SP7: "L’homme le plus fort de France est dans la Loire"

TL7 - Télévision Loire 7

Portrait de sportif - Thomas Léonard, jusqu'à 10 G à 600 pieds.  Thomas Léonard pratique, depuis plus de 13 ans, la voltige aérienne à haut niveau. Vice-champion de France en biplace, il a décidé de passer en monoplace pour de nouvelles sensations et de nouveaux défis. Un portrait vertigineux avec un sportif qui n'a pas peur de prendre tous les risques pour devenir un grand champion.      Le saut à la perche, un sport olympique dans la Loire depuis près de 50 ans, grâce au FAC.  Cette semaine, nous continuons notre série autour des disciplines olympiques des JO 2024 à Paris.  Nous vous proposons aujourd'hui de découvrir la discipline reine : l'athlétisme, avec le saut à la perche et le lancer du marteau.  Direction Andrézieux-Bouthéon à la FAC, le Forez Athlétic Club.     Equi-Topo, une nouvelle application pour vos randos.  Equi-Topo est la toute première application dédiée au Tourisme Équestre.  Tentez une expérience hors du commun, pour une rando en toute liberté, sur des itinéraires référencés en Auvergne Rhône-Alpes.     UNSS – L'équipe féminine de futsal du lycée Tézenas du Montcel, championne du monde  L'équipe féminine de futsal du lycée Tézenas du Montcel de Saint-Étienne, représentait la France au championnat du monde scolaire à Belgrade (Serbie). Elle a remporté le titre de championne du monde en octobre dernier. L'escouade française, qui compte des joueuses de l'AS Saint-Étienne, s'est largement imposée (6-2) en finale, face à une équipe brésilienne, après un succès en demi-finale contre la Turquie (7-3).      L'homme le plus fort de France est dans la Loire  À 44 ans, David Berthet a deux casquettes. Au quotidien, il est agent du département de la Loire, mais dans ces loisirs, l'homme travaille sa force. Il a remporté cet été son neuvième titre de champion de France de force athlétique au Puy-en-Velay.  Il prépare le championnat régional au mois de novembre et pense déjà à se présenter au championnat européen en février, en Espagne.  Le pilât trail lance officiellement son affiche et ses différentes formules pour l'édition 2024.  Basptiste Chassagne le champion de France de trail en titre était présence et sera l'ambassadeur du pilât trail.  Il nous parle de ses ambitions, de son amour pour le club et de sa folle envie de remporter une SaintéLyon à l'avenir.

Transcript

00:00 *Musique*

00:15 *Applaudissements*

00:21 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sports7.

00:24 Un gros programme cette semaine.

00:26 Déjà, elle est là, c'est une magnifique coupe.

00:28 On va comprendre en quelques instants pourquoi elle est là.

00:30 Et avec notre public ce soir, bonsoir !

00:32 Alors, sans plus tarder, voici le programme de Sports7.

00:36 L'homme le plus fort de France et sur le plateau, il est l'higérien.

00:40 Veuillez faire un tonnerre d'applaudissements à David Berthet !

00:43 David, c'est quoi votre sport ?

00:45 C'est un sport, c'est la force athlétique.

00:47 C'est un sport de force.

00:48 Ouais, tu vois, c'est pas le ping-pong comme tu disais, Alrien, pour ça.

00:51 On peut applaudir, on va parler de quoi ?

00:54 Bonsoir, Julien, ça va ?

00:56 Alors ce soir, on va parler de football, mais de football féminin.

00:59 Et des championnes du monde.

01:01 En face de vous, celui qui, il est pas à la 4G, il est pas à la 3G, il est à la 10G !

01:06 La 10G à 600 pieds !

01:08 Ça rentrait pas dans le bon...

01:10 Pour le portrait de la semaine, Thomas, Léonard, on est allés du côté de l'aéroport d'Andrésieux Boutéon

01:17 pour faire sa rencontre, il fait de la voltige aérienne.

01:20 Voilà, à côté de vous, elle est là, Marie-Ève Charrois !

01:23 Bonsoir, Julien !

01:24 Avec vous, on va passer par la couronne.

01:26 Non, on va pas se perdre, on va surtout découvrir une appli unique en France

01:29 et qui, topo, est développée par le comité de tourisme et caisse de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

01:33 Voilà, et on prendra aussi la direction, vous allez voir dans quelques instants,

01:36 d'Andrésieux Boutéon, où Damien va s'essayer à la képis, et à la perche, et au lancé de marteau.

01:42 Bon, le lancé de marteau...

01:45 Ah, il y a là ?

01:46 Ça doit pas être facile.

01:47 Voilà, notre invité, David Berthet, vous êtes tout juste, tout fraîchement, on peut le dire,

01:52 champion de France 2023.

01:54 Mais vous avez été aussi champion de France 2022.

01:59 Et même, je crois, en 2012.

02:00 Voilà, c'est ça, tout à fait.

02:01 Dans une autre catégorie.

02:02 Alors, tout d'un coup, on vous découvre, comment ça se fait ?

02:06 On va voir le podium, quand même, pour vérifier.

02:09 On vérifie le podium, mais comment ça se fait ?

02:11 Comment ça se fait, comment on vous découvre ?

02:13 Bah, comment ça se fait ? Parce que c'est un sport qui est méconnu, la force athlétique.

02:16 Ah, bah...

02:17 Et puis, au seuil de mon travail, je pense qu'on a pu me connaître par le Loire Magazine, ou alors...

02:22 Je pense, depuis ça...

02:24 C'était où, c'était pas loin ?

02:26 Là, c'était à Buzzville, je crois, en Normandie.

02:29 En Normandie ! Ah oui...

02:30 Pas loin, pas loin...

02:31 Pas loin, c'est à côté de la route.

02:33 Alors, on va apprendre à connaître cette discipline.

02:36 Alors, comment ça fonctionne, une compétition ?

02:38 Une compétition, ça commence par du flexion de jambes, du squat, par trois mouvements.

02:43 Et on prend le meilleur de ces trois mouvements.

02:45 Après, il y a le développé couché.

02:47 Ça, c'est la position préférée de l'Alliance.

02:49 Ouais, le surtout couché !

02:51 Et après, le soulevé de terre, le deadlift.

02:54 Et après, on fait le total de ces trois, pour être national ou international.

02:58 Alors, on va voir, parce qu'on a les images, justement.

03:01 Et on parlait de chiffres.

03:03 Vous, en développé couché, alors je sais pas si on va commencer par ça, c'était en 2012,

03:08 mais en développé couché, vous soulevez combien ?

03:10 Moi, en développé couché, je fais entre 150 et 160 kilos.

03:14 Le record du monde, si on peut parler de record du monde ?

03:17 Le record du monde, oui, c'est à 220.

03:19 Ah ouais, quand même, il y a encore une petite marge, c'est dur.

03:21 Il y a encore une petite marge.

03:22 Ben, c'est les grosses, grosses catégories.

03:24 Ils sont encore plus lourds que moi, et puis après, il y a plus d'entraînement.

03:26 Parce que vous, vous faites un petit quoi ?

03:28 Un petit 135.

03:30 135, ça fait toi et moi.

03:32 Voilà, 30 au moins.

03:33 Voilà, exactement.

03:34 En squat, on va parler de squat.

03:36 Ça, c'est pas les squats, ce qu'on voit, c'est le développé.

03:37 Mais en squat, vous faites ?

03:38 En squat, je fais entre 250 et 260 au maxi.

03:41 Record du monde ?

03:42 Record du monde, 320, 330.

03:44 Vous êtes pas loin, là.

03:45 J'ai pas la nuance, la différence entre le squat et le soulevé de terre.

03:50 La différence du squat, c'est que le squat, c'est que l'on se met derrière des taquers,

03:54 on se recule, on a la barre qui est sur les épaules.

03:57 Ah, la barre, ok.

03:58 Voilà, merci.

04:00 Mais en fait, Seb, maintenant, il est à la baguette parce qu'il a peur que je l'envoie à David.

04:03 Là, on y est.

04:04 Ok, ça marche.

04:05 Et combien là, sur les épaules ?

04:06 Là, je vais plus lourd parce qu'on faisait avec du matériel.

04:08 Maintenant, il n'y a plus le matériel d'assistance.

04:10 Au niveau du squat, j'ai fait avec le matériel jusqu'à 330, 340.

04:13 Et le record du monde est à ?

04:15 Avec le matériel, ils étaient à plus de 400.

04:18 Ah, bien sûr.

04:19 Mais la non déchiffre, c'est normal.

04:20 Le matériel, c'est trop dangereux.

04:21 Donc, ils ont arrêté.

04:23 Exactement.

04:24 Comment on en vient à ça ?

04:28 Comment on en vient à ça ?

04:29 Parce que moi, je sais que je suis passionné de farce.

04:31 Ah, ça vient de ça.

04:32 Oui, bien sûr.

04:33 Faire des salles de muscule ?

04:34 Non, pas vraiment des salles de muscule.

04:36 On aime bien mettre des débardeurs ?

04:38 Non, c'est plutôt se lever lourd.

04:42 C'est ça.

04:43 Se faire des défis.

04:44 Puis, j'ai mis le rugby déjà à la base.

04:45 Donc, c'est un peu pareil.

04:46 Et vous avez commencé il y a 20 ans ?

04:47 Il y a 24 ans.

04:48 Pardon, 24 ans.

04:50 Mais vous avez quel âge ?

04:51 J'ai 44.

04:52 Eh bien, il y a 20 ans.

04:53 Pourquoi vous me reprenez ?

04:54 24 plus 20, 44.

04:57 Oui.

04:58 Mais ça file.

04:59 Comment on commence ?

05:00 On commence avec les pastèques dans la cuisine ?

