Christian Devèze, MODEM et Emmanuelle Brisson, LR, candidats dans les Pyrénées-Atlantiques
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00:00Il est 8h14, ce matin, France Bleu Pays Basque met un nouveau coup de projecteur sur les élections législatives.
00:06Ce matin, c'est la sixième circonscription, c'est-à-dire les électeurs du sud du Pays Basque,
00:10la côte de Biarritz-Sindaï, en passant par Cambo et Espelette, voici-là.
00:14Et on reçoit Christian Devese, le maire de Cambo, qui se présente avec l'étiquette modem majorité présidentielle.
00:20Bonjour Christian Devese.
00:21Bonjour à toutes et à tous.
00:22Vous espérez donc prendre la suite de votre collègue, le député sortant de la majorité présidentielle, Vincent Brue,
00:27ancien maire lui aussi de Cambo, qui s'éloigne de la vie politique.
00:31Qu'est-ce qui vous a poussé à essayer encore une fois de prendre sa suite,
00:35non pas sur les municipales, mais sur les législatives ?
00:37C'est vrai, je marche un petit peu sur ces traces, c'est le hasard de la vie et de la vie politique en espèce.
00:43Ce qui m'a engagé dans cette mission, j'ai à dire, puisqu'on est en mission,
00:47on a effectivement la nécessité de sauver cette République et cette démocratie.
00:53Depuis le 9 juin dernier, le président Macron a mis fin, a dissout l'Assemblée nationale,
01:02donc a mis fin à cette mandature et il appartenait derrière aux Français,
01:07qui effectivement ont souvent été irrités par cette décision, par la soudaineté de ces décisions,
01:11mais il appartenait donc aux Français, à certains d'entre eux, de se positionner,
01:17d'essayer de, j'allais dire, dans une démarche qui lui appartient d'ailleurs au président,
01:21qui n'est jamais que redonner la parole au peuple, ce n'est pas un déni de démocratie,
01:25il fallait se positionner, je l'ai fait, pour reconstruire effectivement une majorité.
01:29– Christian Devese, quand je vous entends parler,
01:31j'ai l'impression que vous essayez d'éteindre un incendie,
01:34plutôt que de présenter un programme pour une France unie, alors que sais-je, pour quelle raison ?
01:40Mais voilà, vraiment d'essayer d'éteindre le feu qui a été allumé par M. Macron,
01:43plutôt que de présenter un programme.
01:45– Écoutez, je n'ai pas à éteindre le feu de M. Macron, je suis nouveau…
01:48– D'accord, vous dites sauver cette république, cette démocratie ?
01:51– Oui, sauver une démocratie, c'est surtout s'opposer aux extrêmes qui se présentent à nous.
01:56Vous avez en face de nous, j'allais dire, deux idéologies,
02:00les deux qui se manifestent donc par, vous le découvrez tous les jours dans les médias,
02:06dans vos confrères, c'est en réalité une nécessité de former,
02:11d'essayer de former un bloc au centre, un bloc réuni pour lutter contre,
02:15j'allais dire, aussi bien d'un côté, j'ai envie de dire les deux fronts,
02:18l'ancien front, rebaptisé le Rassemblement National,
02:21et de l'autre côté donc le nouveau front populaire.
02:25Mais personne n'est dupe, personne n'est trompé, il s'agit de deux idéologies,
02:30j'allais dire centralistes, démocratiques dirait Marx d'un côté,
02:35et de l'autre, je n'ai pas besoin de le souligner,
02:37chacun sait ce que représente donc le Rassemblement National.
02:40Donc, pour ce qui est de notre territoire, effectivement,
02:42éteindre un incendie, c'est surtout s'opposer à l'émergence d'un de ces blocs,
02:47parce qu'on sait très bien que dans la gestion de nos collectivités,
02:51dans lesquelles donc, pour ce qui me concerne en tout cas,
02:53je travaille depuis une trentaine d'années,
02:55vous avez rappelé mes fonctions de maire,
02:58j'étais antérieurement également adjoint, bref,
03:01trente années à peu près, trois ans à la région,
03:04j'ai acquis certaines connaissances du terrain,
03:07et je sais que, effectivement, la gestion par ces blocs-là,
03:10de ce que sont aussi bien la région que le département,
03:14et même l'agglomération Pays-Basque et encore davantage les communes,
03:18eh bien, ça serait impossible.
