• il y a 7 mois
L'émission "Téléfoot" du 29 mars 1987 a été marquée par plusieurs événements importants du championnat de France de football de première division :

Le match entre Montpellier et Nice (4-0) :
Montpellier a réalisé une excellente performance en dominant Nice 4 à 0. Les buts ont été marqués par Catalano (5e), Gillot (22e), Armitano (35e) et Jola (40e). Cette victoire a permis à Montpellier de se hisser à la troisième place du classement, à six points du leader Marseille.

Le match entre Saint-Étienne et Marseille (1-1) :
Le match entre Saint-Étienne et Marseille a été serré et s'est soldé par un score nul de 1 à 1. Le but marseillais a été marqué par Cubay sur coup franc (30e), tandis que le but stéphanois a été inscrit par Gégan (68e). Ce résultat a permis à Marseille de conserver sa première place au classement, avec un point d'avance sur Bordeaux.

Les autres résultats de la journée :
Bordeaux a battu Lille 1-0.
Metz a battu Nancy 2-0.
Strasbourg a battu Laval 3-1.
Monaco a battu Le Havre 2-1.
Paris Saint-Germain a battu Toulouse 4-2.
Cannes a battu Rennes 2-1.

Le classement à l'issue de la journée :
Marseille 44 points
Bordeaux 43 points
Montpellier 38 points
Auxerre 37 points
Monaco 36 points
Toulouse 34 points
Nantes 33 points
Metz 32 points
Strasbourg 31 points
Paris Saint-Germain 30 points
Lille 29 points
Saint-Étienne 28 points
Cannes 27 points
Laval 26 points
Rennes 25 points
Nancy 24 points

L'émission "Téléfoot" a également diffusé des reportages sur d'autres sujets liés au football, tels que les coulisses des clubs, les transferts et les interviews de joueurs et d'entraîneurs.

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Sport
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00:38 À la une du Téléfoot New Look d'aujourd'hui, la 29ème journée du championnat,
00:42 les extraits de tous les matchs avec en particulier un certain Saint-Etienne OEM.
00:46 Saint-Etienne OEM, c'était également, vous le savez, une affiche dans le début des années 70.
00:50 Nous y reviendrons, comme nous reviendrons sur la journée de mercredi dernier,
00:54 où il y a eu de bien jolis buts.
00:56 Nice en a encaissé quatre à Lens, mais reste malgré tout fidèle au poste,
01:00 c'est ce que vous expliquera Bernard Renault.
01:03 Pour la rubrique étrangère, suite de la paire Schuster,
01:06 Michel Enfrol était cette semaine à Barcelone.
01:10 La deuxième division, enfin, avec le match au sommet Montpellier-Cannes
01:14 et en prime, un reportage de Philippe Ouy sur Laurent Blanc, le joueur qui monte.
01:18 - Il ne descend pas. Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, bonjour.
01:24 J'espère que vous avez bien dormi. On vous a enlevé une heure de sommeil.
01:26 Ce n'était pas évident, ça tombe très mal quand il y a Téléfoot.
01:28 Vous allez mieux le faire en semaine. Il y a eu deux journées de championnat.
01:30 Thierry, le plus simple, c'est encore de commencer par la première.
01:32 - Oui, tout à fait. Celle de mercredi, c'était la 28ème.
01:35 Il y a eu 25 buts de marqué. Ça ne nous était pas arrivé depuis longtemps.
01:38 Alors, Didier, on va attaquer ça tout de suite avec la rencontre Marseille-Lille
01:43 avec une équipe marseillaise qui se maintient au sommet.
01:45 - Oui, Marseille qui fait match nul à l'extérieur et qui l'emporte à domicile.
01:53 L'idéal pour être champion, tout comme Bordeaux d'ailleurs.
01:56 Ici, c'est un premier but de Papin après une heure de jeu.
02:01 Donc, Lille a bien résisté.
02:03 Et puis, 11 minutes plus tard, on va retrouver Jean-Pierre Papin.
02:06 Jires est juste à la sortie. C'est très bien fait.
02:08 Il avait jeté un petit coup d'œil avant. Le deuxième but de Papin.
02:11 Donc, l'OM qui l'emporte de but à zéro. Pas de but dans le match au Cermes.
02:14 - Et au sein de l'équipe toulousaine, un homme qui revient à grandes enjambées
02:21 après avoir été blessé, Marsico, qui se fait justice lui-même sur pénalty
02:25 juste avant la mi-temps contre Sochaux.
02:27 Colin l'avait fauché. 1 à 0 donc pour Toulouse.
02:32 47e minute sur une action encore de Marsico.
02:35 C'est le jeune Pavon qui marque son premier but en division 1.
02:38 2 à 0. 44e, 47e. On ne peut faire mieux.
02:42 Juste avant et juste après la mi-temps.
02:44 Et 10 minutes plus tard, c'est Sylvestre sur Puffon des Ferniers
02:47 qui sauve l'honneur pour Sochaux.
02:50 - Monaco l'a échappé belle à domicile devant Toulon.
02:54 Vous voyez un derby avec beaucoup de carton jaune.
02:57 C'est classique. Et en effet, Toulon avait ouvert la marque
03:00 à l'ancien Monégasque, Roger Icord à la 52e minute.
03:03 Et puis, 3 minutes plus tard, on allait retrouver René Marsiglia.
03:08 Il est un petit peu du pays lui aussi car s'il a joué dans le Nord,
03:12 il est originaire de Marseille et plus précisément des Caïols.
03:16 L'équipe des Caïols qui nous a donné de très très bons joueurs.
03:19 Donc 2 buts à 0. À cet instant alors, les Danois montent.
03:22 Ils vont tenter le tout pour le tout. Busque l'erbie pour une fois du pied droit.
03:26 Et finalement Ferrage qui était entré en courbe au jeu à la place de Daniel Bravo.
03:29 Réduit la marque, 2 buts à 1. Et toujours les grands blonds sur ce genre de couffant.
03:36 Et c'est finalement l'erbie. Le ballon est détourné.
03:39 Qui égalise pour Monaco à 5 minutes de la fin.
03:42 Un parc des princes au tir plein. Mais où sont les PSG Nantes d'antan ?
03:47 La fumée des pétards des supporters du PSG n'est pas encore dissipée
03:51 lorsque Suzyk du pied gauche ouvre la marque à la 5e minute.
03:55 1 à 0 pour les Parisiens. Mais très belle égalisation de Cambouaré à la 67e minute.
04:03 1 partout. Et il faudra un pénalty à la 66e minute pour que Ali Lodzic trompe son ex-coéquipier Jean-Paul Bertrand de Manne.
04:11 Et le PSG l'emporte 2 à 1.
04:13 Beaucoup de buts à l'aval. Et le Racing qui ne s'est pas trop remis de sa défaite dans le derby.
04:20 En compagnie de son élimination en coupe. Et un superbe couffant de Patrick Delamontagne à la 27e minute.
04:26 Un but de Obokiri. Et il y a de quoi à la 34e minute.
04:32 Enfin en 2e période c'est un but toujours pour l'aval de Rozo.
04:37 Une nouvelle lucarne. Et Litvarski réduira la marque après une heure de jeu.
04:42 Il était bien trop tard. Donc l'aval a emporté 3 buts à 1.
04:48 Le carton du jour en faveur de Lens et aux dépens de l'Olympique Gymnast Club de Nice.
04:53 5e minute. Une balle de Catalano pour Tobolic. Cafouillé par la défense niçoise.
04:59 Et 1 à 0 pour les 100 Aeor.
05:04 22e minute. Joli couffrant de Gillo. Et 2 à 0.
05:09 35e minute. Mésentente Armitrano-Curbelo qui exploite Tobolic.
05:15 3 à 0. Et juste avant la mi-temps, exploit de William Joléa.
05:21 Ça a dû faire plaisir à papa. Et 4 à 0 à la mi-temps. La messe était dite depuis longtemps.
05:26 Brest-Saint-Etienne. Un tout petit but marqué par Guégan à la 68e minute de cette partie.
