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00:00Votre émission avec le Casino Barrière de Montreux.
00:03Provoquez la chance au Casino Barrière de Montreux.
00:06365 jours par an.
00:08casinomontreux.ch
00:20Bienvenue sur Canal+, suisse programme en clair.
00:22Merci d'être avec nous, avec M le Média.
00:24Tous les après-midi, 16h30 du lundi au vendredi,
00:27on vous donne rendez-vous pour retrouver quelques-uns des meilleurs moments
00:29que vous avez peut-être manqué entre 6h et 9h
00:32ou que vous avez tout simplement envie de revoir.
00:34C'est maintenant et c'est parti pour 60 minutes.
00:41Ce matin, je vous parle de la troisième édition du Biker's Date
00:45qui se tiendra ce week-end, ce samedi 22 juin
00:48du côté du centre du TCS de Caussonnet.
00:51L'événement débutera par un cortège à moto
00:54depuis Etanières jusqu'à Caussonnet.
00:56Sur place, les visiteurs pourront profiter
00:59d'une exposition de motos multimarques,
01:02découvrir des artisans, se régaler auprès des food trucks
01:05et visiter des stands de barbiers, tatoueurs et simulateurs de conduite.
01:10De nombreuses animations sont également prévues
01:12incluant des shows de moto et des invités prestigieux
01:15ainsi qu'un concours de beauté pour moto.
01:18Attention, notez que l'entrée est libre
01:21et pour en parler beaucoup mieux que moi,
01:22je reçois ce matin sur le plateau Cristal Bartolomé.
01:25Bonjour.
01:26Bonjour.
01:27Merci d'être avec nous de si bon matin.
01:29Oui, c'est vrai que c'était tôt.
01:30C'est tôt ?
01:31Oui, c'est tôt.
01:32Ah ben, il faut que je vous dise, pour parler de moto,
01:34il faut se lever tôt.
01:35Il n'y a pas d'heure.
01:36Il n'y a pas d'heure.
01:37En tous les cas, merci d'être avec nous
01:38pour nous parler de cet événement.
01:39Vous êtes organisatrice de cet événement
01:42qui s'annonce un rendez-vous exceptionnel
01:45pour celles et ceux qui aiment les deux roues
01:47et les motos particulièrement.
01:48Tout à fait, oui.
01:50Alors, qu'est-ce qu'on va pouvoir découvrir
01:53et à qui s'adresse finalement cet événement ?
01:55Aux passionnés de moto, mais à tout le monde aussi ?
01:57À tout le monde.
01:58Les petits, les grands, les familles.
02:00C'est vrai que c'est justement la chose
02:02qu'on aimerait mettre en avant
02:03de pouvoir faire découvrir ça à tout le monde.
02:06Et puis, du coup, on organise ce cortège le matin
02:11qui, là par contre, est réservé aux motos.
02:14Aux motards, oui.
02:15On ne prend pas les voitures.
02:16Mais sinon, l'événement est évidemment ouvert à tout le monde, aux familles.
02:19On a tout prévu, château gonflable.
02:21D'accord, c'est un événement familial.
02:24Alors, pour moi qui ne suis pas du tout un spécialiste,
02:27on va pouvoir apprécier des démonstrations.
02:30Expliquez-nous un petit peu le programme.
02:32Qu'est-ce qu'on va pouvoir découvrir ?
02:33Exactement.
02:34L'année passée, on a fait ça sur un week-end.
02:37Cette année, on a un peu tout regroupé sur une journée.
02:39Donc, on essaie quand même de proposer plusieurs animations
02:43pour bien remplir la journée.
02:45Donc, on a, comme vous l'avez dit, ce concours de beauté
02:48où la sélection a déjà été faite en amont sur les réseaux sociaux, sur Instagram.
02:53D'accord.
02:54Et puis là, on a eu énormément de participants
02:56et on a sélectionné cinq finalistes
02:58qui viendront donc samedi pour exposer leurs motos
03:01et puis tenter de gagner la coupe.
03:03Oui.
03:04On a également des shows de stunts
03:07avec des amis qui viennent de Paris spécialement pour l'événement.
03:10Alors, le stunt, c'est quoi ?
03:12C'est les acrobaties.
03:13C'est ce qu'on voit là sur les écrans.
03:15D'accord.
03:16Pour ceux qui sont à la radio, ils ne voyaient pas les images.
03:18Donc, c'est des acrobaties en moto.
03:21Exactement.
03:22Roue avant, roue arrière, drift, burn, tout ça.
03:26Donc, il y a évidemment notre association qui va faire le show
03:29qui est aussi co-organisateur avec moi.
03:32Et puis, on a des invités spéciaux dont Spartmotard
03:36qui regroupe une grosse communauté sur Instagram, YouTube, TikTok
03:41qui vient de Paris avec un ami à lui.
03:43Et on a aussi une autre petite surprise.
03:46Mais ça, je ne peux pas vous le dire maintenant.
03:48Ah oui, pas de surprise, c'est dommage.
03:50Bon, ils viennent de Paris en moto, évidemment.
