Karima Brikh : «Il faut agir très rapidement»

  • il y a 5 heures
La journaliste, Karima Brikh, est revenue sur le sondage CNews expliquant que 84 % des Français voulaient que les étrangers sous OQTF soient emprisonnés systématiquement en attendant leur expulsion : «Il faut agir très rapidement»

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Transcription
00:00Peut-être pas tout changer d'un coup, mais il faut commencer quelque part.
00:03Il faut faire bouger les lignes, dans tous les cas.
00:04Il faut commencer quelque part.
00:05C'est ce qu'a essayé de faire Buenaventuario.
00:06Voilà, tout à fait. Et quand on regarde justement le soutien, l'appui de la grande majorité
00:12de la population française, je veux dire, c'est sans appel. C'est vraiment sans appel.
00:17Il n'y a pas de clivage, que ce soit gauche, droite, des chiffres comme ceux-là. En fait,
00:20qu'est-ce que ça nous dit? Ça nous dit que les Français ne veulent plus, en fait,
00:26quand on voit qu'il y a des crimes odieux qui sont commis par des individus qui ne devraient
00:31pas se retrouver sur le territoire, il y a une demande, non pas juste d'autorité, mais
00:36il faut agir très rapidement. On parle vraiment de sécurité, de menace à la vie de Français.
00:43Quand on pense à ce qui s'est passé avec Philippine, quand on pense à ce qui s'est
00:47passé avec la petite Lola, et j'en passe, ce sont vraiment deux événements assez traumatisants
00:54pour les Français. Déjà, si on peut s'atteler à ce premier problème, déjà des récidivistes,
00:59on ne parle même pas de petites condamnations ou quoi que ce soit, on parle vraiment d'individus
01:05qui ne devraient pas se retrouver sur le territoire et souvent qui peuvent être récidivistes,
01:10des cas de viol, de meurtre ou d'autres crimes qui ont des impacts. Et plus largement, ça
01:16montre à quel point justement que toute cette immigration incontrôlée, c'est ça le problème,
01:22c'est pas d'avoir un contrôle et d'avoir une immigration qui est choisie. Donc, on voit
01:27à quel point ça vient bouleverser le quotidien, la vie des gens. On l'a vu à Calais, c'est
01:34autre chose, mais tout ça est lié en fait. C'est le fait que ça vient bouleverser la
01:39sécurité, l'inquiétude, le quotidien, la vie des citoyens. Et finalement, on ne pourrait
01:45pas les écouter parce qu'après, ce serait quoi? Ce serait le procès en intolérance,
01:50en xénophobie. Je pense qu'il faut vraiment élargir le débat plus loin. Des fois, on
01:55parle de ces associations d'aide aux migrants, mais est-ce qu'elles vont aussi prendre le
01:59pouls des populations locales et entendre aussi ce qu'elles vivent au quotidien?

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