03:19Ça serait impossible d'ailleurs sur ce territoire du Pays-Basque.
03:22Est-ce qu'on gagne une élection en ne misant que sur l'anti-RN
03:27ou l'anti-Union de gauche,
03:29ou est-ce qu'il y ait le projet de société proposé par la majorité présidentielle ?
03:34Effectivement, je crois qu'il s'agit, c'est ça,
03:36il s'agit d'un projet de société,
03:37mais ce projet de société, il faut le construire,
03:39il faut qu'on passe d'une majorité présidentielle,
03:42c'était celle que nous vivions depuis 2022,
03:44le président avait une assemblée disposée d'une majorité présidentielle,
03:49eh bien, il faut désormais passer dans une majorité parlementaire.
03:52En tout cas, c'est ce que je conçois,
03:54c'est ce que je cherche à faire avec mes amis,
03:57constituer encore une fois ce bloc,
04:00tout en gardant d'ailleurs sa liberté de penser et d'appréciation,
04:04certes à l'intérieur d'une discipline de groupe,
04:06mais, j'allais dire, constituer, contrecarrer ces deux initiatives
04:10qui effectivement, au soir des élections européennes,
04:15nous font craindre le pire.
04:16Donc c'est sauver la République.
04:18– Et vous n'avez pas peur de payer, justement,
04:19cette étiquette de la majorité présidentielle
04:23qui a pu s'exprimer notamment lors des européennes ?
04:25– Vous voulez me coller une étiquette de majorité présidentielle ?
04:29Je suis nouveau, je vous le dis,
04:31je garderai ma capacité, je l'espère, d'appréciation,
04:35je suis sur ce territoire avec certaines connaissances fines de celui-ci,
04:39et donc je ferai valoir cette expérience,
04:43tout en bien évidemment respectant les valeurs qui sont les nôtres,
04:47à savoir la modération, la tempérance, l'équilibre.
04:52– Expérience fine, par exemple, est-ce qu'il y a des dossiers
04:54sur lesquels vous avez envie d'agir en particulier ?
04:57– Oui, expérience fine, je veux dire, de par ma profession,
05:01j'ai connu tout ce territoire, je le connais encore,
05:03j'interviens dans le monde économique,
05:05mes fonctions d'experts comptables et de commissaires aux comptes
05:09m'ont amené à travailler à Saint-Jean-de-Luz, à Sandaï,
05:11dans les ports, dans les commerces, en Pays Basque Intérieur,
05:14pas seulement à Cambeau mais ailleurs,
05:16donc je veux dire que j'ai cette connaissance,
05:18et je connais bien ce secteur.
05:19– Que vous connaissez le terrain, oui, mais sur les sujets ?
05:21– Oui, sur les sujets également, il y a des sujets prégnants,
05:24je ne vais pas vous les connaître.
05:26– Mais un seul, s'il fallait en donner un seul ?
05:27– S'il en fallait donner un seul, bien évidemment,
05:29sur ce territoire, indépendamment de l'ordre qui est important,
05:32bien évidemment, c'est celui du logement.
05:35– Justement, vous êtes prêt à laisser Cambeau,
05:37alors qu'il y a quand même un dossier brûlant sur celui du logement,
05:40je rappelle que vous avez été bousculé lors d'un conseil municipal,
05:43après une discussion sur le dossier Marienia,
05:46du nom de ces logements qui doivent être construits sur des terres agricoles,
05:49est-ce que vous êtes prêt à laisser Cambeau pour aller vers d'autres terrains ?