05:34 Il vient d'entrer en jeu Guégan. C'est pratiquement son premier ballon.
05:39 A la suite de ce mauvais rebond et donc se renvoie de Casaleda.
05:43 Nancy-Rennes. But de Stéphane. Superbe lob. Très intelligemment joué.
05:56 1 à 0 pour l'Ecossais et pour Nancy. Et pénalty de Nagy. 2 à 0.
06:01 Nancy a gagné le match de la peur face à Rennes.
06:04 Le Havre-Bordeaux. Donc Bordeaux, je vous l'ai dit, comme Marseille. Match nul à l'extérieur.
06:08 Le soir à domicile, Bordeaux qui avait ouvert la marque par l'inévitable Farjon.
06:13 Toujours là où il faut. Philippe Farjon, c'est vraiment un cas à la 46e minute.
06:17 Mais 5 minutes plus tard, 6 minutes plus tard, plus exactement, un joli lob de pain.
06:22 Et nous en resterons là un partout.
06:25 Et en levée de rideau de ce match, c'était la fête du variété pour son 1000e match.
06:36 Ils étaient tous là, venus quelques-uns de très loin, comme Pouchekas ou M. Foote, Serge Blanco ou Marius Trezor.
06:42 J'ai eu l'occasion de jouer plusieurs fois avec Serge dans des matchs de variété.
06:47 Je crois qu'il a des qualités certaines. C'est dommage qu'il ait choisi le rugby.
06:51 Marius, vu son gabarit, je crois qu'il aurait pu me remplacer à l'arrière.
06:57 Je crois qu'il est né pour ça. Il a le sens du jeu. Il a un bon coup de pied. Pourquoi pas.
07:02 S'il avait voulu, même s'il veut, il peut venir jouer encore bien ici.
07:07 Pour le 1001e match jeudi à Montauban, Pouchekas ne sera pas là.
07:11 Mais pour le 2000e, il a promis de revenir affûté.
07:14 Ça va maintenant. Ne rajoutez pas. Je ne parle pas pour moi, je parle pour mon fils.
07:22 Alors qu'est-ce qui s'est passé à la première division ? Dites-le.
07:27 On va vous le dire, Léo Ferré, la première division, le frais, la viande fraîche, c'était hier soir.
07:33 Mais nous avons quelques petites boîtes de conserve ici à Téléfoot.
07:36 Saint-Etienne-Ouem, on vous l'a dit, c'était le match du jour.
07:39 Mais on vous l'a dit aussi dans les titres, c'était une assez belle affiche il y a quelques années.
07:43 On va revenir avec la petite boîte de conserve après la viande fraîche, c'est promis.
07:47 Retournons au stade Geoffroy Guichard, 15 ans en arrière.
07:50 Que reste-t-il de nos amours ? Que reste-t-il de ces beaux jours ?
07:55 Une photo, vieille photo de ma jeunesse.
07:59 Souvenez-vous dans la foulée de Jules Vincat, Jean-Paul Escale, Toussourir, Lopez, Odoul, Novi, Cullat, Leclerc, Magnusson, Bonnel, Skoblar et Couicou.
08:10 Ça c'est pour Marseille, pour Saint-Etienne maintenant.
08:12 Carnus, Durkowicz, Farizon, Camérini, Bosquier, Herbin, Parison, Larquet, Harvey Revelli, Caïta et Saramagna.
08:18 Et finalement c'est Marseille qui attaquera côté gauche.
08:22 Ici en blanc donc avec ce long centre de Lopez, cette tête de Couicou.
08:26 Heureusement que Carnus ne relâche pas car Josip Skoblar est toujours à l'affût.
08:30 Roger Magnusson de son côté semble en grande forme.
08:33 Ça tombe bien pour Saint-Etienne car Carnus également.
08:37 Sur le banc, Albert Bateux et Pierre Garonner s'inquiètent.
08:41 Ils ont tort car Saint-Etienne va bénéficier d'un pénalty sur cette action.
08:44 Et oui indiscutablement il y a une main de l'arrière droit Lopez.
08:48 Ce qui ne semble pas du goût de Jules Vincat et de Jean-Paul Escale.
08:53 Harvey Revelli s'interpose, finalement beaucoup de palabres pour pas grand chose puisque Caïta rate le pénalty.
08:59 Mais quelques minutes plus tard, un tir terrible de Robert Herbin.
09:03 Et cette fois les filets gardés par Jean-Paul Escale tremblent une première fois.
09:07 Saint-Etienne mène un but à zéro.
09:10 Ce ne sera pas le score à la mi-temps car il s'en passe des choses dans ses 45 premières minutes.
09:14 Comme ici par exemple, une faute de Camerini sur coup et coup.
09:17 Mais l'arbitre n'intervient pas, ce qui surprend Magnusson, Noubé et tous les joueurs de l'OM.
09:22 Qui attaque toujours avec Leclerc qui change complètement là-bas pour Skoblar.
09:25 Cette fois ça y est, c'est l'égalisation.
09:28 Deux rebonds et Carnus qui rate d'un rien cette manchette.
09:32 Un but partout à la mi-temps.
09:37 En deuxième période, le match sera toujours équilibré sous les yeux de Mario Zatelli et Marcel Leclerc, l'ancien président de l'OM.
09:44 Apprécier ces feintes de cordes Charlie Loubet au dépens de Robert Herbin.
09:49 Mais contrairement aux apparences, c'est Saint-Etienne qui va l'emporter.
09:53 Marquer donc le but de la victoire par Christian Saramagna.
09:57 Pour une fois du pied droit.
09:59 Il manque quelques centimètres à Jean-Paul Escale.
10:03 Score final 2 buts à 1 pour Saint-Etienne malgré un dernier raid de Charlie Loubet.
10:09 C'était la dernière action. Coup de sifflet de l'arbitre.
10:11 Cette fois ça y est, côté Stéphanois on peut lever les bras en forme de V.
10:14 V comme victoire.
10:16 Et bien Marseille a pris sa revanche.
10:21 Hier soir vous le savez, mais c'est tellement frais que c'est pas prêt.
10:24 On est en train de couper la viande.
10:26 Alors on va passer maintenant au sujet suivant.
10:28 On reviendra bien entendu sur ce match du jour.
10:31 Normalement vous devriez voir des petits feux d'artifice là derrière.
10:34 Pour vous rappeler que le Racing avait organisé une soirée toute particulière à la fin.
10:39 Juste avant la trêve.
10:42 Voilà vous vous souvenez, il y avait 10 000 jeunes invités.
10:45 C'était avant et après le match Racing contre Nancy.
10:50 Le Racing l'avait emporté.
10:52 On a essayé de continuer cet effort du côté des dirigeants du Racing.
10:56 Hier où il y avait encore beaucoup d'invités.
10:59 15 000 jeunes pour ce match Racing Club de Paris - Toulouse.
11:04 Vous voyez, ils sont ravis.
11:06 C'est une bonne chose.
11:08 C'est vraiment qu'ils vont être contents quand on va rentrer.
11:10 Les jeunes sont ravis.
11:12 Les moins jeunes aussi.
11:13 C'est bien.
11:14 Ça fait plaisir à tout le monde.
11:16 Et à certains, il y a toujours des pistonnets dans cette histoire.
11:18 Eux, ils se sont trouvés une tribune à l'aise.
11:21 Pour recevoir le match dans de bonnes conditions.
11:24 Et tant et si bien que le parc des princes est plein.
11:27 C'est curieux.
11:28 Il y a toujours un accoutrement un peu spécial.
11:30 Mais que voulez-vous.
11:31 Ce match, c'était aussi la soirée de l'espace.
11:35 Il était placé sous le signe de la soirée de l'espace.
11:38 Et il y en a un petit peu de l'espace.
11:40 Bernard Bureau ne l'en profite pas ici.
11:43 Une petite maison-tente.
11:45 Avec Francescoli.
11:47 Nous sommes donc en premier mi-temps.
11:48 Le Racing est sur notre droite.
11:49 Attaque avec Cusso.
11:51 Non.
11:52 Un bon tacle de Thilly.
11:53 Mais on se gêne un petit peu.
