• il y a 5 mois
**L'ASC remporte la Coupe de la Loire**
La troisième tentative était la bonne. Le samedi 8 juin à Villars, l'AS Chavanay a enfin remporté la finale de la Coupe de la Loire aux tirs au but, battant L'Étrat.
Près de 400 supporters ont célébré cette victoire. Malgré une performance en demi-teinte, les coéquipiers du capitaine Jérémy de Sousa ont su assurer l'essentiel : la victoire.

**Focus sur les féminines en Coupe de la Loire**
Pour la deuxième année consécutive, les féminines se hissent en finale de la Coupe de la Loire face à l'ASSE. Nos équipes les ont suivies toute la semaine pour la préparation de ce grand événement.

**Jérôme Michon, de champion à organisateur !**
À 40 ans, Jérôme Michon est un athlète reconnu, ayant performé au marathon de Paris et à la Sainte-Lyon. Depuis 3 ans, il organise des événements comme le marathon de la bière à Montbrison et bientôt la Rouchonette et la corrida de Roche-la-Molière.

**Retour sur l'édition 2024 du Rallye Saint-Étienne Forez**
Jean-Marie Cuoq a remporté l'édition 2024 du Rallye Saint-Étienne, mais il n'a pas complètement dominé. Thibault Mounard a réussi à le devancer deux fois dans son « jardin » de Saint-Bonnet-le-Froid.

**Découvrez la capoeira : un art brésilien captivant**
Dans la Loire, la capoeira est pratiquée depuis plus de 10 ans sous la direction de Pedigree, un professeur passionné et expérimenté. Que vous soyez novice ou expérimenté, la capoeira offre une immersion profonde dans une culture vibrante et dynamique.

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00:00Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Spor7,
00:20Spor7 42 minutes de plus bonheur, de plus bonheur, c'est une contraction de plein de
00:27choses, de pur bonheur, de sport ligérien, vous allez voir, on va parler de foot et
00:33pas de l'équipe de France, vous allez voir, on va parler de la Coupe de la Loire avec
00:37mon invité qu'on peut applaudir bien fort, Sébastien Logier, vous êtes le coach, on
00:41peut dire enfin, enfin, vous êtes heureux ? On est heureux, on va parler de cette Coupe
00:46de la Loire qu'on a enfin gagnée après deux défaites de suite, donc voilà, pour la troisième
00:50année, enfin on y arrive, avec le plaisir d'être là, avec le plaisir de te voir Julien,
00:53il fallait y être, à côté de vous, on l'applaudit bien fort, Katarina Weiss, qui
00:58exprime les mêmes douleurs que sur voie nette, aujourd'hui, on va découvrir la capoeira
01:03à l'association Capoeira Malungo de Saint-Etienne, mais c'est de la danse ça ? Pas que, vous
01:08allez voir, il ne faut pas se moeller Julien, vous aimez bien faire ça, elle tise, elle
01:10tise, elle n'en dit pas plus, en face de vous, celui qui sent l'essence, celui qui aime faire
01:15du bruit sur le plateau, eh oui, Jean-Luc Bavergeon, salut à tous, ce soir, on fera le résumé
01:21du rallye Saint-Etienne-Forest qui avait lieu il y a une semaine. Très bien, très jolie
01:24t-shirt au passage, et à côté de vous, Lignobard, dans le portrait sportif. Eh ben bonsoir,
01:29un portrait sportif un peu particulier ce soir, puisque pour une fois, je reçois un invité
01:34et je vais recevoir Jérôme Michon, on va parler de sa carrière de coureur, mais également
01:39une organisation d'un bel événement qui va avoir lieu à Roche-la-Molière début
01:42juillet. Il sera aussi parmi nous, on peut l'applaudir bien fort, Thomas Kaczenski,
01:46avec du rugby, forcément. Thomas, on va parler de toi, Thomas.
01:50Oui, bonsoir, Julien. Ce soir, nous recevrons Patrick Bannizet, le président du comité
01:55de la Loire, pour faire un bilan de la saison rugbistique dans la Loire.
01:59Avec le président qui est à côté de vous. Bonjour, président, à tout à l'heure ! Voilà,
02:04on va ouvrir une grosse page Coupe de la Loire. Eh non, on n'a pas failli, mais l'actualité
02:08sportive ligérienne est assez dense. Enfin, on peut dire enfin, on la voit, elle ressemble
02:14un peu à la Coupe de la Ligue, quand même. Oui, c'est ça, c'est la Ligue des champions,
02:21elle a les grandes oreilles, non ? Une fois qu'on l'a, on est soulagé ou pas, coach ?
02:27Oui, c'est un gros soulagement, on ne le cache pas. Après deux années perdues où
02:32on les perd dans la douleur, où je pense que sur la première année, c'est une coupe
02:36qu'on méritait, mais on ne l'a pas eue, donc c'était difficile. L'année dernière,
02:41on la perd avec un joueur qui se blesse gravement. Après ce moment-là, ça a été difficile
02:46de la perdre de cette manière-là. C'est peut-être l'année où on la mérite le
02:50moins et on va la chercher. Si vous l'avez eue, c'est que vous la méritez.
02:55C'était compliqué. Vous étiez face à ? L'Etrat. L'Etrat, on va voir des images,
03:00elles vont arriver. Ils sont des habitués aussi, non, à jouer les derniers carrés
03:04dans l'Etrat ? Ils ne l'étaient pas parce qu'on laissait une place à tout le monde
03:07en ce moment. Ah, ok. Non, effectivement, c'est une équipe qui, déjà, joue à notre
03:11niveau et qui a une habitude, systématiquement, de faire des très bons parcours en coupe.
03:14Je crois que ce soit les deux dernières années, ils n'ont pas dû passer le dernier carré,
03:18mais ils sont allés au moins en quart ou en huitième de finale. De toute façon, ça
03:20reste une très belle équipe. Dans quel contexte vous arrivez ? Il y a pas mal de blessés,
03:24de suspendus. On a un suspendu sur ce match-là et on a énormément de blessés. On est démuni,
03:29on est totalement démuni sur ce match, cette finale. Et il est vrai qu'on est en difficulté
03:35parce qu'il a fallu composer une équipe et sur chaque séance. D'équipe bis ? Non,
03:39bis non, parce que c'est des joueurs du groupe et ça, on l'a toujours dit, de toute façon,
03:42c'est la victoire d'un groupe et d'un club. Et à partir du moment où on a fait confiance à
03:46des joueurs sur la finale, c'est des joueurs qui étaient capables de jouer. Par contre,
03:48effectivement, on s'est déplacés sur ce match-là avec aucun offensif. Je suis en train de voir des
03:53images. Vous avez eu un excellent gardien, non ? On a eu un gardien qui a fait un match exceptionnel.
03:59Ça, c'est la première mi-temps. Quand c'est au téléphone, vous m'avez dit « Non mais,
04:03juge, on ne la méritait pas. On fait une première mi-temps catastrophique. » À ce point ? Oui,
04:07on fait un match. Moi, ça fait cinq ans que j'ai ce groupe et ça fait cinq ans que ce groupe-là
04:10vit ensemble. Pour la plupart, ça fait deux finales qu'ils font tous. Dans tous les cas,
04:17c'est un groupe qui a l'habitude de travailler ensemble. Ça prend un fois qu'on fait un match
04:21aussi catastrophique. Mais est-ce que c'est dû qu'à nous ? C'est peut-être aussi dû à la
04:24qualité de l'adversaire qui a été intelligent et à qui on tient un grand coup de chapeau parce
04:28que je sais très bien la manière dont ils l'ont perdu et je sais que c'est dur pour eux. Mais en
04:31tous les cas, oui, notre mi-temps n'est pas à l'image de ce qu'on est capable de faire,
04:36mais ce n'est pas grave. On arrive dans le vestiaire. Sébastien, il dit quoi dans le
04:40vestiaire ? À la mi-temps ? Oui. Il était un peu énervé. Ce n'est pas Sébastien qui parle dans
04:45le vestiaire, c'est mon adjoint qui est derrière, qui est Alexandre Besson. Et qu'est-ce qu'il a
04:48dit ? Il leur a dit que tout simplement, nous, on leur avait dit que ce match-là, on allait le
04:51gagner peut-être en étant moins beau que les autres fois, avec les autres années, mais que
04:55dans tous les cas, il fallait aller la chercher, il fallait la gagner. Par contre, ce qu'on leur a
04:59fait comprendre, c'est qu'on n'était pas obligé de faire exprès, de faire pas beau. Parce que non,
05:04on n'était pas à notre niveau. Alors les gars, il ne fallait pas non plus nous prendre au mot. Mais
05:07je pense qu'ils nous ont pris au mot. Après, on a été en grande difficulté. Par contre,
05:11oui, je pense que les lurs ont un peu grincé. Ce groupe-là peut-être aussi a connu les deux
05:17dernières années et on y va, on n'est pas trop serein. Des fois, la peur de la gagner, c'est
05:23des fois encore plus difficile. Par contre, ce groupe-là n'arrive pas serein, mais ce groupe-là,
05:27je pense qu'on a marre de passer pour le pouli d'or chaque année, de se dire on a perdu en finale.
