est marqué à la 72ème minute après une occasion de Patrice Garand
31:45 sur un contre favorable de FIAR, Eric Cantona s'en va tout seul battre Jean-Paul Bertrandemane.
31:52 OCR l'emporte 1-0.
32:00 Pas de but au stade de la Route de l'Orient, Arène, où le Paris Saint-Germain s'est créé
32:04 la plus belle occasion, centre de Safet-Suzic, reprise de Couriol, Yard est sauvée par sa
32:10 transversale.
32:11 Précieux succès de Sochaux qui devant le Havre a renoué avec la victoire, une victoire
32:16 qui s'est dessinée en 3 minutes, 6ème minute, pénalti transformé par Franck Chauset.
32:21 3 minutes plus tard, le même Chauset adresse un tir tendu de 20 mètres qui trompe Casanova.
32:27 2-0 c'est le score à la mi-temps, le Havre réduit l'écart à la 61ème minute, faute
32:31 de Sylvestre sur Pain dans la surface, pénalti indiscutable transformé en 2 fois par le
32:38 Tchécoslovaque, Vizek, Sochaux l'emporte 2-1.
32:41 Et pour terminer sans images, malheureusement, large victoire de Bordeaux devant Nancy, 4
32:50 buts à 2, Zlatko Vujovic, Ferreri et Touré 2 fois en marqué pour les Girondins, Nagy
32:55 et Stéphan pour Nancy.
32:57 Cette 29ème journée n'apporte pas de grosses modifications au classement, Bordeaux et
33:03 Marseille sont toujours au coude à coude avec un petit avantage aux Girondins qui ont
33:07 toujours 3 buts d'avance sur les Marseillais.
33:09 Auxerre revient à 1 point de Toulouse pour la 3ème place européenne que vise encore
33:14 Monaco et Metz.
33:16 Dans la 2ème partie du tableau, la situation devient grave pour Saint-Etienne dépassée
33:22 par Toulon mais entre le Racing Club de Paris 15ème et Nancy 19ème, 3 petits points seulement,
33:28 la lutte pour éviter la descente et les barrages risque d'être très très chaude.
33:33 Alors il y a eu pas mal de buts, de beaux buts Didier, vous avez eu l'embarras du choix
33:40 pour le but le plus beau de tous les tangos du monde.
33:43 C'est celui que j'ai dansé avec Solange Péter, c'est une surprise, vous allez voir.
33:50 Et bien finalement c'est le but de Bernard Zegnier.
33:53 A la suite de ce centre, Zegnier dans un premier temps voulait effectuer un amorti de la poitrine,
33:57 c'est ce qu'il confiera à notre confrère Martin Zara car il y avait beaucoup de vent.
34:00 Finalement il ne suivra pas sa première idée et en football ce n'est pas l'idéal.
34:04 En général il vaut mieux la suivre.
34:05 Mais enfin là ça va réussir Bernard Zegnier, regardez son jeu de jambes, il cherche son
34:09 bon appui, le trouve, c'est pas évident, il est un petit peu à reculons, il va réaliser
34:13 le geste parfait.
34:14 Alors pourquoi me direz-vous faire un ciseau retourné par la suite pour la galerie ?
34:17 Eh bien pas du tout, en réalisant ce geste il accompagne bien le ballon et donne sans
34:20 doute beaucoup plus de puissance à celui-ci.
34:23 Ensuite ça va dans les buts et s'il était resté debout il y avait une forte chance
34:26 voyez-vous que le ballon aille largement au-dessus des buts.
34:28 Au début de l'étranger, ce qui serait magnifique, c'est un shoot fait en Allemagne
34:38 qui rentrerait dans les buts de Bat.
34:41 Ça ce serait un but qui viendrait de l'étranger, un vrai.
34:46 Un vrai de vrai Michel Galavoy, il a de l'imagination, pourquoi pas, ça ira peut-être un jour puisqu'on
34:50 n'arrête pas le progrès.