05:02 On commence par des sacs de ciment.

05:04 Ah oui, parce qu'on fait l'amir du copain.

05:06 On fait l'amir.

05:07 Vous savez, des morceaux de bois.

05:09 Non, on ne sait pas trop.

05:11 Le truc, là, on le voit, à la maison, vous entraînez à la maison.

05:14 C'est ça aussi qui fait votre originalité ?

05:16 Je suis pas mal les plus grosses motivations que les autres, c'est sûr.

05:19 J'avais 2,60 là.

05:21 Ah Marielle, elle me dit ça, ça, plus ça.

05:25 2,60.

05:26 Moi, c'est dur pour porter mes sacs de granulés.

05:27 Et les bidons, c'est des bidons de béton ?

05:29 55 kg.

05:30 Les bidons, c'est pas des bidons de vide.

05:32 Mais pourquoi on s'entraîne à la maison ?

05:34 Parce que les clubs sont trop loin, j'ai pas de club à côté.

05:37 Faute de budget.

05:38 Donc mon club, c'est l'Arricamari.

05:40 Je fais un petit coup.

05:41 Ah, mais vous êtes à l'opposé quand même.

05:42 Ça fait trop loin, je suis à 65 km, 70 km.

05:45 Donc ouais, je suis motivé, c'est une passion, et je m'entraîne dans mon garage.

05:48 Et les résultats ?

05:50 Les résultats sont très bien.

05:52 Et comment on se motive dans le garage ?

05:54 On se motive, on a un peu de musique.

05:55 On devrait pas se motiver tout seul à la maison ?

05:57 Tiens, mec, je sais que c'est dur.

05:58 Oui, c'est ça, il y a un mental...

05:59 Un peu de merde, parce que j'ai envie, je sais pas, ça marche.

06:01 On peut pas s'entraîner au club d'haltérophilie ?

06:03 Par contre, les maxis...

06:04 Le club d'haltérophilie qui est au...

06:05 Le Père Chazelle, c'est ça ?

06:06 François, oui, François.

06:07 Mais ça va être trop loin de chez moi.

06:08 C'est trop loin, c'est à Fermini, c'est ça ?

06:10 Ouais, c'est à Montfaucherol.

06:11 Montfaucherol, ouais.

06:12 Je crois qu'il a fermé.

06:13 Et c'est combien de temps d'entraînement ?

06:14 Ouais, bah moi, c'est pas énormément.

06:16 C'est une heure de dévopée-couchée par semaine,

06:18 une heure de squat et une heure de sous-vêté.

06:20 Par semaine ou par jour ?

06:21 Par semaine, je veux dire.

06:22 Ah oui ?

06:23 Pas 3-4 heures d'entraînement par semaine.

06:25 Je pourrais peut-être faire plus,

06:26 mais après, en prenant de l'âge avec les blessures...

06:28 Oui, bah je dis pareil, moi, pareil.

06:30 Aussi, ouais, les blessures.

06:32 Beaucoup de blessures.

06:33 Du coup, c'est peu médiatisé.

06:37 On envoie un petit peu aux Jeux Olympiques,

06:39 c'est un peu la thématique, vous savez,

06:40 on a un peu plus de...

06:41 On envoie bien sur l'équipe 21 aussi.

06:42 Ah, l'équipe 21, c'est sa outre chose.

06:44 Est-ce qu'à choisir, effectivement,

06:46 on préfère, bah, Adrien me lance le truc,

06:48 la force pure qu'on va avoir dans quelques instants,

06:50 vous savez, ça en est cité,

06:51 parce qu'il nous paye pas d'équipe, machin, truc.

06:53 Ah, pardon.

06:54 Mais on aime bien regarder ce genre de choses.

06:55 Vous avez déjà participé aux hommes les plus forts,

06:57 comme ça, qui poussent des voitures, des trains ?

07:00 Oui, j'ai fait un niveau régional,

07:02 au département de la Loire, j'avais fait un concours,

07:04 et puis au niveau plus fort de France,

07:05 j'avais fini 3e du plus fort de France.

07:06 On va voir les images.

07:07 La boule, vous l'avez déjà faite, la boule ?

07:09 Non, j'ai fait la boule de 130 kg.

07:10 Alors ça, c'est la voiture, ça ?

07:11 La voiture, j'ai fait la Ford Escort.

07:13 Ah.

07:14 Je faisais 20 reps, ouais, à peu près.

07:16 Vous avez quoi comme voiture, vous, Marielle ?

07:18 Une Tesla.

07:19 Ah, les batteries sont lourdes.

07:22 Il y a des poids rajoutés, là, on voit qu'il a rajouté.

07:24 Oui, en plus, il y a des poids rajoutés,

07:25 il y a quoi comme...

07:26 Ça, vous l'avez déjà fait, ça ?

07:27 Oui, moi, j'ai fait les poids, je marchais avec ça.

07:30 Ce mouvement, je suis un peu moins fort, ouais,

07:32 mais j'ai mis combien ?

07:33 Je crois que j'ai dû mettre 50 kg, quand même,

07:34 au-dessus de la tête, comme ça.

07:35 50 kg ?

07:36 J'en faisais 2 ou 3 reps.

07:37 Une Marielle au-dessus de la tête.

07:39 OK, et la boule, on va le voir dans quelques instants.

07:42 Est-ce qu'aujourd'hui, on se dit, tiens,

07:44 on essaie de rechercher un peu de visibilité,

07:46 ou on reste dans...

07:48 Parce que ça se rapproche ou pas du tout ?

07:50 C'est un autre exercice, ça ?

07:51 Le niveau est plus haut, là, je veux dire.

07:53 C'est plus... On peut avoir plus de blessures, quoi.

07:56 Vu que c'est pas très reconnu,

07:57 bon, il y a le travail, le boulot,

07:58 après, le lendemain matin, quoi.

08:00 C'est vrai, oui, c'est vrai.

08:01 Vous avez déjà été blessé, vous ?

08:03 Oui, j'ai eu des blessures à l'épaule.

08:05 Tendinite, ce genre de chose.

08:06 Les petites tendinites.

08:08 Prochainement, c'est quoi, les échéances, pour vous, David ?

08:10 Eh bien, samedi prochain,

08:11 j'ai les régionales à Bourg-en-Jolieux.

08:13 Mais là, c'est un niveau en dessous.

08:14 Mais pour se qualifier pour le championnat de France, quoi.

08:16 Voilà.

08:17 Donc je vais quand même y aller à fond, comme d'hab.

08:18 L'Europe, on va donner quand même quelques résultats,

08:20 parce que David s'est promené en Europe.

08:22 Ouais.

08:23 Vous avez fait quoi en Europe ?

08:24 Quatrième, je crois ?

08:25 Quatrième et deuxième au Luxembourg.

08:27 C'était en 2012 et 2013.

08:28 Ça marche comment, les catégories ?

08:30 Les catégories, ben, donc il y a moins de...

08:32 Toi, t'es catégorie plume, toi, c'est ça ?

08:34 Ouais, moi, je suis le poids plume, ouais.

08:36 Plus de 120 kg, moi.

08:38 D'accord.

08:39 OK, il y a du monde dans ces catégories-là ?

08:41 Pas beaucoup, non.

08:42 D'accord.

08:43 Ben, je veux dire, dans la vie, déjà, il y a pas beaucoup de personnes.

08:44 C'est marrant, ça, parce que justement, pour ce genre de sport...

08:46 Ben oui, mais là, c'est pas vous qui êtes tout seul.

08:48 Non, je suis tout seul.

08:49 Les deux années que j'ai gagnées, j'étais tout seul.

08:51 Faut faire les minima nationaux, quand même, qui sont assez hauts.

08:53 Oui, attends.

08:54 Comment...

08:55 Oh, je le vois arriver.

08:56 Je le vois pas arriver, mais je le vois dans le dépôt.

08:57 Non, mais je l'ai compris, ouais.

08:58 T'es avec 60 kg, non, non, ça marche pas.

09:00 Non, non, ça marche pas.

09:01 Ah, parce que moi, je peux être le plus fort du monde de moins de 65 kg ?

09:05 Mais t'as les minima, regarde.

09:07 Mais en plus, 65, il y a beaucoup de monde, ouais.

09:08 Ah, ben, bien sûr.

09:09 Prends du poids, va dans la catégorie, David.

09:11 Bon, très bien.

09:12 Ah non, ben, c'est bon.

09:13 Non, ben, c'est pas grave.

09:14 Europe, c'est quoi ?

09:15 C'est les pays de l'Est qui sont meilleurs ?

09:16 Oui, c'est la Russie, c'est l'Ukraine, voilà.

09:18 En ce moment, ils sont peut-être pas trop là ?

09:19 Ben, s'ils sont pas, on peut tirer une autre évaluation.

09:21 En ce moment, ils sont sur un autre débat.

09:24 Un dépôt, ouais.

09:25 Ouais.

09:26 Bon, vous restez avec nous, David ?

09:27 Oui.

09:28 Vous nous avez préparé, parce que vous vous baladez toujours avec votre barre ?

09:31 Euh, non, pas toujours.

09:32 Donc, c'est pour nous, ça ?

09:33 C'est pour vous, voilà.

09:34 Ah, ben, t'es... Ah !

09:35 Ah !

09:36 Tu fais le fil entre...

09:37 Pour que le public essaye, voilà.

09:38 Ah, ben, voilà, exactement.

09:39 Alors, si vous voulez bien, on va partir tous ensemble, hein.

09:42 C'est un truc, on va...

09:43 C'est la téléportation du côté d'André Zieux, où Damien me dit "Je suis prêt, je suis prêt".

09:46 Mais oui, Damien, je suis prêt, on arrive.

09:48 30 secondes, on était avec David.

