Gangster Rivals | Film Complet en Français | Thriller, Action

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À Melbourne, Macbeth est le bras droit du parrain de la mafia locale. Une prophétie lui révèle qu’il deviendra le gangster le plus puissant et sa femme le convainc de prendre son destin en main.

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Genre : Action, Film, Nouveauté, Thriller, Suspense
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Transcript
00:00:00C'est bon, c'est bon.
00:00:31Quand nous réunirons-nous maintenant, toutes trois,
00:00:33sera-ce par le tonnerre, les éclairs ou la pluie ?
00:00:36Quand le bacchanal aura cessé, quand la bataille sera perdue et gagnée,
00:00:39ce sera avant le coucher du soleil.
00:00:42En quel lieu ?
00:00:43Sur la bruyère.
00:00:44Pourrez rencontrer...
00:01:01...
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00:01:55...
00:04:56Tuez-les !
00:05:26Tuez-les !
00:05:56Tuez-les !
00:06:27Tuez-les !
00:06:28Tuez-les !
00:06:56Messieurs, prenez-en grand soin.
00:07:26Mon rare ami, apprends au roi ce que tu sais de la mêlée.
00:07:40En quel état l'as-tu laissée ?
00:07:41Elle demeurait incertaine.
00:07:42L'impitoyable Macdonald, digne d'être un rebelle,
00:07:45car s'abattent sur lui les croissantes bassesses de la nature,
00:07:48mesurant son avantage, a commencé un second assaut.
00:07:51Cela n'a-t-il pas effrayé nos capitaines ?
00:07:53Si, comme les moineaux effraient les aigles.
00:07:55Car Macbeth le Brave, qui certes mérite ce nom-là,
00:07:58méprisant la fortune, ébranlissant son épée,
00:08:00encore fumante d'une sanglante exécution,
00:08:02s'effrayait un passage jusqu'à se trouver face au traître,
00:08:05à qui il ne donna ni de poignée de main, ni d'adieu.
00:08:07Mon brave cousin, ô valeureux seigneur.
00:08:10Je me sens faible, mes plaies crient à l'aide, mon seigneur.
00:08:16Sache que tes paroles te vont aussi bien que tes blessures.
00:08:18Elles portent un parfum d'honneur.
00:08:21Faites venir un médecin.
00:08:24Qui s'avance vers nous ?
00:08:25Le noble Sir Macduff.
00:08:31D'où viens-tu, noble Sir ?
00:08:32De Koudor.
00:08:35Il doit commencer le combat funeste, jusqu'à ce que le brave Macbeth
00:08:39lui fait front avec une force comparable, écrasant son impudent esprit.
00:09:53Sombre et la clarté, clair et l'obscurité,
00:10:15planons dans le brouillard et la saleté de l'air.
00:10:18Jamais je n'ai vu un jour à la fois si sombre et si clair.
00:10:22Étrange créature.
00:10:26Vous ne ressemblez point aux habitants de cette terre.
00:10:28Et pourtant vous y êtes.
00:10:30Bien vivante.
00:10:32Êtes-vous des êtres que l'homme puisse questionner ou n'êtes-vous là
00:10:36que pour me pervertir corps et âme ?
00:10:42Salut à toi, Macbeth.
00:10:45Salut à toi, Macbeth.
00:10:47Salut à toi, Macbeth.
00:10:49Salut à toi, Sieur de Koudor.
00:10:51Salut à toi, Macbeth, noble Sieur qui bientôt deviendra roi.
00:10:58Par le nom de la vérité, êtes-vous un fantasme ?
00:11:03Ou en réalité, êtes-vous ce que vous paraissez, mon noble partenaire Banquo ?
00:11:10A-t-il lui aussi cette hallucination ?
00:11:12Salut, salut.
00:11:13Salut à toi, Banquo.
00:11:15Moins grand que Macbeth et pourtant plus grand.
00:11:18Moins heureux mais néanmoins plus heureux.
00:11:21Tu engendreras des rois.
00:11:23Bien que ne l'étant pas.
00:11:25Alors salut.
00:11:26Alors salut à vous, Macbeth et Banquo.
00:11:30Banquo et Macbeth.
00:11:32Dites-moi en plus où dans le discours était parfait le Sieur de Koudor vit.
00:11:35Et devenir roi n'entre pas dans la perspective de ma croyance.
00:11:41Dites-moi d'où vous tenez cette étrange nouvelle.
00:11:44Et pourquoi vous venez troubler notre tranquillité avec pareil salut prophétique.
00:11:50Parlez, je vous l'ordonne.
00:12:12As-tu vu les trois sœurs du destin ?
00:12:16Non, mon seigneur.
00:12:18De la terre comme de l'eau s'élèvent des bulles d'air.
00:12:20C'est là ce que nous voyons.
00:12:22Où se sent-elle évanouie ?
00:12:24Dans les airs.
00:12:28Ce qui paraissait un corps s'est dissipé comme le souffle du vent.
00:12:35C'est ce que nous voyons.
00:12:37Dissipé comme le souffle du vent.
00:12:42Si seulement, elles étaient restées.
00:12:46Étaient-elles réelles ces créatures dont nous parlons ?
00:12:49Ou bien auriez-vous goûté à cette racine malsaine qui emprisonne la raison ?
00:12:56Macbeth, le roi a reçu avec joie la nouvelle de ton succès.
00:13:02Espèce de traître.
00:13:04Le Sieur de Koudor ne trahira plus nos intérêts.
00:13:06J'ordonne sa mort sur le champ.
00:13:08Et couronnez Macbeth du titre qu'il lui a appartenu.
00:13:14Ce qu'il a perdu,
00:13:17le noble Macbeth l'a gagné.
00:13:19Salut à toi, Sieur de Koudor.
