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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 08/07/2024.

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Sport
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00:00Suite de l'équipe de Greg, merci d'être avec nous, on est avec Nubleux, un gym voisin
00:05avant le match contre l'Espagne, on est déjà à fond, on se demandera si les français
00:09sont favoris, si l'expérience compte, si ça fait que les français sont devant, parce
00:14qu'ils ont des poulies qui ont déjà gagné par rapport à cette jeune équipe d'Espagne.
00:17En plus il y a pas mal de suspendus et de blessés, on aura également la petite Lucarne,
00:22on aura le zapping, on jouera, on aura le footwork.
00:24Mais maintenant on va s'intéresser à Mike Mignan, et on va écouter Didier Deschamps,
00:29le sélectionneur, de nous faire l'éloge de son gardien.
00:32Vous n'avez pas besoin de moi, c'est un gardien de très haut niveau, il a une très
00:40bonne présence sur la ligne, bien évidemment, il est à l'aise dans les airs, au sol, avec
00:46le pied ça lui pose pas de problème, et en plus c'est un bon leader pour diriger les
00:52joueurs qui sont devant lui, il ne les a pas découverts aujourd'hui, là il s'est
00:58mis certainement plus en valeur, parce qu'il a eu aussi à plusieurs moments des soucis
01:05physiques qui l'ont certainement empêché d'avoir de la continuité.
01:08Alors je vous pose la question, est-ce que Mike Mignan est le véritable patron des Bleus,
01:14oui ou non ? Ça sous-entend beaucoup de choses notre question, à ce rythme bientôt, donc
01:18c'est non Alicia, pour le moment c'est non, pour le moment c'est non, non c'est Deschamps,
01:24désolé Ludo, ils vont pas se lâcher les deux là, oui c'est lui le vrai patron, je
01:30trouve qu'il est très offensif là, attention, parce que quand il est sur les côtes il répond
01:35lui sur le mollet, oui et oui pour Charlotte et Ludo, et l'un des patrons, bien là c'est
01:39la place de Raphaël, du coup on en répond comme Raphaël, on prend pas de risque, tiens
01:43j'aime bien mais je vais aller voir Benoît quand même d'abord, parce que Benoît il
01:45a eu des gardiens derrière lui, et Charlotte aussi, donc je vais attaquer par vous deux,
01:49quand on a un gardien comme ça derrière, on avait entendu vous…
01:51Il était attaquant, il a pas de gardien derrière lui, tellement vous étiez offensifs,
01:56tout ça on a compris, quand on a entendu avant les séances de tournoi, il défendait
01:58un minimum parce que lui il défendait pas, il marchait, vous l'avez entendu cette
02:02phrase, il disait les gars on a Mike, les joueurs de l'équipe 2, vous m'écoutez
02:07pas Benoît restez avec moi, les gars on a Mike, on a Magic Mike, ça dit beaucoup non,
02:13bien sûr, lorsqu'on est défenseur et qu'on a un gardien tel que Mike Mignon qui déjà
02:16au pied est très serein, ça veut dire que vous pouvez vous écarter, pied droit, pied
02:20gauche, le ballon, vous l'aurez dans les pieds, vous n'aurez pas un mètre à vous
02:24décaler à droite ou à gauche, il sera dans vos pieds et vous pourrez accompagner le ballon
02:29vers le jeu.
02:30Donc déjà rien que ça c'est incroyable, dans les airs il est présent, sur la ligne
02:35pareil.
02:36Mais patron de jeu ou patron de vestiaire ou patron qui parle peu mais qui dit beaucoup
02:40? Rég, apparemment de ce que j'ai lu, il parle
02:44peu mais quand il parle tout le monde l'écoute, donc c'est que déjà il y a une âme de
02:49patron en lui.
02:50Quand José Fontes à Lille, qui est quand même un très grand joueur, dit oui derrière
02:55Mike c'était le patron, on était rassuré de jouer avec Mike et derrière, c'est que
03:01déjà c'est un patron sur le terrain et parle la parole, parle la parole comme il
03:05dit, il parle peu mais quand il parle on l'écoute.
03:07Et clairement aujourd'hui l'Euro qui fait c'est le numéro un et je pense qu'aujourd'hui
03:13avec Courtois c'est peut-être le meilleur gardien du monde.
03:17Effectivement c'est vrai, Mike Maignan ce n'est pas quelqu'un qui va parler énormément,
03:20qui va faire de grands gestes, qui va être le plus expressif, qui va s'exprimer à tout
03:24bout de champ, mais comme l'a dit Benoît, quand il parle on l'écoute, n'est-ce pas
03:28Youssouf Oufana ?