05:55– Être bousculé physiquement, ce n'est pas forcément être bousculé
05:58dans ses esprits ou dans sa tête,
06:00et effectivement, si j'ai maintenu mes positions
06:04lors de ce conseil municipal si délicat,
06:09c'est parce que je suis convaincu
06:11que la politique qui est menée à Cambeau est la bonne,
06:13et au-delà de Cambeau, ce problème du logement
06:16devra déboucher sur une grande loi sur le logement.
06:21Un ministre en l'espèce venait d'être nommé,
06:25il a beaucoup travaillé, y compris avec la communauté d'agglomération,
06:28y compris avec certains élus, dont Mme le maire de Guétary
06:33qui fait des apports très significatifs en l'espèce.
06:36J'aimerais pouvoir revenir sur ce sujet,
06:38on ne manquera pas de le faire, les délais sont trop courts, mais on y reviendra.
06:41– Merci Christian Devesre, je rappelle donc maire de Cambeau
06:44qui se présente avec l'étiquette modem majorité présidentielle
06:47sur la sixième circonscription.
06:48– Et justement, on continue de parler de cette sixième
06:50avec notre deuxième invité, Emmanuel Brisson,
06:52candidat de LR.
06:54– Ici Matin, revient dans un instant.
07:00– Mercredi, événement en direct à 18h20,
07:03les phases finales du Poitiers Women Series 2024 sont sur nos ordres.
07:08Vivez les quarts, demis et finales de la compétition
07:11reine du 3 contre 3 féminin mondial.
07:19Plusieurs équipes internationales vont s'affronter,
07:22place du maréchal Leclerc à Poitiers.
07:25Women Series 2024 à vivre en direct,
07:28mercredi à 18h20 sur NOA.
07:34NOA, votre chaîne 100% Nouvelle Aquitaine
07:37disponible sur tous vos écrans.
07:40– On va tout l'avoir, qui en a marre, qui en a marre ?
07:43– Tous les samedis, L'Ovalie et sur France 3.
07:47Résumé de match, interview et reportage près de chez vous.
07:50– J'aurai un tour rugby qui m'a apporté.
07:52– Vous saurez tout sur vos clubs de cœur, pros ou amateurs.
07:55– J'ai jamais vu ça de ma vie, j'ai jamais eu autant d'émotions.
07:58– Rencontre à 15, l'essai gagnant du samedi,
08:01à 10h sur France 3 et sur la plateforme France.tv.
08:04– C'est l'heure du rendez-vous !
08:15– Il est 8h22 sur France Bleu Pays Basque
08:17et François est au chcalerie.
08:19– Bonjour Yves Tussaud. – Bonjour Lucas, bonjour à tous.
08:21– On reste sur la sixième circonscription,
08:23donc avec notre second invité ce matin,
08:25Emmanuel Brisson, candidate Les Républicains.
08:27– Emmanuel Brisson, bonjour. – Bonjour Yves, merci de me recevoir.
08:30– Merci d'avoir accepté notre invitation.
08:32Qu'est-ce qui vous différencie de Christian Devez,
08:35le candidat de la majorité présidentielle ?
08:37Qu'est-ce qu'il y a de différent entre vous ?
08:39– Ce qui me différencie déjà de Christian Devez,
08:42le candidat de la majorité présidentielle,
08:44c'est que moi j'affiche mes couleurs.
08:46J'ai regardé le document de campagne de Monsieur Devez,
08:48il a un comité de soutien, certes,
08:50mais il oublie de préciser qu'il est le candidat
08:52de François Bayrou et d'Emmanuel Macron.
08:55– Candidat de la majorité présidentielle.
08:57– Candidat de la majorité présidentielle.
08:59– Il l'a dit à l'instant, mais il n'y a pas que ça qui va vous différencier.
09:02– Il ne l'a pas dit sur ses documents de campagne,
09:04il voudrait nous faire croire,
09:06il voudrait nous faire oublier sept ans de crise successive,
09:08sept ans d'opposition stérile avec le Rassemblement National,
09:12sept ans en même temps qui dégagent
09:14de larges espaces politiques pour les extrêmes,
09:16et pour les extrêmes, ceux-là, ils doivent emporter la responsabilité.