00:13:22Tout ce qu'il était, te revient désormais, vaillant Macbeth.
00:13:26Cela n'est que justice.
00:13:28C'est ma manière de te remercier et de te prouver ma gratitude.
00:13:36Je vous en prie.
00:14:06Le nom de travail et de son.
00:14:08Le nom de travail et de son.
00:14:10Le nom de travail et de son.
00:14:12Le nom de travail et de son.
00:14:14Le nom de travail et de son.
00:14:16Le nom de travail et de son.
00:14:18Le nom de travail et de son.
00:14:20Le nom de travail et de son.
00:14:22Le nom de travail et de son.
00:14:24Le nom de travail et de son.
00:14:26Le nom de travail et de son.
00:14:28Le nom de travail et de son.
00:14:30Le nom de travail et de son.
00:14:32Le nom de travail et de son.
00:14:34Le nom de travail et de son.
00:14:36Que le feu brûle et la chaudière brûle.
00:15:05Ces créatures résident d'une intelligence supérieure aux communs des mortels.
00:15:12Alors que brûlait en moi le désir de les questionner davantage,
00:15:16à ce moment même dans les airs,
00:15:18elles se sont évanouies.
00:15:20Et tandis que je restais,
00:15:22éperdu de surprise,
00:15:24les messagers du bon roi vinrent me saluer,
00:15:27sieurs de Cawdor,
00:15:29et c'est par ce même titre que
00:15:31les trois soeurs m'avaient salué peu avant.
00:15:34Et en cet air m'ont ensuite poursuivi leur serment,
00:15:37«Salue à toi qui deviendras roi.»
00:15:42C'est si,
00:15:44j'ai cru bon te le faire savoir,
00:15:47chère compagne de ma grandeur,
00:15:50afin que tu ne perdes pas la part de réjouissance qui t'est due,
00:15:55par ignorance de la grandeur qui t'est promise pour l'avenir.
00:16:00Mais je crains ta nature.
00:16:05Elle est
00:16:07trop pleine du lait des tendresses humaines
00:16:09pour t'inciter à emprunter le chemin le plus court jusqu'à ton but.
00:16:14Je sais que tu aimerais être grand,
00:16:17et que tu n'es pas sans ambition.
00:16:21Mais serais-tu prêt à gagner déloyalement et par le crime ?
00:16:30Notre Père qui êtes aux cieux,
00:16:32que votre nom soit sanctifié,
00:16:34que votre règne vienne,
00:16:36que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
00:16:39Donnez-nous aujourd'hui notre pain de ce jour.
00:16:41Pardonnez-nous nos offenses,
00:16:43comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
00:16:46Et ne nous soumettez pas à la tentation,
00:16:48mais délivrez-nous du mal.
00:16:50Car c'est à vous qu'appartiennent le règne, la puissance et la gloire,
00:16:53pour des siècles et des siècles.
00:16:55Amen.
00:17:00Rien dans sa vie ne fut aussi honorable
00:17:03que la manière dont il l'a quitté.
00:17:06Aucune science ne laisse voir les penchants d'une âme à travers un visage.
00:17:11C'était un homme en qui j'avais placé une confiance absolue.
00:17:15Messieurs,
00:17:18vous,
00:17:19vous qui m'êtes très proche,
00:17:21ayez toute ma reconnaissance pour votre abnégation dans cette rébellion.
00:17:25Sachez que nous transmettrons la couronne à notre fils aîné Malcolm,
00:17:29lequel nommerons-nous désormais Prince de Camberland.
00:17:35Salut à toi que le trône chérira.
00:17:37Salut !
00:17:47A présent,
00:17:50le trône de Camberland,
00:17:52laisse-moi t'embrasser et te serrer sur mon cœur.
00:17:59Mais les signes de noblesse comme les étoiles
00:18:01brilleront sur tous ceux qui les ont mérités.
00:18:06Bien,
00:18:07nous partons pour Dunsinane.
00:18:09Célèbre ta joie et ton contentement en pensant aux liens qui nous unis.
00:18:12Nous te verrons ce soir.
00:18:13Je me ferai un immense plaisir
00:18:15d'apporter à ma femme la nouvelle de votre venue.
00:18:18Je prends humblement congé.
00:18:23Le Prince de Camberland.
00:18:26Voilà un obstacle sur lequel je vais trébucher
00:18:28si je ne le franchis pas.
00:18:31Car il s'est placé en travers de mon chemin.
00:18:33Ô étoiles, cachez vos feux,
00:18:36que la lumière ne puisse voir mes sombres et profonds désirs.
00:18:48Le Prince de Camberland.
00:19:19Mon amour, Duncan arrive ici ce soir.
00:19:26Et quand s'en ira-t-il ?
00:19:28Demain, du moins, à ce qu'il dit.
00:19:33Je ne peux pas t'en parler.
00:19:36Tu ne peux pas me dire ce que je veux.
00:19:39Je ne peux pas t'en parler.
00:19:41Je ne peux pas te dire ce que je veux.
00:19:43Je ne peux pas te dire ce que je veux.
00:19:45Je ne peux pas te dire ce que je veux.
00:19:48Jamais le soleil ne verra ce lendemain.
00:19:54Venez ici,
00:19:56que je puisse verser dans votre oreille l'esprit qui m'anime,
00:20:00et dompter par l'énergie de ma langue
00:20:03tout ce qui pourrait arrêter votre route vers ce cercle d'or.
00:20:07Votre visage, mon cire, est un lieu
00:20:09où les hommes peuvent lire des choses bien étranges.
00:20:12Pour tromper un ennemi, tâchez de lui ressembler.
00:20:15Que vos gestes, vos yeux, votre langue parlent de bienvenue.
00:20:19Ayez l'air d'une jolie fleur innocente,
00:20:22mais sous laquelle repose un serpent.
