Débat avec Elisabeth Lévy et Françoise Degois
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##DITES_LE_FRANCHEMENT-2024-05-08##
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NewsTranscription
00:00Et oui, il est 9h19 sur Sud Radio, les débats qui se sont poursuivis pendant la pause,
00:06mais vous allez pouvoir en profiter puisqu'on est de retour, Françoise Debois et Elisabeth Lévy.
00:10On disait vraiment, moi je disais à nouveau mon écœurement vraiment de la liste noire,
00:14parce que je pense que ce sont vraiment des méthodes de ce qu'il y a de pire à l'extrême gauche en fait.
00:20Je le dis clairement parce que je pense que ce sont...
00:22Suspectés dans le cadre de MeToo.
00:24Oui, voilà, pardon.
00:26On clôt ce débat-là, on va en ouvrir un autre.
00:29C'était votre sujet d'édito tout à l'heure, pour ceux qui veulent retrouver votre édito, Françoise, sur Twitter.
00:34Elisabeth, vous l'avez entendu, sur Gabriel Attal,
00:38Premier ministre qui se lance, ou qui est lancé par le Président de la République,
00:42dans le grand bain des Européennes, pour essayer de faire baisser le rassemblement national,
00:46avec un débat prévu le 23 mai prochain sur France 2 entre Gabriel Attal et Jordan Bardella.
00:54Elisabeth Lévy, Gabriel Attal, a-t-il les reins solides pour affronter l'ERN, faire reculer éventuellement l'ERN ?
01:01Au moins, on a envie de le voir ce débat, et on a plus envie de...
01:04A vrai dire, Gabriel Attal, on l'a déjà vu, un peu à l'œuvre.
01:08On n'a jamais encore vu Jordan Bardella dans une position où il était en difficulté.
01:13Moi je l'ai interviewé, c'est pas un gars facile à interviewer,
01:16parce qu'il ne se livre pas facilement, c'est un type vraiment intelligent, solide, etc.
01:21Mais on ne l'a jamais vu, si vous voulez, dans une position où il est chahuté, bousculé.
01:24Alors attention, je pense que depuis le fameux débat de Marine Le Pen, et Bardella, et Marine Le Pen elle-même,
01:31ils ont quand même pris conscience que là, il y avait un enjeu réel, ils bossent.
01:35Là, moi je l'ai vu, je veux dire, on voit qu'ils bossent ces dossiers, etc.
01:39Maintenant, on va voir, parce que...
01:41Je suis d'accord avec ce que dit Elisabeth, parce qu'on voit bien que la stratégie Bardella, c'est du vent, a fait long feu.
01:49Et on l'a vu, pour moi, parce que je m'intéresse à tout ça, je suis millimètre par millimètre,
01:54lors du premier débat sur une radio concurrente, il y a quelques jours, entre l'ensemble des têtes de liste,
02:00c'est compliqué, comment dirais-je, d'essayer maintenant de déstabiliser Bardella sur le fond.
02:06C'est-à-dire que, je le dis, je ne suis pas soupçonnante de voter Rassemblement National,
02:10même sur l'explication technique du CETA, eh bien, il était véritablement...
02:16Les arguments sont rodés, quoi !
02:18Ce n'est pas que les arguments, c'est-à-dire que les fiches sont avalées !
02:21C'est-à-dire qu'il a entendu tout le piège dans lequel on voulait le faire tomber,
02:26sur C'est que du vent et c'est de la com', ça va être difficile de coincer sur le fond.
02:29Moi, je suis d'accord avec Elisabeth, je vais vite, en disant, j'aurais dû en parler ce matin, mais je n'avais pas le temps.
02:36Moi, ça me fait penser, vous savez, ça va parler aux gens qui ont moins de 20 ans, qui ont plus de 20 ans,
02:42ça me fait tout à fait penser, c'est un piège aussi pour Gabriel Attal,
02:45ça me fait penser au débat Fabius-Chirac, je vous signale, en 85,
02:49quand tout le monde pense que c'est plié pour Laurent Fabius, qui est dans la posture de Gabriel Attal,
02:55plus jeune Premier ministre de la Ve, à qui tout réussit,
02:58en face, vous avez le petit génie, en face, vous avez Jacques Chirac,
03:01qu'on considère comme un opposant bien, mais qui n'a pas beaucoup de fond,
03:05et puis le débat, ça commence par arrêter de vous agiter comme un roquet,
03:09lui dit Jacques Chirac, Laurent Fabius qui répond, mais vous parlez au Premier ministre,
03:13et paf, le débat tourne complètement dans la défaveur de Laurent Fabius, le Premier ministre,
03:18et ça, je suis certaine que ce débat-là, il est dans l'esprit des deux États-majors.