11:54 Et cela aurait pu faire l'affaire de Lidlbarski.
11:56 Attention quand même aux contre-toulousains.
11:59 Toulouse qui ne joue sans Durand.
12:01 Et qui sera privée de Marsico au bout d'une demi-heure de jeu.
12:03 Ici un arrêt bien délicat de Dominique Leclerc.
12:05 Sous la menace de Belus.
12:06 Qui avait donc remplacé Marsico après une demi-heure de jeu.
12:09 Et à deux minutes de la fin de cette première mi-temps.
12:12 Une superbe occasion pour Yannick Stoppira.
12:16 Mais ça passera à côté.
12:18 Dominique Baudis, le maire de Toulouse.
12:20 Qui est toujours là à domicile.
12:21 Et même de temps en temps à l'extérieur.
12:22 Puisqu'il était hier soir au parc des princes.
12:23 Il sera bien déçu à la suite de cette action.
12:26 Évidemment une première mi-temps pas vraiment extraordinaire.
12:29 Du côté du racing.
12:30 Alors les chercheurs se penchent.
12:32 Quel est le problème ?
12:33 Faut regarder vers la haut.
12:34 Comment faire ?
12:35 Pour que la fusée parte une bonne fois pour toutes.
12:39 Bien elle va partir.
12:40 Elle ne va pas vraiment atteindre son objectif.
12:41 En deuxième mi-temps.
12:42 Puisque le racing ne va pas l'emporter.
12:43 Mais enfin elle va partir.
12:44 Et on va assister c'est vrai à une bonne deuxième période.
12:47 Surtout du côté du racing.
12:48 Avec tout d'abord cette tentative de Fernandez.
12:52 Bien repoussé par Bergerot.
12:54 Cette accélération de Francescolli.
12:56 Lidvarski qui lance bien Bureau là-bas.
12:58 Mais qui va également vite.
12:59 Bureau et Francescolli n'a pas eu le temps de se replacer.
13:01 Il arrive un petit peu tard sur cette action.
13:04 Ce n'est pas terminé.
13:05 Un bon contre ici avec Fernandez.
13:06 Bousculé par Lestage.
13:07 Mais M. Delmer a une belle réaction.
13:08 Fernandez commet une faute.
13:09 Mais ensuite.
13:10 Donc finalement il laisse l'avantage.
13:11 S'il avait ciflé une première fois.
13:13 Et bien il aurait avantage en quelque sorte.
13:15 Celui qui faisait la première faute.
13:16 C'est à dire le défenseur Lestage.
13:18 Ça continue à la suite d'un corner.
13:21 C'est une tête de Germain.
13:22 Qui ne passe pas si loin.
13:23 Vous voyez qu'il y a quelques occasions.
13:25 Ici regardez c'est amusant.
13:26 Passy va tirer un coup franc.
13:27 Mais au dernier moment.
13:28 Il va hésiter.
13:29 Et boum.
13:30 Il se fait mal.
13:31 Ce sont des choses qui arrivent.
13:32 Il va y quitter à la pelouse.
13:33 5 minutes avant la fin.
13:34 Et on va se quitter dans cette partie.
13:37 Avec à 2 minutes du coup de sifflé final.
13:39 Une superbe occasion pour Ruggiani.
13:40 Qui sera contrée au tout dernier moment.
13:41 Car il faut dire effectivement.
13:42 Que la défense de Toulouse.
13:43 A fait un très très bon match.
13:44 Et que Toulouse visiblement était venu.
13:45 Pour faire le match nul.
13:46 Ensuite c'est le spectacle.
13:51 Le satélite.
13:52 Il y a Hiti qui est dedans.
13:53 La guerre des étoiles.
13:54 Le retour de Gédi.
13:55 Et tout et tout.
13:56 Il est prêt ?
13:57 Il est prêt ?
13:58 Et bien voilà.
13:59 Une bonne nouvelle.
14:00 Saint-Etienne OEM est prêt.
14:01 Alors allons-y pour le match du jour Thierry.
14:02 On a juste inversé.
14:03 Donc on a fait passer les Parisiens et Gédi.
14:04 Avant le leader marseillais.
14:05 Alors on se rend à Juillet.
14:06 Et on va se faire un petit peu.
14:07 Un petit peu de plaisir.
14:08 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:09 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:10 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:11 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:12 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:13 On va se faire un petit peu de plaisir.
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14:20 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:21 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:22 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:23 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:24 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:25 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:26 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:27 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:28 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:29 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:30 On va se faire un petit peu de plaisir.
14:51 On va se faire un petit peu de plaisir.
15:07 On va se faire un petit peu de plaisir.
15:34 Le calme des Bordeloires, c'est le tumulte du tunnel de Geoffroy Guichard.
15:38 Castaneda a fait le vide dans sa tête.
15:40 Il sait que la soirée face à Papin, Giresse, Sliskovic sera de toute façon très difficile.
15:48 Il est 20h30 pour l'AFC.
15:50 C'est l'opération maintien.
15:52 Passe par un bon résultat.
15:54 Un résultat positif quand ce Marseille dépense sur le coup de 22h15.
16:00 Le match, meilleure affluence de la saison à Saint-Etienne.
16:03 45 000 spectateurs, ambiance impressionnante.
16:07 Et on a failli assister au but le plus rapide du championnat.
16:10 Il aurait été marqué après 5 secondes de jeu, si ce ballon avait fini sa course au fond des filets.
16:18 Saint-Etienne domine, 8 minutes de jeu, tout droit.
16:21 Arrêt de baille sur ce coup avec le 3-3.
16:24 François décime un peu plus tard d'une double entorse.
16:27 Malgré sa blessure, il continuera à jouer.
16:30 Il refusera même d'être remplacé pendant la deuxième partie.
16:33 L'OM joue en compte 20 minutes de jeu.
16:37 Joli travail de Sliksovic pour le petit 3 du terrain.
16:41 Un ballon pour Jean-Pierre Papin mais repris raté par l'avanceur de Maxence.
16:46 Le Saint-Honoré domine, néanmoins ils ont des problèmes pour s'infiltrer dans la défense marseillaise.
16:53 Alors il tire de loin, exemple avec ce tir de Ribard qui passe à côté.
16:58 37 minutes de jeu à la suite d'un centre de Bonobon.
17:02 C'était sûr de pétiller, d'autant que sa chance, belle, encore une fois, bien jouée.
17:08 Partie animée, jeu de remarquable qualité, le tout dans le meilleur esprit.
17:13 Certes, il y a eu des fautes, mais regardez, c'est un blanc qui relève le vert et c'est un vert qui va relever le blanc.
17:20 Bravo !
17:22 42 minutes de jeu à présent, et Monsieur Benali assure un coup franc.
17:28 Il est tiré par Sliksovic, tête de Kuben, Marseille mène 1 à 0.
17:34 Le ralenti, en fait, Kuben sur ce coup franc effleure à peine le ballon, mais c'est suffisant.
17:51 Et la réussite est à l'arrivée, Marseille à la mi-temps mène donc par 1 à 0.
17:56 La deuxième période, elle est commencée depuis 3 minutes seulement,
18:01 quand Monsieur Caméra a aussi une bien belle occasion de réaliser.
18:04 Un momentaire de 2 minutes presque, il déverrouille un ballon pour Michel,
18:08 une pour Ney, pour la France-France.
18:11 Là aussi, on va revoir, rien à dire que notre Marseille est bien sereine.
18:16 Tout à l'heure, le ballon a frappé l'intérieur du poteau et il est rentré.
18:21 Là, il est revenu en jeu.
18:23 Le seul accrochage du match, Thimo qui s'énerve quelques peu dans le dos de l'arbitre,
18:29 il s'en prend à Sliksovic, pas très rassuré, l'idiotisme de l'homme.
18:33 Mais le général, il est plus rapidement rentré à 1.
18:38 En tout cas, Marseille mène donc toujours par 1 à 0.
18:42 Encouragé par leur public, les Stéphanois font le maximum pour égaliser.