03:29Dans un premier temps pour un gardien c'est naturel d'avoir ce poids-là dans son équipe,
03:37après Mike avec le ton de voix qu'il a, c'est vrai qu'il est plus écouté que la norme
03:46et le fait qu'il ne parle pas tout le temps, quand on entend sa voix ça fait tilt.
03:53En Allemagne, depuis le début de la compétition, il n'a pris la parole qu'une seule fois dans
03:57le vestiaire, c'était à la mi-temps de France Pays-Bas, 30 secondes en suffit pour
04:01faire passer des messages.
04:03Il ne s'est jamais présenté en conférence de presse parce que c'est un exercice qu'il
04:07n'apprécie pas particulièrement.
04:09Oufana parlait de sa voix, c'est vrai qu'il a un timbre de voix assez particulier, il
04:13a du charisme, il a une présence et tout ça en plus c'est naturel chez lui, c'est
04:18spontané.
04:19Il est avec Antoine Griezmann l'un des deux relais privilégiés de Kylian Mbappé, c'est
04:23aussi un joueur qui arrive à faire le lien entre les différentes générations, aussi
04:27à l'aise avec les trentenaires qu'avec les jeunes et sur le terrain, on le disait
04:31aussi, il dégage cette sérénité qu'il insuffle à ses coéquipiers donc finalement
04:36Mike Meignan il a tout pour devenir un patron et surtout il est dans la lignée des plus
04:40grands gardiens français.
04:41C'est vrai, Charlotte Cugoliori c'était un capitaine plutôt discret, on l'a vu dans
04:46les reportages ou dans les documentaires d'après compétition que quand même sa voix portait,
04:50c'est pas une question de dire l'inverse.
04:51Mais on a le sentiment que pour sa première compète, alors que c'était une désinterrogation
04:56d'avant Euro, que Meignan il est né pour ça, c'est un leader naturel.
05:01L'ampleur qu'il a pris en Italie elle est monstrueuse, de s'imposer comme ça et de
05:06ce que je peux observer pendant les matchs, c'est qu'il y a très peu de doute qui plane.
05:11Il n'y a pas de fioriture, il ne sort pas pour sortir ou il n'est pas sûr de lui.
05:16Benoît parlait de son jeu au pied qui est très intéressant mais c'est tout ce qu'il
05:22dégage en fait, ça insuffle de la confiance envers Upamecano et Saliba, c'est un peu
05:27étonnant cette charnière centrale depuis le début de l'Euro et en fait c'est ce trio
05:30qui est super intéressant et qui est super important dans une équipe.
05:33Meignan, première grande compète, il est juste hyper solide, il est régulier, il
05:38est là quand il faut et puis je parle vraiment du trio Upamecano-Saliba, on les voit, ils
05:43se regardent tout le temps, ils communiquent énormément et puis même des fois en juste
05:47un regard, on voit la peur qu'il peut insuffler aux autres et c'est ça qui est super important
05:52et qui m'impressionne.
05:53Meignan hyper solide, c'est même un euphémisme vu ses statistiques dans cet Euro, il y a
05:57un chiffre qu'on a retenu notamment, c'est 94% d'arrêt dans cet Euro pour Meignan, personne
06:02n'a fait mieux depuis 2012 et Iker Casillas avec l'Espagne, excusez du peu quand même.
06:06C'est plutôt pas mal, Bertrand Latour est toujours avec nous, l'un de nos envoyés spéciaux
06:10sur place mais évidemment Bertrand, vous me connaissez et vous savez très bien où
06:14est-ce que je vais vous emmener.
06:15Quand je pose la question, est-ce qu'il est le véritable patron des Bleus ? Bien sûr,
06:18il y a les performances sur le terrain et ça a été formidablement dit par nos deux
06:21défenseurs mais quand je dis véritable patron, c'est parce qu'il y a normalement un capitaine.
06:25Oui, là, je vous connais bien mais là, vous y allez fort quand même ! Moi, je pense
06:35que Bappé, il est encore plus important que lui parce qu'il a une place qui est énorme
06:40dans le groupe, il communique, on peut aussi relever, ça n'a pas été fait énormément,
06:44je ne sais pas mais en tout cas, moi j'ai été frappé par ces mots quand même, il
06:49n'a pas réinventé la roue mais avant la séance de tir au but côté portugais, les
06:52mots de Kyan Bappé, c'est un geste technique, etc., je trouvais que ça me semblait approprié
06:57sans trop en rajouter mais il était présent alors que lui-même était sorti en jeu d'un
07:00match où il n'avait pas été bon et de ce point de vue-là, il était là, il était
07:04tourné vers le collectif, là où parfois on lui reproche ou on le suspecte de toujours
07:07être focalisé sur l'individuel, là où par exemple, Antoine Griezmann, lui, a vécu
07:10la séance de tir au but à part.
07:11Si seulement Bappé avait fait ça, je pense qu'on aurait fait davantage de débats.
