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Transcription
00:00Jean-Michel Apathy, donc le journaliste qui...
00:02Alors je vais vous dire la vérité, c'est vrai que moi je ne regarde même pas les tweets, je ne regarde rien sur ce qui me concerne et les gens qui me critiquent.
00:10Et c'est les gens qui m'ont envoyé ça et qui m'ont dit, regarde le dérapage de Jean-Michel Apathy te concerne.
00:16Alors Jean-Michel Apathy...
00:17– C'est lui qui vous regarde par contre.
00:19– Oui, alors Jean-Michel Apathy, parce que je fais une émission sur Europe 1 tous les jours, entre 16h et 18h.
00:24Il dit, je viens d'écouter une demi-heure lunaire sur Europe 1, Cyril Hanouna et ses chroniqueurs
00:28ont dénoncé la moraline et la condescendance de France Inter.
00:31Je n'en peux plus, a dit Hanouna, visiblement au bord du gaz.
00:35C'est cette expression qui a dérangé énormément de monde, je donnerai mon avis dans un instant là-dessus bien entendu.
00:43Mais il y a énormément de gens, et d'ailleurs on le voit sur les réseaux sociaux,
00:48tout le monde considère ça comme un dérapage antisémite.
00:52Jean-Michel Apathy doit être suspendu après ce dérapage, considérez-vous que c'est un dérapage.
00:57Justement, il y a énormément de gens qui ont tweeté, je vous le dis, il y a les politiques qui ont réagi.
01:04Il y a même Guillaume Mélani aussi mon ami, l'acteur, qui dit dire que Cyril Hanouna,
01:09dont tout le monde sait qu'il est juif, qu'il est au bord du gaz,
01:11est d'une rare ignominie et d'un antisémitisme crasse.
01:14Et jouer l'ingénu qui ne comprend pas le problème d'utiliser cette expression
01:17fait de vous un lâche et un minable, et je suis poli.
01:19Merci à Guillaume Mélani, à Éric Ciotti, dérapage indigne aux frontières de l'antisémitisme.
01:23Pour Jean-Michel Apathy, j'apporte tout mon soutien à Cyril Hanouna, merci Éric Ciotti.
01:27Benjamin Cauchy, le groupe TF1, doit dénoncer les propos tenus par Jean-Michel Apathy.
01:31Hanouna au bord du gaz, des propos antisémites, merci à lui.
01:34Et c'est Gautier Lebré aussi qui a tweeté, mon ami, journaliste Gautier Lebré.
01:38Hanouna visiblement au bord du gaz, dit Jean-Michel Apathy,
01:40dans la lignée de Durafour-Crème-à-Côte-Toire où Braune-Pivet est allé camper à Tel Aviv, étonnant.
01:46Non, il y a Julien Audoul aussi, né avant la honte entre jalousie maladive et frustration,
01:50Jean-Michel Apathy déverse une ambiguïté antisémite nauséabonde
01:53et rejoint le club sordide de Mélenchon et du rappeur islamiste Médine.
01:56Tout mon soutien à Cyril Leunas, merci Julien Audoul.
01:58Alors, oui, oui, non, oui, oui, Géraldine, non.
02:01Camper à Tel Aviv, ce n'est pas une expression.
02:03L'expression au bord du gaz, c'est une expression.
02:06On peut la trouver de très, très mauvais goût.
02:08On peut la trouver, elle est vieillotte, comme peut-être Jean-Michel Apathy.
02:13Elle est désuète, mais moi, je n'ai pas envie de faire ce que les wokistes font à longueur de journée.
02:18Et pour moi, je ne suis jamais d'accord avec Jean-Michel Apathy,
02:20mais je pense que ce n'est pas de l'antisémitisme.
02:22Voilà, donc du coup, je ne pense pas qu'il faut le suspendre.
02:25Jean-Michel Apathy est quelqu'un de lettré, de cultivé, d'intelligent.
02:29Il sait très bien qu'en tweetant cette expression au sujet d'un animateur...
02:32Il aurait pu le faire au bord du gouffre.
02:34Surtout cette expression que personne n'utilise en plus, en tout cas que plus personne n'utilise.
02:38Je pense qu'il sait très bien ce qu'il fait.
02:40Si ça avait été un chroniqueur de TPMP qui avait fait une allusion ou une expression
02:46un peu tendancieuse comme ça au sujet de quelqu'un d'une autre émission,
02:49je pense que, Cyril, vous seriez mangé des polémiques et des polémiques.
02:52Mais figurez-vous que Jean-Michel Apathy est un peu coutumier du fait,
02:54puisque j'ai beaucoup de respect pour ce journaliste,
02:56mais j'ai regardé un petit peu.
02:58J'ai vu qu'en mai 2023, c'était il n'y a pas longtemps,
03:00c'était dans l'émission Quelle époque de Léa Salamé,
03:02il nous avait expliqué que l'antisémitisme avait disparu
03:04et que Vichy s'était oublié.
03:06Voilà ce que dit Jean-Michel Apathy.
03:08Ce n'est pas antisémite de dire ça.
03:10Non, mais c'est expliqué.
03:12C'est encore toujours pareil, ce qu'on disait tout à l'heure.
03:14C'est les oui, mais l'antisémitisme a disparu.
03:16Non, l'antisémitisme n'a pas disparu.
03:22Il faut savoir qu'il enchaîne les polémiques Jean-Michel Apathy en 2017.
03:24Alors, ce n'était pas sur de l'antisémitisme,
03:26mais il avait dit pas sûr que la robe rouge d'Audrey Crespo-Mara
03:28soit très adaptée à l'actualité ce soir.
03:30Derrapage sexiste en 2016.