03:22– Elisabeth Lévy, vous l'avez dit, vous êtes impatiente de voir ce débat,
03:28est-ce que ça peut bousculer un petit peu la donne ?
03:31– C'est compliqué.
03:34– On donne les intentions de vote sur notre rolling IFOP fiducial pour Sud Radio,
03:3931,5% pour la liste RN, 16,5% pour la liste Renaissance,
03:4413% pour la liste PS Place Publique, et puis on va reparler aussi de la liste...
03:48– Est-ce que je peux faire juste une digression, un petit insist sur Laurent Fabius ?
03:51– Oui.
03:52– Est-ce que vous avez lu son interview dans Le Monde ?
03:54– Non, pas du tout.
03:55– Alors, dans une interview au Monde il y a trois jours,
03:57il dit quand même cette chose extraordinaire,
04:00« La préférence nationale est contraire à la Constitution »,
04:03alors il s'appuie sur le préambule de 46 qui est une sorte de catalogue de gentilles choses...
04:09– On vient avec la censure du Conseil constitutionnel sur la loi immigration.
04:15– Pardon, mais merci, la préférence nationale,
04:18le problème c'est que sans préférence nationale il n'y a pas de nation.
04:20Donc Laurent Fabius nous dit en somme que la France est un constitutionnel,
04:24parce que la nation repose sur une distinction entre...
04:29– On ne va pas recommencer, parce qu'en plus de ça vous êtes en difficulté,
04:34vous êtes trop fragiles pour combattre, prenez un verre d'eau Elisabeth,
04:39on ne va pas repartir sur la préférence nationale.
04:41– En attendant, Françoise, revenons sur ses intentions de vote.
04:44J'ai donné la liste RN, 31,5%, la liste Renaissance 16,5%,
04:5013% pour PS Place Publique et puis derrière on a la liste LFI de Manon Aubry qui remonte 8,5%.
04:58– En tout cas il y a une dynamique, un début de dynamique, non ?
05:01– Une dynamique, en tout cas il y a quelque chose qui est réussi,
05:04et ça moi je suis la première à le regretter,
05:08mais la réalité c'est que les Insoumis arrivent à saturer le débat politique
05:13avec la question de Gaza, avec évidemment tout ce qui se passe dans les universités
05:17qui est en partie aussi manipulé, en tout cas instrumentalisé par la France Insoumise.
05:23Et d'ailleurs vous avez vu que François-Xavier Bellamy hier a décidé de prendre un risque
05:27parce qu'il était à Sciences Po pour dire à quel point il n'était pas d'accord.
05:31Donc je vois bien, ce que je vois c'est que je ne pense pas du tout que les Insoumis menacent
05:36qui que ce soit à gauche et certainement pas Ayé et pas plus Raphaël Guzman,
05:41mais je me rends compte quand même que cette stratégie-là leur permet de ne pas mourir définitivement
05:47avec la propulsion de Rima Hassan comme véritable star de la campagne en réalité.
05:53Qui a effacé complètement la personne de Manambry.
05:57Qui a été entendue pour l'apologie du terrorisme.
05:59Oui, Elisabeth Lévy là-dessus, c'est vrai qu'on avait le sentiment très clairement
06:04qu'avec cette logique du tout Gaza, finalement la France Insoumise
06:09allait continuer de baisser dans les intentions de vote.
06:11On a l'impression que c'est en train de se renverser.
06:13Ce n'est pas seulement cette logique du tout Gaza,
06:15c'est avec la complaisance pour l'antisémitisme et la haine des Juifs.
06:19Il faut quand même être clair, ce qui est en jeu aujourd'hui,
06:23ce n'est pas seulement au-delà de la situation au Proche-Orient,
06:28il y a quand même cette question qui est très préoccupante.