03:53Oui, alors ils mettent les motos dans le camion quand même.
03:55Sinon, c'est un peu long.
03:56Très bien.
03:57Bon, voilà.
03:58Alors, ce n'est pas des motos électriques.
04:01Ce sont des motos qui font du bruit.
04:02Ce sont des vraies motos.
04:03Des vraies motos.
04:04Ça, c'est le puriste qui parle.
04:06Oui, mais l'année passée, le dimanche,
04:08on a quand même fait un show en moto électrique
04:10pour ne pas déranger justement le voisinage.
04:13Oui, c'est vrai que c'est important.
04:15Aujourd'hui, c'est presque un passage, effectivement, obligé.
04:19Alors, ça s'adresse vraiment à tout le monde.
04:21L'entrée est libre.
04:22Tout à fait.
04:23C'est ce qu'on essaye de garder, justement,
04:25de faire un événement qui est ouvert à tout le monde,
04:28qui est gratuit.
04:30Pour les exposants,
04:31on essaye aussi de faire un tarif le minimum possible
04:34parce que le but, ce n'est pas de se faire de l'argent.
04:37C'est vraiment de créer un événement convivial
04:39pour tout le monde
04:40et de pouvoir faire plaisir aux gens.
04:42C'est vraiment le but principal de cet événement.
04:44L'idée, c'est de quoi ?
04:45Initier peut-être les gens à la moto ?
04:47La démocratiser ?
04:48Qu'est-ce qui est derrière ?
04:49Je dirais peut-être de redorir un peu l'image qu'on a.
04:52C'est vrai que malheureusement,
04:53il y a un peu un fléau en ce moment
04:54que peut-être vous connaissez, le cross bitume.
04:56Et c'est vrai que ça, ça donne une très mauvaise image
04:59de personnes qui font un peu justement du stunt sur les routes,
05:02sans plex, sans équipement, sans rien.
05:05Et malheureusement,
05:06dans le monde où on vit actuellement,
05:08le peu de personnes qui font des choses pas bien,
05:10ça répercute sur tout le monde.
05:12Et puis, nous, on essaye justement de montrer
05:15qu'on est responsables,
05:16qu'on n'est pas là pour embêter les gens.
05:18Au contraire.
05:19Et puis, je trouve que jusqu'à maintenant,
05:20on y arrive plutôt bien.
05:22Quand on passe avec 300 motos,
05:23les gens sont impressionnés,
05:25nous regardent, ils filment.
05:26Enfin, c'est hyper gratifiant.
05:28Et c'est vraiment ce qu'on aimerait
05:30faire ressortir de cet événement.
05:32Le respect des gens
05:33et puis donner une bonne image de la moto.
05:35C'est important, effectivement.
05:36Là, vous dites que ça n'a pas bonne presse aujourd'hui.
05:38Suivons quoi ?
05:39C'est très difficile.
05:40Surtout la discipline du stunt.
05:42C'est vrai qu'on a discuté à Paris
05:45avec des stunteurs professionnels
05:47qui disent aussi que maintenant,
05:48avec tout ce qui se passe,
05:49c'est très difficile d'organiser des événements.
05:52En Suisse, on n'est pas beaucoup aidés non plus
05:54au niveau de la moto.
05:56C'est vrai que c'est très compliqué.
05:58Il faut beaucoup d'autorisation.
05:59Et puis, dans ce sens-là,
06:01on espère aussi pouvoir convaincre.
06:02D'accord.
06:03C'est ce samedi sur le site du TCS.
06:05C'est bien connu quand on apprend à conduire.
06:07C'est ça.
06:08C'est l'occasion de passer un bon moment.
06:11Si vous aimez les déroules,
06:12les belles motos, les belles mécaniques,
06:14un concours de beauté de moto.
06:15C'est quoi une belle moto, alors ?
06:17Sur quoi on juge ?
06:18Là, on s'est basé pour notre sélection
06:20sur le travail qui a été effectué sur la moto.
06:23D'accord.
06:24Il n'y a pas de jugement sur le style de moto.
06:25La moto en elle-même,
06:26c'est vraiment la touche personnelle
06:28que les personnes ont apportée dessus.
06:30Très bien.
06:31C'est à découvrir.
06:33Ce samedi, tout simplement,
06:34du côté de Cossanet,
06:36ce samedi 22 juin,
06:37vous attendez du monde, j'imagine ?
06:39On espère, un maximum.
06:40Beaucoup de monde ?
06:41Beaucoup, beaucoup de monde.
06:42On peut se restaurer sur place, c'est important.
06:44Bien sûr.
06:45Vous avez dit qu'il y a des choses pour les enfants.
06:46C'est une manifestation familiale.
06:48Voilà.
06:49On a tout prévu et c'est très familial, effectivement.
06:51C'est ma maman qui est au bar,
06:52ma cousine qui est à la tombola,
06:53le cousin au food truck.
06:55C'est la famille.
06:57Des passionnés de moto, c'est ça ?
06:59Pas vraiment, non.
07:00On va dire qu'ils subissent plutôt notre passion à nous.
07:03D'accord.