05:31Il n'y a qu'en finale où vous avez eu cet effectif-là ou même en demi et ça a été dur en
05:35termes de blessure et de gestion de groupe, ça a été dur pendant toute la compète ?
05:38Ça a été un peu le même match en demi qu'en finale avec deux adversaires différents. Déjà,
05:41en demi-finale, on perd deux joueurs au bout de dix minutes, un quart d'heure. Et là,
05:45ça a été la même chose en finale. Donc, sur deux joueurs qu'on perd très, très rapidement. Et non,
05:50ça a été quasiment le même groupe. Je crois qu'il y a deux ou trois joueurs qui doivent changer au
05:54niveau de l'effectif. Mais non, non, oui, ça fait depuis la demi-finale, depuis le 1er mai,
05:59où on était en grande difficulté, où on perdait des joueurs systématiquement.
06:01Alors, on arrive au pénalty.
06:03C'est très, c'est cruel, les pénaltys.
06:06Y a-t-il un problème avec les pénaltys ? Vous l'avez déjà perdu au pénalty ?
06:11Oui, ceux qui me connaissent savent très bien que, et ça, j'étais un peu le chat noir de l'échavanée,
06:15c'était la cinquième finale que je jouais, j'en avais perdu trois au pénalty. Donc,
06:19effectivement, quand on arrive au pénalty, les gens se disent, l'ogier va encore nous la faire
06:22perdre. Justement, on ne les prépare pas. On a dit non, je ne les prépare pas.
06:28Non, moi, je fais le choix de ne pas les préparer parce qu'entre tirer un pénalty à la fin d'un
06:32entraînement où tout va bien et ça joue entre copains et le tirer quand il y a 2000
06:36personnes au stade et que c'est le pénalty de la gagne.
06:38Donc, ça ne sert à rien.
06:39Je ne sais pas que ça ne sert à rien, c'est un geste technique.
06:41Et à un moment donné, allons tirer, mettons de la conviction.
06:44Mais je pense que c'est plutôt le mental qui va parler plutôt que la partie technique.
06:48Voilà, on voit les pénaltys. Alors, quand on a déjà un gardien qui arrête un pénalty ?
06:52Surtout qu'on a démarré mal, déjà, le 1er pénalty, notre capitaine qui est derrière le manque.
06:56Oui, mais il avait de la lumière dans les yeux.
06:58C'est ça, exactement. Mais voilà, on le démarre mal.
07:02Par contre, derrière ça, ça enchaîne.
07:05Nous, on marque systématiquement.
07:06Coulibaly, un ancien gardien de la SS, on touche 3 sur 4 derrière.
07:10Et oui, là, je pense qu'effectivement, les dieux du stade,
07:14comme on a dit, l'entraîneur de l'Étras était vers nous.
07:15Mais par contre, j'ai l'impression qu'on a vécu ce qu'on avait vécu il y a deux ans où on l'a perdu.
07:21Ils ont une balle de match au cinquième qui manque.
07:25Ils ont une balle de match au sixième qui manque.
07:28Après, c'est terminé, il ne peut plus rien nous arriver.
07:30De toute façon, on est obligés d'aller la chercher.
07:31Ça y est, on est soulagés, on est heureux.
07:33Oui, on est vraiment heureux.
07:34Et c'est ce qu'on disait tout à l'heure encore dans la voiture en modant.
07:38Heureux pour nous, heureux pour le club, mais heureux d'avoir rendu...
07:42Ça apporte quoi, le club ?
07:43Et surtout le village, on va voir.
07:45Ça apporte quoi, au club, de gagner une coupe de la Loire ?
07:48Nous, c'est un club où on a un petit groupe de supporters qui s'est créé à notre niveau, évidemment,
07:53mais qui s'est créé après un match de Coupe de France à Espalie, il y a trois ans.
07:57Et ils ont créé un petit groupe où il y a une centaine de jeunes qui nous suivent régulièrement.
08:02C'est un village aujourd'hui qui a 3000 habitants.
08:04Il y a peut-être 500 ou 600 personnes du village qui sont venues.
08:06C'est incroyable !
08:07Et aujourd'hui, oui, ça a créé un engouement.
08:10Quand on a vu tout à l'heure les images, aujourd'hui...
08:11Parce que là, la fête après de victoire, vous la fêtez à Villars
08:16ou vous êtes remonté tout de suite pour la fêter en ville, chez vous ?
08:19On a commencé à Villars.
08:22Et on l'a terminé le lendemain, bien tard, dans tous les petits villages.
08:25On va voir justement les images, mais c'est incroyable, c'est une effervescence.
08:29Oui, oui, oui, mais c'est une effervescence pour tout le monde.
08:31Et c'est ce que je te disais, Julien, quand on a présenté l'émission,
08:33systématiquement, après chaque match de championnat,
08:35on avait des jeunes qui disaient, le championnat, peu importe,
08:38même si nous, notre objectif, c'était d'aller chercher l'Aérant qu'on a manqué.
08:40Mais l'objectif, c'était d'aller chercher pour eux,
08:43c'était qu'on aille chercher pour ce village-là la Coupe de la Loire.
08:44On va avoir la joie aussi sur le terrain.
08:47Vous le connaissez bien, ce terrain, Lillian, c'est proche de chez vous.
08:49Oui, je connais bien, la meilleure commune.
08:52Avant de clôturer avec vous, justement, cette joie et cette Coupe de la Loire,
08:58il y avait les féminines qui avaient ouvert le bal.
09:00Tout à fait.
09:00Cette année, nos équipes ont suivi, non pas la SS qui était en finale,
09:06comme l'année dernière, mais...
09:07La Talot, Sorbi et la Talot.
09:09On les a suivies sur une semaine et on vous donnera le résultat.
09:13C'est les caméras d'Adrien Ponsard et Lillian Bardot.
09:17Cette saison a été plutôt pas mal pour nos filles.
09:27Elles avaient démarré un peu poussivement et puis après,
09:30elles ont enchaîné victoire sur victoire.
09:33On a essayé de les aider au mieux possible.
09:35Elles ont réussi la montée sur la dernière journée
09:38grâce au match victoire d'Oméra à Riorge.
09:42Donc, on a attendu le résultat et puis elles ont fêté ça dignement chez nous.
09:46Elles se qualifient encore une année pour la finale de la Coupe de la Loire.
09:51Donc, on espère que cette année, elles vont prendre leur revanche contre la SS.
09:54On sent en pleine forme.
09:55On va être là pour les soutenir.
09:56On croit en elles.
09:57On sait qu'elles ont la force en elles pour pouvoir y arriver.
10:00L'année dernière, ça a pêché à cinq minutes de la fin.
10:02Espérons que cette fois, il y aura un bon dénouement.
10:05Alors, ils se préparent de la meilleure des manières
10:06puisqu'on a enchaîné les belles victoires, la montée en R1.
10:12Et puis, on l'a préparé différemment,
10:15sachant que l'année dernière, on a même pêché sur quelques petites choses.
10:19Donc, cette année, on sera beaucoup plus conquérants et beaucoup plus présents.
10:27On a vraiment une très bonne gardienne avec nous.
10:30Ça fait plusieurs saisons qu'elle est là.
10:32Elle est complète.
10:32Elle sait jouer au pied.
10:34Elle sait intervenir sur sa ligne, dans les airs aussi.
10:36Et chez les filles, des fois, ça manque un petit peu dans les airs.
10:39Donc, oui, c'est clairement la clé aujourd'hui du match.
10:42Et on compte vraiment sur elle.
10:44J'ai essayé de rester concentrée sur moi,
10:46de penser à la finale de l'année dernière,
10:50où je pense que je les ai embêtés pendant plusieurs minutes.
10:54Et je pense que l'année dernière, la différence,
10:57c'est que je relâche un petit peu sur la fin.
10:59Et au final, sur une action anodine, on se fait avoir.
11:01Donc, vraiment me mettre dans ma bulle pendant 90 minutes
11:05et ne pas déroger de la ligne.
11:11Bonne enfance.
11:13On était tout à fond, justement, pour la préparer.
11:17Mardi, très, très bonne séance.
11:19Jeudi, un peu plus calme.
11:21Mais le ressenti des filles et le retour,
11:23bonne séance et dans la convivialité.
11:39Bon, elles n'ont pas fait comme l'année dernière.
11:42L'année dernière, si je ne me trompe pas,
11:43c'était la même finale et il y avait eu 1-0,
11:46but à la 88ème de la SS.
11:49Là, cette année, la note a été un peu plus salée.
