korek pa koeslli bon conner]:Dorothy Bonnefemme reçoit Krishna Pentayah.

  • il y a 3 mois
KOREK PAS KOREK : Ce lundi 22 juillet à partir de 9 heures Dorothy Bonnefemme reçoit SAMEERA CHATTUN KOYRATTY, Femme chef d'entreprise et membre executif du National women entrepreneurs council Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36 Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV.
Transcription
00:00Chers amis, bonjour à vous et bienvenue dans votre émission « Correct, pas correct, les bons connaîts ».
00:10Alors comme vous le savez, chaque vendredi, nous apportons un thème dans l'émission « Correct, pas correct, les bons connaîts »
00:17et nous invitons de bonnes personnes qui peuvent partager de bonnes idées et développer le sujet.
00:23Et ce matin, le thème choisi est « Gestion des déchets ».
00:27Alors, comme vous le savez, tout peut se passer un peu dans la nature, dans nos buts au niveau de l'écologie, l'île Maurice, l'île durable.
00:36Et aujourd'hui, nous avons avec nous deux jeunes sur le plateau qui proposent la gestion des déchets.
00:41Ils proposent des petits déchets, comment dire, et des gros aussi.
00:47Et surtout, quelle est un petit peu la solution au niveau du recyclage, etc.
00:52Alors, pour nous en parler, nous avons avec nous Krishna Pentaia de l'ONG Sauve la Nature.
00:57Il est également ingénieur et chercheur. Bonjour et je vous souhaite la bienvenue sur les ondes de Top FM.
01:03Bonjour, merci.
01:04Alors, nous avons également Cédric Senassi, il est étudiant en agriculture à l'Université de Maurice.
01:10Il est également chef de département à l'ONG Sauve la Nature.
01:14Bonjour et bienvenue sur les ondes de Top FM.
01:15Bonjour à tous.
01:16Mais voilà, comme vous l'avez remarqué, nous avons deux jeunes ce matin sur le plateau qui proposent leurs petits déchets.
01:23Alors, vous qui nous écoutez, sachez qu'il est à nous de prendre ces petites questions.
01:27Le 213 7777 et l'émission est également en live sur notre page Facebook Top FM Mauritius.
01:34Vous êtes capables de regarder l'émission.
01:36Vous êtes capables également d'envoyer ces petits messages et questions et commentaires si vous le souhaitez.
01:42Alors, pour démarrer, nous pouvons demander à nos jeunes comment fonctionne le collecte de déchets à Maurice.
01:51On peut dire des déchets, on peut dire également de la saleté.
01:53Comment est-il passé à Maurice et quelle est votre opinion sur le sujet?
01:59Alors, le système de collecte des déchets, comme beaucoup de personnes le connaissent,
02:03c'est principalement par les autorités locales qui font le collecte des déchets par rapport à la région spécifique.
02:10Et souvent, vous le voyez, il y en a des fois par semaine, dépendant de quelle quantité vous avez fait.
02:16Alors, le système en lui-même, la collection des déchets, est très efficace.
02:21Quand on fait des études par rapport au passé, tout cela.
02:24Mais maintenant, en ce moment, un des problèmes qui peut vraiment arriver, c'est la façon dont on peut gestionner ces déchets.
02:32Donc, le collecte des déchets, l'impératif est de réformuler la façon d'adopter les nouvelles pratiques.
02:40Qu'est-ce qu'on peut faire avec nos déchets avant que ces déchets commencent à être collectés?
02:44Avant qu'ils nous disent, camion, passez, prenez-les.
02:46Cédric, est-ce qu'il y a quelque chose à ajouter par rapport à ça?
02:49Voilà, justement. Comme Krishna vous l'a dit, c'est un système qui, autrefois, était bien efficace.
02:54Et on ne peut pas dire qu'ils n'ont pas pris en considération l'environnement.
02:58Parce que quand ils ont fait le site d'enfouissement,
03:03il y a un revêtement plastique qu'ils ont fait.
03:05Ils ont pris en considération qu'il n'y a pas de résidu qui fait percolation, qui reste dans la terre.
03:11Mais aujourd'hui, comme on dit à Maurice, il y a un pays qui peut développer, la population peut augmenter.
03:17Donc, définitivement, les déchets peuvent augmenter.
03:19Et aussi, on dirait dans, à Maurice, qu'il se trouve que les gens sont préoccupés par les déchets dangereux,
03:30comme on peut dire dangereux, par les produits toxiques.
03:32Si nous ne sommes pas préoccupés par les produits toxiques, par les produits chimiques,
03:35qu'est-ce que Maurice fait par rapport à ça?
03:38Ou bien, nous n'étions pas là, nous étions tranquilles,
03:41sans avoir conscience des problèmes qu'ils peuvent causer.
03:47Alors, dans cette optique-là, il y a beaucoup de personnes qui connaissent
03:51quels types de déchets toxiques, nocifs,
03:54quels types de déchets, aussi, qui caractérisent les déchets normalement dans toutes les poubelles.