34:51 Alors là au but étranger effectivement, dans mon dos vous le reconnaissez, Bern Schuster,
34:54 vous savez qu'il a beaucoup de problèmes actuellement avec Barcelone, il y a eu des
34:57 problèmes aussi à une époque avec la sélection nationale, il ne veut plus y retourner, il
35:01 y avait un procès cette semaine, Barcelone-Schuster, Michel Enfrol était pour nous sur place.
35:07 Donc Bern Schuster et le Barça.
35:09 C'est à Séville, le 7 mai dernier lors de la finale de Coupe d'Europe des Clubs Champions
35:12 face au Stoua de Bucarest, que les ennuis commencent pour Bern Schuster.
35:16 A la 83ème minute, Schuster quitte le terrain et Barcelone perd la coupe à la suite de
35:20 l'épreuve des tirs au but.
35:21 Nunez, le président du club catalan, déclare que Schuster ne portera plus jamais le maillot
35:26 du FCB sur un terrain de football.
35:28 Le public international avait découvert la nouvelle vedette du football allemand le
35:32 14 juin 1980 à Naples, en Championnat d'Europe des Nations.
35:36 Ce jour-là, l'Allemagne bat les Pays-Bas 3 à 2 et Bern Schuster, le numéro 6, 20 ans,
35:41 joueur du FC Cologne, sera à l'origine non seulement des 3 buts allemands, mais participera
35:46 à toutes les actions dangereuses qui viendront à bout des néerlandais.
35:50 Schuster, joueur de milieu de terrain, arrête, relance et marque.
35:54 En quelques mois, il atteint le firmament du football mondial.
35:57 Un joueur aussi jeune, aussi talentueux à tous les postes de jeu, attire très vite
36:01 l'attention du public et surtout celle des entraîneurs et des présidents de clubs
36:05 qui rêvent tous de s'attacher les services d'un pareil phénomène.
36:09 Fin 1980, Schuster est classé 2e meilleur joueur mondial, derrière Rummenigge mais devant
36:22 Michel Platini.
36:23 Schuster, à ce moment-là, a déjà quitté le maillot blanc de ses débuts, celui de
36:27 Cologne, avec lequel il avait conquis les foules d'Outre-Rhin, pour la tenue bleue
36:31 et rouge du Football Club de Barcelone, avec qui, en moins de 5 ans, il remportera une
36:36 Coupe d'Espagne, une Coupe d'Europe et un Championnat d'Espagne.
36:39 En 1984, après le départ de Maradona, Schuster devient capitaine de l'équipe catalane,
36:44 tout en se classant toujours parmi les meilleurs buteurs.
36:47 Mais les rapports de Schuster avec la presse espagnole ne sont pas des meilleurs.
36:50 Chacun de ses gestes est analysé à la loupe et les critiques succèdent vite aux éloges.
36:54 Depuis 10 mois donc, Schuster, toujours sous contrat, n'a plus joué avec son équipe,
37:13 aux grands dames des sociétaires et spectateurs du Nouw Camp, qui, chaque jour plus nombreux,
37:18 exigent son retour sur le terrain.
37:19 C'est pourquoi, jeudi dernier, dès 8h du matin, il y avait foule au Palais de Justice
37:23 de Barcelone pour entendre Schuster réclamer la résiliation de son contrat et le droit
37:28 pour lui d'aller jouer ailleurs.
37:29 Le cas Schuster passionne et divise les Catalans.
37:32 La politique, le chômage sont relégués au second plan.
37:35 Seul importe le maintien ou le départ de l'Ange Blond, qui donna aux Catalans leur
37:39 premier titre de Champion d'Espagne depuis 11 ans.
37:41 Schuster, toujours accompagné de Gabi, son épouse vigilante, refuse aujourd'hui les
37:49 propositions du président du FC Barcelone, Núñez, qui lui offre à partir de la saison
37:54 prochaine un nouveau contrat de 3 ans et un salaire annuel de 4 millions de francs, soit
37:59 25% de mieux, histoire sans doute pour Schuster de surmonter l'inflation en Espagne.
38:04 L'entraîneur britannique, Wenebels, préfère penser à autre chose, lui qui fut à l'origine
38:10 de la suspension du Joueur Vedette.
