La députée Renaissance des Hauts-de-Seine, Constance Le Grip, a réagi sur CNEWS aux blocages des universités et des écoles françaises par des manifestants pro-Palestine.
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00:00 Oui, bien sûr, ça me consterne et puis ça me révolte parce que comme l'ont très bien dit
00:05 et l'administrateur proviseur de Sciences Po, Jean Bassière et la ministre de l'enseignement sport et la recherche,
00:11 l'université, les établissements d'enseignement, c'est pas ailleurs, sont des lieux de savoir, des lieux où l'on vient étudier, où l'on vient
00:18 grandir, des lieux de débat bien sûr, et l'école libre des sciences politiques qui est Sciences Po
00:24 est par définition le lieu où l'on vient
00:27 débattre, où l'on vient frotter des arguments dans le respect et dans la tolérance et donc qu'à l'issue
00:34 d'un débat entre guillemets organisé mais dans un souci d'apaisement et
00:41 d'instauration d'un climat de dialogue par la direction de Sciences Po, il y ait immédiatement quelques secondes après
00:47 des agitateurs, des extrémistes qui continuent à
00:50 mettre le bazar et à scander des slogans
00:55 difficilement entendables, oui ça me révolte encore une fois, c'est pas du tout ça
01:00 que cherche à faire la direction bien sûr et nous devons... - Pour la salle c'est un peu débordé donc.
01:05 - Il est difficile de faire entendre raison
01:09 en un débat et clairement, ça a été dit très clairement et très fermement par l'administrateur provisoire Jean Bassière, l'une des
01:16 "revendications" des extrémistes, de ceux qui soutiennent
01:20 un certain nombre de thèses, pro amas, etc. A savoir que Sciences Po
01:24 arrête tout partenariat avec les universités israéliennes
01:27 n'est absolument pas remis en cause et Jean Bassière a été très clair, ça ne sera jamais remis en cause.
01:34 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
01:37 [SILENCE]