00:20:26Nous devons nous tenir prêts à l'accueillir.
00:20:30Et puis cette soirée changera jamais la couleur de mes jours et de mes nuits.
00:20:36Nous en reparlerons plus tard.
00:20:38Songer seulement à présenter un visage serein,
00:20:40à altérer sa figure, est un signe de crainte.
00:20:44Le reste, je m'en charge.
00:21:15Venez, esprit qui veillait aux pensées mortelles.
00:21:20Changez à l'instant mon sexe et remplissez mon corps
00:21:23du haut du crâne à la pointe des pieds
00:21:25de la plus atroce de toutes les cruautés.
00:21:27Rendez-moi sans plus épais.
00:21:29Fermez toutes les portes et lèves.
00:21:31Je vous demande de ne pas me léger.
00:21:33Je vous demande de ne pas me léger.
00:21:35Je vous demande de ne pas me léger.
00:21:37Je vous demande de ne pas me léger.
00:21:39Je vous demande de ne pas me léger.
00:21:41Rendez-moi sans plus épais.
00:21:43Fermez tout accès conduisant aux remords.
00:21:46Venez dans mes mamelles changer mon lait en fiel.
00:21:49Vous, instrument meurtrier, où que vous soyez,
00:21:52venez, venez, substance invisible prête à nuire au genre humain.
00:21:57Que la nuit épaisse enveloppe des pluies noires fumées de l'enfer.
00:22:00Que mon poignard aiguisé ne voit pas la blessure qu'il fait.
00:22:03Et que le ciel ne puisse me crier d'arrêter.
00:22:06Voyez cela, ainsi voilà notre honorable hôtesse.
00:22:12L'amour qui nous suit est un embarras que nous accueillons avec des remerciements.
00:22:16Tout notre effort fut-il d'oublier ne serait qu'une faible offrande.
00:22:19Belle et noble hôtesse, nous serons vos hôtes pour cette nuit.
00:22:22Salut à vous, seigneur Banco.
00:22:24Très cher, fléance, mon fils.
00:22:28Mes hommages.
00:22:29Messire Angus, Ross, Malcolm.
00:22:32Donnez-moi votre main.
00:22:34Conduisez-moi vers notre hôte que nous aimons tant.
00:22:41Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
00:23:11Si lorsque ce sera fait, c'était fini.
00:23:39Le plus en fait serait le mieux.
00:23:42Si l'assassinat tranchait à la fois toutes les conséquences et que sa fin nous donna le succès.
00:23:48Ce seul coup qui peut être tout et la fin de tout.
00:23:52Au moins ici bas, sur ce rivage, sur ce rocher du temps.
00:23:57Où hasarderions la vie à venir ?
00:24:03Mais en pareil cas, nous subissons toujours cet arrêt.
00:24:06Que les sanglantes leçons enseignées par nous tournent, une fois apprises, à la ruine de leur inventeur.
00:24:16Pourquoi avez-vous quitté la pièce ?
00:24:20M'a-t-il demandé ?
00:24:22Ne le savez-vous pas ?
00:24:26Dans cette affaire, nous n'irons pas plus loin.
00:24:28Il est ici sous double garantie. Je suis à la fois parent et sujet de sa majesté.
00:24:33Deux puissants motifs contre cette action.
00:24:36Ensuite, je suis son hôte et devrais fermer la porte à son meurtrier.
00:24:40Loin de prendre moi-même ce couteau.
00:24:44D'ailleurs, Duncan s'est montré si équitable en sa haute fonction,
00:24:48que ses vertus telles des anges trompettes parlantes s'élèveront
00:24:52contre le crime abominable de sa suppression.
00:24:54Était-elle dans l'ivraie cette espérance dont vous vous étiez fait honneur ?
00:24:58Et depuis, a-t-elle dormi ?
00:25:00Se réveille-t-elle maintenant pour paraître si pâle et livide à l'aspect de ce qu'elle faisait de si bon cœur ?
00:25:04J'évalue à présent l'amour que tu me portes.
00:25:08Crains-tu de te montrer par tes actions et ton courage ce que tu es par tes désirs ?
00:25:13Aspireras-tu à ce que tu regardes comme l'ornement de la vie,
00:25:16pour vivre en lâche à tes propres yeux, laissant le je n'ose pas se placer devant le je voudrais ?
00:25:20À quelle bête apparteniez-vous donc lorsque vous vous êtes ouvert à moi de cette entreprise ?
00:25:24Quand vous l'avez osé, vous étiez homme, alors ?
00:25:28J'ose tout ce qui convient à un homme.
00:25:30Ne peut prétendre en être un celui qui ose davantage.
00:25:33J'ai allaité, et je sais combien il est doux d'aimer le petit bébé qui me tête.
00:25:38Et j'aurais, au moment où il souria mon visage,
00:25:41arraché mon mamelon de sa fragile petite bouche,
00:25:44et j'aurais fait éclater sa cervelle si j'avais juré comme vous avez juré.
00:25:48Et si nous manquions le coup ?
00:25:50Nous manquer notre coup ?
00:25:52Vissez votre courage au point d'arrêt seulement, et nous ne nous manquerons pas.
00:26:17Je vous en prie.
00:26:47Oh !
00:27:17Je vous en prie.
00:27:42Une fois Duncan endormi,
00:27:43et tandis que le fatiguant voyage qu'il a fait aujourd'hui va l'entraîner dans un sommeil profond.
00:27:48J'aurai soin, à force de vin et de santé, de subjuguer si bien ces deux chambelans que leur mémoire,
00:27:54cette gardienne du cerveau, ne sera plus qu'une fumée,
00:27:58et le réservoir de leurs raisons, un alambic.
00:28:05Lorsqu'un sommeil brutal accablera comme la mort leur corps saturé de liqueur,
00:28:10que ne pourrons-nous exécuter, vous et moi, sur Duncan sans défense ?