07:04Très bien.
07:05Alors, si on veut des infos,
07:06il faut aller sur Instagram et sur Facebook.
07:08Exactement.
07:09On a créé une page Instagram exprès pour l'événement.
07:11Et puis, on a aussi l'événement qui est sur Facebook.
07:14D'accord.
07:15Bikers Date.
07:16Bikers Date.
07:17Bikers apostrophe S.
07:18Voilà.
07:19Comme ça, vous allez directement sur les réseaux sociaux
07:21pour en savoir un petit peu plus.
07:22Et puis, rendez-vous tout simplement ce samedi.
07:24Du côté de Cossanet,
07:25ce samedi 22 juin,
07:27sur le site du centre du TCS,
07:30donc à Cossanet, tout simplement.
07:32Un site bien connu.
07:33Merci beaucoup Christelle d'être venue ce matin
07:35à nous parler de cet événement.
07:37Vous, vous êtes une vraie passionnée.
07:38Ça s'entend, ça se voit.
07:39Qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter ?
07:40Un peu de soleil, j'imagine ?
07:41Du beau et du chaud, effectivement.
07:57Salut.
08:27Salut.
08:57Salut.
09:28Salut.
09:29Salut.
09:30Salut.
09:31Salut.
09:32Salut.
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09:38Salut.
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09:43Salut.
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11:27Salut.
11:28Salut.
11:29Salut.
11:30Salut.
11:31Salut.
11:32Salut.
11:39Donc j'ai une attache pour nos voisins romans.
11:44Ca s'appelle l'escroquerie c'est mon métier.
11:50Ça m'a presque fait oublier qu'il est 7h.
11:53L'invité du matin.
11:55La succession du président de Suisse olympique, Jürgen Stahl, verra trois candidats s'affronter.
12:01L'ancien judoka Sergei A. Jvenden, l'ex-conseillère fédérale Ruth Metzler,
12:05et Markus Wolf, ancien directeur de Swisski.
12:08À 48 ans, mon invité Sergei A. Jvenden, médaillé de bronze au JO de Pékin 2008,
12:13est toujours très actif. Il est directeur de l'Office du tourisme des Portes des Alpes,
12:18président de la fédération suisse de judo, et député PLR au Grand Conseil vaudois.
12:23Sergei A. Jvenden a expliqué dernièrement à l'Illustré et à Oblique
12:27que sa passion pour le sport et l'encouragement de son entourage l'ont poussé à se porter candidat.
12:33Sergei A. Jvenden souhaite développer le sport en Suisse,
12:36adaptant les stratégies aux besoins des différentes fédérations,
12:40offrir un meilleur soutien aux athlètes et rendre Suisse olympique plus agile
12:45et promouvoir les projets sportifs.
12:47Il ambitionne également de voir 1% du budget cantonal alloué au sport dans tous les cantons suisses.
12:53Notez que Jurgen Stahl, actuel président de Suisse olympique depuis 7 ans,
12:57se retire en raison de la limitation de la durée de son mandat.
13:01Son successeur sera élu par le parlement du sport le 22 novembre prochain.
13:07Je vais y arriver à la maison du sport à Itigone.
13:10Je crois que je n'ai rien oublié. Bonjour Sergei.
13:12Bonjour Philippe.
13:13Comment ça va ?
13:14Très bien. Et vous ?
13:15C'était sport.
13:17Une entrée en matière comme celle-ci, pas mal.
13:20Merci, ça fait plaisir de te voir mon cher Sergei.
13:22Merci d'être là avec encore plein de projets en tête.
13:26Ça n'arrête jamais.
13:28Tu sais, la vie est un perpétuel renouvellement.
13:32On dit toujours, celui qui a cessé d'évoluer, cesse de vivre.
13:36Donc c'est vrai qu'il faut chercher des challenges.
13:38Je suis fondamentalement lié au sport, c'est mon ADN.
13:41C'est ce qui me fait vivre, c'est ce qui me fait avancer.
13:44Donc oui, quand il y a des opportunités qui se présentent,
13:46il faut toujours y réfléchir.
13:47Maintenant on arrive à un stade ou à un moment ou un autre,
13:50il faudra faire des choix.
13:51C'est une belle opportunité.
13:52Le chemin est encore long, puisque comme tu l'as évoqué très justement,
13:55les élections auront lieu le 22 novembre.
13:58Donc d'ici là, il y a encore beaucoup de travail à fournir.
14:00Oui.
14:01Alors on doit se préparer un petit peu psychologiquement
14:03avant de pouvoir dire Monsieur le Président.
14:05Non, alors j'en suis pas encore là.
14:07C'est allé un petit peu vite en bosogne.
14:09Ça reste une campagne.
14:10Il y a d'autres candidats de très haute qualité.
14:13Il s'agit d'aller discuter avec les différents membres
14:16qui sont les présidents de fédérations nationales,
14:19respectivement les membres des différents comités,
14:22pour essayer de mettre en avant les différents arguments
14:25que l'on a dans sa poche,
14:26en espérant que ceux-ci arriveront à convaincre une grande majorité.