18:46 Encore ici, une belle occasion et selon un principe qui a fait déjà ses preuves,
18:51 Thimo dans le rôle du remiseur, mais Ribard rate complètement sa reprise.
18:56 Attention toujours aux contre-marseillais, là le ballon va parvenir à Forster,
19:02 le défenseur allemand de Marseille.
19:04 Il tire, met sa face au-dessus.
19:06 Il reste maintenant 10 minutes à jouer.
19:10 C'est le moment peut-être de souligner la formidable partie,
19:13 encore une fois réussie par Joseph-Antoine Bell.
19:15 Dans les sorties, ou sur sa ligne, le gardien de l'OM, tout impeccable.
19:20 Là, il y a encore le gardien de Bégaud.
19:24 Au contraire, à 5 minutes de la fin du match, Marseille aurait même pu marquer un 2ème but.
19:32 Sliksovic a le champ libre, il veut donner à Diallo, mais il est contré.
19:36 Marseille gagne finalement 1 à 0.
19:39 Il y a 35 ans que l'OM n'avait pas gagné.
19:42 A sa place.
19:43 L'homme du match, le public.
19:49 Nombreux, enthousiastes, sans excès, en un mot, formidables,
19:53 même les joueurs marseillais sont d'accord.
19:56 Joseph-Antoine Bell, on a failli vous prendre pour homme du match,
20:03 et puis finalement on a choisi le public.
20:05 Ça change. Vous êtes d'accord avec nous ?
20:06 Je suis surtout content pour le public.
20:08 Il était nombreux, il a crié du début à la fin, moi avec lui d'ailleurs,
20:13 et donc s'il est l'homme du match, je lui dis bravo.
20:16 Comme au vieux temps de Geoffroy Grichard, l'ambiance extraordinaire,
20:20 ça motive pour un match de football, c'est fabuleux.
20:23 Qu'est-ce qu'on ressent au moment d'entrer sur le terrain ?
20:25 Je crois que, de toute façon, c'est aussi motivant pour l'adversaire,
20:28 quand on est ici, quand on voit qu'il y a du monde,
20:30 que ce monde-là est prêt à vibrer pour un match, ça donne envie de jouer.
20:33 Je crois que ce soir, c'était le public, il y avait 45 000 personnes.
20:37 Il y avait une équipe, ils ont poussé du début jusqu'à la fin.
20:40 Je crois que c'est important.
20:42 Jouer devant un tel public, c'est fantastique.
20:44 Il y a toutes les conditions sur lesquelles il faut faire un beau match.
20:47 Et je crois qu'un public fair-play comme il l'est, c'est vraiment bien.
20:49 C'était une belle fête.
20:50 Pour Castaneda, le rêve s'est achevé après une belle reprise.
20:55 Plus de choix, plus de fêtes de culinaires, plus de rassurces.
20:58 Et le Superstadion, Castaneda, n'a plus confiance en eux.
21:03 En seconde période, Castaneda se motive,
21:07 attendant la délivrance sous la forme d'un but qui ne vient pas.
21:10 Ses ordres se perdent dans les couilles des enfants du chars.
21:14 La menace marseillaise est présente jusqu'à la dernière minute.
21:18 22h15, les enfants du chars ruisdent.
21:25 Sans Castaneda, rien ne peut se respirer.
21:27 L'avenir des Verts s'attendit.
21:29 C'est le début du métier de gardien de but.
21:33 Pour Saint-Etienne, comme pour d'autres clubs, la fin de saison sera difficile.
21:39 Autre match important de la soirée d'hier, Metz-Brest.
21:43 L'attaque Messines et Zegnay en fait parler la poudre.
21:45 Martin Tzara.
21:46 Match des extrêmes hier soir à Saint-Symphorien,
21:50 à quelques 900 kilomètres séparent en effet Metz de Brest.
21:54 Et si dans l'Est, Toubaye dans une douce euphorie,
21:57 Metz est sixième.
21:59 Par contre, dans l'Ouest, ce n'est pas vraiment la joie.
22:02 Le club breton classé en milieu de tableau doit faire face en ce moment à des querelles internes.
22:07 Une crise oppose en effet joueurs et entraîneurs à certains dirigeants.
22:12 Ça a été un point de non-retour.
22:16 Donc si c'est comme ça, je crois qu'il y aura l'entraîneur qui va sûrement partir,
22:20 si le président reste.
22:21 Et il y aura sûrement quelques joueurs qui partiront, d'en moins.
22:24 Parce que ça ne peut pas continuer comme ça.
22:26 - Vous agissez très sérieusement maintenant votre départ de Brest.
22:29 - C'est le procédé d'Alevinac-Brest, tout à fait.
22:31 Je vous le promets, je vous laisse aussi.
22:33 Des problèmes qui n'ont toutefois pas empêché les bretons de jouer en vrai pro Brest.
22:38 Ici par l'intermédiaire de Poulikène, inquiète d'entrée et tort de gardien Messin.
22:43 Mais Metz est en grande forme.
22:45 Metz domine.
22:46 Les lorrains emmenés par Missiche et Zegnier prennent de plus en plus l'ascendant sur Brest.
22:51 Et c'est en toute logique que Metz, à cinq minutes du repos, ouvre le score.
22:55 Zegnier au départ de l'action pour Braconi.
22:57 Centre de Markov.
23:00 Et extraordinaire reprise de volée de Zegnier.
23:03 Chalry reste sans réaction.
23:05 Metz exulte.
23:07 En deuxième période, les lorrains vont être euphoriques.
23:14 Tout, mais vraiment tout, va leur réussir face à une équipe brestoise totalement dépassée par le rythme.
23:20 Imprimée par les joueurs de Marcel Husson.
23:23 Carmelo Missiche va donner le tournier à la défense bretonne.
23:25 Missiche, un candidat de plus en plus sérieux pour une place en équipe de France.
23:29 L'attaquant lorrain marque même son but après dix minutes de jeu.
23:33 Et ce, une-deux, en pleine surface avec Inzberger.
23:36 A deux à zéro, Metz continue d'attaquer et marque un troisième but.
23:44 Relais Markov-Kastendutsch.
23:47 Centre du libéraux lorrain.
23:50 Inzberger s'efface.
23:51 Zegnay marque son douzième but de la soirée.
23:53 Et c'est le but.
23:54 Le buteur du championnat c'est bien.
23:58 C'est bien si ça peut permettre à l'équipe de prendre des points et de gagner.
24:02 Maintenant pour moi c'est pas une obsession.
24:04 Mais c'est quoi la recette miracle de Metz pour en arriver là ?
24:07 C'est un bon état d'esprit, c'est de bons joueurs aussi.
24:09 Pas de vedettes, mais de bons joueurs.
24:10 Un exemple à méditer car hier soir l'équipe entière est à féliciter.
24:16 Seul petit reproche que l'on peut adresser à Metz c'est d'avoir été trop facile par moments.
24:21 Exemple cette occasion manquée par Markov en fin de rencontre.
24:25 Voilà alors l'aigle à plumes n'est pas très content.
24:32 C'est l'aiglon, c'est l'OGC Nice qui réalise un très beau parcours cette année.
24:35 Comme la saison précédente.
24:36 Pourtant il y a trois ans vous le savez, ils étaient en deuxième division.
24:39 On ne parle pas assez souvent de Nice.
24:40 C'est vrai et lorsqu'on en parle, ce n'est pas toujours en bien.
24:43 Alors Bernard Renault est allé se confesser du côté du boulevard.
24:46 Comment il s'appelle ce boulevard ?
24:48 Boulevard.
24:49 Masséna.
24:50 Mais à coup de pas, c'est vrai, je le confesse bien volontiers.
24:54 On ne parle pas assez souvent de Nice.
24:56 Et pourtant les nicois le méritent depuis deux saisons.
24:58 En première division, ils effectuent un excellent parcours.
25:00 Et pas de chance, quand on parle d'eux, c'est pour les descendre en flamme.
25:04 Alors à Nice, on ne comprend pas, on ne s'explique pas ce syndrome de l'indifférence.
25:08 On ne comprend pas ce procès d'intention fait aux aiglons.