09:49 Oui, bonjour Julien, bonjour à tous.

09:53 Je suis aujourd'hui à André Zieux pour vous parler d'une épreuve reine,

09:56 toujours dans la même lignée des Jeux Olympiques et des disciplines olympiques au JO 2024.

10:01 Et on va parler d'athlétisme avec Jean-Marc.

10:05 Bonjour Jean-Marc, merci de nous accueillir ici.

10:07 Alors, dites-nous, qu'est-ce qu'on fait ici ?

10:09 Finalement, on voit un peu tout de la course, du saut.

10:12 Oui, l'athlétisme, c'est un sport très divers, avec beaucoup de spécialités différentes.

10:19 C'est très accessible, ça commence par la course à pied,

10:22 où on met des baskets et tout le monde peut en faire.

10:25 Ça commence très jeune, on commence nous depuis le bibliothlée, le 4 ans.

10:31 Et puis, on peut aller jusqu'à 77 ans.

10:34 Alors, des moins compétitifs, du sport santé, et puis du sport également de compétition.

10:38 Oui, parce que je vois derrière, finalement, on a des perchistes uniquement, ou est-ce que c'est des combinards ?

10:43 Non, c'est des combinards, c'est des gens qui font de la perche.

10:47 C'est une des épreuves du Décathlon, vous le savez.

10:50 Alors, combinard, pour ceux qui nous regardent, c'est effectivement plusieurs épreuves autour de…

10:56 Voilà, la victoire se joue sur les points qu'ils ont acquis dans les différentes épreuves.

11:01 Et puis, je pense que ça serait bien que vous testiez un petit peu ces épreuves-là.

11:06 Oui, alors vous me parliez du Décathlon, rassurez-vous, vous m'avez prévu non pas 10, mais 2 épreuves, c'est ça ?

11:11 On va faire 2 épreuves, mais des épreuves qui vont vous tester au niveau mental.

11:16 On va voir si vous êtes courageux.

11:19 La perche, c'est ça, et puis le marteau aussi un peu, ça c'est plus pour Yacine.

11:23 Je vais m'y coller. Je vous dis à tout à l'heure, gros bisous.

11:26 C'est des épreuves techniques.

11:28 N'essaye pas de négocier avec les gars.

11:30 Si, si, si.

11:31 En tout cas, il sait qu'il va s'en faire fier d'eux, des épreuves.

11:34 Pas 10, mais 2.

11:36 La perche, vous avez essayé ?

11:38 Non, elle va casser.

11:40 Je lance une perche justement à vous, Damien.

11:44 Damien, pfff.

11:46 Alors, tu nous amènes des... c'est une pépite, l'actu est tombée pendant les vacances d'ailleurs.

11:53 Pendant les vacances, oui, mais on a été déçus par le foot masculin.

11:56 Ah bah, ouais.

11:58 En plus, ils nous ont piqué le ballon d'or.

12:00 En plus, déçu un petit peu par le rugby ?

12:02 Donc moi, j'étais chercher des filles.

12:04 Et pour une fois, on a des filles qui gagnent.

12:06 Donc une équipe de foot, UNSS, championne du monde.

12:10 Ça s'applaudit, elles sont là, elles sont à l'hôtel.

12:12 Merci, vous m'avez redonné la patate, je vous le dis.

12:14 Moi, j'y croyais plus.

12:16 Donc toutes ces jeunes filles sont scolarisées au lycée Thézard du Mont-Sel.

12:19 Et elles pratiquent le football UNSS.

12:21 Donc cette année, elles se sont qualifiées pour aller en Coupe du Monde dans un amour fait.

12:24 Les championnats de la Loire, il me semble, c'est ça, si je ne me trompe pas.

12:28 Championnats de France derrière.

12:30 Et cette année, c'était une session pour partir en Coupe du Monde.

12:32 Et bien, elles ont eu la belle surprise de partir...

12:34 C'est pas tous les ans la session Coupe du Monde ?

12:36 Apparemment non, c'est pas tous les ans.

12:38 Et là, elles ont eu la chance de partir en Serbie, de rencontrer en plus...

12:40 Les meilleurs des meilleurs.

12:42 Les meilleurs des meilleurs, oui.

12:43 Écoutez, vous les avez rencontrés ?

12:44 Oui.

12:45 On regarde ce sujet.

12:46 Aujourd'hui, nous allons rencontrer les filles de Futsal, UNSS,

12:56 qui ont remporté la Coupe du Monde qui s'est déroulée en Serbie.

12:58 Elles se préparent, elles s'entraînent, elles sont derrière moi.

13:00 C'est des filles qui sont toutes scolarisées au collège de Tesnot.

13:03 Donc, préparez-vous, nous allons passer un super moment ensemble.

13:05 Pour arriver aux championnats du monde en Serbie de Futsal, UNSS,

13:13 ça a d'abord commencé par le tour académique, donc régional.

13:17 C'était un lycée de Valence et un lycée du Puy.

13:20 Ensuite, on s'est qualifiés pour les championnats de France,

13:22 UNSS Futsal féminin, qui s'est déroulé à La Rochelle.

13:26 On a été donc champion de France.

13:28 C'était une année qualificative pour les championnats du monde.

13:31 On s'est retrouvés aux championnats du monde en Serbie.

13:33 Le lycée est bien connu dans le monde, mais en Serbie, il est vraiment bien représenté.

13:38 La France, l'équipe de France, l'équipe TESNA, UNSS scolaire,

13:42 ont montré une excellente image de tout ce dispositif

13:45 et de la réussite de ce qui est fait sur l'établissement,

13:48 en lien également avec le club.

13:50 On a pu gérer différents aspects, lui et moi.

13:55 Il a un rôle beaucoup plus important sur le terrain

13:58 et moi, un peu plus de relais entre les joueuses et lui.

14:04 Après, j'ai quand même un peu pris ma place sur le terrain,

14:07 ce qui lui a permis de se décharger de certaines choses.

14:10 Et ça a relativement bien fonctionné.

14:12 Ce premier match a été particulier,

14:16 dans le sens où on s'était préparé vraiment bien mentalement.

14:19 On voulait faire bonne figure dès le premier match.

14:22 On est tombé sur une équipe de Brésil un peu faible, il faut le dire,

14:26 où on gagne 21 sur le premier match de compétition.

14:29 Après, on joue la Turquie et on perd 9-6 en menant 5-0 à la mi-temps.

14:34 Cette finale, un peu de stress au départ,

14:37 parce que malgré tout, c'est une finale de championnat du monde.

14:40 On n'en joue pas tous les jours, encore moins à cet âge-là.

14:43 On gagne la finale 6-2 contre le Brésil,

14:46 avec un doublé de notre gardien de but.

14:49 C'est un fait rare, mais on l'avait travaillé.

14:52 C'était la petite particularité de cette finale.

14:55 J'ai marqué deux buts en finale.

14:57 En futsal, on a essayé de créer la supériorité

15:00 en me faisant monter vers le milieu de terrain

15:03 pour pouvoir toucher des ballons.

15:05 J'ai tenté ma chance et ça a payé.

15:07 Je ne pense pas qu'elles vont avoir beaucoup l'occasion

15:09 de jouer ce genre de compétition à ce niveau international.

15:12 Et c'est vrai qu'elles sont toutes championnes du monde ensemble.

15:15 Elles l'auront à vie, donc personne ne pourra l'enlever.

15:18 On a une équipe féminine et une équipe de France

15:21 qui est championne du monde.

15:23 L'info importante, c'est qu'elles ont battu la Turquie en demi-finale 6-2.

15:32 - Quel pays, Julien ? - La Turquie.

15:35 Ça, c'est pour FNC.

15:37 - Et le Brésil ? - Le Brésil, deux fois.

15:40 - Du haut de choc ? - Du haut de choc.

15:42 Il y a deux coachs qui se sont parfaitement entendus

15:44 pendant cette compétition.

15:46 Il y en a un qui s'occupe de quoi et l'autre de quoi ?

15:48 Je n'ai pas tout saisi dans ce duo.

15:50 Le plus simple serait peut-être de leur demander directement.

15:53 Comme ça, ce sera beaucoup plus simple.

15:55 - Je bouge pour toi. - Tu bouges pour moi.

15:57 Comment ça va ? Il faut mettre une petite place.

15:59 Elle est belle cette médaille. Laure, on vous voit bien haut.

16:02 Honneur aux dames, qui fait quoi dans l'histoire ?

16:04 Je ne sais pas tout.

16:05 Je suis professeure de PS au lycée Thésin du Mont-Sel.

16:07 - Enchanté, mes respects. - Merci.

16:09 On joue au badminton, ce genre de truc ?

16:11 On joue au foot, du coup, à la salle.

16:13 Après, on est sur l'UNSS, on développe aussi tous les sports.

16:15 Mais là, en l'occurrence, c'était ma spécialité aussi, le foot.

16:18 Le duo, c'est comment on...

16:20 Parce que vous, vous êtes où ? À l'SS, vous ?

16:22 À l'SS féminine.

16:24 Comment on fait ce duo ?

16:26 On essaye de prendre un peu de place, chacun de son côté.

16:29 On laisse aussi de la place aux autres.

16:31 Qui faisait quoi ? Vous, vous faisiez quoi ?

16:33 Il n'y avait pas d'ordre. Il n'y avait pas de mission précise pour chacun.

16:38 Mais on a essayé de jongler un coup l'un, un coup l'autre.

16:40 Je vais essayer de... C'est de la politesse, là.

16:43 C'est la première fois que vous travaillez ensemble ?

16:45 Vous aviez l'habitude ?

16:46 Oui, c'était notre première compétition.

16:48 On a commencé par les Championnats de France ensemble.