00:28:23Ne mets au monde que des fils,
00:28:26car la trompe de ton âme inflexible ne peut convenir qu'à des hommes.
00:28:41Où en sommes-nous de la nuit ?
00:28:45Ils sont économes dans le ciel. Leurs chandelles sont éteintes.
00:28:51Quoi, monsieur, pas encore au lit ?
00:28:55Tout est bien. En attendant, bonne nuit.
00:29:10Merci. Je vous en souhaite autant.
00:29:41Est-ce un poignard que je vois devant moi ?
00:29:44La poignée tournée vers ma main.
00:29:47Fatale vision ! N'es-tu pas sensible au toucher comme à la vue ?
00:29:55Où n'es-tu que dans la nuit ?
00:29:59Où n'es-tu que dans la nuit ?
00:30:03Où n'es-tu que dans la nuit ?
00:30:07Où n'es-tu qu'un poignard né de ma pensée,
00:30:10le produit mensonger d'une tête fatiguée du battement de mes artères ?
00:30:15Je te vois encore.
00:30:36Je te vois encore.
00:31:06Je te vois encore.
00:31:36Je te vois encore.
00:32:07Oh, ma baisse !
00:32:22J'ai porté le coup.
00:32:31Il m'a semblé entendre une voix crier.
00:32:34Ne dormez plus.
00:32:36Macbeth a assassiné le sommeil. Macbeth ne dormira plus.
00:32:42Allez, prenez de l'eau et lavez de vos mains ce sombre témoin.
00:32:47Pourquoi avez-vous emporté ces poignards ?
00:32:49Ils doivent rester là-bas.
00:32:51Allez les emmaculer de son. Les deux valets endormis.
00:32:54Je n'y retournerai pas. Je n'oserai point le regarder à nouveau.
00:32:58Tenez-moi ces couteaux.
00:33:02Si son sang coule encore, j'enrougirai la face des deux serviteurs.
00:33:05Puisque de ce crime, ils doivent être accusés.
00:33:31Je vous en prie.
00:34:01Je vous en prie.
00:34:31Je vous en prie.
00:35:01Je vous en prie.
00:35:12Mes mains ont la couleur des vôtres.
00:35:14Mais un peu d'eau fera disparaître notre acte.
00:35:32Restez donc pas ainsi misérablement perdus dans vos réflexions.
00:35:40Que voir cela mieux vaudrait que de ne plus me voir moi-même.
00:35:50Par tes cours, éveille Duncan.
00:35:53Si seulement tu le pouvais.
00:36:01Bonjour vous les deux.
00:36:03Le roi est-il levé, Dignesir ?
00:36:05Pas encore.
00:36:07Il m'a ordonné de l'éveiller de bon matin, mais j'ai presque laissé passer l'heure.
00:36:13Je vous conduis vers lui.
00:36:32Voici la porte.
00:36:34Je prendrai la liberté d'entrer, car il m'en a donné l'ordre.
00:36:43La nuit a été singulière.
00:36:46Elle fut bien mauvaise.
00:36:52Ne me demandez pas de parler.
00:36:55Voyez, et vous parlerez ensuite.
00:37:01D'accord.
00:37:23Malcolm ! Malcolm ! Réveillez-vous !
00:37:26Réveillez-vous et que l'on sauve le toxin !
00:37:30Pour quelle affaire cette trompette appelle-t-elle tous ceux qui dorment dans la maison ?
00:37:34Qu'est-il arrivé ?
00:37:36A vous, qu'il ignorez.
00:37:39Votre royale-père est assassiné.
00:37:41Quoi ? Dans notre maison ?
00:37:43C'est en tout lieu trop cruel.
00:37:45Je t'en prie, contredit-toi toi-même et dis que ce n'est pas vrai.
00:37:59Réveillez-vous !
00:38:29Regardez, leurs visages et leurs mains souillées de sang ainsi que leurs poignards non encore essuyés sont la preuve de leur culpabilité.
00:38:36Nulle vie n'était plus en sûreté avec eux.
00:38:38Cependant je me repends du mouvement de Führer qui m'a fait les tuer.
00:38:44Qui peut se montrer perdu et modéré, furieux et sage, tout cela dans le même moment ?
00:38:49Personne !
00:38:51Je voyais là Duncan, étendu, de son sang doré, sa peau parsemée,
00:38:55ses plaies ouvertes semblant autant de brèches aux lois de la nature et là les meurtriers,
00:39:00plongés dans la couleur de leurs besognes.
00:39:02Comment aurait pu se contenir celui qui a un cœur pour aimer et dans ce cœur le courage de manifester son amour ?
00:39:12Secourez Lady Macbeth !
00:39:18Allons nous vêtir d'une manière convenable afin de nous rassembler dans la salle.
00:39:23Une fois la nudité de notre nature couverte, nous discuterons de cet épouvantable homicide.
00:39:30Afin d'y voir clair.
00:39:46Que voulez-vous faire ?
00:39:48Nous ne devons pas nous associer avec eux.
00:39:50Montrer une douleur qu'on ne sent pas est un rôle aisé pour l'homme faux.
00:39:57Le trait meurtrier tiré n'a pas encore achevé sa course,
00:40:00et le parti le plus sûr est d'éviter le coup.
00:40:03Les sourires des hommes sont des poignards,
00:40:06proches par le sang, plus proches du sanglant.
00:40:09Ne faisons pas manière de prendre congé, fuyons !
00:40:11Il est permis de se dérober soi-même quand il ne reste plus d'espérance.
00:41:21Lorsque la nuit s'ouvre, nous ne pouvons plus y croire.
00:41:24Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:27Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:30Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:33Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:36Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:39Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:42Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:45Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:48Nous ne pouvons plus y croire.