06:30Et vous voyez bien que moi je croyais, et d'ailleurs on en a parlé souvent,
06:35je croyais que d'ailleurs c'est ce que Françoise aussi le laissait entendre,
06:39qu'il y aurait certainement une révolution de palais à l'intérieur des Insoumis.
06:43Il y en a une, de toute façon, mais pour le moment elle est entreparlantaise à cause des Européens.
06:47Moi je pensais que Mélenchon était mort, enfin mort politiquement bien sûr,
06:52était politiquement fini à cause de cela.
06:54Je m'aperçois qu'en France, on peut défendre ce genre de thèse,
06:59si vous voulez, limite, c'est-à-dire planquer derrière l'antisionisme,
07:05et continuer à faire une carrière politique.
07:08Et à part ça, l'idéologie un peu comme ça, si vous voulez, qui règne dans les universités,
07:15vous l'avez vu avec votre habileté avant, qui est un universitaire et qui est très emblématique
07:20de cette sensibilité où tout est de la faute d'Israël, jamais du ramas.
07:24La responsabilité de Benjamin Netanyahou aussi.
07:26D'ailleurs on a vu les profs de Sciences Po venir soutenir hier leurs élèves.
07:29Je voulais juste te dire qu'il faut quand même ramener les choses à ce qu'elles sont.
07:32Avec une question aussi de savoir, est-ce que Jean-Luc Mélenchon,
07:35peut-être que Jean-Luc Mélenchon n'est pas véritablement mort politiquement,
07:39c'est peut-être la preuve aussi.
07:40Excusez-moi, il faut quand même ramener les choses à ce qu'elles sont.
07:44C'est quand même vraiment un score absolument minable.
07:47Les européennes, ce n'est pas forcément le sujet.
07:51On ne va pas commencer à disserter sur le fait que quand vous avez le PS
07:54qui lui met quasiment le double du score, évidemment qu'il n'est pas bien.
07:58Après on pourra essayer de faire d'un cheveu une perruque,
08:01essayer d'expliquer que Mélenchon peut renaître.
08:05Non, je pense que cette fois-ci, Jean-Luc Mélenchon ne pourra pas renaître.
08:07Je dis juste qu'il y a un socle.
08:10Qu'est-ce que ça montre ce score-là ?
08:12Pour moi, en tout cas, des sondages, on verra dans les urnes,
08:15ça montre qu'il y a un socle.
08:17On retrouve le socle du front de gauche de Jean-Luc Mélenchon en 2012.
08:20Un socle entre 8 et 10% qui considère que la gauche doit être plus révolutionnaire qu'elle ne l'est.
08:26Je ne dis pas que c'est bien, je ne dis pas que c'est mal.
08:28Je dis juste que...
08:30Et en plus de ça...
08:31Révolutionnaire dans quel sens social ?
08:32Bien sûr, en tout cas, à ce que je pense surtout...
08:34Je ne sais pas ce qu'il y a mis en avant aujourd'hui.
08:35Non, mais en tout cas, ce que je crois surtout, si vous voulez,
08:37c'est qu'Olivier Faure a tout à fait eu raison sur Sud Radio Avantière
08:41d'être parfaitement clair et de montrer et d'annoncer déjà la couleur.
08:45Après les européennes, il y a une reconstruction de la gauche qui se fera.
08:49Et la volonté majoritaire, c'est que ce soit sans la figure de Jean-Luc Mélenchon.
08:53Ça ne veut pas dire sans les insoumis.
08:55Elisabeth Lévy, vous voulez rajouter quelque chose à ce sujet ?
08:57J'ai eu beaucoup de mal à faire confiance à Olivier Faure,
09:00qui s'est vendu pour quelques sièges à la NUPES,
09:03alors que déjà, il y avait extrêmement...
09:05D'abord, ils avaient eux-mêmes des désaccords.
09:07À mon avis, le tournant de Jean-Luc Mélenchon était déjà largement amorcé.
09:12Corbyn, le peuple déicide, je peux vous la faire longue,
09:16mais je ne vais pas le faire.
09:18Et donc, je n'ai aucune confiance d'Olivier Faure
09:21pour faire passer ses principes avant ses intérêts électoraux.
09:24Je suis une vraie Pierre-Françoise.