38:12 Pour éviter toute erreur de langage, c'est par l'entremise d'une interprète hispano-allemande
38:17 que Schuster a demandé officiellement au magistrat que liberté lui soit rendue dès
38:22 maintenant.
38:23 Alors que son avocat, lui, estimait que les propositions du président Núñez ne changeaient
38:28 rien au problème, vu le préjudice causé aux joueurs par une interruption de carrière
38:33 aussi longue, bientôt 10 mois.
38:35 Le patron du FC Barcelone, Josep Lluís Núñez, craint sans doute de voir un jour Schuster
38:44 arborer les couleurs de l'ennemi héréditaire, le rival traditionnel, le Real Madrid, et
38:49 il refuse surtout de payer la moindre indemnité à son ancien protégé.
38:53 Estimant que si Bernd Schuster s'en va maintenant en cours de contrat, c'est lui, le joueur,
38:58 qui doit, en application du droit du travail, dédommager le club pour le préjudice que
39:03 lui occasionne ce départ précipité.
39:12 Schuster, vedette de l'électronique audiovisuelle de la télévision catalane, ne sera pas fixé
39:17 sur son sort avant une bonne semaine, mais ses sentiments n'ont pas changé.
39:20 Bien sûr, j'aurais voulu renouveler mon contrat, mais il y a aussi autre chose.
39:25 Il y a des problèmes qui se posent et qui empêchent tout accord.
39:28 La solution pour moi serait de pouvoir jouer à nouveau au football, comme je dois le faire
39:35 normalement.
39:36 Mais ce qui se passe ici, c'est qu'on ne me laisse pas jouer au football.
39:40 Alors dans ce cas, il faut que j'aille jouer ailleurs.
39:42 Voilà le seul problème.
39:43 Quelques heures avant ce procès historique, les collègues de Schuster avaient renoué
39:48 avec le succès en championnat d'Espagne, en battant Osasun à 4 à 2.
39:52 Et deux joueurs s'étaient mis en vedette, les deux étrangers du club, qui s'appellent
39:56 aujourd'hui Archibald et Lineker.
39:59 Affaire à suivre donc.
40:07 Dans un petit mois, un peu moins, la France affrontera l'Islande en championnat d'Europe
40:10 des Nations Parc des Princes.
40:12 Et il y a eu deux matchs cette semaine, deux matchs que l'on va voir d'un petit peu plus près.
40:16 Marc Gage, un coup de tête dès la première minute.
40:31 Que dire du but égalisateur obtenu une demi-heure plus tard par les Rouges de l'équipe d'Albani,
40:36 un but splendide, mais malheureusement ce sera le seul.
40:40 1 à 1 à la 34e minute, 5 à 1 une heure plus tard, avec notamment un but de Bologna
40:47 et un autre de Boumbescu.
40:49 On vous fait grâce du reste, mais la Roumanie bat l'Albani 5 à 1, la Roumanie toujours
40:54 en course pour se qualifier pour l'Euro 88 dans le groupe 1.
41:04 Surprise en revanche dans le groupe 5, où sur sa pelouse, l'équipe des Pays-Bas a été
41:09 surprise dès la 6e minute par Saravakos, qui ouvre la marque d'un joli lob pour l'équipe
41:15 de Grèce.
41:16 Il faudra attendre la 56e minute pour voir Van Basten égaliser d'un bien joli but.
41:21 C'est un spécialiste, un partout, mais les Pays-Bas sont mal, ils ont déjà perdu
41:25 deux points sur leur terrain.
41:28 Oui, la première division, première division c'est bien, mais la deuxième division, c'est
41:46 pas des clowns hein ?
41:48 C'est pas des clowns, chez les avatars il a raison, on parle toujours de la première
41:52 division, mais savez-vous que dans la deuxième division, il y a des joueurs très très côtés,
41:56 on a la même qui valent quasiment, on dit un milliard.