00:41:51Nous ne pouvons pas y croire.
00:42:13On attend un pré davantage sur ceux qui ont commis cette action plus que sanguinaires ?
00:42:17Qu'est-ce qu'ils ont tiré ?
00:42:19Il est possible qu'ils n'en fussent pas les auteurs.
00:42:21Malcolm s'est enfui, ce qui fait peser sur lui le soupçon du crime.
00:42:25On ne disparaît que sous le joug de la culpabilité.
00:42:28Retournerez-vous à Dunsinane, monsieur ?
00:42:33Macbeth vous y fait demander ?
00:42:35Non, cher cousin.
00:42:37Avec la mort de Duncan,
00:42:39il est probable que la souveraineté tombera sur Macbeth.
00:42:43Il est déjà nommé.
00:42:48Macbeth !
00:42:49Selim, Selim
00:42:52Selim, Selim
00:42:54Selim, Selim
00:43:17Ha! Ha! Ha!
00:43:47Générique
00:44:18Mon digne Banco!
00:44:23Voyez-vous, ce soir, nous donnons un souper de cérémonie
00:44:26et nous sollicitons votre présence.
00:44:28Que votre Altesse commande, mon obéissance y est reliée par le lien le plus fort.
00:44:34Allez-vous chevaucher aujourd'hui?
00:44:36Oui, mon Seigneur.
00:44:37Et allez-vous loin?
00:44:40Assez loin pour remplir le temps jusqu'à l'heure du souper.
00:44:43Ne manquez pas notre fête.
00:44:45Je ne ferai défaut.
00:44:48Il paraîtrait que notre sanguinaire cousin Malcolm, qui lâchement s'est enfui,
00:44:52est loin d'avouer son affreux parricide
00:44:54et qu'il débite à ceux qui l'écoutent l'étrange imposture.
00:44:59Mais nous en causerons ce soir.
00:45:01Nous aurons aussi à discuter une affaire d'Etat qui exige notre présence à tous.
00:45:05Adieu!
00:45:07Jusqu'à ce soir!
00:45:16Qu'avez-vous, mon Seigneur? Pourquoi restez-vous seul?
00:45:19Nos craintes sur Banquo sont profondes
00:45:21et dans ce naturel emprunt de souveraineté domine ce qu'il y a le plus à craindre.
00:45:27Il est malin et sage.
00:45:30Les trois sœurs le proclamèrent père d'une race de rois.
00:45:34Sur ma tête, elles ont placé une couronne sans fruits.
00:45:38Aucun fils ne me succèdera.
00:45:41S'il en va ainsi, alors c'est pour la race de Banquo
00:45:44et ses enfants que mon âme j'ai souillée.
00:45:46J'aurais donné la mort au grand Duncan uniquement pour eux.
00:45:51Pour qu'ils montent sur le trône.
00:45:54Les fils de Banquo, rois?
00:46:00Que peut-on faire?
00:46:04Tu dois demeurer innocente de la connaissance du projet
00:46:07jusqu'à en applaudir la réussite.
00:46:15Viens, ô nuit, apportant ton bandeau.
00:46:18Couvre l'œil insensible du jour compatissant.
00:46:22Et de ta main invisible et sanglante, déchire et mets en pièce
00:46:26le lien puissant qui me rend pâle.
00:46:29La lumière s'obscurcit et déjà le corbeau dirige son vol vers la forêt qu'il habite.
00:46:34Les honnêtes habituées du jour commencent à languir et à s'assoupir.
00:46:38Tandis que les noirs agents de la nuit se lèvent pour saisir leur proie.
00:46:41Tu es étonné de mes discours, mais sois tranquille.
00:46:45Les choses que le mal a commencé se consolident par le mal.
00:46:48Banquo, si sévères les cieux que ton âme doit prendre son vol,
00:46:52elle les verra ce soir.
00:46:57Fléant! Fuie! Fuie! Fuie!
00:46:59Tu pourras me venger!
00:47:01Tu pourras me tuer!
00:47:03Tu pourras me tuer!
00:47:05Tu pourras me tuer!
00:47:07Tu pourras me venger!
00:47:37Tu pourras me tuer!
00:47:54Prenez place, chacun connaît son rang.
00:47:58Je vous souhaite de tout cœur la bienvenue.
00:48:01Nous vous en remercions.
00:48:07Je vous souhaite de tout cœur la bienvenue.
00:48:37Banquo.
00:48:40Il vaut mieux qu'il soit sur ton visage que lui ici.
00:48:43Est-il expédié?
00:48:44Monseigneur, il a la gorge tranchée.
00:48:46C'est moi qui m'en suis chargé.
00:48:48Tu es de loin le meilleur de tous les tranches-gorges.
00:48:51Et qui en a fait autant à Fléant, c'est aussi bon.
00:48:54Si c'est toi, tu es sans pareil.
00:48:57Fléant s'est échappé.
00:49:04Mais Banquo est en sûreté?
00:49:05Oui, Monseigneur. Il gît au fond d'un fossé.
00:49:07Avec 20 larges ouvertures à la tête, dont une seule suffit à causer la mort.
00:49:12Je t'en remercie.
00:49:15Ainsi voilà le serpent écrasé.
00:49:18Le jeune reptile a fui,
00:49:20mais même s'il est dans sa nature d'engendrer du venin,
00:49:24il n'a à présent plus de crochet.
00:49:27Partez.
00:49:29Demain, nous en reparlerons.
00:49:32Ah, très cher.
00:49:35Mon royal époux.
00:49:38Votre majesté.
00:49:44Où est le digne Macduff?
00:49:54Alors.
00:49:56Qu'une bonne digestion accompagne votre appétit,
00:49:58et que s'en suive une bonne santé.
00:50:01Merci.
00:50:15Quel d'entre vous a fait cela?