14:30Mais là quand même, pour prendre un poste comme celui-ci,
14:33il faudrait un homme de terrain,
14:35quelqu'un qui connaît ce que c'est le sport et l'avoir vécu,
14:39pour revenir notamment sur cette belle carrière que tu as eue
14:43dans ce monde du sport que tu connais très très bien.
14:47Serge H. Vendon va pouvoir apporter quelque chose de plus ?
14:50Ça fait 30 ans que je suis dans le sport.
14:52J'ai commencé en tant que jeune sportif
14:55qui avait besoin de se défouler
14:57en devenant athlète de haut niveau en haut,
14:59puis entraîneur, puis maintenant fonctionnaire.
15:02J'ai passé la moitié de ma vie en Suisse allemande,
15:04l'autre moitié en Suisse romande.
15:05Ça me permet d'avoir, on va dire, une vue à 360 degrés sur le sport,
15:09plus quelques activités au niveau international.
15:12Je crois qu'il ne faut pas oublier
15:14qu'il faut effectivement une connaissance de base
15:16du fonctionnement sportif suisse,
15:17que ce soit tant du point de vue privé
15:19et de l'association fêtière de Suisse olympique
15:21que du point de vue public avec l'Office fédéral du sport.
15:24En parallèle de cela, je pense qu'il faut connaître les rouages de la politique.
15:27Suisse olympique dépend principalement de fonds publics,
15:30que ce soit de l'argent qui prend bien des jeux d'argent,
15:33ou bien entendu l'argent de la Confédération,
15:35à cela un petit peu de sponsoring privé.
15:37Donc oui, ces éléments-là me font penser que je suis un candidat
15:40qui a une expérience et qui peut avoir la carrière à ce poste.
15:43Voilà, c'est ça.
15:44Donc c'est très politique finalement.
15:46Non, en partie.
15:47Il ne faut pas rêver sur des postes de ce niveau,
15:49de cette envergure, avec les besoins qui sont demandés,
15:53que ce soit en termes de réseautage,
15:54que ce soit en termes de discussion aussi avec la sphère politique.
15:57On a de gros événements internationaux qui sont devant notre porte,
16:01que ce soit les Jeux Olympiques d'hiver 2038.
16:03Sans un soutien massif du politique,
16:07il n'est tout simplement pas possible de pouvoir organiser un tel événement.
16:09Donc effectivement, une expérience politique est d'usage,
16:12mais il faut aussi connaître la base, donc le sport.
16:14Mais là on sent quand même le discours d'un homme politique.
16:17Ben j'en ai fait, ça fait dix ans que j'en fais, j'en suis fier.
16:20Il faut connaître la politique, j'aime la politique.
16:24Tu as fait référence avant à l'initiative populaire
16:27qu'il faut allouer 1% du budget de fonctionnement au sport.
16:30On va avoir une réponse du Conseil d'État
16:33par rapport au contre-projet ici dans le canton de Vaud.
16:35Pour rappel, on veut passer de 8 millions à 100 millions.
16:38C'est grâce à ce genre d'initiative
16:41qu'on arrive à faire décoller le sport dans un canton.
16:43Suisse Olympique a besoin de pouvoir se reposer
16:46sur les cantons et la Confédération.
16:49Donc effectivement, sans politique,
16:51on n'est pas capable de pouvoir décrocher des montants aussi conséquents.
16:54Donc ça fait partie du jeu.
16:56Donc il faut avoir un petit peu ces deux horizons
17:00et avoir connu un petit peu les deux côtés
17:02pour pouvoir mieux défendre la cause.
17:05Oui, on est un fonctionnaire du sport.
17:07C'est lié, ça fait partie du tout.
17:10C'est vrai que c'est quelque chose qui me plaît.
17:13On te souhaite en tous les cas, on te tient les pouces
17:15pour ce nouveau défi, comme tu le disais il y a quelques instants.
17:20Les défis de Suisse Olympique, il y a du boulot,
17:23il y a des choses à faire, il y a des choses à améliorer.
17:25Toi qui l'as vécu, on va dire, véritablement sur le terrain,
17:30qu'est-ce qu'on doit faire pour améliorer finalement les conditions
17:34et le sport en Suisse pour pouvoir aller peut-être un peu plus loin ?
17:38Bien sûr, Suisse Olympique a 120 membres,
17:40que ce soit des fédérations nationales olympiques,
17:43des fédérations nationales non olympiques
17:45et des associations partenaires.
17:47C'est des entités qui ont besoin de conditions cadres.
17:50Bien entendu, il y a des fédérations de taille petite et moyenne
17:53et de grande fédération.
17:54Ce qu'il faut apporter à ces fédérations,
17:56c'est un soutien financier, bien entendu,
17:58pour pouvoir mettre en place une base qui soit solide
18:01et leur apporter une certaine flexibilité
18:03parce que chaque sport a ses spécificités.
18:05Il s'agit aussi de travailler en termes de lobbyisme.
18:08C'est un élément qui a son importance.
18:10Il y a quelques années en arrière, la Suisse avait cinq représentants
18:13au niveau du CIO.