41:59 Alors il y a une génération de joueurs dans notre football qui sont un petit peu en fin
42:02 de carrière, vous voyez le soleil est descendu, il ne brille plus tellement, mais il y a une
42:07 deuxième génération qui va arriver, on espère que pour notre football le soleil sera bien
42:11 haut comme ici, c'est une nouvelle rubrique, donc nos espoirs, ça s'appelle "Demain
42:16 sera un autre jour".
42:17 Grande pensée philosophique.
42:18 Philippe Ouy, avec Laurent Blanc, de Montpellier.
42:22 *Musique*
42:44 Ces inparticuliers ne risquent pas de passer inaperçus au milieu, surtout à Montpellier
42:48 où ses coéquipiers s'appellent Bernardet et Lemou, ils mesurent exactement 1m80.
42:53 Il y a une taille comme la vôtre, c'est pas un handicap pour jouer numéro 8 ?
42:57 Non, je pense pas, je suis fait comme ça, je pense que ça m'avantage dans les airs,
43:02 c'est-à-dire pour le jeu de tête, j'ai un petit inconvénient, c'est au point de vue
43:06 vivacité, là ça me dérange un petit peu.
43:08 Est-ce qu'il y a un joueur auquel vous vous assimilez plus particulièrement ?
43:11 Le plus que je m'assimile, c'est José Touré.
43:16 Sa qualité primordiale est que c'est un technicien hors pair.
43:21 Mais maintenant, moralement, il s'implique dans ses qualités techniques, je crois que
43:25 c'est un futur grand à condition qu'il reste le plus sur terre et surtout qu'il ne tombe
43:29 pas dans la facilité, c'était son défaut.
43:31 Il est tellement facile dans le football qu'il a tendance à tomber dans la facilité.
43:36 Cette année c'est autre chose, il a atteint une dimension supérieure.
43:39 Beaucoup s'en sont aperçus depuis la trêve, on l'a ainsi beaucoup vu notamment dans le
43:43 match de coupe que Montpellier a perdu face à Nice, mais Laurent Blanc lui a fait un
43:48 super match.
43:50 Et ça, ça se remarque surtout que 15 jours plus tôt, dans le derby contre Alès, il
43:54 avait réussi deux buts, le premier sur ce jaillissement et le deuxième vraiment superbe
44:01 sur une tête pas facile du tout.
44:08 On comprend mieux maintenant pourquoi le petit blanc Laurent a suivi la filière des
44:13 sélections jusqu'à être aux portes de la grande équipe de France, une éventualité
44:18 que lui pourtant n'envisage pas vraiment d'enlimer.
44:21 J'ai tout à prouver encore dans le football français, notamment en première division
44:24 car on a voulu encore en seconde division.
44:26 Donc pour moi les choses sont moins rapides que ce qu'on veut le penser.
44:31 Je pense que d'abord il faut que j'arrive à prouver que j'ai ma place en première
44:34 division et après on passera plus tard à l'équipe de France si on peut.
44:39 Laurent est lucide, il sait qu'il lui faut encore beaucoup travailler pour confirmer.
44:43 Il sait aussi qu'il doit jouer en première division rapidement et là évidemment ça
44:48 pose un problème même s'il intéresse beaucoup de clubs.
44:51 Si nous atteignons pas l'objectif fixé, c'est à dire la montée en première division,
44:54 on n'a pas le droit, en fait je ne me sens pas le droit ni le courage de faire en sorte
45:01 que ce garçon me végète en deuxième division. Il faut qu'il s'exprime au plus haut niveau
45:04 parce qu'il y a des qualités et des possibilités.
45:06 Comment vous réagissez quand vous entendez parler d'un milliard pour avoir Laurent Blanc
45:10 dans son équipe ?
45:12 Ça me surprend et ça m'impressionne à la fois.
45:14 Je veux dire que ce chiffre me paraît quand même un petit peu élevé pour un joueur
45:18 qui évolue en deuxième division et qui a tout à prouver dans le football français.
45:22 Montpellier c'est fini ?
45:24 Non pas du tout. Je pense que si Montpellier accède en première division à la fin de
45:28 la saison, je pense que j'aurai plus de chances d'être montpellierien que d'être ailleurs.