11:52Qu'est-ce qu'il y a, Catarina ?
11:535-0, ça pique, quoi.
11:55Non, vous me disiez justement,
11:57comment ça se fait que la SS féminine est là ?
11:58Oui, j'étais en train de discuter avec Sébastien.
12:02C'est vrai que les filles, elles ont perdu,
12:05mais elles ont un travail à côté, elles ont des enfants.
12:08Elles ne sont pas consacrées uniquement au football.
12:10Ah oui, parce que c'est la SS réserve.
12:11Ça reste la réserve, par contre,
12:12mais elles participent quand même à la coupe.
12:16Je crois qu'elles ont fait le doublé, d'ailleurs.
12:17Coupe Renalpes et Coupe de la Loire.
12:20Et montée également.
12:21On voit que chez les féminines,
12:23vous ne jouez pas contre la réserve.
12:26Non, les réserves de la SS,
12:28nous sommes en National 3.
12:28Oui, voilà, c'est ça.
12:30On joue contre quelques réserves,
12:31mais deux clubs pros, on pourrait, mais voilà.
12:33Mais elle a raison, les filles de la Talos Orbé,
12:36c'est des mamans, elles ont un travail,
12:39alors que la SS, elles sont instables.
12:40Non, elles n'ont pas d'émérité.
12:42Non, de toute façon, mais c'est rigolo
12:44de voir toute la prépa qui est mise en place
12:46pendant une semaine, justement,
12:47autour d'un petit club, finalement,
12:50et qui met l'accent, justement,
12:52sur la formation et sur les féminines.
12:54Et si on porte chance,
12:55comme on porte chance avec vous,
12:56ça sera leur troisième finale l'année prochaine.
12:58Elle la gagne.
13:00Alors, on va finir avec vous.
13:03Effectivement, la Coupe de la Loire,
13:04cette année, était un objectif ou c'était le championnat ?
13:08Est-ce qu'on arrive, avec l'effectif qu'on a,
13:09à avancer sur les chiquiers en même temps ?
13:11L'objectif était clairement la montée en Régional 1.
13:14Vous avez fini combien, cette année ?
13:16Deuxième pour la troisième année de suite.
13:19Il n'y a que le premier qui monte.
13:20Il n'y a qu'encore le premier qui monte.
13:22Donc, après, nous, on s'avère
13:24d'avoir construit un effectif relativement conséquent
13:27et on s'était donné l'objectif
13:29de jouer tous les matchs les uns après les autres.
13:30Après, c'est sûr que ce n'était pas notre priorité.
13:33Mais c'est encore jouable l'année prochaine.
13:35On jouera tout et jouable l'année d'après.
13:37Toujours jouable, dans quelles conditions ?
13:39Vous restez, qu'est-ce qui se passe ?
13:40On rechange son cycle.
13:43Le capitaine reste ?
13:44Nul.
13:45Ouais ? Sûr ?
13:46Pouce en l'air.
13:47On reste.
13:48On garde la même équipe ?
13:50Oui, on garde la même équipe.
13:51L'objectif était...
13:52Enfin, même staff, je veux dire.
13:53Le même staff.
13:54Alexandre, en prépa, nous a rejoints cette année.
13:57Mais l'objectif, il était de...
14:00Soit on changeait de tout
14:01et le club se débrouillait et puis repartait avec ce qu'il voulait.
14:03Soit, moi, au niveau du staff, on continuait.
14:06Par contre, on essayait d'avoir un renouvellement au niveau du groupe.
14:09C'est aussi pour ça que c'est encore plus beau aujourd'hui.
14:10C'est qu'on a quand même cinq, six joueurs qui vont nous quitter.
14:14Mais ça se fait pas...
14:15C'est costaud.
14:15Ouais, ça se fait costaud.
14:16Et puis, ça se fait pas avec plaisir parce que c'est des super mecs.
14:19On a construit quelque chose de beau et à un moment donné...
14:22Ils seront dans les supporters cette année ?
14:23Ils seront dans d'autres clubs, certainement.
14:25J'espère qu'ils ne seront pas chez les adversaires.
14:26Mais voilà, du coup, on reconstitue avec un nouveau projet.
14:29On aura un recrutement conséquent
14:31et on a l'impression qu'on nous donne un nouveau jouet à reconstruire.
14:34On vous applaudit bien fort.
14:36Et Chamanel, vous restez avec nous dans quelques instants.
14:40On change de registre.
14:42Mais si vous voulez un peu d'échauffement, vous donner des idées,
14:44vous allez voir, vous savez faire des 8 avec votre bassin ?
14:47Surtout pas moi.
14:49Peut-être la veille de la finale, oui.
14:57Je dis ça parce qu'on va mélanger
15:01la culture du combat et de la danse.
15:04Exactement.
15:04Retour au saut, on pourrait dire.
15:06Alors, on finit comme on a commencé, c'est-à-dire avec le Brésil.
15:09Avec le Brésil, ça se voit, regardez.
15:11J'ai comme souvenir que le premier sujet,
15:12il y avait le T-shirt Brésil et on clôture avec le T-shirt Brésil.
15:15Voilà, c'est ça.
15:15Parce qu'on le rappelle, vous êtes bien brésilienne.
15:17D'origine brésilienne, c'est ça, franco-brésilienne.
15:20Ça compte quand même.
15:20Et indienne.
15:21Non, pas indienne, pas encore.
15:25Mais donc aujourd'hui, on va découvrir les disciplines complètes,
15:28la capoeira, qui est à la fois un jeu, de la lutte, de la danse et de la musique.
15:32Vous le savez, ça, Sébastien ?
15:33Non.
15:34Non.
15:35C'est pour Sébastien.
15:36Allez me chercher, Sébastien.
15:37Et donc, ça trouve ses origines au Brésil.
15:40Voilà, logique.
15:41C'est compliqué, ça.
15:42Mais initialement, ça ne parle pas d'une histoire très rigolote.
15:44C'est de la période de l'esclavage africain.
15:49Et donc, ils ont créé cette danse.
15:50Brésilien ?
15:51Alors, des Africains qui ont été esclaves au Brésil.
15:57Et ils ont rapporté leur culture, de tout ce qui est musique, etc.
16:01Et donc, ils ont formé cette danse-là,
16:02qui est à la base d'une technique de défense,
16:05au cas où ils pourraient avoir l'occasion de se battre contre leur maître.
16:09Ah, donc ils faisaient croire que c'était une danse,
16:11alors qu'en réalité, c'était plus un geste d'entraînement.
16:14Et non, regardez, on danse, c'est pas du combat.
16:16Voilà, exactement.
16:18Et donc, on peut dire que c'est comme une forme de résistance, à l'époque.
16:21Et puis, aujourd'hui, c'est devenu une partie entière de la culture brésilienne.
16:26Et donc, pour découvrir tout ça,
16:28je suis allée à la station Capoeira Malungo, avec Pédigré.
16:31Ah, mais Pédigré, mais qu'est-ce qu'il est connu !
16:33Il est là depuis 18 ans, il est connu maintenant.
16:34Il commence même, et j'ai trouvé, moi, perso, en écoutant le reportage,
16:37qu'il a perdu l'accent brésilien, il a l'accent stéphano.
16:40Il a un mix des deux, on va dire ça comme ça.
16:42C'est un brésilien, ce nom-là !
16:44Bon, bah écoutez, on y va ?
16:45Mais oui !
16:46Vous vous êtes essayé, vous avez fait de la petite danse, comme dame ?
16:48J'ai essayé, j'ai essayé, et après...
16:51C'est pas facile, en vrai.
16:52C'est plus facile à regarder qu'à faire, je me dis.
16:54Bon, bah, regardons, alors.
16:55Regardons.
17:02Bonjour, personnes !
17:04Aujourd'hui, on va découvrir la capoeira.
17:07Je ne comprends rien.
17:08Je ne comprends rien.
17:09On est où ?
17:10Ah, oui, c'est vrai.
17:11Bonjour à tous !
17:12Aujourd'hui, on va découvrir la capoeira, une danse brésilienne,
17:15qui est un mélange de danse et d'art martial.
17:17Et pour découvrir ça, on va aller voir Pédigré, notre prof, c'est parti !
17:22Allez, c'est parti, on va aller voir ce que ça donne.
17:32Explique un petit peu ce que c'est, d'où ça vient,
17:34parce qu'on a une petite idée, quand même.
18:01Initialement, c'est un sport de défense.
18:03C'est de la défense qui s'est transformée en danse.
18:32On pourrait faire un jeu, juste pour taquiner,
18:34et après, on va passer en temps.
18:35On ne dit pas qu'on va faire la lutte, on va faire des jeux.
18:48Ok.
18:52Bon, sur les quatre.
18:54C'est drôle d'appeler ça comme ça.
18:56C'est combien de temps que tu fais de la capoeira ?
18:58Ça fait deux ans, par intermittence.