25:12 C'est cette enquête parue dans France Football qui a mis le feu aux coudres.
25:15 En résumé, il était dit qu'à Nice, on avait tiré un trait sur le football de haut niveau.
25:19 Et que maintenant, on vivotait dans l'indifférence générale.
25:22 Piqué au bif, Jacques Médecin, député maire de Nice, se fend de trois feuillets au vitriol.
25:26 Histoire de prouver le contraire.
25:27 On croyait la faire enterrer.
25:29 Mais onze jours plus tard, l'Equipe Magazine publie un bande-essai des équipes de première division.
25:33 Nice y figure à la quinzième place.
25:36 Catastrophe.
25:37 À Nice, on n'apprécie pas du tout de passer pour des fers valoirs.
25:41 Autre période, autre nécessité, autre besoin.
25:44 Nous parlons toujours en millions.
25:46 Puisque la ville de Nice a octroyé en 1987 une subvention de 8 millions de francs à l'OGC Nice.
25:52 Et je crois que ça nous situe tout de même parmi les communes de France
25:56 qui réalisent le plus d'efforts en faveur de leur équipe professionnelle.
26:00 Même quand vous voulez faire venir un grand joueur, on parle en milliards.
26:03 Nous préférons parler en millions.
26:06 Nous avons axé nos efforts au niveau de notre club professionnel,
26:10 principalement sur notre centre de formation.
26:13 Cela démontre bien que nous sommes sages et que nous n'avons pas voulu tomber dans une surenchère
26:18 qui à mon avis est aujourd'hui arrivée à certains excès.
26:22 Le centre de formation de l'OGC Nice.
26:24 Un gros bloc de ciment pas très folichon situé au parc de l'Ouest.
26:27 Il abrite 26 apprentis footballeurs.
26:29 Grandes fiertés niçoises, Mej, Blanc, Massa, Morales, Guérit et Mouffet.
26:33 En sont issus.
26:36 Cible favorite des détracteurs de Nice, l'entraîneur Jean Serafin, 46 ans, depuis 5 ans au club.
26:43 Serafin à qui le public reproche d'être lorrain, calme, parachuté, patient,
26:47 bref de ne pas être le Rambo niçois.
26:49 Le public niçois, comme tous les publics, est assez nostalgique des heures glorieuses
26:56 qu'a connues l'OGC Nice.
26:58 Ce qui souhaiterait se retrouver peut-être les Amalfi, les Bergston, Carré, Bentifour,
27:05 Piantoni des années passées.
27:07 Je crois qu'actuellement il est conscient qu'il y a un excellent travail à effectuer,
27:11 que le résultat suive et que la machine est sur rail.
27:14 Maintenant c'est une question de patience pour qu'il puisse être satisfait.
27:17 Deuxième cible, le recrutement et notamment celui de Larios, réponse de l'intéressé.
27:23 100 minutes de jeu, Jean-François Larios prépare son premier match.
27:27 François Larios prépare son pied droit.
27:29 Le public, enfin un point sur lequel tout le monde est d'accord, c'est le mal niçois.
27:35 Impossible de déplacer plus de 8 à 10 000 spectateurs, décevant.
27:39 Je crois que ce qu'il faut à Nice, c'est ce qu'aiment les niçois, c'est avoir au sein
27:42 de cette équipe des joueurs qui ont un nom.
27:45 Alors c'est une question de choix aussi, c'est vrai aussi j'aimerais avoir les grands
27:50 noms du football français, aujourd'hui je ne peux pas me les offrir, j'essaie de faire
27:54 un nom et de bâtir un club avec des gens qui sont issus de notre centre de formation.
27:57 Tu préférais avoir des résultats mais pas de grands noms ?
28:00 Je souhaiterais avoir les deux, ce serait pour moi un but et un rêve surtout, car quand
28:08 je n'ai pas les noms, j'essaie d'avoir les résultats.
28:11 Bernard Renault donc et Georges Dominique ont porté bonheur à l'OGC Nice qui restait
28:16 sur trois défaites et qui a renoué avec la victoire en recevant l'aval.
28:20 Georges Dominique.
28:22 Avec d'abord mon cher Thierry l'affiche technique en rouge et noir bien sûr, puis l'affiche
28:28 pyrotechnique et l'affiche musicale.
28:30 Si la chanson de Jeanne Mas fait un malheur, les rouges et noirs niçois ont dégringolé
28:38 8 parades, vous l'avez dit les azuréens restent sur trois défaites alors que les blancs et
28:41 oranges de l'aval sont en pleine ascension.
28:43 Trois victoires de suite, explication du mauvais pas niçois, ici la béquille de Pierre Drey
28:48 aussi le défenseur est hors des terrains jusqu'à la fin du championnat.
28:51 Et Nice vient d'encaisser 8 buts au cours de ces deux derniers matchs.
28:56 Il s'agit donc de retrouver la confiance, elle est bien longue à se dessiner mais ici
29:00 à la 20ème minute on amorce un mouvement intéressant, Morales dangereux, les Lavallois
29:05 concèdent un corner sur la droite biais gauche de Enduro au deuxième poteau, il s'élève
29:10 avec sa masse et sa taille, Jean-François Larios ça s'écrase contre le poteau 1 à
29:15 0 pour Nice.
29:17 Larios qui amorce un bon retour en forme depuis quelques semaines et qui est surtout monsieur
29:22 un but par match depuis trois rencontres.
29:25 Ce but aurait dû donner des ailes aux aiglons mais c'est au contraire Laval qui sera maître
29:30 des opérations.
29:31 25ème minute, centre de Reusso, tête d'Audrin, but mais le 11 de Laval attendait le ballon
29:36 hors jeu, monsieur Wurz n'accorde pas, les fans de Nice ne sont pas mécontents mais
29:40 le match est loin d'être joué.
29:42 Mid-temps 1 à 0 mais Laval toujours coriace.
29:45 Laval toujours coriace, une très bonne équipe, une équipe qui joue sans angoisse de la rénégation,
29:51 sans stress de Coupe d'Europe mais qui joue donc tout à fait libérée, qui reste très
29:56 dangereuse et j'ai l'impression que ça va être difficile pour Nice parce que Nice
30:00 ne maîtrise pas bien cette équipe et son sujet.
30:02 Il a bien vu pour l'instant il fait frais malgré les tambourins, le public est clairsemé,
30:06 ce n'est pas un match folichon, Michel Lemillinaire sent que ses troupes peuvent atteindre l'objectif,
30:11 c'est ce qui se produit, ici montée de Payard, relais avec Ogbukiri, contrôle d'Audrin,
30:16 pied gauche fracassant, Anin joue à Mayonnaise, il reste 15 minutes à jouer, on se dit que
30:22 Laval va réussir son Xème match nul sur terrain adverse mais la Mayonnaise va mal tourner,
30:27 une minute plus tard, Curbelo puis ici Geirrit, Claude Massa, ils sont 3-4 lavalois et finalement
30:34 le Nice 1, dernier mot, 2-1 pour Nice.
30:37 Une victoire qui soulage Nice avant ses 2 petits déplacements à Monaco, mercredi en coupe
30:42 et samedi en championnat.
30:44 Et maintenant avec Yves Kupfermanck, tous les buts de la 29ème journée à l'exception
30:50 de Bordeaux-Nancy, il y en a eu 6 mais malheureusement nous n'avons pas reçu les images.
30:53 Yves Kupfermanck.
30:54 On commence avec l'Île Monaco, les Monégasques en bleu ouvrent la marque dès la 15ème
31:06 minute sur ce corner repoussé par les Lillois, tir de Bijota prolongé par l'inévitable
31:10 Sorren Lerby et Monaco mène donc 1-0.
31:13 Cet avantage, les Monégasques ne le garderont que 5 minutes, Desmet égalisant sur un pénalti
31:19 consécutif à une main de Bijota dans la surface.
31:22 Nouveau point perdu à demi-file par Toulon devant Lens, pas de but, pas d'avertissement,
31:28 RAS.