45:33 Et ailleurs ce pourrait être Marseille ?
45:35 Ecoutez, ça je ne peux pas vous le dire parce que je ne le sais pas du tout.
45:38 Donc en ce qui concerne mon avenir pour éventuellement partir dans notre octobre,
45:44 je ne peux rien dire car je n'en sais rien.
45:47 Eh bien on va rester au stade de la Mosson où les hommes du bon président Nicolas affrontaient
45:53 les Canois. Match au sommet dans le groupe B, Montpellier-Cannes, Philippe Ouy.
45:58 Couffrant vicieux d'Albert Aymond, Stéphane D'Angelo est obligé de s'y reprendre à deux fois.
46:03 Le ton est donné, Cannes n'est pas venu à Montpellier pour faire de la figuration.
46:08 Les joueurs de Mésis ont deux occasions, première période, là la reprise de Rjust est passée à côté.
46:13 Et deux minutes plus tard sur ce couffrant de Lemoux, Morisot détourne la tête de Laurent Blanc.
46:21 Mais la première grosse émotion du match, elle est pour la 23ème minute.
46:25 Débordement et centre de Chavereau, tête de Savic.
46:30 La balle est mal dégagée, résultat Charbonnier réussit une superbe reprise.
46:36 D'Angelo est battu, tout le monde 3-1-0 mais le juge de touche a levé son drapeau
46:41 et l'arbitre monsieur Guesayas suivra son juge de touche.
46:45 Tout est donc à refaire pour les Canois.
46:48 Cet avertissement sans frais aurait pu réveiller les langues de sien mais il n'en sera rien
46:52 même si la dernière occasion de la première période est en leur faveur.
46:57 Une heure de jeu maintenant, faute de baisse sur Burnier et cette fois-ci un but qui ne sera pas refusé.
47:05 Le couffrant est tiré par Albert-Aimond pour la tête de Bellisi.
47:09 D'Angelo est bien battu, 1-0 pour Cannes.
47:13 Les Canois vont même avoir une superbe occasion de réussir un deuxième but sur cette percée de Savic bien arrêtée par d'Angelo.
47:22 Les meilleures occasions ont donc été pour Cannes, à noter tout juste pour Montpellier cette dernière action.
47:28 Centre des Kiss, reprise de Millat mais dans les bras de Morisseau bien revu.
47:35 Première défaite de Montpellier à domicile et apparemment ses supporters en ont pris un coup au moral.
47:40 Vous êtes venu, vous avez vu un très mauvais Montpellier, je crois que c'est le plus mauvais match de la saison qu'on fait
47:45 et c'est celui qu'il ne fallait pas faire et c'est comme ça, c'est le football, c'est comme ça.
47:48 Rien n'est perdu.
47:49 Rien n'est perdu, ça arrive aux meilleures équipes et croyez-moi je crois qu'on a un moral d'acier et on va aller jusqu'au bout.
47:54 Nous nous sommes donné ce soir les moyens de notre mission à savoir venir gagner à Montpellier
48:00 et maintenant l'objectif bien sûr c'est les barrages.
48:03 Notre objectif au minimum ce sera les barrages, je crois que avant ce match-là
48:08 effectivement, raisonnablement, nous ne pouvions espérer que les barrages
48:11 mais je crois que ce soir nous allons relancer le championnat
48:13 entre Alès, Lyon, Montpellier et Cannes pour la première place.
48:17 Et tout ça ne redonne pas le sourire aux supporters de Montpellier.
48:21 Et c'est vrai, il a raison Alain Moisan parce que dans ce groupe B tout est possible.
48:25 Montpellier battu, Lyon vainqueur, Alès battu chez lui par Bastia but de Lipini et Solomenko.
48:31 Il y a donc 4 clubs en 3 points, Lyon, Montpellier, Alès et Cannes
48:35 mais Montpellier compte un match en moins mais un match difficile à Bastia.
48:39 Dans le bas du tableau, Bourges, Tonon et Béziers nous semblent malheureusement condamnés à la 3ème division.