00:50:16Quoi, Monseigneur?
00:50:18Tu ne peux pas dire que je l'ai fait!
00:50:21Cesse de te gosser de moi!
00:50:32Messieurs, levez-vous.
00:50:33Son altesse est indisposée.
00:50:34Asseyez-vous, mes amis.
00:50:35Mon époux est souvent dans cet état.
00:50:37Il y est sujet depuis l'enfance.
00:50:38Je vous en prie, restez à vos places.
00:50:40C'est un accès passager.
00:50:41Le temps d'y penser, il sera aussi bien qu'à l'ordinaire.
00:50:43Si vous faites trop attention à lui, vous le blesserez,
00:50:45et vous augmenterez son mal.
00:50:46Mangez.
00:50:47Ne prenez pas garde.
00:50:50Êtes-vous un homme?
00:50:52Mon digne Seigneur.
00:50:54Vos nobles amis vous attendent.
00:51:02Ne prenez pas garde à moi, mes dignes amis.
00:51:06J'ai eu une étrange infirmité.
00:51:08Il n'est rien pour ceux qui me connaissent.
00:51:10Allez, buvons.
00:51:12Amitié et santé.
00:51:15Je bois au plaisir de toute la table.
00:51:18Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:20Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:22Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:24Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:26Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:28Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:30Je vous en prie, restez à vos places.
00:51:32Il y a notre cher ami Banco qui...
00:51:34...nous manque beaucoup.
00:51:36Puissiez-vous faire qu'il fût là.
00:51:39Buvons à sa mémoire.
00:51:40A Banco!
00:51:41A Banco!
00:52:00Vous avez fait fuir la gaieté, détruire tout le monde pour faire de cet immeuble un étrange désordre !
00:52:07Vous me mettez de nouveau hors de moi-même, lorsque je songe que vous pouvez contempler de tels spectacles et garder le même incarnat sur vos joues !
00:52:15Quel spectacle, Monseigneur ?
00:52:17Je vous prie, ne lui parlez pas. Il va de mal en pile et qu'est-ce qu'on le met en fureur. Je vous souhaite le bonsoir à tous.
00:52:23Ne vous inquiétez pas de l'ordre de votre départ, mais partez de suite.
00:52:27Bonne et heureuse nuit à tous.
00:52:37Il aura du sang.
00:52:41On dit que le sang veut du sang.
00:52:44Quelle heure de la nuit ?
00:52:46Nous sommes presque arrivés au matin.
00:52:51Que dites-vous de...
00:52:53Macduff qui refusa de se rendre à notre belle réunion ?
00:52:58Avez-vous envoyé vers lui ?
00:53:00Macduff !
00:53:04Calmez-vous.
00:53:06Vous avez besoin de ce qui réanime toutes les créatures de sommeil.
00:53:23Le roi Duncan a été plein de Macbeth, et il est mort, hélas.
00:53:38Le brave et vaillant Banquo s'est promené trop tard et il lui en a coûté la vie.
00:53:42Vous pouvez dire, si vous voulez, que ces fléances qu'il a assassinées, car il s'est enfui.
00:53:46Quelle meurtre infâme.
00:53:48Et que cela peinât Macbeth.
00:53:51N'a-t-il aussitôt, dans une pieuse rage, abattu les deux coupables
00:53:54qui étaient esclaves de l'ivresse et captifs du sommeil ?
00:53:57N'était-ce pas là un acte noble ?
00:53:59Si, noble et sage.
00:54:01Car toute âme sensible ne supportait d'entendre Macbeth dire
00:54:04qu'il n'était pas le seul à avoir été assassiné,
00:54:06et qu'il n'était pas le seul à avoir été assassiné,
00:54:08et qu'il n'était pas le seul à avoir été assassiné,
00:54:10et qu'il n'était pas le seul à avoir été assassiné,
00:54:12et qu'il n'était pas le seul à avoir été assassiné,
00:54:14car toute âme sensible ne supportait d'entendre
00:54:16ces hommes nier le crime.
00:54:18Ainsi je dis, qu'il a très bien pris toutes choses,
00:54:20et je pense que s'il tenait sous sa clé,
00:54:23le fils de Duncan, plaise au ciel, il ne le pourra pas.
00:54:26Ce cher Malcom verrait ce que c'est de tuer un père.
00:54:29Et fléance aussi.
00:54:32Mais là-dessus, assez.
00:54:34Je viens d'apprendre que pour quelques paroles trop libres,
00:54:37et parce qu'il a manqué de se rendre au banquet du tyran,
00:54:39Macduff est tombé en disgrâce.
00:54:41Pouvez-vous me dire où il s'est réfugié ?
00:54:45Je vous salue.
00:54:49Puisse notre hôte se rétablir vite.
00:55:15Un pur sorcier ! Pourquoi me montrez-vous ceci ?
00:55:21Avez-vous vu les soeurs du destin ?
00:55:27Non, monseignor.
00:55:29N'ont-elles pas passée près de vous ?
00:55:33En vérité, non monsieur.
00:55:38Dites-moi.
00:55:40N'ont-elles pas passé près de vous ?
00:55:43En vérité, non, Monseigneur.
00:55:56Tout est confirmé.
00:56:10Monseigneur, Macduff a fui chez Seaward, il lui a ouvert sa demeure comme un frère.
00:56:21Il a fui ?
00:56:22Oui, Monseigneur.
00:56:23Autant fait c'est sûr, tu as anticipé mes terribles exploits.
00:56:31La maison de Macduff, je ne prendrai pas surprise.
00:56:39Messieurs Ketnes et Mantis, anges de la loi, compagnons-nous notre cause.
00:57:07Qu'a fait mon mari qui put lui forcer à fuir ?
00:57:15Faites preuve de patience, Madame.