03:59Mais il y a aussi une grande majorité de la population qui ne connaît pas vraiment
04:03quel type de déchets est vraiment toxique et nocif.
04:06Et finalement, vous êtes là, ou même, des fois, vous brûlez là.
04:12Et là, il y a vraiment aussi un travail de sensibilisation, d'awareness,
04:16qui, au niveau de la sauvegarde entière, nous peut déjà faire là.
04:19Et peut-être que Cédric a un peu les awareness qui nous fait...
04:23N'est-ce pas, Cédric, que c'est ainsi?
04:25Exactement. Donc, les awareness qui viennent au plus tôt,
04:28quand on fait un clean-up sur le toit, nous trouvons que, justement,
04:32malgré qu'on fasse un méga clean-up, qu'on nous dit,
04:36voilà, venez, venez faire volontariat,
04:39il y en a une personne sur place qui n'a pas forcément,
04:43qui n'a pas eu le temps de parler de nous.
04:44Elles apprécient, justement, qu'elles viennent là.
04:47Elles ont envie qu'on puisse, pour qu'elles puissent faire le clean-up
04:51dans le bon endroit, même à petite échelle.
04:53Et petit à petit, au long terme, ils font un grand travail.
04:57Et ces awareness-là, pour tout le monde,
04:59comme ici, là-bas, de bouche à oreille,
05:03les awareness-là, elles passent comme ça.
05:04Mais justement, quand je peux aller au terrain,
05:06je peux dire que je peux faire des campagnes de sensibilisation,
05:08en quoi elles consistent?
05:09Qu'est-ce que je t'explique, dis-moi là,
05:11qu'est-ce que je te dis à qui il y a besoin de faire?
05:13Alors, le clean-up, c'est déjà bien.
05:15En tout cas, moi, les paramètres de santé, c'est bien.
05:18Mais il faut prendre en considération le côté...
05:21Comment faire-t-il bien?
05:22Justement, il y a la bande de seringue, par exemple,
05:24qui est quand même assez dangereuse.
05:25Il faut que l'on manipule ça.
05:26Il faut qu'on mette ça dans une bouteille en plastique, par exemple.
05:29Et ne pas mettre ça dans un sac en plastique
05:31parce que sur le trajet,
05:33il est capable de piquer ou capable de se retrouver avec de sérieux problèmes.
05:37Donc, c'est plutôt au niveau...
05:40Pas rééduqué, mais...
05:41Ils viennent surtout sur savoir comment procéder.
05:44Ils viennent parce que, dis-moi là,
05:46à Maurice, il faut dire qu'on a évolué.
05:48On est bien aware de ce qui peut arriver tout autour de nous.
05:51Mais c'est justement cette méthode-là
05:52qui nous fait prendre en considération
05:54qui nous peut faire, qui ne peut pas faire.
05:55Et quand on fait des campagnes,
05:58justement, qui est-ce qui t'encourage,
06:00Vendimoune, par exemple?
06:01Produits chimiques, produits toxiques.
06:02Comment c'est-tu à Vendimoune?
06:04Comment tu les manges?
06:05OK, produits chimiques,
06:07normalement, il y en a ici,
06:09ou qu'à petite échelle ou grande échelle.
06:11Moi, c'est un peu plus grande échelle.
06:12Donc, un exemple, l'amiante.
06:15Je ne sais pas si vous connaissez.
06:16Donc, il y a un protocole à suivre par rapport à ça
06:19si vous avez envie de débarrasser de l'amiante.
06:22Donc, normalement, par tonne, c'est 850 roupies.
06:25Et à ce moment-là, quand vous suivez vos procédures,
06:28vous êtes capable de bien sceller, encore une fois,
06:30de bien savoir comment se débarrasser de l'amiante.
06:34Et petit à petit, il peut être acheminé
06:36à le site d'enfouissement à Maurice.
06:39Voilà.
06:40Je me rappelle aussi que ce matin,
06:41nous faisions la gestion des déchets.
06:43Il y en a avec nous sur le plateau de l'émission.
06:46Correct ou pas correct, qu'est-ce qu'ils vont connaître?
06:48Deux jeunes, Krishna Pantaya
06:50et également Cédric Senasis de l'ONG Sauve la Nature.
06:55Alors, un autre gros problème qu'ils nous trouvaient à Maurice
06:58et surtout quand il y a des inondations et tout ça,
07:00nous trouvions des déchets encombrants.
07:03Allons dire, il n'y avait pas si de déchets avant.
07:05Une machine à laver, nous le finissions à Villiers.
07:07Après, quand il n'y en a plus à Villiers,
07:09là, l'une venait des déchets.
07:10Une machine à laver, un réfrigérateur.
07:12Parfois, même les ordinateurs.
07:14Beaucoup de personnes ne savent pas comment se débarrasser de ça.
07:17C'est vrai qu'il y en a une fois ou deux par année
07:21dans toutes les municipalités, dans les conseils du district,
07:23dans les pavillons de ramasse, dans les saletés.
07:25Mais entre-temps, qu'est-ce que les gens font avec ça?
07:28Quelles sont les solutions qu'il y a?