19:01Et donc, ça fonctionne en couleur de ceinture ?
19:04Oui.
19:05Toi, t'es en blanche, qui est donc le niveau débutant, c'est ça ?
19:08C'est ça. Blanche avec un peu de jaune, parce que la première année, il y a eu un passage.
19:14Et qu'est-ce qui t'a plu à l'heure de la capoeira ?
19:15Qu'est-ce qui t'a donné envie d'y aller ?
19:18Parce que c'est riche, c'est la musique, c'est la danse, c'est le groupe.
19:22L'ambiance.
19:23L'ambiance, oui.
19:24T'as le droit de dire que le Brésil, c'est le meilleur pays.
19:26Cette fois-ci, je suis avec Boomerang et Céléa.
19:28Elles ont toutes les deux une ceinture grise.
19:30Ça veut dire qu'il y a un sacré niveau, c'est ça ?
19:32La ceinture grise, c'est une corde d'instructeur.
19:36Il y a du niveau.
19:37Et comment on fait pour arriver à ce niveau-là ?
19:40Des années d'entraînement, de rigueur et plein de festivals pour arriver là.
19:45Et merci Pédigree du coup.
19:47Aussi, évidemment.
19:56Mais c'est trop mignon !
20:01Juste un mot.
20:03Pourquoi tu leur donnes des surnoms comme ça ?
20:05Je vais apporter cette petite précision.
20:07C'est pour le côté un peu chaleureux.
20:09Chacun a un surnom.
20:10Personne ne s'appelle par ses prénoms.
20:11C'est ça.
20:12C'est pour ça qu'il y avait Boomerang, Suricate.
20:14Et moi, c'est Looney Tunes.
20:16C'est les yeux, je pense.
20:17C'est les yeux, je crois.
20:18C'est les noms de codes.
20:19C'est les noms de codes.
20:20C'est un nom d'agent secret.
20:21Pour le combat, c'est ça.
20:22Moi, j'ai cru qu'avec la corde au niveau de la ceinture,
20:24c'était un pouls-renard-vipère.
20:26Alors oui, c'est vrai.
20:27Je vais en revenir par rapport aux cordes.
20:29En fait, chaque couleur a une signification.
20:31Ça, je ne savais pas.
20:32Comme au judo.
20:33On apprend plein de choses aujourd'hui, regardez.
20:35Vous êtes là aujourd'hui.
20:37C'est peut-être le niveau, non ?
20:38Exactement.
20:39C'est le niveau.
20:40Donc, blanche, c'est le débutant.
20:42Et ça va jusqu'à bleu.
20:44Gris.
20:45Jusqu'à bleu.
20:46Et le prof, c'est le niveau professeur.
20:48Le gris, c'est le niveau instituteur.
20:49Et entre-temps, il y a jaune, intermédiaire,
20:51et orange, intermédiaire, plus, plus.
20:53On va dire ça comme ça.
20:54Alors, on a vu, si on revoit un peu les images,
20:56ce n'est pas si facile que ça, a priori.
20:58Je n'ai jamais dit que c'était facile.
21:00Je n'ai jamais dit.
21:01Non, non, mais ce n'est pas facile du tout.
21:03Mais ça demande beaucoup d'agilité, de souplesse.
21:05On apprend pas ça à tout petit, au bout de souplesse.
21:07Écoutez, moi, on m'a loupé.
21:09Moi, on m'a loupé.
21:10Il y a un moment où on n'a pas souffert.
21:12Il faut être bien échauffé, là.
21:13Oui, ça, c'est sûr.
21:14Mais vous avez vu, à un moment donné, ils se sont mis en rond.
21:16Oui.
21:17Et en fait, c'est comme ça qu'on pratique la capoeira.
21:19Et ça s'appelle une rode.
21:20Rode, c'est le fait de jouer la capoeira.
21:23Parce qu'on joue la capoeira.
21:24Il fait pareil, le foot.
21:25Oui, oui, c'est ça.
21:26C'est ce que fait Alexandre tous les soirs.
21:28Il fait des rodes.
21:29Exactement.
21:30Et on verra quoi tout à l'heure en démo ?
21:31Alors, tout à l'heure, on va voir une petite démo de capoeira,
21:34comme toujours.
21:35Et cette fois-ci, la musique, comme je disais, va être made in home.
21:37Voilà.
21:38Made in home ?
21:39Made in home.
21:41L'anglais, c'est sous-tiffré, pour ne pas partir à l'arrière.
21:43Et ils vont la jouer en direct.
21:45Avec la cifre 3, Pédigré.
21:46Ils vont jouer en direct, et on regardera tout à l'heure, avec Pédigré,
21:49les instruments essentiels de la capoeira.
21:51Parce que je suis venu vous suivre sur le reportage,
21:53parce que j'étais dans le coin, alors je suis venu vous voir.
21:55Ils ont passé plus de temps à chanter qu'à faire des combats.
21:58Oui, parce que le chant, c'est ce qui donne un petit peu l'énergie.
22:00Le Brésil, voilà.
22:02Vous avez beaucoup d'énergie.
22:03C'est quand même un sport, il faut une sacrée palette.
22:05Il faut être chanteur, il faut être danseur, il faut être joueur.
22:07C'est full.
22:09C'est combattant.
22:10Défenseur.
22:11Exactement.
22:12Il faut avoir l'esprit d'équipe.
22:14C'est pas nous.
22:15Moi, je peux pas.
22:16Et on les a vus tout à l'heure dans le couloir,
22:17ils se sont tous échauffés.
22:18Pas de claquage, les gars, en direct.
22:20Sinon, claquage assuré, je vous garde.
22:22Je vais te le dire.
22:23Dans quelques instants, c'est vous, Lilian Bard,
22:25Catarina, vous allez vous échauffer, pas de claquage en direct.
22:27Exactement, j'y vais.
22:28Voilà, pour votre portrait de sportif en direct.
22:31Et je suis très triste, parce que c'est la dernière de l'année avec vous.
22:33C'est pas grave.
22:34Elle sera belle.
22:35Elle est belle.
22:36De toute façon, elle est toujours belle.
22:43Et on reçoit deux invités sur le plateau.
22:46Ah oui, on reçoit deux invités.
22:48On reçoit aujourd'hui Jérôme Michon.
22:51Alors, il y a plusieurs façons de pouvoir voir le visage de Jérôme.
22:54Jérôme ? Ouais, parce que je sais pas quoi par où le prendre.
22:56Soit on fait du running, et dans ce cas-là, on l'a vu sur un début de course.
22:59Soit on a fait le marathon de la bière.
23:01Soit on aime le sport, on aime la vie.
23:04Ça va Jérôme ?
23:05Est-ce que ça va ?
23:06Nickel.
23:07Ça fait plaisir de te recevoir, parce qu'on va parler de plusieurs choses avec toi.
23:10Déjà, de ton parcours de sportif.
23:12T'es à la base quand même un coureur,
23:15et qui fait quelques résultats.
23:18Tu peux nous en citer quelques-uns ?
23:20Aujourd'hui, ça fait 15 ans que je fais la course à pied.
23:23Pas de foot, t'as pas commencé par le foot ?
23:25Non, non, petit, je faisais du basket.
23:27Fini, il aurait été content.
23:29Et donc, vite dans le running.
23:31Vite, j'ai fait une période où j'ai pas fait trop de sport.
23:34T'as qu'à presque 25 ans, le running.
23:36Voilà, c'est ça, et je me suis licencié à l'ACO.
23:39Et après, j'ai fait plusieurs courses.
23:41Là, c'est la course des Gueules Noires, à l'ACO Firmini,
23:44que j'ai gagnée deux fois.
23:46J'ai fait pas mal de petites courses régionales.
23:48Ça, c'est la course qui a eu lieu la semaine dernière, ce week-end.
23:51Oui, et on gagne en plus encore.
23:53Parce qu'on est jeunes à 40 ans, on est d'accord ?
23:55Comme tu es super modeste, du coup, je vais me permettre de prendre un peu l'envie.
23:58Comme tu es super modeste, du coup, je vais me permettre de prendre un peu l'envie.
24:01Donc, c'est quand même la Saint-Élion,
24:04gagnée deux fois en relais A2, une fois en relais A3.
24:07Le marathon de Paris dans le top 100, avec un record à 2h34.
24:15Juste ça ?
24:16Juste ça.
24:17On continue ? La liste est longue ?
24:19En fait, la liste, c'est parler du week-end dernier,
24:21avec les 24 heures de roche.
24:24Donc, t'as fait les 6 heures.
24:26T'as fait 24 heures en 6 heures ? Il y a un truc, là.
24:28Non, en fait, il y a plusieurs épreuves.
24:29Il y a les 24 heures qu'on peut faire en équipe ou individuelle,
24:31il y a les 12 heures et les 6 heures.
24:33Et moi, je voulais démarrer doucement par les 6 heures en individuel.