00:57:17Lui n'en a pas eu, sa fuite n'était que pure folie.
00:57:20Si ce ne sont nos actions, nos peurs nous font traître.
00:57:24Chère cousine, maîtrisez-vous, votre époux est sage, judicieux et connaît mieux que
00:57:27personne ce qui convient aux circonstances.
00:57:29Vous ne savez pas si ça a été en lui, sagesse ou peur ?
00:57:32Sagesse ou peur ? Pour fuir lâchement comme il l'a fait ? En laissant son enfant ? Il
00:57:38ne ressent rien pour nous.
00:57:40Même le plus faible des oiseaux, le roi Tley, défendra dans son nid ses oisillons contre
00:57:43le hibou.
00:57:44La peur en lui est tout et l'amour nulle chose.
00:57:46A peine plus est la sagesse, quand la fuite ainsi court, contre la raison ? Il a abandonné
00:57:52sa famille.
00:57:53Est-ce digne d'un être vaillant ? Il a fui chez Seaward ?
00:57:58Il a un père, et pourtant, il n'a point de père.
00:58:06Que Dieu te garde, pauvre petit singe ! Mais comment feras-tu pour avoir un père ?
00:58:11S'il était mort, vous le pleureriez.
00:58:13Si vous ne le faisiez pas, ce serait un bon signe que j'aurai bientôt un nouveau père.
00:58:18Pauvre petit causeur, comme tu parles ! Tu t'exprimes avec tout ton esprit, et ma foi
00:58:23c'est bien assez pour ton âge.
00:58:24Je prends congé de vous pour cette fois.
00:58:31Je serai de retour très bientôt.
00:58:33Les choses doivent s'arrêter au pire, ou remonter vers ce qu'elles étaient naguère.
00:58:37Ma belle cousine, je suis si troublée que si je restais davantage, me perdrez ne ferait
00:58:52qu'ajouter à vos peines.
00:58:53Je m'en vais aussitôt.
00:59:00Si vous voulez suivre la vie d'un homme simple, qu'on ne vous trouve pas en ce lieu, fuyez
00:59:09avec votre enfant.
00:59:10Où devrais-je fuir ? Je n'ai blessé aucune âme, mais je me rappelle à présent que
00:59:17je suis ici dans ce monde terrestre où faire le mal est souvent regardé comme louable
00:59:22et faire le bien passe quelquefois pour une dangereuse folie.
00:59:24Pourquoi, hélas, devrais-je présenter cette défense de femme et dirais-je, je n'ai fait
00:59:28aucun mal ? Adieu, cousin.
00:59:32Où se trouve votre mari ?
00:59:50J'espère.
00:59:51Au nul endroit, c'est maudit du ciel pour qu'il puisse être retrouvé par de tels
00:59:56hommes.
00:59:57Ton père est un traître.
00:59:58Vous mentez.
00:59:59Toi, tu n'es pas sortie de ta coquille, putain de merde !
01:00:29Putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain,
01:00:58putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain, putain,
01:01:27putain ! Choisis-tu de rester aux côtés du tyran ?
01:01:36Dans ce cas, vieux, jusqu'à ce que nous marchions sur la tête de ton maître.
01:01:46Je crois en Dieu.
01:02:08Je pleure sur ce que je crois.
01:02:10Je crois ce que j'ai appris et ce que je puis redresser.
01:02:13Si le temps le permettra, je le ferai.
01:02:17Il peut se faire que ce que vous m'avez raconté soit vrai,
01:02:20cependant ce tyran dont le nom seul blesse notre langue
01:02:22passa autrefois pour un honnête homme.
01:02:24Vous l'avez aimé, hein ?
01:02:27Il ne vous a encore point atteint.
01:02:31J'ai perdu mes espérances.
01:02:33Pourquoi avoir brusquement quitté femme et enfant,
01:02:35cet amour si précieux et qui nous fait vivre,
01:02:38sans même prendre congé d'eux ?
01:02:44Mes seigneurs, Lennox et Ross approchent.
01:03:02Mon bon et cher cousin, soyez le bienvenu.
01:03:06Quelle nouvelle apportez-vous ?
01:03:08Celle qui vieille d'une heure fait siffler son annonceur.
01:03:11Chaque minute engendre une veuve.
01:03:13Comment va ma femme ?
01:03:19Ne soyez point avare de parole.
01:03:23Que vos oreilles ne prennent pour jamais en aversion ma voix.
01:03:26Qui va les frapper des plus lugubres sons qu'elles aient pu entendre.
01:03:30Je ne sais pas.
01:03:33Qui va les frapper des plus lugubres sons qu'elles aient jamais entendu.
01:03:36Je crois deviner. Parlez, je vous en prie.
01:03:40Votre maison a été surprise.
01:03:42Votre femme et votre petit-enfant ont été assassinés.
01:03:45Vous dire la manière, ce sera la curée de ces dames massacrées,
01:03:48vouloir ajouter encore votre mort.
01:03:57Dieu de miséricorde !
01:04:03Donnez au malheur des mots.
01:04:05Le chagrin qui se témurmure au cœur surchargé est le somme de ce brisé.
01:04:10Prenez courage, faisons remède avec notre vengeance
01:04:13pour vous débarrasser de cette mortelle douleur.
01:04:15Vous n'avez point d'enfant.
01:04:17Lutter en homme contre le malheur.
01:04:19Je le ferai, oui.
01:04:21Mais il faut bien aussi que je le ressente en homme.
01:04:24Je ne suis pas un homme.
01:04:26Je ne suis pas un homme.
01:04:28Je le ferai, oui.
01:04:30Mais il faut bien aussi que je le ressente en homme.
01:04:34Il faut bien aussi que je me rappelle qu'il a existé des êtres
01:04:36qui étaient pour moi ceux qu'il y avait de plus précieux en ce monde.