18:14Aujourd'hui, on n'en a plus que deux
18:16et qui arrivent, on va dire, gentiment en fin de carrière.
18:19Donc on peut se retrouver avec zéro représentant suisse
18:21au sein du comité international olympique.
18:24Et ça, ce n'est pas forcément tout à fait adéquat.
18:26Et puis, c'est d'avoir cette base commune.
18:28On a fait justement référence à cette initiative.
18:30Donc si dans tous les cantons,
18:32on arrive à avoir un socle financier solide
18:34pour pouvoir mettre en place des conditions cadres,
18:36c'est des éléments qui me semblent extrêmement importants
18:38pour Suisse Olympique.
18:39Et le dernier élément, qui est à mon avis
18:41un des plus importants aussi,
18:42c'est le soutien aux athlètes de haut niveau.
18:44Mais on ne parle pas que d'un soutien financier.
18:46Là aussi, c'est un apport en termes d'accompagnement
18:49lorsqu'il faut pouvoir se rendre à un endroit.
18:52Une mise en réseau, bien entendu.
18:54Et puis tout l'accompagnement,
18:55une fois que ces sportifs ont fini leur carrière,
18:57parce qu'il y en a beaucoup qui sont un petit peu perdus.
18:59Et là, si on peut les accompagner dans ces transitions,
19:01ça peut être fort utile,
19:02car ils acquièrent des compétences
19:04qui sont extrêmement importantes et intéressantes aussi
19:07pour l'avenir de leur vie et de notre société.
19:09Ça, ça manque aujourd'hui en Suisse.
19:10On n'a pas cet encadrement finalement que tu es en train de...
19:13On l'a. Il est présent.
19:15Ça se met en place des filières de sport-études
19:17qui sont en train d'être optimisées.
19:18Mais je pense qu'on peut faire encore beaucoup mieux.
19:20Il nous faut faire encore mieux.
19:22Vous savez, dans les pays anglo-saxons,
19:24le sport et les compétences acquises dans le sport
19:27sont valorisées, voire extrêmement bien valorisées.
19:30Et chez nous, c'est vrai qu'on a besoin encore d'un petit peu de temps
19:33pour arriver à ça.
19:34Et le sport, c'est essentiel, évidemment.
19:36Le sport, c'est la vie.
19:37Je crois que la question ne se pose pas par rapport à ça.
19:39Nous sommes tout à fait d'accord.
19:43Ça m'a presque fait oublier qu'il est 7h.
19:45L'invité du matin.
19:46La course à la présidence de Suisse Olympique
19:48avec ce matin Sergueï Achvandon,
19:50qui me fait le plaisir d'être sur le plateau.
19:52Ça va toujours, Sergueï ?
19:54Oui, le plaisir est réciproque, cher Philippe.
19:56Jusqu'au mois de novembre, c'est quoi ?
19:59C'est un peu stressant, cette période-là ?
20:01On est dans l'attente.
20:03Comment tu vis ?
20:05C'est une bonne question.
20:06Il y a une partie de stress
20:08parce qu'on a quand même 120 membres
20:11avec lesquels il faut aller discuter.
20:13Il faut une organisation derrière
20:15pour pouvoir prendre contact avec ces personnes.
20:17Que ce soit par téléphone,
20:19que ce soit d'aller les voir physiquement.
20:21Il faut une certaine organisation.
20:23Maintenant, on a quand même encore un petit peu de temps.
20:25On est au mois de juin, les élections sont au mois de novembre.
20:27C'est pratiquement 5 mois.
20:29Tu le sais mieux que moi, il y a les vacances d'été.
20:31Les gens, maintenant, sont plutôt en mode relax.
20:33Il y a des Jeux Olympiques.
20:35Comment ça, je sais mieux que toi ?
20:37C'était pas à titre péjoratif.
20:39C'était pas à titre péjoratif.
20:43Après, on a les Jeux Olympiques, d'abord.
20:45Donc, on va laisser passer ça.
20:47On a quand même, nous, au niveau de la Fédération Suisse de Jiu-Jitsu,
20:49trois athlètes qui vont s'y rendre.
20:51Dont une Romande, en espérant qu'on arrivera à remporter une médaille.
20:53Oui, on l'espère aussi.
20:55J'ai envie de dire que les choses très sérieuses
20:57vont commencer à partir de fin août.
20:59Où là, il y a la dernière ligne droite.
21:01Et on y verra un petit peu plus clair aussi
21:03en termes de pronostics.
21:05On peut parler de campagne. Tu vas partir en campagne, carrément ?
21:07Oui, c'est une forme de campagne, bien entendu.
21:09Ça reste de la politique sportive.
21:11Mais c'est de la politique,
21:13on va dire, avec des stratégies
21:15qui, en partie, sont similaires
21:17à celles de la politique.
21:19Là, on n'est pas sur des positions avec des partis.
21:21On est plutôt sur des visions,
21:23des stratégies qui peuvent peut-être différer
21:25d'un candidat à un autre.
