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Transcription
00:00Des gadgets qui sont utilisés pour prémunir les femmes.
00:03Je pense qu'il faut dire attention, souvent elles ont des limites techniques.
00:07Je pense notamment aux tests qu'on tremble dans les verres.
00:09Ils ne contrôlent pas tous les produits possibles.
00:12Parfois parce qu'ils contrôlent des molécules qui sont adaptées plutôt au marché américain
00:16parce que ce sont des produits qui viennent d'Amérique,
00:18donc qui sont inadaptés pour la France.
00:19On a aussi les capotes de verre, mais en fait c'est négligé que ça peut être une connaissance.
00:24Ça peut créer une illusion de sécurité un peu compliquée.
00:27Et puis encore une fois, ça donne aux femmes la charge de se protéger.
00:30Pour le côté médical, il y a plusieurs choses à faire.
00:32Il y aurait déjà la formation des soignants, qui n'est pas du tout à jour sur ce côté-là.
00:37Puisqu'on le voit dans l'affaire Pellico, la victime a connu une errance thérapeutique.
00:41Il existe aussi des ordonnances sécurisées qui peuvent permettre,
00:43avec un système de sécurité de filigrane et de signature particulière,
00:48qui sont beaucoup plus durs à falsifier.
00:50Aux côtés des forces de l'ordre, là aussi, il faudrait une formation
00:52Pour que la soumission chimique soit pas uniquement suspectée, mais prouvée,
00:58il faut commander les bons tests et donc que les bons produits soient recherchés.
01:01Souvent, on a beaucoup de problèmes autour de ça,
01:04qu'on ne se focalise pas justement que sur le G****, qu'on demande tout un éventail.
01:08Commandez au laboratoire des tests capillaires.
01:10Certains produits, notamment le G**** et d'autres,
01:12disparaissent assez rapidement dans les urines et dans le sang.
01:15Alors que dans les cheveux, vous avez la trace des consommations sur plusieurs semaines, mois.
01:19Après, évidemment, on pourrait parler aussi de l'éducation sexuelle des garçons,
01:23qui est un impensé éducatif en France.

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