24:37Le second aussi, je crois qu'il a commencé très doucement.
24:39Est-ce que tu lui as mis combien de kilomètres ? On a les chiffres.
24:42Tu lui as mis 10 kilomètres.
24:44Tu lui as mis plus de 10 kilomètres au deuxième, quand même.
24:48Il a fait chaud.
24:50Il a commencé lui aussi doucement, mais peut-être trop.
24:52Non, mais il y en a beaucoup qui ont souffert de la chaleur.
24:54Comment on gère son temps sur 6 heures ?
24:56Footing long.
24:58C'est la première fois que je faisais ça.
25:00Comme c'est la première fois, on finit premier.
25:05L'avantage que j'ai, c'est que j'ai fait pas mal de marathons,
25:08et du coup, courir longtemps, et surtout des marathons festifs
25:10qui se courent en 6 ou 7 heures.
25:12Donc, j'étais un petit peu habitué de faire 6 ou 7 heures.
25:15Ce n'était pas le problème du timing, du coup ?
25:17Non, le problème, c'était du ravito.
25:19Il n'y avait pas tout ce qu'il y a sur les ravitos festifs.
25:21J'ai mon frère qui m'a ravitaillé, justement.
25:24Alors justement, on va aussi rester sur ces images-là,
25:27parce que tu portes le maillot jaune fluo CHU Kids.
25:30Ça te tient à cœur ?
25:32Pas que sur cet événement-là.
25:34T'es engagé pour CHU Kids très souvent.
25:36C'est quoi le rapport, l'histoire,
25:38et ce qui se passe entre CHU Kids et toi ?
25:40Le fait de courir avec ce maillot sur les équipes,
25:42ça porte un petit peu plus, parce que CHU Kids,
25:44c'est une association qui me tient à cœur.
25:46C'est une association qui vient en aide
25:48aux enfants hospitalisés au CHU de Saint-Étienne.
25:52Du coup, le fait de pouvoir promouvoir l'asso
25:55et de courir un peu pour eux,
25:57ça donne un petit effort supplémentaire.
25:59On y pense, vraiment, quand on porte ce maillot.
26:02Ouais, on y pense un peu.
26:04On se dit qu'on représente l'assos.
26:06Du coup, derrière, il faut montrer de belles valeurs.
26:08Quand on est premier, peut-être pas, mais quand on est deuxième,
26:10ou qu'on se dit « Tiens, pour le marathon, j'ai envie de faire moins de 2h35 ».
26:12C'est une motivation complémentaire.
26:14C'est une motivation complémentaire, et puis derrière,
26:16l'asso a vraiment de belles valeurs.
26:18Là, on a parlé du sportif.
26:20Du coup, maintenant, on va parler de la petite nouveauté
26:22qui va avoir lieu cette année.
26:24On va voir l'affiche.
26:26La toute nouvelle affiche.
26:28Dans l'événementiel, au taquet.
26:30Là, ça y est, on est parti.
26:31Ça y est, on est accro à l'événementiel.
26:33La rouchonnette.
26:34Ça aussi, ça nous tenait à cœur,
26:36parce qu'en fait, avec Nico, quand on était plus petits,
26:39cette course passait dans Rush.
26:42C'est une course qui était…
26:44La course est complètement nouvelle.
26:46On a simplement repris le nom.
26:48Ce nom de course nous tenait à cœur.
26:51C'est une course festive
26:53dans le centre de Roche-la-Molière.
26:55Une boucle de 2 024 m,
26:57qu'on va faire plusieurs fois.
26:592 024 m.
27:00Ça tombe à vendredi, ça.
27:01C'est ça. C'est le dernier jour…
27:03C'est parce qu'il y a des restes,
27:04tu as dû me raconter la bière.
27:05Dernier jour d'école.
27:06C'est ça.
27:07C'est important.
27:08Mais ça sera tout le temps comme ça ?
27:10L'idée, c'est ça.
27:11L'idée, c'est qu'on la fasse le soir
27:12de la soirée de l'été de Roche-la-Molière.
27:14L'idée, c'est que ce soit une grosse bringue.
27:15Voilà.
27:16C'est la fête.
27:17Il y a le côté course.
27:18Comme vous avez pu,
27:19parce que du coup,
27:20on va enchaîner avec les autres images,
27:21mais c'est vrai que l'objectif,
27:22c'était de le créer entre potes.
27:24Et comme vous avez créé
27:25le marathon de la bière entre potes,
27:26vous vous êtes dit,
27:27on se lance également dans la Roche.
27:28Comme le marathon de la bière
27:29ne nous prend pas de temps…
27:30Et qu'il y a des restes de stock,
27:31on s'est dit,
27:32tiens, on va les écouler.
27:33Si on faisait une autre course encore
27:35dans l'année, en orga ?
27:37Non, en fait,
27:39déjà, nous, on est de Roche.
27:43Et cette soirée de l'été,
27:44ça rajoute un truc super sympa,
27:46parce que ça lie le sport à la fête.
27:48Et c'est vraiment ludique.
27:50La boucle, elle est courte.
27:52Donc, du coup,
27:53on va mettre beaucoup d'animation
27:54sur le parcours.
27:55Il va y avoir des spectateurs
27:56sur une boucle de deux kilomètres.
27:57Les gens qui viennent encourager
27:58les athlètes,
27:59ils peuvent les voir passer
28:00plusieurs cours.
28:01On peut juste redire,
28:02on a la course enfant.
28:03C'est ça.
28:04À la sortie de l'école,
28:0518 heures, les courses enfants.
28:06Trois distances,
28:07tous les petits bouts
28:08à 500 mètres.
28:09Un peu plus grand,
28:10la boucle d'un kilomètre.
28:11Et après,
28:12on enchaîne avec les adultes.
28:13Une boucle à deux.
28:14Donc, les ados qui feront
28:15un tour complet de 1024 mètres.
28:16Et après, 19 heures,
28:17la course adulte.
28:18Il reste de la place ?
28:19C'est bon ?
28:20Ah ouais, il y a de la place.
28:21On va voir l'affiche quand même.
28:22On peut revoir cette belle affiche.
28:23Et donc, du coup,
28:24juste en clôture également
28:25avec la partie festive,
28:26c'était historiquement
28:27Roche-la-Molière,
28:28la commune faisait
28:29sa fête de l'été.
28:30La soirée de l'été.
28:31Sa soirée de l'été.
28:32Et là, du coup,
28:33on colle les deux
28:34avec la course
28:35et après la fête.
28:36C'est ça.
28:37On démarre par la course
28:38et après, à 21 heures,
28:39quand tout est fini,
28:40on enchaîne
28:41avec la soirée de l'été,
28:42feu d'artifice
28:43et soirée dansante.
28:44Des bols, c'est des bulles.
28:45Qui a fait l'affiche ?
28:46Cette magnifique affiche.
28:47Le même que pour
28:48le marathon de la bière.
28:49C'est ça.
28:50C'est Mathieu Faurichon.
28:51Il s'adopte à cœur
28:52et lui aussi
28:53de faire cette affiche.
28:54Il a fait une super affiche.
28:55Derrière, on voit
28:56le château de Roche-la-Molière
28:57et un petit peu
28:58ce qu'on veut représenter
28:59le soir du 7 juillet à Roche.
29:00Il faut la voir cette affiche
29:01parce qu'il y a plein
29:02de petits détails.
29:04Merci à vous deux.
29:05Une belle fête.
29:06Merci beaucoup.
29:07C'est aussi une belle fête.
29:08Très belle fête.
29:09Super fête.
29:10Venez nombreux.
29:11On cherche encore du monde,
29:12même bénévoles et coureurs.
29:13Venez participer.
29:14Et ça annonce l'été.
29:15Ça annonce l'été
29:16et ça fait une belle fête.
29:17Dans quelques instants,
29:18on va parler avec vous,
29:19Jean-Luc Fabergeon,
29:20de cet événement incroyable
29:21qui était
29:22le rallye Saint-Etienne-Forest.
29:23Merci à vous, Jérôme.
29:24Merci.
29:34Alors, on va parler
29:36justement de ce résumé.
29:38On passe devant la caméra.
29:39Thomas est là, très discret.
29:41Ça va, Thomas ?
29:42On ne t'avait pas vu.
29:45Il m'a perturbé.
29:46Vas-y, prends la suite.
29:47On va parler de ce rallye
29:48Saint-Etienne-Forest
29:49qui a été une très belle édition
29:50avec un grand succès.
29:51Je dirais un nombre d'engagés
29:52puisqu'il y avait la concurrence
29:53du rallye des Vingt de Macron
29:54le même week-end.
29:55Ça n'a pas empêché
29:56la ZA du Forest
29:57de réunir une centaine d'équipes.
29:58Il y avait 100 équipages
29:59en modernes.
30:00Il y en avait 10 en VH
30:01et 24 en épreuves de régularité.