07:31Alors, premièrement, la solution qui existe,
07:34qui est communiquée souvent aussi par la municipalité,
07:38par le village council, c'est
07:40avant tout de les garder,
07:42avant qu'ils ne soient pas fiers de ce qu'ils peuvent faire avec ça.
07:45Parce que souvent,
07:47normalement, les saletés connaissent
07:49la façon dont ils peuvent disposer de ça.
07:52Mais malheureusement,
07:54nous avons constaté, dans ce plan-là,
07:56quand on a fait un grand clean-up,
07:58qu'il n'y avait pas de place,
08:00il n'y avait pas de dumping ground.
08:02Quand ils ont choisi un terrain,
08:04un terrain vague,
08:06ils ont acquis tous les gros déchets,
08:08les matelas, etc.
08:10Mais vraiment,
08:12premièrement, c'est de savoir
08:14qu'on garde ce qu'on fait,
08:16parce que je pense qu'on oublie
08:18que les eaux aussi font partie,
08:20une grande partie,
08:22de ce qu'il y a dedans.
08:24Donc, qui m'a peut-être dit ça?
08:26Quand on construit une maison,
08:28souvent, des fois, les gens pensent
08:30qu'il y a de l'eau dans la maison
08:32quand on peut y habiter.
08:34Mais on oublie que l'eau, la nature aussi,
08:36elle récomprend qu'il y a même des eaux aussi
08:38dans la maison.
08:40Et aussi,
08:42on a 26 passants,
08:4426 places dans Maurice,
08:46nous deux, en tant que ferraillers,
08:48c'est donner une deuxième vie
08:50à ce genre d'objet-là.
08:52Mais aussi, si vous rentrez
08:54sur YouTube, sur TikTok,
08:56c'est bien facile, au cas où vous prenez
08:58une machine, par exemple,
09:00vous trouvez une lumière qui est bien jolie,
09:02qui est esthétique.
09:04Donc, il y a 26 méthodes-là,
09:06et non pas juste jeter pour s'en débarrasser.
09:08D'accord.
09:10Pour un petit peu le recyclage
09:12de ce genre de produits-là.
09:14Alors, quand on cause un petit peu
09:16le système de collecte de déchets,
09:18quand on cause l'emballage des déchets
09:20qui est dangereux aussi, comment faire?
09:22Et là, quand j'étais dans le domaine,
09:24je disais, moi, j'organise souvent
09:26ma campagne de sensibilisation, tout ça.
09:28Alors, qu'est-ce qu'il y a d'amélioration,
09:30je trouve? Est-ce qu'il y a amélioration
09:32de l'autorité ou bien chaque citoyen,
09:34chacun d'entre nous, nous avons
09:36nos responsabilités?
09:38Alors, quand on cause
09:40amélioration de la gestion de déchets,
09:42avant tout, nous devons comprendre
09:44comment on appelle ça,
09:46WMH, Waste
09:48Management Hierarchy.
09:50Alors, déchets en lui-même,
09:52premièrement, c'est pas produire des déchets.
09:54C'est pas produire un produit qui provient
09:56d'un déchet. C'est pas provient d'un déchet.
09:58Donc, on commence par la
10:00prévention. Donc, par exemple,
10:02quand on veut faire des bouteilles en plastique,
10:04on commence
10:06à obtenir plus de bouteilles
10:08qui ont différents matériaux, qui sont
10:10renouvelables. Il y a des études, même, à l'Université
10:12de Maurice, qui, par exemple, essaient de servir
10:14des algues. Il y en a aussi qui
10:16essaient de servir des cannes à sucre
10:18pour faire des bouteilles biodégradables.
10:20Donc, on commence
10:22par la prévention. Parce que
10:24le monde capitaliste,
10:26surtout, et le monde consumériste,
10:28il y a tellement de consommateurs
10:30qui, à un moment donné,
10:32achètent trop beaucoup,
10:34consomment trop beaucoup et finalement,
10:36déchettent trop beaucoup. Donc, au niveau
10:38de la production, il y a aussi
10:40des policiers.
10:42Il faut un impératif
10:44pour comprendre quand on arrête
10:46l'échelle de production et comment gérer
10:48l'overproduction. Maintenant,
10:50on a un deuxième, c'est la minimisation.
10:52Donc, le consumérisme, en lui-même,
10:54il nous pousse à acheter
10:56beaucoup de choses. Il nous pousse à consommer
10:58beaucoup de choses. Des fois, il y a des choses qui
11:00ne nous plaisent pas forcément.
11:02Mais là, il vient vraiment d'une culture
11:04de pensée, d'une culture de gestion
11:06à nous-mêmes. Là, il vient plus
11:08du côté communauté, plus du côté nous-mêmes.
11:10Comment on peut consommer ?
11:12Et finalement, il y a un reuse, recycling.
11:14Tout à fait.
11:16Il apprend à nous de réserver
11:18des choses. Le upcycling,
11:20qui peut venir bien en vogue et
11:22même au niveau...