21:27Mais dans l'ensemble, c'est plutôt
21:29d'essayer d'expliquer aux gens un petit peu
21:31dans quelle direction on souhaite aller.
21:33Comme on l'a évoqué, entre autres, avant.
21:35Serge H. Vanden devient
21:37M. le Président de Suisse Olympique, ce que je te souhaite.
21:39Ça veut dire qu'on laisse tomber
21:41Villard ?
21:43Non, du tout. Il faut bien être
21:45conscient qu'un poste de Président,
21:47ce n'est pas un emploi à plein temps.
21:49C'est un poste de représentation.
21:51Il n'y a aucune raison de laisser tomber Villard.
21:53Il s'agira principalement de revoir
21:55les activités que j'ai à côté
21:57de mon métier, en sachant qu'aujourd'hui,
21:59celle que j'ai, je le fais sur mon temps libre.
22:01C'est ce que j'expliquais aussi
22:03au début de cette interview.
22:05J'arrive à la croiser des chemins.
22:07J'ai 48 ans, je suis dans plusieurs activités
22:09à plusieurs endroits. Je crois qu'on arrive à un âge
22:11où à un moment ou à un autre, il faut se concentrer
22:13sur une ou deux activités. Celles-ci m'intéressent
22:15fortement. Il s'agira de faire des choix
22:17si j'ai le privilège d'être élu.
22:19C'est pour le bien du sport et
22:21apporter cette expérience que tu as,
22:23au profit de ces jeunes
22:25qui ont besoin
22:27qu'on les prenne un peu plus au sérieux, peut-être ?
22:29Il va de soi, et tu me connais
22:31en étant un fervent défenseur du sport.
22:33J'aimerais que le sport, au sens
22:35général du terme, soit reconnu à sa juste valeur
22:37dans notre société. Effectivement,
22:39je pense qu'il y a un potentiel d'amélioration.
22:41Aujourd'hui, ce n'est pas le cas ?
22:43Si, il l'est.
22:45Non, il l'est. Aujourd'hui, nos grands champions,
22:47on a parlé,
22:49j'ai entendu ce matin,
22:51chez des confrères à toi, Nino Schurter,
22:5338 ans, qui va retourner aux Jeux Olympiques,
22:55des Stade Mavericka,
22:57des Roger Fenerer, l'équipe suisse de football
22:59en lien avec l'Euro. On a des athlètes
23:01de référence. Il s'agit maintenant
23:03de travailler, on va dire,
23:05à plus large échelle, où on englobe l'entier
23:07des sportifs et des sportives.
23:09Il s'agit d'avoir cette reconnaissance,
23:11de mettre en place les conditions cadres. On a évoqué
23:13le sport-études, la reconversion,
23:15les financements pour les fédérations, afin
23:17qu'ils puissent avoir un socle solide et stable.
23:19Parce qu'on sait très bien, c'est la théorie de la pyramide,
23:21plus elle est large en bas, plus on aura
23:23d'athlètes en haut. Et un pays comme
23:25la Suisse, avec, on va dire,
23:27la qualité de vie que l'on a, je pense qu'on peut
23:29faire mieux, effectivement.
23:31On suit un athlète qui va d'ailleurs participer
23:33au JO cet été,
23:35Adrien Briffaut, que tu connais peut-être,
23:37un triathlète, plus précisément Vevezan.
23:39On a pu l'apercevoir avec différents
23:41épisodes qui sont
23:43présentés chaque lundi sur M le Média,
23:45qu'il y a cette préparation
23:47pour les JO, mais à côté,
23:49il continue de bosser,
23:51il continue de travailler. Ça, c'est assez un modèle
23:53complètement suisse,
23:55c'est assez spécifique à la Suisse, ça.
23:57C'est bien, c'est pas bien,
23:59c'est compliqué, c'est...
24:01C'est une bonne question. C'est spécifique à la Suisse,
24:03oui et non. Je pense que c'est, un, lié à la discipline
24:05sportive, des disponibilités qu'il a
24:07pour pouvoir faire quelque chose à côté.
24:09Deuxièmement, c'est lié à la personnalité
24:11de l'athlète. Certains athlètes ont
24:13besoin d'avoir quelque chose
24:15à côté pour pouvoir un petit peu s'aérer l'esprit
24:17et ne pas être tout le temps dans ce mode
24:19compétition, pression, performance.
24:21Et puis, c'est entre autres
24:23lié à notre système, à notre structure, qui est assez
24:25libérale, où chacun doit un petit peu se débrouiller.
24:27Ce que je peux en partie comprendre.
24:29Maintenant, Adrien est un exemple intéressant
24:31parce que je pense qu'il est
24:33smart, il planifie à moyen et
24:35long terme, parce qu'il se dit bien qu'à un moment
24:37ou à un autre, le triathlon s'arrêtera et
24:39il faudra que je pense à la suite. Et ça,
24:41il n'y a pas forcément tous les
24:43athlètes qui sont capables de le faire, pour diverses
24:45raisons qui leur appartiennent. Mais là-dessus,
24:47c'est vrai qu'on peut essayer de développer et travailler
24:49un jeune comme lui.