30:02Donc, c'est quand même
30:03un bon score
30:04pour ce rallye national.
30:05Alors, il y a eu une météo.
30:06Sébastien, vous qui êtes
30:07un peu du côté de Chavanet,
30:08à l'automobile,
30:09ça vous parle, le rallye ?
30:10Ça me parle, oui, un petit peu.
30:11Ça me parle un peu.
30:12Moi, je ne me rends pas compte.
30:13Chaque année, on a
30:14de nouveaux inscrits.
30:15On baisse.
30:16On est constant.
30:17En nombre d'inscrits,
30:18ça reste stable haut,
30:19on va le dire.
30:20On bloque, en fait,
30:21les inscriptions ou non ?
30:22Non, il y a un nombre maxi.
30:23Là, on n'était pas
30:24tout à fait au nombre maxi.
30:25Mais voilà, c'est un nombre
30:26très honorable.
30:28Mais toujours très attendu,
30:29ce rallye.
30:30Oui, tout à fait,
30:31parce que c'est un rallye référent.
30:32Il a été en Championnat de France
30:33deuxième division
30:34il y a très longtemps.
30:35C'est le seul rallye ligérien
30:36qui a été aussi en Championnat
30:37de France première division
30:38il y a très longtemps.
30:39C'était à la fin des années 70.
30:40Bon, là, on va revenir
30:41sur l'année 2024.
30:42Il y a eu une météo
30:43qui était un petit peu...
30:44Capricieuse.
30:45Agaçante, même, on va dire.
30:46Oui, c'est bizarre.
30:47Il y a eu des averses
30:48et il fallait avoir
30:49des bons pneus au bon moment.
30:50Et à ce petit jeu,
30:51on peut voir des surprises.
30:52Et on adore les surprises.
30:54J'adore les surprises
30:55parce que c'est vrai
30:56que c'est pas marrant
30:57quand il y a toujours
30:58les mêmes classements
30:59du début à la fin.
31:00Et donc, on a eu
31:01une belle surprise
31:02sur les premières spéciales.
31:03C'est Grégory Bourgin.
31:04Alors, ce n'est pas
31:05un jeune premier
31:06puisque ça fait
31:07une dizaine d'années
31:08qu'il court.
31:09Ça ne fait pas longtemps
31:10qu'il a cette voiture.
31:11Il a couru très longtemps
31:12en 205.
31:13Là, il a une Saxo.
31:14Et en fait,
31:15à l'issue
31:16de la troisième spéciale,
31:17il était douzième
31:18du classement général.
31:19Ce qui est exceptionnel
31:20parce qu'en fait,
31:21il y a des voitures,
31:22on voit qu'il avait
31:23vraiment un pilotage
31:24très fin.
31:25C'est un des rares pilotes
31:26vraiment,
31:27quand on le voit conduire,
31:28il prend un virage,
31:29il n'a pas de coup de volant.
31:30C'est tac,
31:31c'est vraiment très précis.
31:32Et à ce petit jeu...
31:33C'est tout de suite
31:34que je me suis dit
31:35de la conduire.
31:36Mais je pense que
31:37tout le monde le voit.
31:38Et est-ce que ça vient aussi
31:39d'un bon choix pneumatique
31:40ou rien à voir ?
31:41Exactement.
31:42Voilà, il faut aussi
31:43faire le bon choix.
31:44Là, quand il y avait
31:45les averses,
31:46il fallait avoir
31:47des pneus relativement tendres.
31:48Les spéciales du vendredi
31:49étaient assez courtes.
31:50Donc, il faut
31:51plus aller sur du pneu tendre.
31:52Et au classement
31:53à la fin de la 3e...
31:54A la fin de la 3e spéciale,
31:55il était 12e.
31:56Alors ensuite,
31:57les conditions...
31:58Est-ce qu'il n'y a pas
31:59une part de chance, Jean-Louis ?
32:00Non, mais sur le départ,
32:01avec la pluie,
32:02avec la météo...
32:03Non, après,
32:04il peut y avoir
32:05une part de chance
32:06parce que parfois,
32:07on peut partir
32:08au moment où il y a l'averse
32:09et d'autres partent
32:10au moment où c'est plus sec.
32:11Moi, j'aurais chaussé
32:12en diagonale.
32:13C'est ça que tu veux.
32:14On en parlera un jour,
32:15si tu veux.
32:16On n'a peut-être
32:17pas trop de temps aujourd'hui.
32:18Non, on n'a pas le temps
32:19de parler de la diagonale.
32:20Chaque moment,
32:21certains partent en diagonale.
32:22On prend un sujet.
32:23Voilà, exactement.
32:24Lui, il fait ça
32:25parce qu'en fait,
32:26il a abîmé ses pneus
32:27à un côté,
32:28donc il a pneu d'hiver.
32:29Les conditions étant améliorées
32:30le samedi,
32:31il termine 25e
32:32au classement général
32:33et 1er de sa catégorie.
32:34Saxo, quand même,
32:35c'est quoi ?
32:36160 chevaux.
32:37On doit faire entre
32:38160-170 chevaux, à peu près.
32:39À vérifier, peut-être même.
32:40On le recevra un jour.
32:41On va le faire venir.
32:42Et donc, sur ce rallye,
32:48Il n'est pas sur Alpine, lui,
32:49d'habitude ?
32:50Il est sur Alpine
32:51lorsqu'il fait
32:52le championnat de France.
32:53Mais ça ne va pas fort
32:54en Alpine en ce moment.
32:55Lui, ça va très bien
32:56avec l'Alpine.
32:57Parce que là,
32:58il était au rallye
32:59Vosges-Ronteste
33:00ce week-end
33:01en championnat de France.
33:02Il est terminé 2e en Alpine.
33:03Là, il est avec
33:04l'M3 Group A
33:05qui est désormais en moderne.
33:06Auparavant, il courait en VH.
33:07Il a décidé de la mettre
33:08de courir en moderne.
33:09Il se bagarrait
33:10pour le podium scratch.
33:11Malheureusement,
33:12il y a eu une petite erreur
33:13qui a généré
33:14un problème mécanique
33:17lors de ce rallye.
33:18Il y a eu
33:19une autre voiture mythique
33:20et je voudrais faire
33:21un clin d'œil à un autre pilote
33:22qui s'appelle Laurent Duvers.
33:23Laurent Duvers,
33:24ça fait très longtemps
33:25qu'on le voit courir
33:26avec une Maxi Mégane.
33:27Oui, c'est ça.
33:28Une voiture mythique.
33:29C'était la concurrente
33:30de la 306 Maxi.
33:31Là, sur ce rallye du Forêt,
33:32il était présent
33:33avec une Clio Super 1600.
33:34J'espère qu'on va le voir
33:35à l'écran
33:36parce qu'on a prévu
33:37de voir sa voiture.
33:38Il n'y a pas de problème.
33:39C'est une ancienne voiture.
33:40À la fin des années 90,
33:41il y avait
33:42les Super 1600.
33:44À l'époque,
33:45déjà, Cédric Robert
33:46qui était un des leaders
33:47en championnat de France.
33:48Et ça, c'est une voiture
33:49qui appartenait
33:50à un pilote très connu.
33:51Alors, vous,
33:52vous ne connaissez pas,
33:53évidemment,
33:54parce que vous ne connaissez
33:55pas grand-chose.
33:56Pour vous dire,
33:57c'est l'histoire Louise
33:58que j'adore.
33:59Elle n'était pas toute triste.
34:00En plus, c'est vrai,
34:01elle est magnifique.
34:02C'est celle de Simon-Jean-Joseph
34:03qui est un pilote martiniquais
34:04qui se bagarrait à l'époque
34:05pour le championnat de France
34:06des rallyes.
34:07Le Simon, là.
34:08Tu ne sais plus.
34:09Et en fait,
34:10cette voiture,
34:11beaucoup la mettraient
34:13dans un classement
34:14presque inestimable
34:15avec son palmarès
34:16et son histoire.
34:17Et lui, non.
34:18Lui, voilà,
34:19il ose la faire rouler
34:20peu importe les conditions
34:21et il finit
34:22un classement très honorable
34:23puisqu'il termine
34:2415e du classement général.
34:25Alors, c'était
34:26sa première course,
34:27je crois,
34:28avec cette voiture.
34:29Donc, franchement,
34:30je lui tiens un coup de chapeau
34:31et je pense qu'on l'invitera
34:32parce que ces pilotes
34:33qui prennent le risque
34:34de faire rouler des voitures
34:35aussi mythiques,
34:36aussi inestimables,
34:37c'est vraiment sympa
34:38pour les spectateurs.
34:39Et tout ça,
34:40on les retrouvait,
34:41il faut le dire,
34:42c'est ça qui était beau.
34:43C'est-à-dire que tu pourrais
34:44être en ville
34:45et voir ces voitures,
34:46entendre ce bruit,
34:47c'est incroyable, non ?