11:24Pas forcément recycler, mais
11:26réserver des affaires d'une autre forme, qui nous peut
11:28amener même artistiquement.
11:30Il y a des artistes qui servent
11:32des formes de déchets pour faire des formes d'or.
11:34Et finalement, il y a aussi
11:36Energy Recovery et
11:38Disposal. Energy Recovery, c'est
11:40une solution
11:42qui plie...
11:44Maintenant, on peut étudier ça
11:46aussi en termes d'Energy
11:48Efficiency, mais aussi
11:50en termes de pollution qui s'est créée.
11:52Quand on peut faire Waste-to-Energy
11:54Management, il y a tellement de pollution
11:56qui s'est créée qui n'est pas
11:58forcément la solution idéale, Waste-to-Energy.
12:00Mais là,
12:02avec l'intelligence artificielle
12:04et aussi les techniques
12:06qui peuvent avancer, il y a des techniques
12:08qui peuvent vraiment diminuer la pollution
12:10que Waste-to-Energy System
12:12crée et finalement Disposal
12:14qui s'est posé dernier
12:16dans l'échelle Waste Management.
12:18Mais malheureusement, nous avons une culture
12:20qui, aussi, nous commence
12:22à faire par Disposal. Donc, nous ne pensons
12:24pas à cette échelle-là.
12:26Maintenant, ce qui s'est posé dans cette échelle-là,
12:28ce n'est pas vraiment la société en elle-même
12:30parce que la société aussi
12:32est, dans un certain degré, une victime
12:34de l'overconsumption.
12:36Donc, il est essentiel que
12:38les leaders connaissent comment
12:40se faire stratégiser
12:42de façon que la société
12:44connaisse comment servir ça aussi.
12:46Par exemple, comment on dirait aussi
12:48une bonne initiative qui est faite,
12:50c'est la banne single-use plastique.
12:52Comment on fait une banne single-use plastique?
12:54Vraiment, nous trouvons une grande diminution
12:56par rapport à Waste plastique, donc single-use.
12:58Et là, nous devons
13:00continuer d'avancer par rapport à
13:02les systèmes qu'il nous faut mettre en place
13:04pour recycler même. Parce que
13:06quand on cause le recyclage,
13:08on peut dire, oui, il y en a beaucoup
13:10de, surtout dans le secteur privé,
13:12qui font beaucoup de recyclage,
13:14mais est-ce qu'il y a vraiment un bon système
13:16de recyclage ici à Maurice?
13:18Par exemple, en Allemagne,
13:20il y a un système
13:22qui, je te mettais dans une taxe
13:24sur les bouteilles single-use,
13:26sur les bouteilles PET, recyclables.
13:28Je te mettais une taxe
13:30qui, quand je retourne ça à une machine,
13:32la machine, elle prend un reçu, et ce reçu-là
13:34retourne de l'argent, cette taxe qu'elle a payée.
13:36Mais ça, c'est juste
13:38une partie de ça, la chaîne-là.
13:40Après ça, nous devons avoir
13:42un système vraiment, quand il faut le recycler,
13:44et combien il y a à le recycler.
13:46Donc ce système-là, ce n'est pas nous,
13:48société civile, ONG, qui peut le mettre en place
13:50seul. C'est vraiment avec la collaboration
13:52du gouvernement, du secteur privé
13:54et des communautés aussi.
13:56Mais quand même, de tous les Mauriciens,
13:58tu es assez conscient de cela?
14:00Alors, nous, les Mauriciens, on trouve
14:02qu'il y a une grande évolution par rapport
14:04à la conscientisation de l'environnement,
14:06surtout après la cyclone Bella
14:08qui s'est passé, quand on a trouvé
14:10qu'en même temps, on commençait
14:12à ramener tous les déchets qui nous étaient.
14:14Il m'arrive ce que je pensais,
14:16chaque Mauricien, ça reste sur la tête?
14:18Oui, il reste dans la tête, mais pas forcément
14:20aussi, parce que quand on cause
14:22la psychologie des gens, souvent
14:24ces images-là, elles restent pour un
14:26bon bout de temps, mais il arrive un moment
14:28quand ils deviennent trop confortables,
14:30et que nous regagnons la vie normale.
14:32Donc, l'essentiel,
14:34c'est de comprendre comment
14:36on peut ramener ce type d'images-là aussi.
14:38Comment on peut ramener cette conscientisation-là
14:40auprès de la communauté.
14:42D'accord, ok.
14:44Je pensais qu'il y avait quelque chose à ajouter sur tout cela.
14:46C'est drôle que ce soit ainsi.
14:48Alors, pour revenir au point juste avant,
14:50juste deux petites mesures
14:52qui sont très intéressantes, que j'ai trouvées.
14:54Donc, un programme de reprise.
14:56Donc, c'est un partenariat
14:58des entreprises avec
15:00une supermarché ou quoi.
15:02Donc, je pensais, à petite échelle,
15:04donc, CNL propose
15:06par exemple, on prend un produit,
15:08un gallon, trois litres,
15:10et quand on finit sa vie,
15:12on ramène-le vers le supermarché,
15:14et là, CNL reprend-le, relève-le.