16:50 C'était notre première compétition ensemble, qui a plutôt bien marché.

16:53 Puisqu'on gagne le titre, a priori, ça marche pas mal.

16:55 On ne change pas une équipe qui gagne.

16:57 On part en Coupe du Monde, et du coup, ça fonctionne aussi.

16:59 Exactement. Bon, je vais aller en face, moi, parce qu'il y a quand même...

17:02 On a parlé de l'UNSS et...

17:04 L'UNSS et Tézno du Mont-Saint-Gilles.

17:06 Quelle question vous voulez leur poser ? Je prête le micro.

17:09 Regardez la caméra, vous.

17:10 Je regarde la caméra.

17:11 Alors, Adrien, qu'est-ce que vous voulez leur poser ?

17:14 À qui, d'abord, en premier ?

17:15 En premier, à la directrice.

17:16 Ah bah oui, madame la directrice. On l'applaudit quand même.

17:18 Elle est là, la directrice.

17:20 Quand on est comme ça, elle revient avec la médaille d'or.

17:25 C'est une sacrée vitrine, quand même, pour vous.

17:27 Ah oui, complètement.

17:28 C'est sport-étude, chez vous, hein ?

17:29 Oui, c'est sport-étude.

17:30 On a quand même la moitié de l'établissement qui est composé de sportifs.

17:35 Pas que, pas que.

17:36 On a beaucoup de sportifs, effectivement, et de sportifs de haut niveau.

17:39 Donc oui, c'est effectivement une récompense pour nous, pour l'établissement,

17:44 pour toute l'équipe éducative et pédagogique qui s'investit.

17:49 Et champions du monde, il y en a beaucoup, chez vous ?

17:51 Non, c'est la première fois qu'on a des champions du monde.

17:53 La classe, hein !

17:54 Et puis, c'est une expérience pour elle qui a été très enrichissante, surtout.

17:58 C'est vrai que ça, c'est bien.

17:59 Et je me retourne du côté de l'UNSS, parce que mon fils a fait le cross.

18:02 D'ailleurs, c'était pas mercredi, le cross ?

18:04 Si, c'était mercredi dernier.

18:05 C'est très bien placé. 300 sur 300, elle est pas mal.

18:07 C'est ça.

18:08 Et pour l'UNSS, c'est super ?

18:12 Eh bien, alors, j'ai pas que d'hommes habitués,

18:14 mais c'est vrai qu'on en a déjà eu d'autres sur la Loire.

18:16 En CO ?

18:17 En CO, oui, avec le lycée Durffy.

18:18 C'est le premier en sport collectif.

18:20 Donc voilà, on est ravis, effectivement, mais c'est le mérite, c'est elle.

18:25 Ça marche comment ?

18:26 C'est vrai que Marielle, vous disiez, vous ne comprenez pas comment ça fonctionne.

18:29 Oui.

18:30 On s'inscrit à l'UNSS et pouf, il y a des compétitions.

18:32 Alors, l'UNSS, c'est le sport le mercredi après-midi dans les établissements du second degré, collège, lycée.

18:37 On propose, alors au niveau national, il y a plus de 120 sports qui sont proposés.

18:42 Sur la Loire, on en propose une bonne quarantaine.

18:44 Niveau compétitif, du niveau départemental jusqu'au niveau national.

18:48 Et après, voilà, donc pas tous les ans, il y a des championnats du monde qui sont organisés par l'ISF.

18:54 Je ne vais pas le dire en anglais, parce que...

18:55 Non, c'est au premier, c'est le soir.

18:57 International School Federation.

18:59 Voilà, ça me va.

19:01 Où donc là, les meilleures équipes nationales françaises peuvent participer.

19:04 Donc, le lycée du HUR fait encore orientation plusieurs fois.

19:07 Et là, c'est ce qu'il y a.

19:09 Bravo.

19:10 Merci à vous.

19:11 Bravo.

19:12 Juste, je continue, je n'ai rien dit.

19:15 On prend au hasard.

19:16 Sur un CV, ça s'écrit où qu'on est champion du monde ?

19:19 Parce que moi, je n'ai jamais été champion du monde.

19:20 Ça se met en haut ou en bas ?

19:21 Ou en haut ?

19:22 Au B, champion du monde, on est où ?

19:24 Tu ne sais pas encore, tu n'as pas réfléchi.

19:26 Je ne sais pas encore.

19:27 Et toi, tu sais où tu vas le mettre ?

19:28 Où je le mettrai en tête ?

19:29 Tu ne sais pas où tu vas le mettre en tête.

19:31 Champion du monde.

19:32 En gros, en gras.

19:33 En gras, bien gras.

19:35 Je me balade tout le temps avec ma médaille dehors, je dois le dire.

19:38 En tout cas, elles ont vécu quelque chose, c'est énorme.

19:40 Quand tu gagnes déjà un titre au niveau championnat de France, en foot,

19:44 avec Charlie, on a eu ces chances de jouer au niveau professionnel.

19:47 Mais là, ce qu'elles ont vécu ensemble, c'est...

19:49 Et surtout, il y avait une vraie stratégie.

19:50 La gardienne, elle est malade malheureusement, mais c'est elle qui en a mis deux en finale.

19:54 C'était une vraie stratégie de dire, tu fais le poids.

19:57 Elles s'entraînaient pour ça et elles ont fait le taf.

20:00 C'est vraiment bien.

20:01 David ?

20:02 Bravo.

20:03 Il n'y a que ça à dire, bravo.

20:04 Toi aussi, bientôt tu reviendras, tu es champion du monde.

20:06 Oui, on essayera.

20:07 Allez, sans plus tarder, dans quelques instants, Marielle Charoin.

20:11 On ne va plus se perdre dans la forêt, c'est fini.

20:13 Non, c'est fini.

20:14 Et c'est Bernard Boutte, le président du comité régional du tourisme,

20:17 qui va venir nous en parler tout de suite.

20:25 Alors, c'est une appli de dingue, depuis...

20:28 Mais elle me bascine depuis le début de l'année.

20:30 Oui.

20:31 C'est une appli, c'est une appli.

20:32 C'est unique en France.

20:33 Déjà, la première question, c'est ça se colle où sur le canasson ?

20:36 Alors, c'est ce qu'on était en train de regarder avec Lilian, justement.

20:39 On va faire un prototype de ventouse pour mettre...

20:41 Ah bah bien sûr, ouais.

20:42 Donc, voilà.

20:43 Une ventouse pour canasson.

20:44 Voilà.

20:45 Sur le côté.

20:46 Merci déjà Bernard d'avoir accepté notre invitation pour nous parler du tourisme équestre,

20:50 puisque c'est une discipline à part entière.

20:52 Donc, vous êtes président du comité régional du tourisme équestre région Ronalp-Auvergne depuis plus de 13 ans.

20:57 Oui.

20:58 Avant de vous laisser la parole, je vais juste signaler quand même...

21:00 Quoi ?

21:01 Que...

21:02 Qu'Auvergne-Ronalp est la première région de France sur le tourisme équestre

21:06 avec plus de 75 000 licenciés et plus de 50 000 kilomètres de sentiers de randonnée.

21:12 Donc, c'est pas rien.

21:13 Donc, on peut être fier de nous.

21:14 Bernard, avant de nous parler de cette application,

21:17 est-ce que vous pouvez, s'il vous plaît, expliquer aux téléspectateurs

21:19 en quoi consistent les missions du CRTE ?

21:21 Alors, d'abord, parler du tourisme équestre en France,

21:25 qui est une discipline, une activité vraiment particulière.

21:30 Et dans le tourisme équestre, il y a équestre et il y a tourisme, bien sûr.

21:34 Donc, quand on pratique ça, on a la passion d'équitation et surtout de la nature.

21:39 Et on a le terrain, on aura aussi, il faut le dire.

21:41 Oui.

21:42 Il y a le terrain.

21:43 Découvrir le patrimoine géographique.

21:46 Organiser des événements aussi.

21:48 Organiser des événements pour sensibiliser le grand public

21:51 et les pouvoirs publics sur l'importance du tourisme équestre en France, notamment.

21:57 Et on est donc organisé avec un comité national de tourisme équestre

22:01 qui agit dans le giron de la Fédération française d'équitation

22:04 et qui se décline ensuite au niveau régional avec des comités régionaux

22:08 et nouveau départemental avec des comités départementaux.

22:11 Et c'est comme ça que, du jour au lendemain, on se dit, tiens, on va faire une application.

22:14 Alors, il faut...

22:16 C'est fini de sortir la veille carte.

22:17 Exactement.

22:18 Mais parce que moi, j'ai une question, vous le vendez un peu Marielle,

22:21 mais c'est pas les mêmes chemins qu'on peut emprunter à pied ?

22:25 Un chemin qu'on emprunte à pied, c'est pas le même chemin qu'on emprunte à cheval ?

22:28 Alors, tu as les sentiers au niveau des randonnées,

22:31 mais pas que. Tu as également les gîtes qui vont pouvoir accueillir cavaliers et chevaux,

22:35 parce que pour les cavaliers, c'est facile, après les chevaux.

22:38 Avoir les numéros de téléphone également des vétérinaires, des maréchauffeurs.

22:42 Ah oui.

22:43 Ah non, mais ça, c'est l'atout de l'application.

22:45 Oui.

22:46 C'est le même chemin.

22:47 Un sentier qui est pédestre, il est également fait pour les chevaux.

22:49 En fait, c'est l'inverse, si vous voulez.

22:51 Ou on passe à cheval, on peut passer à pied en vélo.

22:53 Par contre, on passe à pied en vélo, on passe pas forcément avec les chevaux.

22:57 Donc, c'est pour ça qu'on a mis en place cette application.