09:19– Mais votre candidature, elle est en opposition à Emmanuel Macron
09:23et à Christian Devez, candidat dans la sixième,
09:26ou en opposition au Rassemblement National
09:29et au candidat à Berthesalais du Nouveau Front Populaire ?
09:31– Écoutez, moi je veux être une députée libre,
09:35c'est-à-dire libre de penser ce que je veux,
09:38libre de me différencier à la fois d'Emmanuel Macron,
09:41de Jean-Luc Mélenchon, mais aussi de Marine Le Pen.
09:44Moi par exemple, vous me demandez comment je me différencie,
09:46je veux porter une vraie loi logement,
09:48une vraie loi logement qui n'a jamais été portée par les députés macronistes.
09:52– Mais vous y mettez quoi dedans ?
09:53– Alors qu'est-ce que j'y mets ?
09:54– Rapidement.
09:55– Déjà, on sait que le Pays Basque connaît une vraie crise du logement,
09:58moi ce que je veux, c'est rétablir les capacités de production des bailleurs sociaux.
10:02On le sait très bien, en 2017, Emmanuel Macron et Bruno Le Maire
10:05ont fait les poches des bailleurs sociaux au moment de la réforme de la loi APL.
10:09– Donc vous remettez de l'argent public pour la construction de logements sociaux ?
10:12– Bien sûr.
10:13– Et est-ce que vous inversez le régime fiscal sur les plateformes de location type Airbnb ?
10:19– Évidemment, moi je défends la loi Echanise,
10:22et je suis également favorable à l'encadrement des loyers en zone tendue,
10:26donc je partage exactement les objectifs de la loi de régulation des locations saisonnières.
10:32– Alors sans vouloir être désagréable, il y a fort peu de chances que vous soyez au deuxième tour
10:36si l'on regarde la sociologie de la circonscription et les derniers résultats.
10:41Si vous n'êtes pas à ce deuxième tour,
10:43vous serez quasi dans l'obligation d'appeler à voter Christian Devers
10:46si vous ne voulez ni du RN, ni de la gauche de la gauche.
10:49– Écoutez Yves, moi je ne fais pas une candidature de témoignage,
10:52je veux être au second tour et je serai au second tour,
10:54pourquoi ? Parce que je mène une campagne de proximité.
10:57Aujourd'hui je suis tous les jours sur le terrain, je rencontre énormément de personnes
11:01et à chaque fois ils me disent une chose, c'est qu'ils ont besoin d'espérance.
11:04Donc je serai au second tour.
11:06– Mais l'espérance c'est un programme,
11:08est-ce que vous n'en voulez pas à la direction de votre parti,
11:11les Républicains à Paris, où certains se sont cachés
11:15et où on a le sentiment que peu ont travaillé
11:17pour proposer un vrai programme aux Français.
11:19Il n'y a pas de programme, il n'y a pas d'incarnation chez les Républicains.
11:22– Écoutez, on a subi une crise avec les Républicains,
11:24Éric Ciotti a fait le choix de partir et c'est très bien,
11:27ça nous a permis justement de faire le ménage,
11:30et parfois en famille on a besoin de faire le ménage.
11:32– Mais vous avez mis des années à comprendre qu'Éric Ciotti
11:34était plus proche du Rassemblement National que des valeurs gaullistes ?
11:37– Non, pas du tout.
11:38Écoutez, nous les Républicains, on a un passé,
11:40donc on a un avenir, contrairement aux macronistes.
11:43Donc je pense qu'Emmanuel Macron s'est terminé,
11:46il y aura un après-Macron, et l'après-Macron,
11:48il doit se faire autour d'une droite républicaine et indépendante.
11:51– Oui, mais en l'État, on a plutôt le sentiment
11:53que l'après-Macron peut se faire à l'extrême droite.