15:16Je pensais, ça, c'est déjà
15:18très bien. Mais aussi,
15:20un autre petit point à améliorer,
15:22c'est l'incitation économique.
15:24Parce qu'il nous prend l'exemple au Singapour,
15:26l'indépendance, presque en même temps que Maurice,
15:28superficie, pareil,
15:30mais l'économie se débranche.
15:32Et ce qu'ils ont fait, eux,
15:34alors, c'est
15:36tout à fait dans les normes.
15:38Donc, les projets,
15:40pardon, les déchets déjà existants,
15:42se prennent-ils, se brûlent-ils,
15:44ce qui réduit déjà de 90%
15:46l'espace.
15:48Et qu'est-ce qu'ils se font avec-ils? Ils se font
15:50un lit artificiel. Donc,
15:52il y a un lit flottant, artificiel, fait en plastique,
15:54qui est vraiment énorme.
15:56Mais il y a un lit qui est vraiment barricadé.
15:58Et ça, il y a
16:00la sable qui est produite là, c'est vraiment inerte.
16:02Et au final, il y a un lit
16:04qu'il y a des gens, même des touristes,
16:06bien attirés par ça.
16:08Ils sont même inquiets. Et c'est
16:10vraiment extraordinaire de voir
16:12comment aussi l'économie est capable
16:14de nous faire avancer
16:16de ce côté-là. D'accord. Ce matin,
16:18chers amis, nous parlons de gestion des déchets.
16:20Alors, comment nous sommes-nous capables, nous, ici?
16:22Nous apportons nos pierres à l'édifice
16:24par rapport à l'environnement.
16:26Nous avons avec nous, sur le plateau de Top FM,
16:28Krishna Pentaia et également
16:30Cédric Senassi. Les deux
16:32sont membres de l'ONG
16:34Sauve la Nature. On revient après
16:36ceci.
17:02Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
17:33Corée ou pas corée, l'eau de Top FM.
17:35Liban connaît.
17:37Liban connaît.
17:39Liban connaît.
17:41Liban connaît.
17:43Liban connaît.
17:45Liban connaît.
17:47Liban connaît.
17:49Liban connaît.
17:51Liban connaît.
17:53Liban connaît.
17:55Liban connaît.
17:57Liban connaît.
17:59Liban connaît.
18:02Comment chacun d'entre nous
18:04nous capables mieux gérer nos
18:06bains de déchets, nos bains d'eau d'huile,
18:08nos bains de santé, comment nous dire, pour les parcours
18:10problèmes à l'environnement.
18:12Nos invités ce matin sur les ondes de Top FM,
18:14Krishna Pentaia et Cédric
18:16Senassi. Juste avant, Cédric Senassi,
18:18tu peux donner l'exemple de
18:20Singapour qui brûle
18:22ses bains de déchets pour faire l'île, tout cela.
18:24Mais parfois quand on dit qu'il y a brûlé,
18:26c'est comme ça, mais il n'est pas bon pour la santé, il est toxique.
18:28Justement, il suscite plus
18:31Alors, tout est bien fait. Encore une fois,
18:33c'est l'économie à côté
18:35et c'est le savoir-faire.
18:37C'est un bain de gaz, certes,
18:39qui affecte l'environnement,
18:41mais à la fin de la journée, tu traites ce bain de gaz-là,
18:43tu fais l'huile inédite, comment nous dire.
18:45Donc, si tu as,
18:47par exemple, un reste de
18:49nitrogen dioxide, tu fais l'huile
18:51carbone dioxide,
18:53tu fais l'huile plus clean, comment nous dire.
18:55Donc, encore une fois,
18:57sur le côté volatil, etc.,
18:59tout est bien fait,
19:01tout est bien structuré, j'ai envie de dire.
19:03D'accord. Maurice nous fait penser
19:05un petit peu sur le tri des déchets,
19:07ça veut dire
19:09les ménagers, les personnes, chacun
19:11chez soi, nous faisons un tri à la base
19:13même, pour qu'il crée moins de problèmes.
19:15Alors, quelle est la position
19:17un petit peu là, comment se trouve la situation?
19:19Alors, le tri,
19:21déjà, je pensais,
19:23on a une poubelle,
19:25on ne jette que du plastique,
19:27du papier, etc.
19:29Très bonne chose,
19:31parce que quand même,
19:33on se pose des questions, parce qu'apparemment,
19:35c'est une seule poubelle, c'est là qu'on peut trouver trois poubelles
19:37qui arrivent. Et donc,
19:39justement,
19:41nous trouvons une
19:43envie, un engouement, au changement.
19:45Mais, encore une fois,
19:47les vins-l'eau, c'est une question pratique.
19:49Ils prennent le temps pour
19:51justement, nous adopter cette bonne pratique,
19:53nous trier nos propres déchets à la maison
19:55et ensuite,
19:57mettre chacun dans sa poubelle
19:59respective. Les vins, plutôt,
20:01dessus, et ça prend un petit peu de temps,
20:03parce qu'encore une fois, c'est une habitude.