23:00 Comme l'a dit Marielle à juste titre, on en est fiers.

23:03 Elle est unique en France au niveau de nos pratiques.

23:06 Application payante ?

23:07 Application gratuite.

23:08 C'est comme Waze.

23:09 Gratuite pour les utilisateurs.

23:13 C'est aussi unique en France des fonds de carte IGN

23:18 que les utilisateurs peuvent utiliser gratuitement.

23:21 Sur cette application, on a rentré tous les itinéraires reconnus de notre région,

23:26 département par département.

23:28 Et ensuite, quand vous voulez faire une randonnée,

23:30 il suffit de télécharger auparavant l'itinéraire que vous voulez faire.

23:34 Et on peut planifier, c'est ça ?

23:35 Voilà.

23:36 De façon à ne pas être...

23:37 Si vous avez plus de...

23:38 Et oui, pas de problème de réseau.

23:39 Si vous avez plus de connexion Internet, vous avez votre itinéraire.

23:42 Par contre, vous pouvez, si vous avez un ennui,

23:44 vous êtes géolocalisé sur le circuit, prévenir les secours.

23:47 Et aussi, il y a une application qui s'appelle Suricate.

23:50 Et si jamais vous rencontrez un problème sur le terrain,

23:54 un tronc d'arme en travers, de le signaler.

23:56 Et ça remonte dans les départements et les communautés de communes.

23:58 Ça, ça n'existait pas avant ?

24:00 Pardon ?

24:01 Il n'y avait pas d'autre application ?

24:02 Non, il n'y avait pas d'autre application aussi complète que ça.

24:04 Vous pensez justement que ça va aider les structures,

24:07 j'allais dire, d'enseignement traditionnel, les centres équestres,

24:09 à aller plus vers la randonnée ?

24:11 Parce qu'on a l'impression qu'ils ne savent pas trop comment y aller.

24:13 Non, ils tournent en rond, ils aiment bien les centres équestres.

24:15 Vous, vous pouvez les accompagner sur le développement de ces activités ?

24:19 Bien sûr, c'est vrai que les centres équestres traditionnels

24:22 ont un peu l'appréhension d'aller en extérieur,

24:24 parce que souvent, ils ont une cavalerie

24:26 qui est plus ou moins adaptée pour l'extérieur.

24:28 Et puis, les enseignants ne sont pas formés aussi

24:31 de façon importante à la pratique de l'équitation.

24:35 Ce n'est pas la même équitation en extérieur.

24:37 On est confronté à plein d'évolutions.

24:39 C'est vraiment le message que je pense qu'il faut leur faire passer,

24:41 de ne pas hésiter à vous appeler.

24:43 Ne pas hésiter avec cette application, c'est facile.

24:45 On l'organise.

24:47 On va trouver la ventouse, ça sera bien.

24:49 Il faudra la ventouse.

24:51 Il va falloir trouver une solution.

24:53 Ou alors sur les montres connectées.

24:55 Ou alors sur les montres connectées, maintenant.

24:57 Tournez à droite.

24:59 Appelez maman.

25:01 Officiellement, cette application a été lancée quand ?

25:03 Alors, on vient de...

25:05 Parce que c'est très compliqué à mettre en place.

25:07 On a commencé il y a à peu près un an et demi.

25:09 Et on vient de terminer toutes les mises au point et tout,

25:13 depuis le salon du cheval qui s'est passé à Lyon,

25:16 à Aikita Lyon, il y a un mois.

25:18 Donc, vraiment, on est opérationnel sur cette application.

25:21 Et vous attendez combien de téléchargements de cette application ?

25:23 Vous voulez faire péter le serveur ?

25:25 Difficile à dire.

25:26 Si on peut le faire péter, on le fera péter.

25:28 C'est difficile.

25:29 Une question un peu finance aussi.

25:31 Étant donné que c'est une application gratuite,

25:32 elle fonctionne comment ?

25:33 Elle fonctionne...

25:34 C'est nous qui...

25:35 Enfin, c'est le comité régional qui a financé,

25:38 sur ces deniers, la construction, le développement de l'application.

25:44 Et ensuite, on a un entretien, bien sûr,

25:46 une mise à jour qui se fait,

25:47 et qui est aussi faite par rapport à nos finances.

25:51 Je te remercie, Lilian.

25:52 C'est une question très pertinente

25:53 qui va me permettre de rebondir sur la prochaine.

25:55 Non, mais c'est très important

25:56 parce que comme de nombreuses associations sportives,

25:58 notamment, il y a eu une coupure budgétaire

26:01 qui a été faite au niveau des subventions.

26:03 Qu'est-ce que vous, vous avez mis en place, justement,

26:05 pour subvenir aux besoins de l'asso ?

26:07 Nous, malheureusement, on est obligés

26:09 de ralentir un certain nombre d'activités

26:11 et de soutien qu'on faisait

26:13 à nos comités départementaux

26:15 et aux organisateurs de manifestations.

26:16 Vous êtes au trop, quoi ?

26:17 Presque ou pas.

26:19 Ah, carrément ?

26:20 Ah, ouais ?

26:21 Non, on a perdu...

26:22 Enfin, on a eu un gros ralentissement dans les subventions.

26:24 20%, 30% ?

26:25 Et donc, c'est pour ça que, si je peux me permettre,

26:29 on lance un SRS aux entreprises, aux particuliers,

26:32 qui seraient intéressés, qui partageraient nos valeurs

26:35 pour venir nous aider.

26:36 Vous ne faites pas une cagnotte d'itchy, comme elles ont fait ?

26:38 De sponsoring, de...

26:39 Oui, plutôt du sponsoring, du mécénat pour les entreprises.

26:42 On est reconnus d'intérêt général.

26:44 Parce que c'est vrai que la Fédération française d'équitation

26:47 fait beaucoup de pubs, notamment avec Denis Brognard.

26:49 On voit passer sur certaines chaînes, voilà.

26:51 Et vous, il ne vous aide pas plus que ça sur le tourisme égal ?

26:54 Pas bien plus, non.

26:55 Donc, on lance un SOS, Julien, ici, sur ce plateau.

26:57 Exactement.

26:58 Une question aussi d'Aurélie, qui me demande

27:00 si les radars sont répertoriés dans votre application.

27:03 Pas encore.

27:04 On n'a encore eu aucune amende, je crois, avec cette vitesse.

27:08 Il n'y a pas.

27:09 Exactement.

27:10 Vous, l'équitation, David ?

27:12 Oui, c'est pas mal, après, je ne suis pas très souple,

27:14 le pauvre cheval.

27:15 Vous pouvez faire de l'attelage, David.

27:17 Oui, j'ai dans les frontières.

27:18 Ah, oui ?

27:19 Il aime ça, il adore.

27:20 Il faut aller faire du tourisme, il caisse.

27:21 Il y a des sentiers, justement, qui sont...

27:24 Pour l'attelage.

27:25 Préparés pour l'attelage.

27:26 Et vous savez, quand vous avez appelé l'application,

27:29 le truc des castors, je ne sais pas quoi,

27:31 pour enlever les bouts de bois, c'est David.

27:33 Ah, ben oui !

27:34 Il y a une collaboration qui va naître sur ce plateau, Julien.

27:36 C'est magnifique.

27:37 Vous allez prendre ces coordonnées et vous allez...

27:38 Ben oui, c'est magnifique.

27:39 Merci à vous, merci pour cette belle application.

27:42 Dans quelques instants, on va s'envoyer en l'air

27:44 avec Lilian Bard.

27:45 Alors, Lilian Bard, un petit jeu de mots,

27:53 on est en 10G, 5G.

27:55 10G, qui veut dire 10 fois...

27:57 Son poids.

27:58 10 fois son poids.

27:59 Vous savez, on a souvent l'habitude de parler des G en Formule 1.

28:02 On dit dans les virages de Formule 1,

28:04 on a un impact d'énergie qui est comparable à...

28:08 10 fois son poids, c'est solide.

28:10 Donc, on parle en G.

28:11 Et donc, le portrait de la semaine, c'est Thomas Léonard.

28:14 600 mètres...

28:15 Enfin, 600 pieds.

28:16 600 pieds.

28:17 Donc, c'est l'équivalent de 200 mètres environ.

28:19 Il n'est pas haut.

28:20 Non, il n'est pas haut du tout.

28:21 Ça décoiffe, là.

28:22 Et en catégorie ultra professionnelle,

28:24 on peut même descendre à 100 mètres d'altitude.

28:27 Alors, juste, j'espère que côté spectateur,

28:29 c'est Lillian qui est accroché...

28:31 Bien sûr, avec un cerflexe.

28:32 J'ai appelé le groupe Ozone avant pour demander comment ils avaient fait

28:36 sur leur clip "Nouma, Nouma yé".

28:38 Ah oui !

28:39 Du coup, ils m'ont donné deux, trois tutos.

28:41 Ah, il s'investit, David, à mon avis.

28:44 Oui, très bien.

28:45 La prochaine fois, il se mettra sur la barre.

28:46 Ça va travailler le brushing.

28:48 En tout cas, le portrait de la semaine,

28:50 parce que c'est bien beau de rigoler,

28:51 c'est Thomas Léonard.

28:53 Je suis allé à André Zio Boutéon le rencontrer.

28:56 Il est vice-champion de France en bi-place.

28:59 C'est moi que vous regardez ou derrière ?

29:01 Les deux.

29:02 Les images sont tellement belles.

29:03 Les deux, je regarde les superbes images qui ont été prises par pas moins.

29:06 Donc, Thomas Léonard qui est vice-champion en bi-place.

29:10 Là, actuellement, il vient de se lancer en monoplace.

29:14 C'est ce qu'on voit un petit peu avec une boisson énergisante.