09:27J'ai envie de faire confiance à des gens dans mon camp.
09:30Sinon, on plie les gaules et on va à la pêche.
09:33Je pense qu'il y a une gauche raisonnable qui va s'émanciper.
09:38Je ne suis pas sûre comme figure de personnalité,
09:41si vous voulez que je parlais de la personne.
09:44Je ne suis pas sûre qu'Olivier Faure serait celui auquel je me fierais en priorité.
09:49Je ne voudrais pas que vous soyez déçus, ma chère Françoise.
09:53On va terminer avec un dernier sujet.
09:56Allez, lueur d'espoir dans cette actualité un petit peu morose.
10:00Vous ne voyez venir peut-être la flamme olympique.
10:03Première étape en cours à Marseille.
10:06Elisabeth Lévy, vous êtes ravie.
10:08Je vais vous dire un truc qui va vous étonner.
10:10Je me fiche de la flamme olympique.
10:12Je me fiche des Jeux olympiques au plus exactement.
10:14Je pense que c'est un désastre à tout point de vue.
10:17En revanche, ça m'agace, si vous voulez.
10:19Parce que je crois que c'est une drag queen qui va la porter à Paris.
10:22Ou qu'il y a une drag queen dans la pêche.
10:24Minimajesté, c'est génial.
10:26Mais finir, je disais donc.
10:28J'ai les talons de 25 centimètres.
10:30C'est une performance.
10:32Je trouve que les traveleurs, comme on disait avant,
10:34ça fait partie de l'identité parisienne.
10:37Michou, etc.
10:39Je ne veux pas qu'on les envoie dans les écoles évangéliser les enfants.
10:42En revanche, ça ne me choque absolument pas du tout
10:46que la flamme olympique soit portée à Paris.
10:48Par ce qu'on a fait avant.
10:50Moi, j'adore ça, les travestis.
10:52Ça m'a toujours fait marrer.
10:54C'est un espèce d'hommage paradoxal à la féminité.
10:56Parce que ce que les féministes détestent,
10:58les talons hauts, les machins.
11:00Chez les drag queens, c'est super.
11:02Donc, ça j'approuve.
11:04Vous savez ce que je pense de ces jeunes.
11:06Donc vous n'allez pas regarder
11:08l'arrivée de la flamme Elisabeth à Marseille.
11:10Écoutez, je peux saluer l'ouverture d'Elisabeth Lévy.
11:14Parce qu'elle est souvent, et parfois,
11:16plutôt là où on ne l'attend pas, même assez souvent.
11:18Elle n'a pas crié sur Ayanna Kamoura,
11:20si ce n'est qu'elle ne comprend pas les paroles.
11:22Mais elle n'était pas dans la ligne
11:24de la droite conservatrice.
11:26Elle dit ce qu'elle pense, elle.
11:28Et je suis assez content de moi aussi pour Mini Majesté.
11:30Parce que je trouve d'abord que c'est un personnage délirant.
11:32Je l'ai écouté l'autre jour
11:34avec Pierre Descourges.
11:36Je me disais, voilà, c'est la fraîcheur.
11:38Et c'est aussi le combat.
11:40C'est l'histoire de Paris, lui aussi.
11:42Et puis le combat pour faire reconnaître aussi
11:44une vie qui n'est pas si facile que ça
11:46sous des apparences extrêmement gays.
11:48Il faut faire attention parce que les drag queens,
11:50ce sont ce qu'on appelle des travestis.
11:52Ce n'est pas des trans au sens...
11:54Attention !
11:56Elle s'appelle Arthur.
11:58Non mais ce n'est pas si facile
12:00que ça d'être drag queen non plus.
12:02Ce n'est pas si facile que ça.
12:04Les gens qui se retournent dans le métro.
12:06L'autre jour, j'étais dans le métro.
12:08C'est pour que les gens se retournent dans le métro.
12:10Non, c'est les deux, mon capitaine.
12:12Mais je veux dire par là que
12:14ce n'est pas que assidulé et joyeux.
12:16C'est aussi un destin assez particulier à porter.
12:18Mais c'est un hommage aussi
12:20à la culture française et parisienne.
12:22Et parisienne à la raison d'Isabeth.