07:15Après, Maignan, il est un cadre parce qu'il est un joueur important dans ce club, parce
07:20qu'il est très fort en équipe de France et que là, il peut enchaîner les matchs
07:23ce qui n'a pas toujours été le cas.
07:24Après, seul patron, véritable taulier, il ne faut pas exagérer non plus.
07:28Alicia l'a rappelé en énumérant ce qui était dans le journal, il a pris une seule
07:33fois la parole sur un match depuis le début de la compétition donc il ne faut pas non
07:37plus surinterpréter ses moindres faits et gestes.
07:40Moi, ce que j'aimerais bien, c'est aussi qu'il vienne en conférence de presse parce
07:43qu'être un joueur important d'une équipe, c'est faire les 90 minutes bien évidemment
07:46mais c'est aussi se plier aux obligations qui sont celles des footballeurs et d'être
07:54un cadre, c'est aussi via les messages que vous faites passer à la presse et surtout
07:57la presse, on s'en fout, mais surtout aux gens qui nous regardent ou qui lisent les
08:02différents journaux.
08:03Alors Bertrand, vous allez être surpris mais Ludovic Obrenac ne semble pas être d'accord
08:06avec vous.
08:07Ludo, je voyais, donne l'idée de la tête.
08:09Non, non, pas spécialement.
08:11C'est comme le débat tout à l'heure en fait, on peut avoir des angles différents
08:15sur ce qu'est un patron dans une équipe ou pas, Bertrand évoque le fait de parler.
08:20Moi, les grands patrons que j'ai rencontrés dans les équipes dans lesquelles j'ai joué,
08:25ce n'est pas forcément ceux qui parlaient le plus, c'est ceux qui dégagent quelque
08:29chose, c'est ceux qui ont du charisme.
08:31Les côtés naturels dont je parlais.
08:33Et le patron doit être souvent légitime, c'est-à-dire que vous pouvez être le meilleur
08:39joueur du monde, si vous êtes en difficulté dans une compétition, c'est difficile de
08:44véhiculer des messages, parce que vous voulez toujours en faire trop, ce que fait Mbappé
08:47d'ailleurs depuis le début de la compétition, à s'attaquer à Antoine Griezmann, à dire
08:53des trucs forcément qui parfois ne vont pas dans le sens du collectif.
08:59Est-ce que le fait d'avoir une jurisprudence où il a un tripleur au final fait que bon,
09:02voilà.
09:03Tout le monde a repris les mots qu'il y a à Mbappé avant la séance de pénalty.
09:06Pour moi, ça n'a aucun impact de patron d'aller dire, les gars on maîtrise le geste
09:12technique.
09:13S'il ne l'avait pas fait, on l'aurait fait le même procès ?
09:16Non, il n'y a même pas à se poser la question, c'est normal en fait.
09:20Mais moi, Meignan en fait, c'est l'impact qu'il a sur les autres.
09:24En fait, tout le monde vous parle de confiance, donc quelqu'un qui te donne de la confiance,
09:28c'est quelqu'un que tu respectes.
09:29Et quand tu respectes une personne, c'est une certaine forme de patronat ou de leadership.
09:34Je trouve que ce garçon, il en dit peu, mais il rayonne beaucoup.
09:39Et c'est vrai, Olivier, on parlait de… le mot peur, évidemment, il faut faire attention
09:43au mot peur, mais peur footballistique, d'accord ? Une fois que j'ai bien resitué le terme.
09:49Meignan, c'est comme l'équipe de France.
09:52Vous ne tirez pas de la même façon que vous avez Mike Meignan dans les buts, il a réussi
09:55ça.
09:56C'est-à-dire que quand vous êtes un attaquant, que ce soit pour un penalty ou pour une frappe,
09:59vous êtes obligé d'aller chercher le petit filet, d'aller chercher un angle et donc
10:02de forcer peut-être un petit peu votre jeu, non ?
10:03Oui, d'ailleurs…
10:04Et c'est en ça qu'il peut être aussi un patron.
10:06Je pense que c'est pour ça que João Félix rate son penalty contre le Portugal, c'est
10:10qu'il essaye d'aller chercher le petit filet, mais malheureusement, il va trop sur
10:14la gauche.
10:15Après, moi, contrairement à Ludo, un patron silencieux, ça me dérange.
10:19C'est un super gardien, probablement le meilleur du monde, mais ce n'est pas un
10:24patron.
10:25Et ce n'est pas un patron comme Hugo Lloris l'était alors qu'il était lui-même
10:28capitaine.
10:29Je pense qu'il faut un minima parlé et je trouve qu'il y a quelque chose d'assez
10:35révélateur.
10:36Moi, j'aime bien regarder toutes les vidéos que la Fédé met en ligne où justement on
10:40voit l'inside, on voit les vestiaires et je ne vois Meignan jamais parler.