29:16 C'est ce genre de choses qu'il fait ?

29:17 Exactement.

29:18 Des loopings, des saltos...

29:19 Mais dans la Loire ?

29:20 Dans la Loire.

29:21 Attendez, je ne t'en connais pas.

29:22 Alors, lui, il vole beaucoup au-dessus d'Avignon,

29:24 mais il vole également un peu à André Zio.

29:26 Là, vous voyez, on reconnaît...

29:27 C'est Saint-Bonnet, ça.

29:28 On reconnaît Saint-Bonnet.

29:29 Attends, je vais devoir passer Marianne avec sa voiture.

29:30 Il va nous parler dans son portrait de très belles images

29:33 qui ont été faites au milieu des monts Golfières

29:35 avec le mont Blanc en arrière-plan

29:36 qui ont été faites là, cet automne, dans la plaine.

29:40 Je vous propose de le rencontrer.

29:42 C'était à André Zio Boutéon, sur la piste, bien évidemment, de l'aéroport.

29:47 Et puis, juste après, on débriefe ensemble.

29:49 (musique)

30:17 Alors, je fais de la voltige aérienne.

30:19 C'est mon sport depuis 2010.

30:21 Il s'agit de faire des figures à bord d'un avion

30:23 notées par des juges au sol,

30:25 dans un espace donné d'un kilomètre par un kilomètre.

30:28 J'ai attaqué en 2013 les premières compétitions.

30:31 Ma première compétition, j'ai fait 5e.

30:33 Les 2e et 3e, je les ai gagnées.

30:35 C'était la Coupe de France et le Championnat de France bi-place au niveau espoir.

30:38 J'ai été vice-champion de France bi-place en 2021.

30:42 Et actuellement, je suis au niveau mono-place, au niveau advance,

30:45 qui est le premier niveau mono-place en voltige aérienne.

30:48 Donc, c'est des avions où on est seul à bord

30:51 et qui nous permettent d'aller jusqu'à 400 km/h

30:54 et avec des accélérations de plus ou moins 10 fois notre poids,

30:57 qu'on appelle des G, donc 10 G.

30:59 Donc, les compétitions se passent d'une certaine manière.

31:01 C'est un programme que l'on crée.

31:03 C'est comme du patinage artistique, c'est-à-dire qu'on joue notre programme

31:06 devant des juges et la compétition se passe sur 3, 4 programmes.

31:10 (musique)

31:14 Je me suis retrouvé sur une figure,

31:17 avec le moteur éteint.

31:19 On se retrouve à se dire "mais qu'est-ce que je vais faire ?

31:22 Je suis au-dessus d'une piste, mais comment ça marche ?"

31:24 Et finalement, le moteur est reparti, ça a fait un petit coup de stress

31:27 et puis ça permet de repartir sur de mauvaises bases,

31:30 mais ça permet toujours de repartir et de rebondir.

31:33 (musique)

31:36 On est à deux avions à tourner autour d'une montgolfière dans la plaine.

31:40 Le cliché sublime avec le Mont Blanc derrière et les Alpes

31:44 par une merveilleuse journée d'octobre, très ensoleillée.

31:47 C'est un souvenir sublime.

31:50 (musique)

31:54 Sur tous mes niveaux bi-places, j'avais mes deux peluches

31:57 que j'amenais toujours en vol avec moi, qui faisaient tous mes vols de compétition

32:00 en place avant, attachés, et que je sortais à la fin de chaque vol.

32:04 Les objectifs court terme, c'est repartir en compétition 2024,

32:09 les championnats de France, championnat d'Open de France.

32:13 Moyen terme, ce serait d'intégrer l'équipe de France et pourquoi pas

32:17 gagner un titre de champion du monde ou de champion d'Europe

32:20 avec l'équipe de France, le vol TIG Aérien.

32:22 (musique)

32:25 Hallucinant.

32:26 Intégrer l'équipe de France et devenir, pourquoi pas, champion de France déjà,

32:29 puisqu'il est vice-champion de France et puis champion du monde,

32:32 mais vice-champion de France déjà et en monoplace du coup,

32:35 parce que c'est pas la même discipline, on n'est pas sur les mêmes avions.

32:38 Non mais attends, j'ai pris un coup de stress, le moteur s'est arrêté,

32:41 j'ai pris un coup de stress, moi j'aurais sauté de l'avion.

32:44 Ah oui, alors du coup, quand même, j'ai posé la question,

32:47 il vole avec un parachute sur lui, au cas où il faut s'éjecter,

32:51 il a le parachute directement sur lui.

32:53 Mais l'avion est-il jugé en fait sur les figures ?

32:54 Et donc en fait, les juges sont au sol, et donc ça se fait de 1 km sur 1 km,

33:00 c'est ça la circonférence de la piste, si on peut dire,

33:04 et donc du coup, ils doivent réaliser un certain nombre de chorégraphies,

33:08 au même titre que sur du patinage artistique, on programme sa séquence,

33:12 et bien là, il apprend avant et on voit l'avant, on s'entraîne.

33:15 Alors moi, je vais demander à Seb s'il peut me geler la super photo

33:18 que vous avez mis, Lillian, où on voit l'avion, les avions,

33:22 les monts Golfières et le Mont Blanc derrière.

33:25 Je ne sais pas si on va pouvoir, si Seb va arriver à geler cette image.

33:29 On ne voit rien de tout ça, on va voir les deux avions.

33:30 On doit être à 2 minutes à peu près dans le sujet, je crois.

33:33 Après la seconde question de la photo.

33:36 - On voit bien le Mont Blanc. - Exactement.

33:39 - Et les Monts Golfières ? - Alors le Mont Blanc, on le voit,

33:41 effectivement, les Monts Golfières sont un peu sur le côté,

33:43 mais c'était sa photo préférée.

33:44 Mais j'ai eu d'autres photos de cette journée, on voit les Monts Golfières.

33:47 Mais là, on voit le Mont Blanc.

33:50 - Bon, il va en faire son métier. - Et il va en faire son métier.

33:52 Pour la petite anecdote, du coup, il travaille également dans la plaine,

33:56 et il est dans une entreprise familiale de transport,

34:00 et donc il a décidé à l'avenir de devenir professionnel réellement,

34:04 donc de pourquoi pas quitter son travail actuel,

34:07 et de devenir réellement professionnel dans l'aviation.

34:10 - David, vous voulez devenir professionnel ?

34:12 Non, pas d'avion, mais professionnel dans votre discipline ?

34:16 - Je pense que ça va commencer à être tard, mais ouais,

34:18 si j'avais pu être athlète de haut niveau...

34:19 - Jamais trop tard ? - Jamais trop tard, oui.

34:21 - Ah oui, c'est jamais trop tard.

34:23 - Et vous en pensez quoi, quand même ?

34:25 - Ah ouais, c'est ahurissant, moi je crains l'avion, en plus.

34:28 - L'avion, on est looping, parce que là, il y a deux choses.

34:31 - Il m'a proposé, il m'a dit "tu viens voler quand tu veux".

34:34 Je n'ai pas donné réponse encore, en tout cas.

34:36 Thomas, si tu me regardes, on en reparle, on se réécrit.

34:39 - Pas tout de suite. - Pas tout de suite, il faut que je réfléchisse.

34:41 - Il sera dans les montgolfières.

34:42 Voilà, dans quelques instants, on va parler running

34:44 avec notre spécialiste Ludovic Gidrol.

34:47 - Le public ne se trompe pas, Ludovic. Standing ovation.

34:57 - Exactement. L'info running, je ne savais pas quoi mettre,

35:00 parce que ça part dans tous les sens, toi.

35:02 - En fait, le running est très dense actuellement.

35:04 - Tu es dense. - Je ne sais pas si je suis dense,

35:06 mais en tout cas, il y a beaucoup d'événements, beaucoup de courses,

35:08 et ce n'est pas évident de parler de tous les événements.

35:11 Et notamment, on a fait un petit choix, cette fin de semaine,

35:16 on est allé à la rencontre du lancement du Pilotry.

35:19 Pilotry qui a plein d'objectifs, c'est vraiment l'événement try du 42,

35:24 c'est vraiment l'événement qui est le...

35:26 - Ça s'est imposé ? Dans le paysage, ça y est, on peut dire.

35:29 - Oui, oui, et puis c'est vraiment... Moi, j'ai été impressionné.

35:32 Donc, on a été invité à l'inauguration, au lancement de...

35:35 - De l'édition 2024. - Et c'était... Mais c'est incroyable.

35:38 C'est au millimètre... - C'est où, ça ?

35:40 Parce que moi, je n'ai pas eu l'invitation, c'était où ?

35:42 - Alors, cette topie-là, c'était dans une cave.

35:44 J'étais avec Lilian, on sera meilleur que moi quand on dit le nom de la cave.

35:47 - Non, non, non, je... - C'est bizarre.

35:50 - Parce que nous, on n'a pas eu l'invitation, hein. Je dis "on", mais...

35:53 - On aurait bien aimé venir. - On s'était à côté de Véron.

35:56 - Voilà, dans une petite cave, mais on était là professionnellement.

35:58 - On était entre Lyon et Saint-Etienne, et on était... - Je connais pas.

36:00 - Et on était à la rencontre, bah, donc, de cette...

36:04 - Et de cette équipe de professionnels. - Ouais, qui était vraiment...

36:06 - Une vraie équipe de professionnels. - Et on a rencontré un de leurs licenciés,

36:10 qui a une licence, mais qui en même temps est champion de France,

36:12 de travail, en même temps, qui a fait 10ème UTMB,

36:16 qui a un rêve... Donc, on peut aller voir, on va la rencontre de Baptiste.

36:19 - Vous avez compris, David, tout tourne autour de vous, hein.