11:56– Mais pas du tout.
11:57– Vous n'avez pas d'inquiétude par rapport à ça ?
12:00– Par rapport à l'extrême droite ?
12:01– Vous n'avez pas d'inquiétude par rapport à la possible majorité
12:04parlementaire Rassemblement National le 8 juillet ?
12:07– Bien sûr, je suis très inquiète.
12:08Moi, je combats l'extrême droite, je le combats fermement.
12:10Je ne veux pas d'alliance avec l'extrême droite,
12:12je ne veux aucune alliance avec l'extrême droite,
12:14ni avec Emmanuel Macron, et encore moins avec Jean-Luc Mélenchon.
12:16– Vous dites que vous faites campagne et que vous croisez
12:18nombre d'électeurs, est-ce qu'ils vous parlent du pouvoir d'achat ?
12:21– J'entends que ça.
12:22Les gens me parlent du pouvoir d'achat toute la journée.
12:25– Mais quelle est la réponse que vous apportez
12:28à ces potentiels électeurs ?
12:30Vous leur dites quoi ?
12:32C'est une bonne idée, même si ça ne vient pas de mon camp ?
12:34– Déjà, je leur dis qu'il faut baisser la TVA
12:36sur les matières de première nécessité.
12:38Il faut diminuer aussi les taxes de carburant.
12:41Voilà ce que je leur dis.
12:42On voit beaucoup de gens qui souffrent aujourd'hui
12:44et il faut répondre à leur souffrance.
12:47Et c'est exactement ce que je veux faire si je suis élue députée.
12:49– Donc, si vous êtes élue, si les députés républicains sont aux manettes,
12:53on baisse la TVA pour ramener du pouvoir d'achat ?
12:56– Moi, c'est ce que je proposerais, oui.
12:57Je serais la marionnette de personne, si ce n'est que de mes électeurs.
13:01– Pourquoi vous parlez de marionnette ?
13:03– Parce qu'aujourd'hui, on voit très bien trois blocs à l'Assemblée nationale.
13:07Il y a ceux qui sont aux manettes d'Emmanuel Macron,
13:10ceux qui sont aux manettes de Jean-Luc Mélenchon
13:12et ceux qui sont aux manettes de Marine Le Pen.
13:14Moi, je serais une députée libre et indépendante.
13:16– Mais à quoi sert une députée libre et indépendante
13:18si elle n'est pas dans la majorité ?
13:20– Elle sert à faire porter la voix de ses électeurs.
13:23Et aujourd'hui, moi, ce qu'on me dit,
13:24c'est que les gens ne croient plus du tout en la politique.
13:26Ils n'en peuvent plus, parce qu'ils savent très bien que c'est tous les mêmes.
13:30Donc, au bout d'un moment, on a besoin de changements, de renouvellement
13:33et de faire porter une voix indépendante aux Pays-Basques.
13:37– Et juste en un mot, quant au Parlement de Navarre à Pau,
13:40les Républicains gouvernent avec les centristes, Jean-Jacques Lasserre.
13:45Est-ce qu'il est possible que la Pau ne l'ait pas à Paris ?
13:48– Écoutez, moi, je ne suis pas au Parlement de Navarre,
13:50donc je pense qu'on est dans une élection nationale.
13:53On doit afficher nos couleurs.
13:55Et je suis très contente qu'on ait des candidats, les Républicains, partout.
13:58– Merci Emmanuelle Brisson d'avoir accepté notre invitation.
14:00Bonne journée à vous. – Merci à vous, bonne journée.
14:02– Et les autres candidats de la 6ème circonscription du 64,
14:05il y a aussi Pio Dufou pour le Nouveau Front Populaire,
14:07Jean Telleccia pour le PNB, Victor Lastecouère du côté du RN,
14:11allié avec Éric Ciotti, Jacqueline Huard pour Lutte Ouvrière,
14:14Corinne Bertelot pour les écologistes,
14:16et Eva Pernet pour le Divers Centre.