31:29 Rien ne va plus au FC Nantes qui décidément n'arrive plus à gagner, comble de malheur
31:34 pour les Nantais, ils ont joué à 10 toute la 2ème mi-temps après les blessures de
31:38 Bracigliano, Deboté et Bourouchaga.
31:40 Le seul but du match est marqué à la 72ème minute après une occasion de Patrice Garand
31:45 sur un contre favorable de FIAR, Eric Cantona s'en va tout seul battre Jean-Paul Bertrandemane.
31:52 OCR l'emporte 1-0.
32:00 Pas de but au stade de la Route de l'Orient, Arène, où le Paris Saint-Germain s'est créé
32:04 la plus belle occasion, centre de Safet-Suzic, reprise de Couriol, Yard est sauvée par sa
32:10 transversale.
32:11 Précieux succès de Sochaux qui devant le Havre a renoué avec la victoire, une victoire
32:16 qui s'est dessinée en 3 minutes, 6ème minute, pénalti transformé par Franck Chauset.
32:21 3 minutes plus tard, le même Chauset adresse un tir tendu de 20 mètres qui trompe Casanova.
32:27 2-0 c'est le score à la mi-temps, le Havre réduit l'écart à la 61ème minute, faute
32:31 de Sylvestre sur Pain dans la surface, pénalti indiscutable transformé en 2 fois par le
32:38 Tchécoslovaque, Vizek, Sochaux l'emporte 2-1.
32:41 Et pour terminer sans images, malheureusement, large victoire de Bordeaux devant Nancy, 4
32:50 buts à 2, Zlatko Vujovic, Ferreri et Touré 2 fois en marqué pour les Girondins, Nagy
32:55 et Stéphan pour Nancy.
32:57 Cette 29ème journée n'apporte pas de grosses modifications au classement, Bordeaux et
33:03 Marseille sont toujours au coude à coude avec un petit avantage aux Girondins qui ont
33:07 toujours 3 buts d'avance sur les Marseillais.
33:09 Auxerre revient à 1 point de Toulouse pour la 3ème place européenne que vise encore
33:14 Monaco et Metz.
33:16 Dans la 2ème partie du tableau, la situation devient grave pour Saint-Etienne dépassée
33:22 par Toulon mais entre le Racing Club de Paris 15ème et Nancy 19ème, 3 petits points seulement,
33:28 la lutte pour éviter la descente et les barrages risque d'être très très chaude.
33:33 Alors il y a eu pas mal de buts, de beaux buts Didier, vous avez eu l'embarras du choix
33:40 pour le but le plus beau de tous les tangos du monde.
33:43 C'est celui que j'ai dansé avec Solange Péter, c'est une surprise, vous allez voir.
33:50 Et bien finalement c'est le but de Bernard Zegnier.
33:53 A la suite de ce centre, Zegnier dans un premier temps voulait effectuer un amorti de la poitrine,
33:57 c'est ce qu'il confiera à notre confrère Martin Zara car il y avait beaucoup de vent.
34:00 Finalement il ne suivra pas sa première idée et en football ce n'est pas l'idéal.
34:04 En général il vaut mieux la suivre.
34:05 Mais enfin là ça va réussir Bernard Zegnier, regardez son jeu de jambes, il cherche son
34:09 bon appui, le trouve, c'est pas évident, il est un petit peu à reculons, il va réaliser
34:13 le geste parfait.
34:14 Alors pourquoi me direz-vous faire un ciseau retourné par la suite pour la galerie ?
34:17 Eh bien pas du tout, en réalisant ce geste il accompagne bien le ballon et donne sans
34:20 doute beaucoup plus de puissance à celui-ci.
34:23 Ensuite ça va dans les buts et s'il était resté debout il y avait une forte chance
34:26 voyez-vous que le ballon aille largement au-dessus des buts.
34:28 Au début de l'étranger, ce qui serait magnifique, c'est un shoot fait en Allemagne
34:38 qui rentrerait dans les buts de Bat.
34:41 Ça ce serait un but qui viendrait de l'étranger, un vrai.
34:46 Un vrai de vrai Michel Galavoy, il a de l'imagination, pourquoi pas, ça ira peut-être un jour puisqu'on
34:50 n'arrête pas le progrès.
34:51 Alors là au but étranger effectivement, dans mon dos vous le reconnaissez, Bern Schuster,
34:54 vous savez qu'il a beaucoup de problèmes actuellement avec Barcelone, il y a eu des
34:57 problèmes aussi à une époque avec la sélection nationale, il ne veut plus y retourner, il
35:01 y avait un procès cette semaine, Barcelone-Schuster, Michel Enfrol était pour nous sur place.
35:07 Donc Bern Schuster et le Barça.
35:09 C'est à Séville, le 7 mai dernier lors de la finale de Coupe d'Europe des Clubs Champions
35:12 face au Stoua de Bucarest, que les ennuis commencent pour Bern Schuster.
35:16 A la 83ème minute, Schuster quitte le terrain et Barcelone perd la coupe à la suite de
35:20 l'épreuve des tirs au but.
35:21 Nunez, le président du club catalan, déclare que Schuster ne portera plus jamais le maillot
35:26 du FCB sur un terrain de football.
35:28 Le public international avait découvert la nouvelle vedette du football allemand le
35:32 14 juin 1980 à Naples, en Championnat d'Europe des Nations.
35:36 Ce jour-là, l'Allemagne bat les Pays-Bas 3 à 2 et Bern Schuster, le numéro 6, 20 ans,
35:41 joueur du FC Cologne, sera à l'origine non seulement des 3 buts allemands, mais participera
35:46 à toutes les actions dangereuses qui viendront à bout des néerlandais.
35:50 Schuster, joueur de milieu de terrain, arrête, relance et marque.
35:54 En quelques mois, il atteint le firmament du football mondial.
35:57 Un joueur aussi jeune, aussi talentueux à tous les postes de jeu, attire très vite
36:01 l'attention du public et surtout celle des entraîneurs et des présidents de clubs
36:05 qui rêvent tous de s'attacher les services d'un pareil phénomène.
36:09 Fin 1980, Schuster est classé 2e meilleur joueur mondial, derrière Rummenigge mais devant
36:22 Michel Platini.
36:23 Schuster, à ce moment-là, a déjà quitté le maillot blanc de ses débuts, celui de
36:27 Cologne, avec lequel il avait conquis les foules d'Outre-Rhin, pour la tenue bleue
36:31 et rouge du Football Club de Barcelone, avec qui, en moins de 5 ans, il remportera une
36:36 Coupe d'Espagne, une Coupe d'Europe et un Championnat d'Espagne.
36:39 En 1984, après le départ de Maradona, Schuster devient capitaine de l'équipe catalane,
36:44 tout en se classant toujours parmi les meilleurs buteurs.
36:47 Mais les rapports de Schuster avec la presse espagnole ne sont pas des meilleurs.
36:50 Chacun de ses gestes est analysé à la loupe et les critiques succèdent vite aux éloges.
36:54 Depuis 10 mois donc, Schuster, toujours sous contrat, n'a plus joué avec son équipe,
37:13 aux grands dames des sociétaires et spectateurs du Nouw Camp, qui, chaque jour plus nombreux,
37:18 exigent son retour sur le terrain.
37:19 C'est pourquoi, jeudi dernier, dès 8h du matin, il y avait foule au Palais de Justice
37:23 de Barcelone pour entendre Schuster réclamer la résiliation de son contrat et le droit
37:28 pour lui d'aller jouer ailleurs.
37:29 Le cas Schuster passionne et divise les Catalans.
37:32 La politique, le chômage sont relégués au second plan.
37:35 Seul importe le maintien ou le départ de l'Ange Blond, qui donna aux Catalans leur
37:39 premier titre de Champion d'Espagne depuis 11 ans.
37:41 Schuster, toujours accompagné de Gabi, son épouse vigilante, refuse aujourd'hui les
37:49 propositions du président du FC Barcelone, Núñez, qui lui offre à partir de la saison
37:54 prochaine un nouveau contrat de 3 ans et un salaire annuel de 4 millions de francs, soit
37:59 25% de mieux, histoire sans doute pour Schuster de surmonter l'inflation en Espagne.