36:21 Il a fallu qu'on trouve des champions comme vous, à ce niveau-là.

36:23 - C'est du haut niveau, là. - Bah, vous aussi, vous en êtes un.

36:25 - On va aller à la rencontre de Baptiste Chassagne. - On regarde.

36:28 - Allez, donc, Baptiste, bonjour. Donc, on est là pour le lancement,

36:33 l'immigration du Pilates Rallye 24. Dis-nous un petit peu,

36:37 donc, tu es ambassadeur de cette course. Dis-nous pourquoi tu es ambassadeur, alors.

36:40 - Alors, plus qu'être ambassadeur de la course, je suis même licencié du club,

36:43 donc, le jogging club Véran. C'est un territoire qui a quand même

36:46 une valeur symbolique hyper forte pour moi, puisque toute ma famille est de Saint-Et.

36:50 Moi, je suis né à Lyon, j'ai grandi à Lyon.

36:52 - C'est un mi-chemin entre les deux. - Exactement. Et du coup, c'est un mi-chemin

36:54 entre les deux, donc, c'est ce qui fait un peu mon équilibre.

36:56 Et la deuxième chose, c'est que j'ai franchement adhéré de fou aux personnes, quoi.

37:01 Donc, je suis devenu champion de France de trail en 2023.

37:04 À mon retour des championnats de France, du coup, il y avait juste une sortie

37:07 organisée avec le club, et en fait, il y avait un peu de bruit au loin,

37:11 et je rentre, et en fait, il y avait une sorte de haie d'honneur

37:14 avec de la musique, alors j'étais gêné, mais en même temps, j'étais hyper honoré

37:19 et j'étais touché de voir que les gens, ils étaient heureux pour moi

37:23 et fiers que je revienne avec le titre à la maison, quoi.

37:26 - Champion de France, longue distance, 10e UTMB. - Ouais.

37:31 Ta carrière va se dessiner sur quelle distance, à ton avis, maintenant ?

37:34 J'aimerais être performant de 5 heures d'effort jusqu'à 25 heures, globalement.

37:40 Mais moi, j'ai une course de cœur, tu la connais, c'est la Saint-Et-Lyon.

37:43 Et pour gagner la Saint-Et-Lyon, il faut être performant sur un format type 5-6 heures.

37:47 Donc l'idée, c'est de travailler encore une ou deux années, une ou deux saisons

37:51 pour garder vraiment des qualités de vitesse, essayer de gagner la Saint-Et-Lyon

37:56 à court terme, moyen terme, et après basculer totalement sur l'ultra.

38:00 Tu seras présent à la Saint-Et-Lyon cette année ?

38:02 Je pense que je serai présent, ce n'est pas encore totalement certain.

38:05 Et tu as un bel objectif, tu as un objectif 2024 ?

38:08 Ouais, alors mon objectif 2024, il est très clair, c'est de défendre mon titre.

38:13 Et là, les championnats d'Europe ont lieu à Annecy en mai,

38:16 et ça, les Europes à la maison, ça ne se rate pas.

38:18 Donc c'est le championnat de France, idéalement championnat d'Europe.

38:22 Si je ne me qualifie pas, j'irai sur une autre course de préparation pour l'UTMB 2024.

38:27 Est-ce que tu seras présent au Pilates Rails 2024, ou alors tu vas attendre 2025 ?

38:31 Parce qu'apparemment, peut-être qu'il serait support des championnats de France.

38:34 C'est des bruits de couloirs, c'est des rumeurs, et moi c'est des rumeurs qui me titillent.

38:38 Franchement, ce serait incroyable s'il y avait les Français dans le Pilates.

38:44 Ce serait franchement, enfin ouais, ce serait une belle fête.

38:48 Baptiste, en tout cas, bonne chance, belle saison 2024,

38:51 et puis au plaisir de se recroiser sur le Pilates Rails,

38:55 l'UTMB un petit peu partout en tout cas.

38:57 Merci beaucoup.

38:58 Merci à toi.

38:59 C'est énorme ce qu'il dit.

39:02 Un grand champion.

39:03 Une très belle personne.

39:04 On l'a déjà reçue sur le plateau.

39:06 On l'a déjà reçue à l'époque du triurban, où il est venu très...

39:09 Il a raison Lilian, j'aimerais être performant entre 5h et 25h.

39:13 Alors pour savoir, ça a été coupé parce qu'il y a eu beaucoup d'échanges,

39:16 mais 25h d'effort, pourquoi ?

39:18 Parce que c'est le temps moyen de la Diagonale des Fous.

39:21 Donc du coup, quand il dit qu'il veut être performant entre 5h et 25h,

39:24 c'est qu'il veut être performant entre une distance typée Saint-Élion

39:28 et une distance typée Diagonale des Fous,

39:30 donc l'une des plus grandes courses du monde.

39:32 Et on le revoit sur la Saint-Élion, mais ce n'est pas cette année qu'il a gagné.

39:35 Alors cette année, ça ne sera pas son objectif.

39:36 Son prochain objectif, c'est de défendre son titre.

39:38 Champion de France, donc longue distance en trail.

39:42 Donc là, son objectif cette année, c'est ça.

39:44 Et un jour, gagner Saint-Élion.

39:46 De toute façon, il ne veut pas arrêter sa carrière

39:48 tant qu'il n'aura pas gagné Saint-Élion.

39:50 Longue distance en trail, c'est combien ?

39:52 C'est 70 km à peu près, aux alentours.

39:55 C'est variable suivant les événements qui portent ces événements.

39:58 78 cette année, la Saint-Élion.

40:00 Et on peut quand même noter que Véran,

40:02 qui est une très belle organisation, avec Eul Pierre Trecq,

40:05 a grande chance d'accueillir les Championnats de France en 2025.

40:09 Ludovic, l'actu est dans son compte.

40:11 On part du côté de Deauville.

40:13 Oui.

40:14 Très joli.

40:15 Un petit clin d'œil à la qu'il envoie toujours ses résultats.

40:18 Et ça me fait toujours plaisir parce que c'est un grand athlète

40:20 et qui gagne pour la troisième fois d'affilée

40:22 le marathon de Deauville en 2h21.

40:26 Le chrono n'est pas par rapport au meilleur.

40:29 Non mais trois ans d'affilée, rien que ça déjà.

40:32 Et puis c'est quelqu'un qui enchaîne les marathons

40:34 avec des chronos à 2h20.

40:36 C'est un athlète également qui est très sympathique.

40:40 Dès qu'on se retrouve à Itty-Ballyère, on se rend compte.

40:44 Il a gagné le marathon de la bière aussi cette année.

40:47 Sans boire une bière.

40:49 Sans boire une bière, non c'est vrai.

40:51 Autre événement aussi attendu, à la Saint-Élion,

40:53 mais plutôt local, c'est la City, Ludovic.

40:55 La City qui est là, c'est le moment le plus fort

40:59 des inscriptions actuellement.

41:01 Vous étiez à Deauville aussi ? Ah non c'était dimanche.

41:03 Non, j'étais pas à Deauville.

41:05 Cette année, les organisateurs ont lancé une nouveauté,

41:09 c'est préparer le Saint-Estyrène ensemble.

41:13 C'est plus de 150 personnes qui sont venues

41:16 sur trois séances différentes préparer l'événement.

41:19 Donc c'était encadré par des ambassadeurs,

41:22 par des membres de l'équipe.

41:24 Et en fait, on a vraiment pris du plaisir,

41:26 on a vraiment passé trois séances super sympas.

41:29 Et je leur donne tous rendez-vous maintenant

41:31 le jeudi 30 novembre.

41:33 C'est la dernière roco ?

41:34 Par contre, là c'est la roco officielle.

41:36 Ah, parce que là c'était du bricolage ?

41:38 Non, là on était en prépa.

41:41 On courait autour du Parc de l'Europe,

41:44 on allait faire une prépa,

41:45 on s'entraînait avec 3-4 groupes différents.

41:48 Et que la roco, par contre, là c'est vraiment la roco du parcours.

41:50 C'est vraiment les gens qui veulent découvrir le parcours.

41:52 Et également, il y aura toujours 4-5 groupes différents.

41:54 Et les dates de la Citi ?

41:55 9 décembre.

41:56 Ah ouais, bravo !

41:57 Donc voilà, un grand événement avec plein de couleurs,

42:00 avec un slogan, un "Don't stop Mino",

42:02 c'est vraiment le...

42:03 Ah, sympa !

42:04 C'est... voilà, des beaux, des beaux.

42:06 Le rose se va bien !

42:07 Voilà, bleu pour les garçons, c'est...

42:09 puis... voilà, c'est...

42:11 On en donnera à Daniel.

42:13 Je dis pas ça Ludo, j'ai pris rose moi.

42:15 Je pense que c'est un grand événement.

42:17 Tous les événements aujourd'hui prennent une belle ampleur.

42:20 Le Citi est très bien lancé.

42:22 Je pense que vraiment on va faire des belles choses.

42:24 Et je noterais que c'est pas une manque que de la course.

42:27 Parce que ça va démarrer à 16h par de la boxe d'ail.

42:30 Donc avec...

42:31 Ah ça va se friter !

42:32 On va pas se battre nous.

42:33 Avec sport autrement.

42:34 Donc je pense qu'il y aura une belle émission à partir de 16h.

42:36 Après on va enchaîner avec les courses en sang.

42:37 Très bien.

42:38 On va enchaîner avec la Zumba,

42:39 on va enchaîner avec un blind test.

42:40 Et puis voilà, tous les 6 ou 12 kilomètres

42:42 avec encore plein plein de grands champions.

42:44 Non, on en reparlera.

42:45 Bah allez, tu reviens quand toi ?