20:05Mais,
20:07doucement, messieurs, moi, j'ai envie de dire.
20:09D'accord, mais vous pensez que si chacun s'y peut arriver,
20:11on peut commencer à gagner une bonne poubelle de tri?
20:13Chacun chez soi, dans sa maison,
20:15on peut gagner une poubelle de tri,
20:17mais la population mauricienne, elle est prête à cela,
20:19pour faire ces efforts-là?
20:21Ça, c'est une habitude?
20:23C'est parce que, quand nous gagnons nos bons déchets,
20:25tous les vins séparés,
20:27nous ne gagnons pas un déchet,
20:29un seul coup, comme ça.
20:31Donc, petit à petit, les autres,
20:33ils mangent ça, on mange ça,
20:35on mange ça, tout est déjà séparé.
20:37Donc, si nous mettons trois poubelles, l'un à côté de l'autre,
20:39chez soi, c'est une habitude
20:41un peu plus facile.
20:43Mais, quand les vins sont un peu plus compliqués,
20:45c'est au niveau du système,
20:47quand nous pouvons peut-être déstructurer avant,
20:49revoir, justement,
20:51vous avez plusieurs camions
20:53de différents...
20:55pour prendre différents, justement,
20:57déchets, types de déchets.
20:59Et, si nous commençons à adopter ça,
21:01mon pensée, c'est une mesure
21:03parfaite, formidable,
21:05et qui est bien possible.
21:07Qui est bien possible, j'ai envie de dire.
21:09D'accord, très bien. Alors, nous
21:11causons aussi le recyclage.
21:13Alors, quel est l'appartement
21:15de déchets qui peut réussir à recycler à Maurice?
21:17Alors, d'après
21:19des recherches qui finissent faites, scientifiques,
21:21il y en a plus de 10, au fait.
21:235 à 10 %
21:25de déchets qui finissent être recyclés.
21:27Par exemple, en 2020 même,
21:29il y en a plus de 540 000 tonnes
21:31de déchets solides
21:33qui finissent être déposés
21:35dans des charges sanitaires de Marachikos.
21:37Et ça représente environ
21:3997 % de la totalité
21:41des déchets qui finissent générer dans l'île.
21:43Et parmi ces déchets-là,
21:45il y en a 50 déchets qui sont organiques.
21:4750 déchets qui sont organiques
21:49donc par rapport à l'alimentaire,
21:51etc. Là même, nous finissons de trouver
21:53que si 50 % des déchets
21:55sont déposés dans Marachikos,
21:57ces 50 %-là sont extra-énormes
21:59et tu peux définitivement faire du compostage
22:01avec ça. Et aussi,
22:03tandis que le reste est composé de matériaux
22:05comme papier, plastique,
22:07il y en a vert, il y en a aussi de la météo.
22:09Mais malheureusement,
22:11c'est 5 à 10 % qui finissent être recyclés.
22:13Et justement,
22:15est-ce qu'il y a des matériaux qui sont plus
22:17récyclés, plus couramment, allons dire?
22:19Alors, il y en a,
22:21premièrement, je pense que ça nous est déjà bien au courant,
22:23il y a le plastique.
22:25Maintenant aussi, ce n'est pas tout type de
22:27plastique qui est recyclable.
22:29Par exemple, il y a P.E.T. recyclable,
22:31P.E.T. bottles,
22:33il y a H.D.P. dans un certain dégré
22:35qui est recyclable. Mais maintenant,
22:37nous, en tant que scientifiques, nous nous sommes bien familiarisés
22:39avec ça, nous sommes bien familiers.
22:41Oui, comme le motaire
22:43public ne veut pas faire connaître qui était
22:45lequel qui recyclait, laquelle pas recyclée,
22:47comme on se reconnaît.
22:49Donc, d'une bonne façon, c'est, encore une fois,
22:51à travers l'éducation, à travers l'A.O.N.S. aussi,
22:53Tsoblana, tu sais, par exemple,
22:55qui l'a fait, elle a opté pour
22:57l'éducation des jeunes,
22:59de la maison même, donc les enfants à la case,
23:01quand ils sont petits-petits même.
23:03Donc, nous travaillons ensemble.
23:05Ce n'est pas question de nous éduquer les autres, non.
23:07Nous apprenons ensemble avec ces jeunes-là.
23:09Et ces jeunes-là amènent l'éducation
23:11là aussi, à la maison, avec leurs parents,
23:13leurs communes, une autre
23:15culture de la petite,
23:17plus petite génération pour la plus grande génération.
23:19Donc, l'essentiel aussi,
23:21il comprend qu'il y a un type de verre
23:23qui est recyclable, il y a un type
23:25de produit chimique qui est recyclable,
23:27mais il dépend des
23:29compagnies privées qui acceptent
23:31de le recycler aussi.
23:33Mais justement, comment ça se passe un petit peu dans le recyclage?
23:35Est-ce qu'ils ont trouvé,
23:37dans ces compagnies, est-ce qu'il y a encore
23:39un grand pas qu'ils ont fait
23:41dans ce domaine-là, beaucoup de développement,
23:43beaucoup d'efforts qu'ils ont mis là-dedans?