24:51C'est toujours à prendre comme exemple, parce que
24:53je pense qu'il s'organise et c'est pas forcément
24:55évident à l'âge qu'il a.
24:57C'est un bon modèle. C'est un excellent modèle.
24:59Mais c'est pas partout comme ça, c'est pas dans tous les pays comme ça.
25:01Non, après, tu as des pays où
25:03le sport est étatisé, où il y a des filières,
25:05ils rentrent dans ces systèmes, ils ont même des
25:07salaires et souvent, quand on est jeune, des fois, c'est
25:09des salaires qui sont plus qu'intéressants, donc ils réfléchissent
25:11au moment T. Ce qui est
25:13bon pour le sport de compétition, un petit peu
25:15moins bon pour l'avenir.
25:17Mais je pense qu'un
25:19mélange des deux sera assez intéressant. Aujourd'hui,
25:21on a des entreprises qui accompagnent
25:23des athlètes de haut niveau, même en
25:25Suisse, qui leur permettent de concilier au mieux les
25:27deux choses, en moyennant des adaptations
25:29de planification horaire. On est en train
25:31d'y arriver. Il faut continuer
25:33à le faire et je reste persuadé que d'ici quelques
25:35années, on aura un système qui sera fort intéressant, même
25:37chez nous. Voilà. Alors, l'IGO arrive
25:39à grands pas. J'imagine
25:41que Saakash Vandan sera aussi
25:43très attentif à tout
25:45ce qui va se passer sur Paris.
25:47Là, les Suisses, on est bien.
25:49On a une bonne vague. Mais en ce moment, non.
25:51On est bon.
25:53J'observe que, bien entendu,
25:55ces dernières années, on a été
25:57très bon au niveau des Jeux Olympiques et des résultats
25:59obtenus. Maintenant, des Jeux Olympiques
26:01restent des Jeux Olympiques. On aura des surprises.
26:03On aura des confirmations.
26:05Et puis, on aura des déceptions. C'est la loi du sport.
26:07C'est la beauté de ce sport. C'est ses émotions.
26:09D'ailleurs, quand on voit la
26:11Roumanie qui bat l'Ukraine 3-0
26:13à l'Euro du foot, c'était un petit peu inattendu.
26:15C'est ce qui va nous arriver aussi au jeu.
26:17Il est difficile à ce stade de faire des pronostics
26:19parce qu'il y a encore des qualifications en cours.
26:21Mais la Suisse a
26:23des belles possibilités,
26:25des beaux athlètes pour pouvoir faire de belles performances.
26:27Parlons de foot. La Nati,
26:29évidemment, tu suis aussi les matchs.
26:31Bien sûr que je suis tout ça. J'espère qu'ils arriveront.
26:33Il se passe un truc, là.
26:35Tu sais, dans pas mal, c'est négatif. Il n'y a pas et mal.
26:37Ils sont bien.
26:39Mais il faut qu'ils fassent mieux.
26:41Moi, je suis intimement convaincu,
26:43j'espère qu'ils arriveront un petit peu à casser ce plafond
26:45de verre, puis de passer un petit peu
26:47des quarts de finale et d'aller un petit peu plus loin.
26:49On a des pays, entre autres, comme la Croatie,
26:51qui arrivent régulièrement à se positionner
26:53sur le podium. La Suisse
26:55a le potentiel. Des joueurs de très haute qualité.
26:57J'espère vivement qu'on va y arriver.
26:59Je suis complètement d'accord avec toi, mais il y a quand même un truc.
27:01Quand on parle comme ça de la Nati,
27:03ça serait déjà pas mal qu'on arrive en
27:05huitième. C'est un peu comme ça.
27:07Ça, ça m'énerve. Est-ce qu'il nous manque la
27:09gagne ? Est-ce qu'il nous manque un truc ?
27:11Monsieur, peut-être futur président
27:13de la Suisse olympique.
27:15En tout cas, ceux qui sont en équipe
27:17suisse de foot, la plupart jouent sur des championnats
27:19étrangers. Ils savent ce que c'est de gagner,
27:21de performer. C'est notre culture.
27:23C'est toujours ça, jouer low profile.
27:25De toute façon, je vais fracasser tout le monde
27:27et je vais gagner. C'est pas dans notre ADN.
27:29Je pense que ça, ça me va, mais tout au fond
27:31d'eux, ces joueurs-là,
27:33ils vont pas juste pour être en huitième de finale.
27:35Ça, c'est certain.
27:37On a bon espoir. Moi, je suis certain
27:39qu'ils arriveront à quelque chose.
27:41Ils vont nous bluffer.
27:43C'est ce qu'on a besoin.
27:45L'équipe de hockey l'a montrée.
27:47Il n'y a aucune raison qu'ils n'y arrivent pas.
27:49C'est un bel exemple, effectivement.
27:51Dis-donc, cette chanson-là,
27:53qu'est-ce qu'elle représente pour toi ?
27:55Oui, on m'a demandé le choix musical.
27:57Écoute,
27:59ces temps-ci, moi, qui aime me lever tôt le matin
28:01pour faire du sport, c'est une des chansons
28:03qui me donnent juste la patate.
28:05Le beat,
28:07les paroles, c'est aussi simple
28:09que ça. C'est cette tendance.
28:11Dans trois mois, j'écouterai peut-être autre chose.
28:13C'est un groupe classique
28:15qui est là depuis des années.
28:17Et j'aime bien ces groupes qui durent,
28:19malgré les générations, les changements de mode.
28:21C'est des fondamentaux
28:23et je suis quelqu'un qui aime beaucoup baser les choses
28:25sur des bases solides.
28:27Ils ont marqué plusieurs générations.
28:29Le courant passe
28:31avec ACIDICI, seulement qu'on puisse dire.
28:33C'est juste.
28:35Mon cher Sadguy, qu'est-ce que je peux te souhaiter ?
28:37Oh, pas grand-chose. La santé.
28:39Je te souhaite la santé.
28:41Je te dis toute bonne
28:43pour cette aventure
28:45à la présidence de Suisse Olympique.
28:47J'espère que tu viendras nous trouver. Tu as passé un bon moment ?
28:49Très bon. C'est toujours agréable avec toi.
28:51C'est toujours bien pour commencer la journée, plein d'énergie.
28:53Surtout qu'elle sera longue aujourd'hui.
28:55Je pars d'un bon pied.
29:05Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
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55:51Le film Les Liaisons Dangereuses a été un grand saut dans ma carrière.
55:55Soudain, j'avais un gros budget.
55:58Nous avons donc fait appel à des acteurs américains célèbres
56:02que j'ai trouvés formidables.
56:05Et j'ai pu constater que l'équipe française aimait beaucoup les acteurs américains.
56:09Ils préféraient de loin Glenn Close et Michel Pfeiffer aux acteurs français.
56:13Ils ne voulaient pas d'eux.
56:16Ils voulaient de grandes stars américaines.
56:19Et puis les acteurs étaient si merveilleux et si drôles.
56:22C'était une période très enivrante.
56:25Hero, malgré lui, c'est intéressant que vous parliez de ce film
56:28qui a été un véritable flop en Amérique.
56:31Il n'a pas du tout marché.
56:34Mais il a connu un très grand succès en France, je le sais.
56:37Et j'ai vu Dustin Hoffman il n'y a pas longtemps
56:40et nous avons discuté de la question de savoir si c'était là le problème.
56:43A savoir que faire un film qui était populaire en France
56:46signifiait que l'on perdait le public américain.
56:49Mais le public américain l'a absolument rejeté, tout comme les critiques.
56:52Je ne sais pas ce qu'il n'allait pas. Pour moi, le film était une réussite.
57:00Quant à High Fidelity, il a récemment été élu meilleur film jamais réalisé sur Chicago.
57:08Il s'agit d'un roman anglais écrit par l'un de mes amis, Nick Hornby,
57:12qui a été transposé aux Etats-Unis avec beaucoup de succès et d'intelligence par John Cusack et un de ses amis.
57:20Je me souviens d'avoir passé un très bon moment.
57:23Et je me souviens aussi d'avoir tourné avec Bruce Springsteen pour ce film.
57:26Il était très très nerveux.
57:29Stéphane Fears, belle rencontre. Huit ans de deux ans, le jeune homme.
57:32Oui, à huit ans de deux ans, le réalisateur n'a pas dit son dernier mot
57:35et son prochain film, Billy Wilder & Me, avec Christopher Waltz,
57:38Maya Hawke et John Turturro, devrait sortir en 2025 sur les écrans.
57:43C'est noté. Merci beaucoup, Thomas Lécuyer, pour cette belle rencontre.
57:46Interview que vous retrouvez en podcast et en images sur le site MleMedia.ch,
57:49sur l'application My Channel, évidemment.
57:51Et puis, cet après-midi, en rediffusion sur Canal+, en clair, à 16h30, dans La Quotidienne.
57:56La semaine prochaine, nous recevrons dans Mardi Cinéma...
58:00Oui, du beau monde avec Jean-Pierre Daroussin et Blandine Lenoir
58:04pour parler du très joli Juliette au printemps à découvrir dès demain dans les salles.
58:07Et nous aurons aussi, sur le plateau, Pierre-Yves Walder du NIF,
58:11le Neuchâtel International Fantastic Film Festival, qui sera notre invité.
58:16Merci, Thomas Lécuyer. Vive le cinéma et à la semaine prochaine, pour la dernière de la saison.
58:20Belle semaine. Belle semaine cinéma.
58:24Merci pour votre fidélité. On se retrouve évidemment très vite sur MleMedia,
58:30sur MleMedia.ch, sur Canal+, également, chaque matin entre 6h et 9h
58:34et chaque après-midi entre 16h30 et 17h30, sur l'application My Channel.
58:39Vous pouvez nous écouter également via l'application Swiss Radio Player,
58:43sur TuneIn, ça fonctionne très très bien, et en streaming, évidemment, sur le site MleMedia.ch.
58:49Prenez bien soin de vous, sortez couverts, à très vite. Salut !
59:04Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org