34:48Ça ne vous fait pas rêver, vous ?
34:49Si, si, si.
34:50Mais nous, on a un joueur
34:51notamment qui fait des rallies,
34:52je crois qu'il l'a fait d'ailleurs.
34:53Comment il s'appelle ?
34:54Maxime Ferreira.
34:55Oui, oui.
34:56Son classement, son classement,
34:57vas-y.
34:58Je ne saurais pas vous dire
34:59le classement,
35:00mais oui, je connais.
35:01Je sais qu'il fait des rallies,
35:02donc je crois que celui-ci
35:03l'a fait.
35:04Copilote.
35:05Pilote, lui.
35:06Pilote parce qu'on connaît
35:08Ah oui ?
35:09Ah bah tiens, oui,
35:10ça peut être pas mal.
35:11Le classement, alors bon,
35:12le favori, c'était évidemment
35:13Jean-Marie Cuyoc.
35:14On va le voir à l'écran.
35:15Alors, il a gagné,
35:16mais il n'a pas été vraiment...
35:17Enfin, il n'a pas été complètement...
35:18Il n'a pas été transcendant,
35:19c'est ça que tu veux dire ?
35:20Il n'a pas été complètement
35:21dominateur,
35:22puisqu'en fait,
35:23sur deux spéciales...
35:24Il va être content,
35:25Jean-Marie,
35:26s'il le regarde.
35:27La spéciale de Savonel Froid,
35:28il a été devancé par celui
35:29qui est un deuxième
35:30du classement général,
35:31c'est Thibaut Mounard,
35:32Rallye 2.
35:33Alors, il a beaucoup de mérite,
35:34Thibaut,
35:35parce que la DS3,
35:36c'est pas la meilleure voiture
35:37du plateau en Rallye 2.
35:38Surtout que les DS sont des
35:39problèmes d'airbag.
35:40Et ça l'a empêché
35:41de devancer à deux reprises
35:42Jean-Marie Cuyoc.
35:43Donc, très beau résultat final,
35:44deuxième au classement général.
35:45Donc, Bertrand Latour,
35:46avec la Porsche,
35:47termine troisième
35:48devant les autres Porsches,
35:49notamment celle d'Éric Pérage
35:50qu'on voit ici.
35:51Alors, Éric Pérage,
35:52toujours en forme,
35:53cinquième au général.
35:54Donc, vraiment,
35:55Éric, on l'adore,
35:56toujours à l'attaque.
35:58Digne représentant,
35:59également,
36:00et membre du comité
36:01directeur de la Saison du Forêt
36:02qui termine huitième
36:03au général.
36:04On a revu, effectivement,
36:05en VH,
36:06donc ça, c'est le vainqueur,
36:07c'est Pierre Bachelard
36:08avec la Sublime Lotus.
36:09Ah oui, c'est une Lotus !
36:10Mais par contre,
36:11c'est pas lui qui a été
36:12leader sur le rallye,
36:13c'était un certain
36:14Samuel Pézot
36:15avec une Vauxal-Chevette
36:16qu'on voit ici.
36:17Je peux vous dire
36:18que ça attaquait très fort
36:19la Vauxal.
36:20Donc, c'est une voiture
36:21dérivée des vieilles Opels
36:22des années 70.
36:23Et c'est lui qui a été leader,
36:24et malheureusement,
36:25il a abandonné
36:26dans la dernière spéciale.
36:27Il a fait une Alpine.
36:28Cassage au moteur.
36:29Ne critiquez pas trop Alpine
36:30parce que ça fait des vagues.
36:31Parfois, ça peut revenir.
36:32Il va en revenir,
36:33mais j'étais frustré
36:34ce week-end.
36:35En tout cas,
36:36c'était un super succès.
36:37Beaucoup de monde
36:38à Geoffroy Guichard,
36:39avec une Muteo,
36:40finalement,
36:41qui n'était pas si mauvaise.
36:42Grand merci
36:43à la Ville de Saint-Etienne,
36:44donc partenaire de ce rallye,
36:45toutes les collectivités traversées,
36:46tous les partenaires du rallye
36:47et aussi les 300 commissaires
36:48officiels et bénévoles
36:49qui étaient là
36:50et qui sont indispensables
36:51pour le bon fonctionnement
36:52du rallye.
36:53Merci à vous, Jean-Louis.
36:54Dans quelques instants,
36:55on va parler du monde
36:56de l'Ovalie avec Thomas.
36:57Et Thomas,
36:58on va faire un petit tour d'horizon
36:59du monde rugby
37:00avec le président, quand même.
37:01Avec le président
37:02du Comité de Rugby de la Loire,
37:03Patrick Banizet,
37:04qui nous fait l'honneur
37:05d'être là ce soir.
37:06Bonsoir, Patrick.
37:07Vous n'êtes jamais venu ici
37:08sur notre plateau.
37:09Non, sur le plateau-là, non.
37:10Sur la petite table
37:11de l'Ovalie,
37:12vous êtes venu.
37:13Vous êtes venu.
37:14Vous êtes venu.
37:15Vous êtes venu.
37:16Vous êtes venu.
37:17Vous êtes venu.
37:19Donc comment ça se passe
37:20dans le monde du rugby ?
37:21Est-ce qu'on est heureux
37:22aujourd'hui ?
37:23Oui.
37:26On est dans les phases finales
37:34pour les grands.
37:35Ce qui nous concerne
37:36dans la Loire,
37:37c'est plutôt
37:38à l'échelon inférieur.
37:41À la suite de la Coupe du Monde, on peut dire que le rugby se porte bien.
37:46On progresse en licenciés, on progresse en résultats,
37:50on progresse en nombre d'éducateurs compétents.
37:53Donc...
37:54Mais c'est dû à quoi ?
37:56C'est dû à la volonté globale de la Ligue Auvergne-Rhône-Alpes et du Département
38:01de faire mieux qu'à la précédente Coupe du Monde.
38:05La Coupe du Monde d'avant...
38:07Les retombées de 2007 sont moins importantes que là les retombées 2023 ?
38:10Elles étaient importantes en 2007, mais on n'a pas su les gérer.
38:14Donc on a eu, on va dire à peu près 12-13% de licenciés en plus.
38:19Sauf que l'année d'après, on n'avait plus que 4 ou 5 et on a vite perdu.
38:23Alors que là...
38:23Ça n'a pas duré dans le temps.
38:24Voilà, on n'a pas su gérer ou on n'a pas appris à gérer.
38:28Qu'est-ce qu'on met en place justement pour pouvoir gérer ça et durer dans le temps
38:33à partir de la saison prochaine notamment ?
38:35On a formé des éducateurs, mais on a bien formé de nombreux éducateurs.
38:42Mais en amont, on le prépare avant ?
38:44Voilà, sur la saison qui précède la Coupe du Monde et sur la saison
38:48de la Coupe du Monde, on n'a que 9 clubs dans la Loire.
38:52C'est un petit comité, on est effectivement le petit poussé au niveau
38:56de la Ligue et au niveau national.
38:58Vous, vous êtes le petit...
38:58Nous, dans la Loire, on est le petit poussé ?
39:00Oui, en rugby, on peut dire ça, oui.
39:02Oui, on n'est pas une vraie terre d'auvergne.
39:04Il y a 12 départements dans Rhône-Alpes.
39:07On est 11e en nombre de clubs.
39:10Juste pour savoir, c'est qui le dernier ?
39:13C'est la Haute-Loire.
39:16On l'a vu, on a quand même un comité dynamique avec le tournoi des écoles
39:19de rugby qui a eu lieu à Feurs.
39:22On a vu la photo passée tout à l'heure.
39:24Un sacré nombre d'enfants sur le coup.
39:26Eh bien, l'année dernière, le tournoi équivalent qui avait eu lieu à Sainte-Étienne,
39:31à l'étivalière, on avait 350 enfants.
39:33Et là, cette année, on en a 500 quasiment.
39:36Donc, on a vraiment enregistré une forte hausse du licenciement.
39:41Sébastien, prépare-toi avec l'effet euro.
39:43Il n'y a pas de club à Pieds-la-Sud, enfin vraiment dans le sud du département.
39:47Ça va venir.
39:49Alors, on a suivi le club phare, sans le cacher, c'est quand même André Zuboutéon.
39:54Vous le connaissez bien ?
39:56Oui.
39:56Vous le connaissez bien ?
39:57Pas bien, mais sûr, on les connaît très bien.
39:58On les connaît bien et André Zuboutéon...
40:00On les a eu croisés.
40:01On les a croisés et on avait fait un reportage à Andrézieux au mois de janvier,
40:05où ils étaient en difficulté.
40:06Ils ont fait une très belle fin de saison avec une qualification en championnat de France,
40:09qui était à l'époque, on a pu dire, inespérée pour le classement.