48:45 Beaucoup moins de suspense dans le haut du classement du groupe A, tout au moins pour la première place
48:51 puisque Lyon a fait match nul à La Roche sur Lyon.
48:56 Ils comptent désormais 6 points d'avance sur Mulhouse qui s'est fait surprendre par Valenciennes.
49:01 Un but d'ailleurs de l'ancien mulhousien Didier Essex
49:03 a signalé que Cannes dans le même temps a également été battu à Saint-Dizier
49:07 pourtant Cannes menait 2 buts à 1 à 5 minutes de la fin
49:09 mais Saint-Dizier donc a marqué 2 buts dans les 5 dernières minutes.
49:12 Deuxième victoire du Red Star, enfin il est évidemment beaucoup trop tard
49:16 mais c'est toujours bon, 1 à 0 contre Strasbourg.
49:20 Alors l'un dans l'autre Thierry, il y a beaucoup de surprises
49:24 ce qui nous donne un loto peut-être intéressant, on va voir la grille.
49:27 Un loto où il aura fallu vraiment dépenser des trésors d'ingéniosité
49:32 pour trouver la bonne grille à 16.
49:34 Du reste ça ne met pas très bien qu'il y en ait une à 16
49:36 parce qu'en dehors des victoires à l'extérieur et des très nombreux matchs nuls
49:39 eh bien il fallait placer les croix exactement comme il faut.
49:43 On vous les laisse regarder pour une fois que l'on a bien le temps.
49:46 Moi en ce qui me concerne je suis largement en dessous de 10.
49:49 C'est vrai qu'en ce qui concerne les victoires à l'extérieur
49:52 celles de Valenciennes, d'Auxerre et même de Marseille n'étaient pas très évidentes.
49:56 Histronyme, bon c'était jouable.
49:58 C'était un derby.
49:59 C'est vrai qu'il y a quand même 3, 4, 5, 6, 7 matchs nuls.
50:02 Donc les clubs à domicile ont vraiment eu beaucoup de mal.
50:05 Avant de vous quitter je voudrais vous signaler que Mondial vient de sortir
50:09 avec sur la une le choc entre Naples et la Juventus
50:13 qui va se dérouler cet après-midi que vous pourrez peut-être suivre si vous avez Canal+.
50:17 Ah oui ?
50:18 Ah oui ça vaudra vraiment le coup.
50:20 Donc Maradona et Michel Platini, ensuite les classiques des interviews de Suodo,
50:23 Batnitz, Liskovitch, Tour, Foot Santé, Football à la Réunion.
50:27 Je vois, il y a 1re licence, le Top Foot etc.
50:31 Et puis j'aimerais vous quitter aussi en vous signalant que la Juventus Club de Paris,
50:35 chère à notre ami Georges Jou, rencontrera les médecins français
50:38 avec la participation de nombreuses vedettes de la chanson et du football.
50:41 Tout cela pour la Ligue contre le cancer, enfin la recette bien entendu sera destinée à la Ligue contre le cancer
50:46 à 15h au stade Marcel Cerdan, pourquoi je prononce mal, à Malakoff.
50:50 Ça se joue samedi prochain à 15h.
50:53 Donc il y aura du beau monde sur cette pelouse de Malakoff au stade de Marcel Cerdan.
50:58 Voilà, c'est terminé pour nous.
51:00 Cet après-midi à la folie, pas du tout avec Jean-Michel Leliot et Patrick Poivre d'Arvor.
51:05 Et après si vous voulez, vous pouvez peut-être changer de chaîne pour regarder ce fameux match au sommet du championnat italien.
51:10 Merci, bon dimanche, bonne semaine.
51:13 Il y a 2 soirées de football cette semaine mais elles sont inversées.
51:16 Mercredi c'est la Coupe, samedi le championnat.
51:18 C'est le contraire de ce qui était prévu.
51:20 Bonne semaine.
51:21 Sous-titres par Yannick Mahé
51:26 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:31 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:36 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:41 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
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51:56 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
52:01 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs