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Kevin Bossuet, professeur d'histoire, revient sur la situation à Poitiers alors que des policiers vont être déployés «La sécurité n'est qu'une question de volonté politique».

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Transcription
00:00Mais bienvenue dans le monde des bisounours de la gauche.
00:03Encore une fois, on a affaire ici à une maire écolo.
00:06Quand vous écoutez Monsieur Piolle à Grenoble,
00:08il vous tient exactement le même discours.
00:10On ne peut rien faire, c'est la fatalité.
00:13Il n'y a aucune action publique possible, ce qui est parfaitement faux.
00:16Je vais prendre un exemple, notamment l'exemple de Bron.
00:20C'est une ville près de Lyon qui possède 43 000 habitants.
00:24Et il y a quatre ans, vous avez un maire LR qui a pris le pouvoir
00:29après 49 années passé sous la gauche, c'est Jérémy Bréau.
00:34Il a décidé de mettre sur la table un million d'euros.
00:37Et en quatre ans, la commune a multiplié notamment le nombre de caméras.
00:42Elle est passée de 35 à 300 caméras.
00:45Les policiers, les effectifs ont été multipliés par deux.
00:48Et il a décidé d'armer les policiers municipaux.
00:51Voilà un maire qui agit et les résultats sur la délinquance
00:55et sur l'insécurité sont visibles.
00:57Donc vous voyez, quand il y a une volonté politique,
00:59quand on sort de ces petites œillères idéologiques
01:02comme madame la maire socialiste, on arrive en effet à des résultats.
01:07L'insécurité n'est qu'une question de volonté politique.
01:10C'est ça qu'il faut marteler.

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