01:04:42Le ciel l'a vu et leur défense il n'a pris.
01:04:51Coupable, Bagdof !
01:04:53On les a tués à cause de toi !
01:04:55Misérable que je suis, ce n'est pas pour leur faute,
01:04:57mais pour les miennes que le meurtre est tombé sur ces êtres innocents !
01:05:00Cette blessure puisse-t-elle votre épée aiguisée ?
01:05:03Que le chagrin devienne colère, n'émoussez pas le cœur, enragez-le !
01:05:08Nos forces sont prêtes.
01:05:10Nous n'avons plus qu'à prendre congé.
01:05:16Magdès est mûre pour tomber.
01:05:25Je vous en prie.
01:05:50Quand s'est-elle promenée la dernière fois ?
01:05:52Je l'ai vue se lever de son lit subitement,
01:05:54mêler sa robe de nuit, ouvrir son cabinet,
01:05:56prendre du papier, écrire dessus, le cacher tranquillement,
01:05:58puis se remettre au lit.
01:06:00Et pendant tout ce temps-là, demeurer dans le plus profond sommeil.
01:06:24Je vous en prie.
01:06:54Je vous en prie.
01:07:25Ne m'apportez plus de rapports.
01:07:28Qu'ils s'envolent tous !
01:07:55Tant que Birnam ne montera vers Dunsinane,
01:07:58la crainte ne pourra m'atteindre.
01:08:06Qu'est-ce que ce petit Malcolm ?
01:08:08N'est-il pas né d'une femme ?
01:08:14Les esprits qui connaissent tout le mortel enchaînement
01:08:16ont déclaré pour moi,
01:08:17ne sois pas effrayé, Macbeth.
01:08:20Nul homme n'est d'une femme.
01:08:22Nul homme n'est d'une femme n'aura jamais de pouvoir sur toi.
01:08:52Je t'en prie.
01:09:22Je t'en prie.
01:09:53Que fait le tyran ?
01:09:54Il veut fortifier solidement le grand château de Dunsinane.
01:09:57On le prétend aimant.
01:09:59Certains qui le haïssent moins évoquent une courageuse fureur.
01:10:02Il sent désormais ses propres mains souillées de ses actes cruels.
01:10:05Une rébellion interne vient lui reprocher son manque de foi.
01:10:08Ceux qu'il commande n'obéissent qu'à l'autorité
01:10:10et nullement à l'amour.
01:10:12Il commence à sentir son titre devenir trop ample pour lui,
01:10:16comme la robe d'un soldat.
01:10:18Il commence à sentir son titre devenir trop ample pour lui,
01:10:21comme la robe d'un géant volé par un nain.
01:10:24Mais qui pourra blâmer ses sens troublés de reculer et de tressaillir
01:10:27quand tout ce qui est au fond de lui se reproche sa propre existence ?
01:10:31Si Malcolm, son oncle Siward et le brave Macduff.
01:10:36La vengeance brûle dans leur cœur,
01:10:38car leur précieuse cause pour le combat sans merci et le sang
01:10:41réanimerait un homme mort.
01:10:49Cher cousin,
01:10:51j'espère que le jour où nous serons en sûreté chez nous est proche.
01:10:54Nous n'en doutons nullement.
01:11:18Sous-titrage ST' 501
01:11:48Sous-titrage ST' 501
01:12:18Bien. Mettons-nous en route.
01:12:48Sous-titrage ST' 501
01:13:19Bon sang !
01:13:21Les chiens !
01:13:23C'est ton !
01:13:25C'est ton !
01:13:27C'est ton !
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01:14:38Faites parler toutes nos trompettes.
01:14:40Donnez toute leur voix à ces bruyants précurseurs de la mort et du sang.
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01:15:49La forêt de Birnam.
01:15:51A marcher vers Don Sinan.
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01:20:41Vous m'avez attaché ! Je ne peux plus fuir !
01:20:45Où est celui qui n'est pas né de femme ?
01:20:47Tel homme peut m'effrayer et nul autre !
01:20:59De vos épées, je n'ai qu'à faire !
01:21:01Je mourrai avec mépris de toute arme maniée par l'homme qui est né d'une femme.
01:21:04Montre-moi ton visage !
01:21:06Si tu meurs sans avoir reçu un coup de ma main,
01:21:08les ombres de ma femme et de mon enfant décédés ne cesseront de te enterrer !
01:21:12De tous les hommes, tu es le seul que j'ai évité.
01:21:18Va-t'en maintenant !
01:21:20Car mon âme est beaucoup trop chargée du sang des dieux !
01:21:23Je n'ai rien à te dire. Ma réponse est dans ma lame.
01:21:43Je t'en supplie !
01:21:45Que ton fer tombe sur de vulnérables têtes !
01:22:11Ma vie est sous un charme qui ne peut s'aider à un homme né d'une femme !
01:22:14N'espère plus en ton charme et que l'ange que tu as toujours servi t'apprenne
01:22:29que Macduff fut arraché avant-terme au ventre de sa mère !
01:22:44Macduff !
01:23:15Panko sera moindre que Macbeth et à la fois plus grand.
01:23:25Il enchantera des rois.
01:23:33Ses enfants deviendront rois.
01:24:44Je t'en supplie.
01:25:14Demain, et demain, et demain, se glissent ainsi à petits pas d'un jour à l'autre,
01:25:37jusqu'à la dernière syllabe du temps des souvenirs.
01:25:41Tous nos hier ont éclairé les fous sur le chemin de la mort poussiéreuse.
01:25:46Éteint toit, court flambeau. La vie n'est qu'une ombre en marche.
01:25:50Un comédien qui se pavane et s'agite sur scène durant des heures,
01:25:54alors que personne depuis longtemps ne le regarde plus.
01:26:11Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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