12:24Surtout l'identité de Paris pour le coup.
12:26En tout cas, cette flamme olympique.
12:28Françoise, vous l'avez regardée un petit peu.
12:30L'arrivée à Marseille.
12:32Oui, parce qu'écoutez,
12:34ma seule interrogation, je vous le dis,
12:36les amis, Isabeth s'en fout comme de l'an 14
12:38et comme de ses premiers talons hauts,
12:40stilettos.
12:42Mais moi, ma seule interrogation, c'est
12:44qui va être le dernier relayeur de la flamme olympique ?
12:46Qui va allumer la vasque
12:48à Paris ?
12:50Est-ce que c'est Zizou ?
12:52Je voudrais tellement que ce soit Zidane.
12:54Comme ce n'est pas lui qui est
12:56sur Marseille pour la flamme,
12:58ça veut peut-être dire quelque chose.
13:00Ce serait pas mal aussi.
13:02Je voudrais dire que le sort du monde
13:04est vraiment accroché à Z4.
13:06C'est des images qui restent.
13:08Je me souviens de Mohamed Ali,
13:10frappé par la maladie de Parkinson,
13:12qui tremble et qui allume la flamme.
13:14Cathy Freeman,
13:16l'athlète aborigène,
13:18médaillée olympique,
13:20qui allume la flamme.
13:22Je veux dire, l'allumage de la flamme,
13:24c'est quelque chose d'absolument extraordinaire
13:26sur le plan symbolique.
13:28Zizou,
13:30Zizou, si tu nous entends,
13:32rallume la flamme, je t'en supplie.
13:34En tous les cas,
13:36j'aime votre flamme à vous.
13:38Pour les Jeux, c'est pas gagner.
13:40Juste une petite question,
13:42vous avez regardé le match du PSG hier ou pas ?
13:44Ecoutez, j'aurais vraiment bien voulu.
13:46Vraiment.
13:48Vraiment, j'en rêvais, mais j'ai travaillé.
13:50Je m'en foutais.
13:52J'étais à CNews,
13:54où la moitié, je ne voudrais pas balancer,
13:56mais il y en a qui auraient bien voulu regarder
13:58sur leur téléphone.
14:00Il y en a qui s'étaient fait connaître sans se rendre compte
14:02qu'il y avait le match.
14:04Et vous, vous l'avez regardé ?
14:06Non, j'ai écouté un petit peu,
14:08vite fait, j'ai regardé les commentaires.
14:10Moi j'ai les yeux qui brillent.
14:12C'est conforme à ce que Philippe Bigeard et moi avions donné
14:14contre l'avis de Philippe David.
14:16Bien sûr, la défaite du PSG.
14:18Et moi, je n'ai qu'une chose à dire.
14:20Allez l'OM !
14:22Marseille qui joue,
14:24on le rappelle.
14:26Demain soir, en Italie,
14:28face à la Talenta.
14:30Match allé au Vélodrome, ça avait donné un partout.
14:32Marseille doit gagner au match retour
14:34de cette demi-finale de Ligue Europa.
14:36Allez Aubameyang !
14:38En tout cas, merci à la team,
14:40Françoise Degoy, Elisabeth Lévy.
14:42Très bonne journée.
14:44La team, je me demandais de quoi on parlait.
14:46C'est une équipe de football.
14:48Avec deux joueurs.
14:50Avec toute l'équipe.
14:52Toute l'équipe derrière, d'ailleurs,
14:54qu'on salue.
14:56La réalisation au standard.
14:580826-300-300
15:00qui vous accueille, d'ailleurs, puisque vous prenez la parole
15:02dans un instant juste après la pub.
15:04Et puis on remercie bien sûr Joseph à la programmation,
15:06Laura, Webb, Laurie,
15:08qui ont été avec vous de 6h à 8h.
15:10Et puis, bien sûr, toute l'équipe.
15:12Et on vous remercie vous-même, mon cher ami.
15:14C'est pas mal. Vous devrez faire de la radio, Benjamin.
15:16Surtout à vous, les auditeurs.
15:18Merci. Encore, Françoise Degoy, Elisabeth Lévy.
15:20Et puis vous, je vous dis à tout de suite
15:22sur Sud Radio. 0826-300-300.
15:24J'attends vos appels.