10:44Je vois Giroud beaucoup parler, je vois Chouamény parler, je vois Brice Samba parler, mais
10:49Mike Meignan, je ne le vois jamais.
10:50Tu l'as vu avec le samba, on l'entend bien.
10:51Il y a une voix.
10:52Et Mike Meignan ne prend jamais la parole et moi, aujourd'hui, ça me dérange.
10:57Alors, ça peut être un patron par l'exemple, mais pour moi, ça ne suffit pas.
11:02En ce cas-là, si on s'arrête à son charisme et à ce qu'il dégage, Saliba est un patron,
11:08N'Golo Kanté est un patron.
11:09Non, à mon avis, aujourd'hui, le vrai patron de l'équipe de France, c'est Didier Deschamps
11:14et ses joueurs, c'est des exécutants ou des relais et puis le vrai patron, c'est lui.
11:18Voilà Bertrand, on peut avoir plusieurs sons de cloche sur le côté patron en équipe
11:22de France et tout s'entend comme ça a été dit.
11:24Maintenant, moi, je voudrais votre avis à vous parce que vous avez suivi les Bleus
11:27depuis plusieurs compétitions sur la succession.
11:29On se posait des questions, vraiment, c'était sa première, il a été blessé, il avait
11:33loupé la Coupe du Monde.
11:34On connaît son niveau qui peut être stratosphérique.
11:36Là, il a répondu à toutes nos attentes.
11:38Maintenant, faut-il encore aller au bout ?
11:43Oui, c'est ça, exactement.
11:45Je trouve que je suis vraiment plus de l'avis d'Olivier.
11:48En fait, on essaye toujours de transposer ce qu'on voit sur le terrain et c'est un des
11:52meilleurs joueurs de notre équipe, probablement peut-être même le meilleur sur la globalité
11:57de la compétition.
11:59En tout cas, c'est un maillon très fort dans notre équipe et de ça, on veut en transposer
12:02des choses qui sont tout ou partie vraies sur le côté charismatique, ça, c'est sûr,
12:07mais cadre, patron, etc.
12:09Il y a à prendre et à en laisser.
12:11Simplement dire que Mike Maignan, pour le moment, il a joué deux matchs à élimination
12:18directe avec l'équipe de France parce qu'il vient seulement de prendre le poste, le huitième,
12:21le quart.
12:22On attend la demi-fin demain.
12:23On espère que ça se passera bien dans ce stade qui est absolument magnifique.
12:25Vous le voyez sur les images de Charlie Ford, Boursoraux.
12:26Je ne vais pas les répéter parce qu'on n'a pas toujours la possibilité d'être aussi
12:29proche du stade et d'être en bord pelouse.
12:30C'est sublime.
12:31Mais Mike Maignan, s'il y a une erreur d'ici la fin du tournoi, ce que je ne souhaite évidemment
12:36pas, ça revisite tout.
12:38Donc moi, je veux bien qu'on dise presque enfin on a un vrai gardien.
12:40Je ne dis pas que c'est ce que vous avez dit vous en plateau, mais l'impression que c'est
12:43super.
12:44Il n'a pas arrêté un tir au but, mais ils ont tous été, celui de Jo Felix, raté
12:48parce que c'était lui.
12:49Sous-entendu, s'il n'avait pas été un autre ou alors le prédécesseur, ça ne serait pas
12:52arrivé.
12:53Ce que j'ai vu aussi, c'est qu'on les a tous mis les nôtres, là où au final de la Coupe
12:56du Monde, Loris ou pas Loris, on ne les avait pas tous mis.
12:59Donc déjà, ça complique la tâche.
13:00Donc moi, je suis très content de ce que je vois.
13:02J'espère que ça va durer le plus longtemps possible.
13:04Après, je ne vous dis pas qu'on a un gardien qui, pendant 15 ans, a plus de 150 sélections,
13:08a sorti des arrêts pour nous permettre d'aller parfois jusqu'au sens de tir au but.
13:12Mais pour ça, il faut y arriver quand même.
13:13Mais surtout, je précise, on n'était pas sur le procès du Golioris.
13:18On était sur la satisfaction.
13:20Mais vous avez bien fait de rajouter tout cela.
13:23Dans un instant, les droits de la télé, l'écran noir, les gars, on risque de ne pas
13:25voir la Ligue 1.
13:26C'est la crainte de Jean-Pierre Caillaux, le président de Reims.
13:29Ça n'avance pas.
13:30Ça ne satisfait pas les présidents et nous non plus.
13:32Donc on va en parler.
13:33Et puis, on parlera de l'expérience de la France face à l'Espagne qui est favorée
13:36par la petite Lucarne.
13:37Et on jouera tout de suite.

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