42:46 Je reviens dans 15 jours, je te dirai où on en est.

42:48 Exactement.

42:50 Mais pensez à vous inscrire parce que...

42:51 Je t'amène David.

42:52 T'inquiète, pour la boxe d'ail.

42:53 David, d'ailleurs je vous donne un micro.

42:54 On se lève, vous nous allez apporter une barre.

42:56 Parce que j'ai mon dameski qui crie.

42:58 Ah je suis prêt.

42:59 Calme-toi.

43:00 Ah oui, du saut à la perche.

43:01 On va faire...

43:02 Eh bah venez les chroniqueurs, vous qui parlez.

43:04 Ah, toujours.

43:05 Tiens, Marielle.

43:06 Parce qu'on regardait sa force pure.

43:07 Elle m'a dit que j'ai une super force pure.

43:09 Là vous nous avez apporté une barre de combien ?

43:11 60 kilos avec les deux poids.

43:12 D'habitude, vous en rajoutez combien là ?

43:14 Bah moi j'en rajoute 5-6 quoi.

43:16 Si je monte à 280, c'est pour essayer.

43:18 On est heureux d'âme ? On va faire quoi là ?

43:20 On est heureux d'âme.

43:21 On va faire un soulevé de terre.

43:22 Ah échauffe-toi.

43:23 On va faire une rep quoi.

43:25 Ah, fais une rep ?

43:26 Peut-être sur les talons non ?

43:27 Non, avec les talons c'est plus sexy.

43:28 Si, vas-y.

43:30 C'est mieux pour les odeurs aussi.

43:32 C'est quoi, il y a une posture à voir ?

43:36 Bah la posture c'est déjà de regarder en l'air.

43:38 C'est de bien plier les jambes.

43:39 Ah c'est dur.

43:40 Ça c'est le dos.

43:41 Allez Marielle.

43:42 Des mains comme ça ?

43:44 Non, des inversées.

43:46 Prises inversées, ouais.

43:47 Allez, développe coucouche.

43:50 Vas-y la minouche.

43:51 Et regardez bien.

43:52 Développe coucouche.

43:53 Et rasez les jambes.

43:54 Mais toi, en face.

43:55 Mais c'est en talons.

43:56 Oui, oui, allez.

43:57 Développe coucouche, je te fais pas mal.

43:58 Je dois tenir combien de temps ?

44:01 Une seconde ouais.

44:02 Un, deux, allez c'est parti, bravo.

44:04 Si tu veux, je te la ramène.

44:09 Ah ouais, c'est pas mal.

44:10 Lillian, ça fait votre poids presque.

44:12 Non t'as pris un peu plus.

44:14 Je crois que t'as pris derrière un peu là.

44:15 Ah ouais, t'as pris là.

44:16 Il a pris du coup, du trapèze.

44:17 Ouais, ça doit être ça lui, il a pris du coup.

44:19 Les mains inversées t'as dit hein.

44:21 Ah bah il est bien, regarde.

44:23 Il peut les mettre au-dessus de la tête.

44:25 Au-dessus de la tête ?

44:26 Peut-être pas, peut-être pas en dépollongé.

44:27 Comme ça, vas-y.

44:28 Non, non, ça va monter.

44:29 C'est pas mal.

44:30 Et ça vous le faites quatre fois par...

44:32 Moi par semaine, je fais une heure, deux heures de souletière quoi.

44:35 Donc je pars de...

44:36 Ouais, je monte la chaîne d'eau, mettons, je démarre à 120, 160.

44:40 Je fais 3-4 reps et après je monte jusqu'à 250, ça dépend, en 10 jours.

44:45 Et un record perso dans votre garage ?

44:47 Mon record 280 en compétition et dans mon garage 280 kilos.

44:50 Et j'aimerais bien arriver à 300 kilos un jour.

44:52 Si on n'a pas de micro, on peut pas parler, vous le savez.

44:53 Et dans un garage tout seul, c'est pas dangereux ?

44:55 Parce que, c'est quand même des poids énormes quoi, si vous vous loupez un petit peu.

44:59 Ah, on reprend.

45:01 Venez, on se met sur le tour de la table parce que...

45:03 Allez-y, allez-y.

45:04 Alors justement, parlez, dites-nous.

45:05 C'est compliqué ou pas dans le garage ? Ludo relance un peu les choses.

45:09 Non, c'est pas compliqué.

45:11 Hein David ?

45:12 Non, c'est pas compliqué dans le garage pour le soulevé de terre, vu qu'on se donne à fond.

45:15 C'est un soulevé de terre, c'est vrai que pour le squat ou le déopé couché, ça serait plus dur.

45:18 Mais surtout David, il a besoin qu'on l'aide financièrement, c'est ça ?

45:22 Voilà, pour du matériel, pour des poids.

45:23 Ouais, ça coûte un peu des sous.

45:24 Moi j'ai besoin de mon maire pour un déménagement.

45:26 Moi si ça paye bien.

45:28 Et lui, il peut en prendre une maison.

45:31 Merci à vous David, on peut l'applaudir bien fort.

45:33 Merci à vous.

45:34 On n'oublie pas Damien, qui va se lancer au lancer de marteau et surtout à la perche.

45:41 Et il commence par quoi d'après vous ?

45:43 Je pense qu'il va commencer par le marteau, non ?

45:45 Marteau, allez.

45:46 Non, la perche.

45:47 Damien, avance.

45:48 Ah, la perche.

45:49 T'es prêt ?

45:50 Oui, ça y est, je suis équipé, j'ai ma perche.

45:54 Bon, allez, j'y vais.

45:55 Et puis, 3, 2, 1.

46:02 Oh, il s'est pris le fil.

46:04 Il est en décor.

46:06 La pétinure.

46:07 C'est dur.

46:08 Je remarque, là, c'est dur.

46:10 C'est le fil du chef.

46:11 C'était moyen.

46:12 C'était moyen quand même.

46:13 T'es parti sur le côté là, parce que t'as été pas resté suffisamment derrière ta perche.

46:17 J'ai pas été assez droit, c'est ça.

46:19 Et puis, t'as manqué un peu de vitesse.

46:22 Bon, quelle est la technicité qu'il faut quand même pour...

46:25 Ce qui est bien, c'est que t'as le mental, t'y es allé quand même.

46:28 Parce que c'est pas évident.

46:29 C'est pas évident.

46:30 Bravo.

46:31 Il faut s'arrêter.

46:32 Il y a des moments où on fait.

46:33 Il y a des moments où on fait.

46:34 Et il y a des choses pareilles.

46:35 Bon, écoute, même si...

46:36 On part sur le marteau.

46:37 Sur le marteau, voilà.

46:38 Ça, ça fait pas partie du décathlon, mais c'est quand même une édification olympique.

46:42 C'est un jour, le défi.

46:43 Bien sûr, bien sûr.

46:44 C'est une édification olympique où on se débrouille bien.

46:47 Il y a eu des bons résultats, d'ailleurs, en plus.

46:49 D'accord, ouais.

46:50 J'ai la chance de me retrouver quand même avec Philippe.

46:53 Philippe, qu'est-ce que tu m'as préparé ?

46:55 Dis-moi tout.

46:56 Un engin plus chaud que l'argent, je vais te faire 5m50.

46:59 Ah bah ouais, c'est parti.

47:00 Donc, écoute, si je peux être qualifié pour les JO 2024, ça te va bien ?

47:05 Damien, est-ce que c'est lourd, le marteau ? Il pèse combien ?

47:07 Il ne coûte pas, il n'est pas là.

47:09 On part sur la moulinette, c'est ça ?

47:10 Oui, il est concentré.

47:11 OK.

47:12 Deux moulinettes.

47:13 Oui.

47:14 Et là, tu retournes juste au niveau des épaules pour faire le sapinage.

47:18 Allez, par contre, attention.

47:19 Allez, une luxation, c'est la douze.

47:21 C'est chouette, cette structure-là.

47:22 Attends, mais commence pas.

47:23 Non, il y a du monde dans le grillage encore.

47:25 Il fait…

47:26 Oh, le cadreur !

47:27 Et en plus, ce n'est pas droit.

47:30 C'est presque dans le cadre.

47:31 Quoi ? Ils ont dit quoi ?

47:32 C'est presque pas vrai.

47:34 C'était bien ?

47:35 Il y a juste… Tu as tiré un petit peu trop avec les bras.

47:39 Ah ouais.

47:40 C'est dommage.

47:41 Bon, écoutez, je vais contrôler quand même ce que me dit Philippe.

47:45 J'ai l'impression qu'on est un peu plus loin.

47:47 Bon, moi, je vous fais des bisous.

47:49 Finissez les émissions.

47:51 Ciao, ciao.

47:52 C'est vrai, il a été courageux.

47:54 Il a été très courageux, voilà, Damien.

47:58 On était à 100 % d'un cadreur.

48:00 Exactement.

48:01 Eh bien voilà, l'émission est terminée.

48:04 Oh, bah oui, ça passe très très vite.

48:06 C'était bien, mon petit ananas ?

48:07 Elle est là.

48:08 C'était bien ?

48:09 Tu t'appelles comment ?

48:10 Elle ne veut pas parler.

48:11 Moi, je t'appelle ananas, alors.

48:13 Alors, si Ananas veut se revoir ce soir à la télé,

48:17 on est présents sur toutes les boxes, sur le replay.

48:19 Vous êtes de plus en plus nombreux à nous suivre.

48:21 Alors, si comme Ananas, vous voulez venir à l'enregistrement,

48:24 n'hésitez pas, il reste encore 4 émissions.

48:26 À bientôt.

48:27 À la semaine prochaine.

48:28 Ciao, bye.

48:30 Sous-titres par Jérémy Diaz

48:33 Abonne-toi !

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