23:45Alors, justement,
23:47d'après la liste que, justement,
23:49Krishna a finie, nous rajoutons encore
23:51quelques déchets qui sont
23:53recyclés. Donc, nous avons de l'huile,
23:55nous avons aussi des pneus,
23:57des métaux, verre, carton.
23:59Et sinon, nous avons une bonne liste,
24:01une bonne liste de recycleurs et d'exporteurs,
24:03comme Atix, par exemple,
24:05qui recycle le carton.
24:07Et il y a une longue liste par rapport à ça,
24:09mais déjà,
24:11à savoir que
24:13la quantité qu'ils peuvent prendre
24:15et la quantité qu'ils ne peuvent pas, voilà.
24:17C'est là qu'il y a cette fosse-là,
24:19comme ça.
24:21Et il y a une gaffe, voilà.
24:23Quand on fait la collecte des déchets,
24:25ensemble avec Sauve la Nature,
24:27nous passons à prendre des déchets pour les éteindre.
24:29Nous faisons un système
24:31qui s'appelle Waste Auditing,
24:33avec un de nos scientifiques, Karuna,
24:35qui nous finit bien, aide-nous là-dedans.
24:37Waste Auditing, c'est ségrégation
24:39des déchets, mais aussi nous gagne
24:41des états, des métriques, qui nous servent
24:43dans les rapports scientifiques qu'ils nous font.
24:45Comme, par exemple, des tonnes de déchets
24:47qu'ils nous gagnent, des tonnes de plastique.
24:49Et souvent, des fois, nous trouvons qu'il y a
24:51beaucoup de produits qui sont made in Maurice,
24:53qui ne sont pas vraiment biodégradables.
24:55Il y a des produits laitiers,
24:57il y a des produits qu'ils nous gagnent,
24:59même des années 90, des années 80,
25:01qui sont toujours là, en morse,
25:03qui n'est créé qu'en 80, là-dedans.
25:05Et ça les ramène, nous, à aussi
25:07production responsable des parties privées.
25:09Maintenant, quand on nous pose
25:11production responsable, ce n'est pas juste
25:13nous mettre devant une stratégie
25:15de comment faire produire responsable.
25:17C'est vraiment d'opter, aussi,
25:19le gouvernement, financement
25:21responsable. Que fassons-nous pour financer
25:23pour qui il y a une production responsable?
25:25D'accord. Une chose dans cette
25:27gaffe qu'il y a dans ces produits-là, parfois,
25:29c'est les compagnies de recyclage,
25:31qu'est-ce qui explique ça?
25:35Alors, je suis là, justement,
25:37pour rejoindre Krishna,
25:39l'espèce d'auditing, nous faisons
25:41advocacy. Donc, pas tous les
25:43négatifs, advocacy,
25:45qui fait que nous devons changer.
25:47Nous disons qu'il y a un déchet, mais il y a un déchet,
25:49il y a un produit, avant tout, de valeur.
25:51Et quand nous faisons advocacy,
25:53nous devons prendre les biens,
25:55comme une opportunité, parce que
25:57nous sommes capables de faire notre profit,
25:59notre produit-là, faire autre chose.
26:01Vraiment diversifier,
26:03au lieu de juste produire
26:05plastique, c'est quelque chose
26:07qu'on peut faire, introduire une économie circulaire,
26:09par exemple, trouver comme un
26:11objet de valeur, un produit de valeur, j'ai envie de dire.
26:13D'accord. Vraiment, on peut
26:15dire l'économie circulaire, tout le temps,
26:17nous pétons-nous-le, mais
26:19nous ne pouvons pas le trouver vraiment.
26:23Alors, nous, nous
26:25pouvons nous rappeler de la gestion des
26:27déchets. Alors, s'il y a des questions,
26:29des commentaires, aussi, j'ai un téléphone
26:31au niveau 213 7777.
26:33C'est votre émission, correct ou pas correct,
26:35les bons connaisseurs, les ondes de Top FM.
26:37Alors, une cause, un petit peu,
26:39la marge de cause, c'est là où nous avons un chiffre,
26:41comme nous le connaissons, justement, aussi,
26:43tout dernièrement, Top FM a fait un reportage
26:45là-bas, la marge de cause,
26:47qui est un petit peu la situation.
26:49Alors, quand je peux
26:51trouver la marge de cause, qu'est-ce que ça peut faire,
26:53je pense, comment je peux trouver
26:55des mecs, comment nous dire.
26:57Alors, en tant que jeune,
26:59marge de cause, comme on le connaît,
27:01il y a un problème qui est
27:03extra-complexe. Il y en a beaucoup de problèmes
27:05dans tout le pays,
27:07il y en a un problème.
27:09Il y a un problème comme la crise climatique,
27:11il y en a aussi le brain drain
27:13qui peut arriver. Donc,
27:15marge de cause est un problème extrêmement
27:17complexe, qui nous,
27:19les jeunes générations, on peut l'hériter
27:21dans le futur. Surtout si nous,
27:23en tant que jeunes leaders, nous pouvons
27:25comprendre la complexité
27:27des problèmes existants.