38:04 L'entraîneur britannique, Wenebels, préfère penser à autre chose, lui qui fut à l'origine
38:10 de la suspension du Joueur Vedette.
38:12 Pour éviter toute erreur de langage, c'est par l'entremise d'une interprète hispano-allemande
38:17 que Schuster a demandé officiellement au magistrat que liberté lui soit rendue dès
38:22 maintenant.
38:23 Alors que son avocat, lui, estimait que les propositions du président Núñez ne changeaient
38:28 rien au problème, vu le préjudice causé aux joueurs par une interruption de carrière
38:33 aussi longue, bientôt 10 mois.
38:35 Le patron du FC Barcelone, Josep Lluís Núñez, craint sans doute de voir un jour Schuster
38:44 arborer les couleurs de l'ennemi héréditaire, le rival traditionnel, le Real Madrid, et
38:49 il refuse surtout de payer la moindre indemnité à son ancien protégé.
38:53 Estimant que si Bernd Schuster s'en va maintenant en cours de contrat, c'est lui, le joueur,
38:58 qui doit, en application du droit du travail, dédommager le club pour le préjudice que
39:03 lui occasionne ce départ précipité.
39:12 Schuster, vedette de l'électronique audiovisuelle de la télévision catalane, ne sera pas fixé
39:17 sur son sort avant une bonne semaine, mais ses sentiments n'ont pas changé.
39:20 Bien sûr, j'aurais voulu renouveler mon contrat, mais il y a aussi autre chose.
39:25 Il y a des problèmes qui se posent et qui empêchent tout accord.
39:28 La solution pour moi serait de pouvoir jouer à nouveau au football, comme je dois le faire
39:35 normalement.
39:36 Mais ce qui se passe ici, c'est qu'on ne me laisse pas jouer au football.
39:40 Alors dans ce cas, il faut que j'aille jouer ailleurs.
39:42 Voilà le seul problème.
39:43 Quelques heures avant ce procès historique, les collègues de Schuster avaient renoué
39:48 avec le succès en championnat d'Espagne, en battant Osasun à 4 à 2.
39:52 Et deux joueurs s'étaient mis en vedette, les deux étrangers du club, qui s'appellent
39:56 aujourd'hui Archibald et Lineker.
39:59 Affaire à suivre donc.
40:07 Dans un petit mois, un peu moins, la France affrontera l'Islande en championnat d'Europe
40:10 des Nations Parc des Princes.
40:12 Et il y a eu deux matchs cette semaine, deux matchs que l'on va voir d'un petit peu plus près.
40:16 Marc Gage, un coup de tête dès la première minute.
40:31 Que dire du but égalisateur obtenu une demi-heure plus tard par les Rouges de l'équipe d'Albani,
40:36 un but splendide, mais malheureusement ce sera le seul.
40:40 1 à 1 à la 34e minute, 5 à 1 une heure plus tard, avec notamment un but de Bologna
40:47 et un autre de Boumbescu.
40:49 On vous fait grâce du reste, mais la Roumanie bat l'Albani 5 à 1, la Roumanie toujours
40:54 en course pour se qualifier pour l'Euro 88 dans le groupe 1.
41:04 Surprise en revanche dans le groupe 5, où sur sa pelouse, l'équipe des Pays-Bas a été
41:09 surprise dès la 6e minute par Saravakos, qui ouvre la marque d'un joli lob pour l'équipe
41:15 de Grèce.
41:16 Il faudra attendre la 56e minute pour voir Van Basten égaliser d'un bien joli but.
41:21 C'est un spécialiste, un partout, mais les Pays-Bas sont mal, ils ont déjà perdu
41:25 deux points sur leur terrain.
41:28 Oui, la première division, première division c'est bien, mais la deuxième division, c'est
41:46 pas des clowns hein ?
41:48 C'est pas des clowns, chez les avatars il a raison, on parle toujours de la première
41:52 division, mais savez-vous que dans la deuxième division, il y a des joueurs très très côtés,
41:56 on a la même qui valent quasiment, on dit un milliard.
41:59 Alors il y a une génération de joueurs dans notre football qui sont un petit peu en fin
42:02 de carrière, vous voyez le soleil est descendu, il ne brille plus tellement, mais il y a une
42:07 deuxième génération qui va arriver, on espère que pour notre football le soleil sera bien
42:11 haut comme ici, c'est une nouvelle rubrique, donc nos espoirs, ça s'appelle "Demain
42:16 sera un autre jour".
42:17 Grande pensée philosophique.
42:18 Philippe Ouy, avec Laurent Blanc, de Montpellier.
42:22 *Musique*
42:44 Ces inparticuliers ne risquent pas de passer inaperçus au milieu, surtout à Montpellier
42:48 où ses coéquipiers s'appellent Bernardet et Lemou, ils mesurent exactement 1m80.
42:53 Il y a une taille comme la vôtre, c'est pas un handicap pour jouer numéro 8 ?
42:57 Non, je pense pas, je suis fait comme ça, je pense que ça m'avantage dans les airs,
43:02 c'est-à-dire pour le jeu de tête, j'ai un petit inconvénient, c'est au point de vue
43:06 vivacité, là ça me dérange un petit peu.
43:08 Est-ce qu'il y a un joueur auquel vous vous assimilez plus particulièrement ?
43:11 Le plus que je m'assimile, c'est José Touré.
43:16 Sa qualité primordiale est que c'est un technicien hors pair.
43:21 Mais maintenant, moralement, il s'implique dans ses qualités techniques, je crois que
43:25 c'est un futur grand à condition qu'il reste le plus sur terre et surtout qu'il ne tombe
43:29 pas dans la facilité, c'était son défaut.
43:31 Il est tellement facile dans le football qu'il a tendance à tomber dans la facilité.
43:36 Cette année c'est autre chose, il a atteint une dimension supérieure.
43:39 Beaucoup s'en sont aperçus depuis la trêve, on l'a ainsi beaucoup vu notamment dans le
43:43 match de coupe que Montpellier a perdu face à Nice, mais Laurent Blanc lui a fait un
43:48 super match.
43:50 Et ça, ça se remarque surtout que 15 jours plus tôt, dans le derby contre Alès, il
43:54 avait réussi deux buts, le premier sur ce jaillissement et le deuxième vraiment superbe
44:01 sur une tête pas facile du tout.
44:08 On comprend mieux maintenant pourquoi le petit blanc Laurent a suivi la filière des
44:13 sélections jusqu'à être aux portes de la grande équipe de France, une éventualité
44:18 que lui pourtant n'envisage pas vraiment d'enlimer.
44:21 J'ai tout à prouver encore dans le football français, notamment en première division
44:24 car on a voulu encore en seconde division.
44:26 Donc pour moi les choses sont moins rapides que ce qu'on veut le penser.
44:31 Je pense que d'abord il faut que j'arrive à prouver que j'ai ma place en première
44:34 division et après on passera plus tard à l'équipe de France si on peut.
44:39 Laurent est lucide, il sait qu'il lui faut encore beaucoup travailler pour confirmer.
44:43 Il sait aussi qu'il doit jouer en première division rapidement et là évidemment ça
44:48 pose un problème même s'il intéresse beaucoup de clubs.
44:51 Si nous atteignons pas l'objectif fixé, c'est à dire la montée en première division,
44:54 on n'a pas le droit, en fait je ne me sens pas le droit ni le courage de faire en sorte
45:01 que ce garçon me végète en deuxième division. Il faut qu'il s'exprime au plus haut niveau
45:04 parce qu'il y a des qualités et des possibilités.
45:06 Comment vous réagissez quand vous entendez parler d'un milliard pour avoir Laurent Blanc
45:10 dans son équipe ?
45:12 Ça me surprend et ça m'impressionne à la fois.
45:14 Je veux dire que ce chiffre me paraît quand même un petit peu élevé pour un joueur
45:18 qui évolue en deuxième division et qui a tout à prouver dans le football français.
45:22 Montpellier c'est fini ?