40:14Eric, le président d'Andrézieux, n'a jamais été surpris.
40:20Moi, je discute à peu près tous les dimanches avec lui.
40:24Et il m'a annoncé dimanche après dimanche, là, ça va être difficile.
40:30Et à un moment donné, il m'a dit, ça devrait faire.
40:33Et effectivement, il ne s'est pas trompé.
40:34On a eu six matchs d'affilée consécutifs de victoire.
40:39C'est dur de faire le doron comme ça, parce qu'il y a une certaine pression quand même.
40:42Parce que c'est le club étendard phare un peu de la Loi.
40:45Et ça reste un des plus jeunes clubs de la Loi,
40:47puisqu'ils ont fêté leurs 20 ans avec le président de la Fédération française de rugby.
40:51Le rugby a presque... Enfin, pas loin de 100 ans dans la Loi.
40:54C'est incroyable.
40:55Geoffroy Guichard a été inauguré en rugby.
40:57Oui, d'abord.
40:58Donc, je veux dire que le rugby a eu un vrai passé et du passé de haut niveau.
41:03Rouen a joué en première division.
41:05Il y a eu du rugby de haut niveau dans la Loi.
41:10Et puis, le foot a pris le dessus et le basket, il faut le reconnaître aussi.
41:13Et André Dieu n'est pas le seul club à avoir bien tourné cette année.
41:17On a eu une belle... Enfin, tous les autres clubs ont bien fonctionné.
41:20Et notamment, une belle demi-finale du Lyonnais qui a eu lieu à Feux,
41:23entre Feux et Réunion, pour une accession au Régional 2.
41:26Pour la Ligue, c'est-à-dire que ça ne se joue pas que dans la Loi.
41:29Ça se joue sur la Ligue.
41:31De toute façon, il n'y a pas de championnat départemental.
41:37C'est ça.
41:37En rugby, le niveau minimum, c'est un niveau régional.
41:41Alors, Régional 3, 2, 1.
41:43Donc, Feux monte de jouer au plus bas niveau.
41:49Ce qui n'a pas toujours été le cas.
41:52Bon, ils ont eu un passage à vide.
41:53Et là, ils remontent, et non seulement ils remontent,
41:56mais ils ont joué les phases finales du Championnat de France.
42:01Ils sont allés jusqu'en huitième.
42:02Certes, ils ont perdu d'un point, ce qui est plutôt remarquable.
42:05Et demi-finale face à Unieu, aussi.
42:08Incroyable !
42:08On voit quelques photos.
42:09Mais ils ont perdu, en finale.
42:12Feux, cette année, a à la fois l'équipe senior qui a brillé, on peut le dire,
42:18mais aussi les moins de 16 et les moins de 18.
42:20Puisque pas plus tard qu'hier, à 5h du Rhone,
42:23les moins de 16 d'entente, mais essentiellement sur une ossature de Feux,
42:29ont été finalistes de la Ligue.
42:31De la Ligue Auvergne Rhône-Alpes, qui est la Ligue Auvergne Rhône-Alpes.
42:34Là, par contre, c'est 275 clubs, à peu près.
42:39C'est quoi l'objectif ?
42:40C'est de créer de nouveaux clubs ?
42:42Surtout féminines ?
42:43On en a neuf, des clubs, et on veut en avoir neuf.
42:46Pour consolider.
42:47Voilà, on les solidifie.
42:48Je ne pense pas qu'on ait, pour l'instant...
42:53Il y a un grand vide, dans la Loire, il y a un grand vide.
42:56Dans la vallée du Gé, il y a la place pour effectivement créer un club.
43:02Pour l'instant, on manque de dirigeants potentiels.
43:05Et puis, on va développer nos clubs.
43:07Les clubs existants, le rugby féminin aussi qui se développe,
43:10avec Feur qui veut créer une section féminine l'année prochaine.
43:12Oui, et puis l'objectif du département,
43:15c'est effectivement de travailler sur le rugby féminin.
43:17Rugby à 7, c'est plus facile ?
43:19Non, ce n'est pas facile.
43:21C'est beau, mais ce n'est pas facile.
43:24Je veux dire, plus facile pour trouver une équipe.
43:26C'est une illusion.
43:27En fait, dans la structuration des clubs,
43:33il y a une histoire,
43:34et le rugby à 15 est prégnant, et très prégnant.
43:39Il y a une concurrence sur les dirigeants, sur les installations...
43:43Mais il y aura peut-être un effet JO si peut-être ils gagnent ?
43:48Je pense qu'il y aura un effet JO.
43:50Vous êtes préparés ?
43:51Le rugby à 7 est le rugby mondial d'avenir.
43:55C'est incontestable, ça évoluera comme ça.
43:58Ça ne peut pas être autrement.
43:59C'est spectaculaire.
44:00Mais par contre, pour l'instant,
44:03nos clubs ne sont pas préparés à s'adapter à...
44:05C'est spectaculaire, mais en même temps,
44:07on ne peut pas accueillir tous les profils sur le rugby à 7
44:09puisqu'il faut courir.
44:10Très vite et très loin.
44:11Il faut courir, exactement.
44:12On est très en retard.
44:14Patrick Banizet, la Capoeira, ça vous donne envie ou pas ?
44:18Je connaissais, parce que j'ai été dans ma carrière...
44:24En serbes brésiliens ?
44:25Non, pas du tout.
44:26J'étais prof EPS et je me suis occupé du sport scolaire
44:29et notamment du festival de danse à Sainte-Étienne.
44:32Et on avait pris des contacts pour présenter.
44:35C'est Pédigree que vous avez eu.
44:36Ça date de loin, mais ça me parle.
44:40Ils sont prêts, ils sont chauds à nos accueils.
44:42Tout de suite après cette petite virgule.
44:47Il n'est pas allumé, ma chérie, ton micro.
44:56Il faut appuyer sur le petit bouton rouge.
44:58C'est bon ? Tout le monde m'entend ?
45:00C'est tout bon, vas-y.
45:01On représente le Brésil en force avec Pédigree.
45:04Tu as reçu une bonne nouvelle dernièrement.
45:05Qu'est-ce qui va arriver en septembre ?
45:06Cette année, on a un bon cadeau de la ville de Sainte-Étienne,
45:10un space qui aura lieu à un centre sportif culturel brésilien.
45:13Et qu'est-ce qu'on va retrouver dans ce centre sportif brésilien ?
45:15Un petit Brésil de don.
45:17Cours de portugais, cours de capoeira,
45:19cours de plusieurs activités brésiliennes,
45:20mais aussi des activités de notre frère sud-américain,
45:23comme le tango, ça va bien.
45:26Il y aura même des snacks pour bien manger.
45:27Ah, mais tout à fait.
45:29On adore, c'est génial.
45:30Pour revenir un petit peu sur la danse,
45:32donc il y a quatre instruments principaux dans la capoeira.
45:34Est-ce que tu peux nous dire rapidement en quoi ça consiste ?
45:36Le principal, c'est le berimbau,
45:38c'est celui-là qui est une corde,
45:39qui fait juste un petit bruit.
45:42C'est le berimbau qui garde le rythme.
45:45Après, la tabaque, c'est comme dire le coraçon,
45:48le corps de la rode.
45:49Il marque, il va faire la marquation.
45:51Il marque le temps.
45:53Après, le pandéro, il marque le temps-ci.
45:56Il accompagne la tabaque.
45:57Et le berimbau, il continue.
46:03La tabaque, le pandéro,
46:06il part.
46:09Et voilà.
46:09C'est génial.
46:10On va voir une petite démonstration.
46:12On vous laisse faire.
46:13Attends, juste ça, on l'apprend,
46:15mais je perds ma voix aujourd'hui.
46:17On l'apprend en plus de la capoeira, c'est ça, Pédéré ?
46:21Oui, parce que le cours de capoeira, c'est tout dedans.
46:24C'est le cours de musique, on apprend à parler portugais,
46:26on apprend à jouer l'instrument,
46:27on apprend à passer, à battre,
46:29on apprend à se défendre.
46:31C'est une culture.
46:32Et on part au Brésil en vacances aussi.
46:36On vous laisse alors.
46:37On va finir là-dessus, Catarina.
46:38Et tu chantes aussi un peu ou pas, toi ?
46:40Ah non, moi je chante très mal.
46:44Ah, ben s'il y en a qui veulent chanter, bien sûr.
46:46Allez, les chanteurs, met-toi à côté du chanteur, vas-y.
46:50Elle ne peut pas, il joue.
46:51Oh, Catarina, oh là là.
46:53On va être bien.
46:54Let's go.
47:003, 4.
47:13Oh, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon
47:43C'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c
48:13M
48:18e
48:25Murder
48:29Clap
48:31Clap
48:34Clap
48:36Clap
48:38Clap
48:39Clap
48:41tous sur les réseaux sociaux et on vous dit à la semaine prochaine, ciao bye bye !

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