27:29Donc, si on fait un historique de marge de cause,
27:31à l'époque, avant
27:33de faire la conception de marge de cause,
27:35on peut penser à des places,
27:37des potoirs. Il y a une marge de cause
27:39et une autre marge d'Australie.
27:41Donc, initialement,
27:43il y a eu de la pression politique
27:45qui n'a pas laissé un terrain
27:47arriver à la marge d'Australie.
27:49Donc, finalement, il arrive cette marge de cause
27:51et il y a
27:53beaucoup d'experts qui disent que c'est
27:55au détriment du pays.
27:57Donc, c'est libre de penser
27:59comment, de quelle façon aussi.
28:01Mais là, nous ne pouvons jamais trouver
28:03quel détriment peut arriver dans le pays.
28:05Par exemple,
28:07en 2018,
28:09il y a eu près de
28:1154.000 tonnes, donc
28:131.500 tonnes par jour de déchets
28:15et que c'est prévu, vraiment,
28:17pour 2034.
28:19Donc, six ans ou huit ans, nous n'arrivons
28:21d'une certaine façon à
28:23une capacité qui est
28:25saturée. Donc, il y a un rapport qui
28:27disait que, par exemple, en 2012,
28:29le site était déjà saturé
28:31et
28:33là, commence une pratique
28:35qui n'est pas recommandée par rapport à
28:37les standards de Waste Management.
28:39C'est de mettre les déchets de façon
28:41verticale. Donc, fouiller
28:43et les mettre en verticale. Pourquoi?
28:45Parce que l'arrangement des
28:47atomes ou bien des molécules présents
28:49dans ce type de déchets-là, quand nous les mettons en verticale,
28:51les plus près, les plus
28:53prennent la vibration, les plus prennent la collision
28:55et les plus prennent l'explosion qui amène
28:57les incendies. Donc, quand il y a
28:59des incendies, là, il y a un autre problème
29:01qui est extrêmement grave, en fait.
29:03C'est le problème de santé. Parce que
29:05dans ce type de déchets-là, comment on peut causer
29:07tout ça? Il y a des
29:09produits toxiques, il y a des
29:11produits qui ne nous permettent pas de contrôler
29:13comment ils arrivent, quand ils arrivent. Parce que
29:15il faut vraiment faire un grand triage, etc.
29:17Donc, quand il y a ce genre de fumée-là,
29:19c'est de la fumée de gaz toxique.
29:21Donc,
29:23l'essentialité, c'est empêcher
29:25tout ça d'arriver. Il n'y a pas besoin d'arriver à un stade
29:27où il y a des incendies, en fait.
29:29Donc, c'est vraiment ça, le management, là.
29:31En ce moment, il y a des places
29:33qui ne peuvent pas s'affecter.
29:35La Rosa, Newgrove,
29:37Rosbell, Mordalbert, il y a des places
29:39où il faut faire des analyses
29:41et tout. Mais aussi, il y a
29:43un grand problème. Même moi, je pense
29:45que c'est une tragédie sociale qui fait
29:47un déplacement de toutes ces familles-là.
29:49Et même, il y a des familles qui restent,
29:51qui ne peuvent pas se déplacer par rapport à
29:53les conditions qu'ils n'ont pas faits d'arrivée.
29:55Donc, le problème
29:57que je pose,
29:59c'est le social, l'environnemental, l'ingénierie,
30:01l'économique, c'est extrêmement complexe.
30:03Nous, là,
30:05donc, aux jeunes, nous pouvons faire des études,
30:07nous pouvons comprendre les réalités humoristes,
30:09les réalités des gens, les réalités de l'environnement.
30:11Mais ce n'est pas nous seuls qui pouvons
30:13résoudre ce problème-là. Définitivement,
30:15le gouvernement travaille beaucoup là-dessus.
30:17Il y a beaucoup d'investissements
30:19qu'il faut faire.
30:21Mais moi, je pensais peut-être
30:23qu'il n'est pas assez rapide ou bien
30:25qu'il ne prend pas en considération
30:27qui a été alors dans cette situation-là.
30:29Ça veut dire qu'une minorité de gens
30:31affectés, ça veut dire
30:33qu'il ne faut pas prioriser ça.
30:35Une minorité de gens, c'est vraiment
30:37la population mauricienne aussi.
30:39Donc,
30:41il ne faut pas dire qu'il n'y a personne
30:43qui n'a pas accepté un deuxième site
30:45d'enfouissement amoureux
30:47à cause d'une expérience mauricienne.
30:49Donc, à cause de ça,
30:51nous devons développer une bonne solution
30:53qui est aussi complexe qu'un problème.
30:55Justement, tout à l'heure, nous causons un petit peu
30:57nos solutions et nous pourrions aussi dans un petit moment
30:59s'adresser à l'opinion un petit peu mauricienne.
31:01Mais pour tout de suite, une courte pause.
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