45:24 Non pas du tout. Je pense que si Montpellier accède en première division à la fin de
45:28 la saison, je pense que j'aurai plus de chances d'être montpellierien que d'être ailleurs.
45:33 Et ailleurs ce pourrait être Marseille ?
45:35 Ecoutez, ça je ne peux pas vous le dire parce que je ne le sais pas du tout.
45:38 Donc en ce qui concerne mon avenir pour éventuellement partir dans notre octobre,
45:44 je ne peux rien dire car je n'en sais rien.
45:47 Eh bien on va rester au stade de la Mosson où les hommes du bon président Nicolas affrontaient
45:53 les Canois. Match au sommet dans le groupe B, Montpellier-Cannes, Philippe Ouy.
45:58 Couffrant vicieux d'Albert Aymond, Stéphane D'Angelo est obligé de s'y reprendre à deux fois.
46:03 Le ton est donné, Cannes n'est pas venu à Montpellier pour faire de la figuration.
46:08 Les joueurs de Mésis ont deux occasions, première période, là la reprise de Rjust est passée à côté.
46:13 Et deux minutes plus tard sur ce couffrant de Lemoux, Morisot détourne la tête de Laurent Blanc.
46:21 Mais la première grosse émotion du match, elle est pour la 23ème minute.
46:25 Débordement et centre de Chavereau, tête de Savic.
46:30 La balle est mal dégagée, résultat Charbonnier réussit une superbe reprise.
46:36 D'Angelo est battu, tout le monde 3-1-0 mais le juge de touche a levé son drapeau
46:41 et l'arbitre monsieur Guesayas suivra son juge de touche.
46:45 Tout est donc à refaire pour les Canois.
46:48 Cet avertissement sans frais aurait pu réveiller les langues de sien mais il n'en sera rien
46:52 même si la dernière occasion de la première période est en leur faveur.
46:57 Une heure de jeu maintenant, faute de baisse sur Burnier et cette fois-ci un but qui ne sera pas refusé.
47:05 Le couffrant est tiré par Albert-Aimond pour la tête de Bellisi.
47:09 D'Angelo est bien battu, 1-0 pour Cannes.
47:13 Les Canois vont même avoir une superbe occasion de réussir un deuxième but sur cette percée de Savic bien arrêtée par d'Angelo.
47:22 Les meilleures occasions ont donc été pour Cannes, à noter tout juste pour Montpellier cette dernière action.
47:28 Centre des Kiss, reprise de Millat mais dans les bras de Morisseau bien revu.
47:35 Première défaite de Montpellier à domicile et apparemment ses supporters en ont pris un coup au moral.
47:40 Vous êtes venu, vous avez vu un très mauvais Montpellier, je crois que c'est le plus mauvais match de la saison qu'on fait
47:45 et c'est celui qu'il ne fallait pas faire et c'est comme ça, c'est le football, c'est comme ça.
47:48 Rien n'est perdu.
47:49 Rien n'est perdu, ça arrive aux meilleures équipes et croyez-moi je crois qu'on a un moral d'acier et on va aller jusqu'au bout.
47:54 Nous nous sommes donné ce soir les moyens de notre mission à savoir venir gagner à Montpellier
48:00 et maintenant l'objectif bien sûr c'est les barrages.
48:03 Notre objectif au minimum ce sera les barrages, je crois que avant ce match-là
48:08 effectivement, raisonnablement, nous ne pouvions espérer que les barrages
48:11 mais je crois que ce soir nous allons relancer le championnat
48:13 entre Alès, Lyon, Montpellier et Cannes pour la première place.
48:17 Et tout ça ne redonne pas le sourire aux supporters de Montpellier.
48:21 Et c'est vrai, il a raison Alain Moisan parce que dans ce groupe B tout est possible.
48:25 Montpellier battu, Lyon vainqueur, Alès battu chez lui par Bastia but de Lipini et Solomenko.
48:31 Il y a donc 4 clubs en 3 points, Lyon, Montpellier, Alès et Cannes
48:35 mais Montpellier compte un match en moins mais un match difficile à Bastia.
48:39 Dans le bas du tableau, Bourges, Tonon et Béziers nous semblent malheureusement condamnés à la 3ème division.
48:45 Beaucoup moins de suspense dans le haut du classement du groupe A, tout au moins pour la première place
48:51 puisque Lyon a fait match nul à La Roche sur Lyon.
48:56 Ils comptent désormais 6 points d'avance sur Mulhouse qui s'est fait surprendre par Valenciennes.
49:01 Un but d'ailleurs de l'ancien mulhousien Didier Essex
49:03 a signalé que Cannes dans le même temps a également été battu à Saint-Dizier
49:07 pourtant Cannes menait 2 buts à 1 à 5 minutes de la fin
49:09 mais Saint-Dizier donc a marqué 2 buts dans les 5 dernières minutes.
49:12 Deuxième victoire du Red Star, enfin il est évidemment beaucoup trop tard
49:16 mais c'est toujours bon, 1 à 0 contre Strasbourg.
49:20 Alors l'un dans l'autre Thierry, il y a beaucoup de surprises
49:24 ce qui nous donne un loto peut-être intéressant, on va voir la grille.
49:27 Un loto où il aura fallu vraiment dépenser des trésors d'ingéniosité
49:32 pour trouver la bonne grille à 16.
49:34 Du reste ça ne met pas très bien qu'il y en ait une à 16
49:36 parce qu'en dehors des victoires à l'extérieur et des très nombreux matchs nuls
49:39 eh bien il fallait placer les croix exactement comme il faut.
49:43 On vous les laisse regarder pour une fois que l'on a bien le temps.
49:46 Moi en ce qui me concerne je suis largement en dessous de 10.
49:49 C'est vrai qu'en ce qui concerne les victoires à l'extérieur
49:52 celles de Valenciennes, d'Auxerre et même de Marseille n'étaient pas très évidentes.
49:56 Histronyme, bon c'était jouable.
49:58 C'était un derby.
49:59 C'est vrai qu'il y a quand même 3, 4, 5, 6, 7 matchs nuls.
50:02 Donc les clubs à domicile ont vraiment eu beaucoup de mal.
50:05 Avant de vous quitter je voudrais vous signaler que Mondial vient de sortir
50:09 avec sur la une le choc entre Naples et la Juventus
50:13 qui va se dérouler cet après-midi que vous pourrez peut-être suivre si vous avez Canal+.
50:17 Ah oui ?
50:18 Ah oui ça vaudra vraiment le coup.
50:20 Donc Maradona et Michel Platini, ensuite les classiques des interviews de Suodo,
50:23 Batnitz, Liskovitch, Tour, Foot Santé, Football à la Réunion.
50:27 Je vois, il y a 1re licence, le Top Foot etc.
50:31 Et puis j'aimerais vous quitter aussi en vous signalant que la Juventus Club de Paris,
50:35 chère à notre ami Georges Jou, rencontrera les médecins français
50:38 avec la participation de nombreuses vedettes de la chanson et du football.
50:41 Tout cela pour la Ligue contre le cancer, enfin la recette bien entendu sera destinée à la Ligue contre le cancer
50:46 à 15h au stade Marcel Cerdan, pourquoi je prononce mal, à Malakoff.
50:50 Ça se joue samedi prochain à 15h.
50:53 Donc il y aura du beau monde sur cette pelouse de Malakoff au stade de Marcel Cerdan.
50:58 Voilà, c'est terminé pour nous.
51:00 Cet après-midi à la folie, pas du tout avec Jean-Michel Leliot et Patrick Poivre d'Arvor.
51:05 Et après si vous voulez, vous pouvez peut-être changer de chaîne pour regarder ce fameux match au sommet du championnat italien.
51:10 Merci, bon dimanche, bonne semaine.
51:13 Il y a 2 soirées de football cette semaine mais elles sont inversées.
51:16 Mercredi c'est la Coupe, samedi le championnat.
51:18 C'est le contraire de ce qui était prévu.
51:20 Bonne semaine.
51:21 Sous-titres par Yannick Mahé
51:26 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:31 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:36 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:41 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:46 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:51 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
51:56 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs
52:01 Merci à mes Tipeurs et souscripteurs

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