03:32Encore, il nous explique qu'il voulait raser Versailles
03:34pour que l'on arrête de cultiver la grandeur de la France.
03:36Je pense qu'au fond, Jean-Michel Apathy,
03:38ce qu'il cherche en ce moment, c'est du buzz.
03:40Quand il fait tous ses tweets avec écrits
03:42étonnant non, étonnant non, étonnant non.
03:44Il essaie de se remarquer, parce qu'il n'a plus beaucoup de...
03:46Plus personne ne l'écoute.
03:48Oui, Gilles Verdez.
03:50Si, une seconde,
03:52je croyais qu'il avait voulu volontairement
03:54assimiler un juif au gaz,
03:56j'aurais mis
03:58oui, suspendu, viré, condamné,
04:00lourdement.
04:02Je ne peux pas y croire.
04:04Mais si je me trompe, Cyril Geoffrey, mon mea culpa.
04:06Si je me trompe, je ferai mon mea culpa.
04:08Gilles Verdez qui ne prend aucun risque.
04:10Si je me trompe.
04:12On ne pourra jamais savoir si on se trompe,
04:14parce que c'est des garçons très très intelligents.
04:16Jean-Michel Apathie, c'est quelqu'un qui est dans les médias
04:18depuis 50 ans, ou 40 ans.
04:20Depuis combien de temps ?
04:22Il a fait toutes les émissions de radio.
04:24Il a fait toutes les chaînes télé.
04:26Il sait très bien quand il parle, l'impact que ça va avoir.
04:28Donc moi, je vois le fond et la forme.
04:30Et quand je prends cette expression-là,
04:32je me dis que cette expression,
04:34je la comprends comment, moi ?
04:36Comment un mec comme moi la comprend ?
04:38Je fais l'allusion, moi. Je fais tout de suite le lien.
04:40Et je me dis que je déteste
04:42enlever le boulot des gens.
04:44Je dis toujours, je ne veux pas de sanctions
04:46à condition que ce ne soit pas grave.
04:48Ça, c'est très grave, parce qu'elle est où la frontière ?
04:50On a le droit de dire quoi, après ?
04:52Si on a le droit d'utiliser l'homogaze,
04:54on peut encore utiliser d'autres choses,
04:56et on va jusqu'où ?
04:58Souvenez-vous, Guillaume Meurice,
05:00il l'avait fait une fois, il l'avait fait deux fois,
05:02c'est encore à France Inter.
05:04Moi non plus, mais je voulais des sanctions,
05:06parce qu'on ne peut pas tout faire.
05:08Je veux que France Inter dise à Jean-Michel Apathie,
05:10dans le groupe, je veux qu'on lui dise
05:12que ça, on ne peut pas le faire.
05:14Parce que sinon, on va le faire sur d'autres religions,
05:16d'autres personnes, etc.
05:18Si on le fait sur quelqu'un d'autre,
05:20ça ne passe pas, je vous le dis.
05:22Il faut faire attention.
05:24Sincèrement, on se déteste Jean-Michel Apathie et moi.
05:26Je n'ai pas beaucoup de respect pour lui.
05:28Je n'ai pas beaucoup de respect pour ce qu'il dit.
05:30Je n'ai pas beaucoup de respect pour ce qu'il fait.
05:32Et je pense qu'effectivement, même si c'est une expression
05:34qu'on utilise beaucoup dans le Dauphiné,
05:36au bord du gaz, je pense qu'il sait exactement
05:38ce qu'il fait quand il le dit.
05:40Et tu as très bien fait de ressortir
05:42toutes ces expressions, Sacha,
05:44parce que je ne les connaissais pas.
05:46Et franchement, ça me donne confort dans ma raison
05:48de ne pas l'aimer du tout.
05:50En revanche, si on le suspend,
05:52il va être victimisé complètement.
05:54Il va y avoir une montée au créneau
05:56de le pauvre Jean-Michel Apathie.
05:58Rien du tout.
06:00Et on n'en parle même pas.
06:02Le méprisé de ne pas en parler de lui.
06:04C'est votre avis, Thomas.
06:06C'est ce que je pense.
06:08Là, pour le coup, Cyril,
06:10en tant qu'ami,
06:12n'entrez pas là-dedans.
06:14C'est ça le conseil que je vous donne.
06:16De manière générale, c'est-à-dire
06:18quand quelqu'un essaye
06:20de faire sa promo sur votre dos
06:22en vous balançant une vanne,
06:24une insulte, une agression verbale,
06:26quelle que soit la forme,
06:28si vous réagissez, vu l'audience
06:30que vous avez, ça fait du buzz,
06:32donc le mec qui est dans un bug autopromotionnel,
06:34en fait, il remplit son but.
06:36Et donc, vous envoyez un message à tous les autres
06:38qui sont en manque de publicité,
06:40il suffit de vous insulter en public
06:42pour avoir droit à 5 à 10 minutes sur votre chaîne
06:44avec 2 millions de personnes qui regardent.
06:46Et donc, je dis non.
06:48Le fait d'ignorer quelqu'un
06:50est une forme de riposte.
06:52Et moi, je dis, ignorez-le.
06:54C'est l'avis de Thomas, on le laisse.
06:56Moi, je dis qu'on ne peut pas ignorer
06:58parce que ça choque peut-être
07:00Cyril, peut-être même pas,
07:02mais ça va choquer d'autres gens, d'autres juifs.
07:04Vous savez, quand vous avez des scrupules,
07:06je comprends, moi non plus, je n'ai pas envie qu'on
07:08suspende quelqu'un, mais est-ce que lui ne se réjouit pas
07:10de l'arrêt de C8 ? Donc moi, je n'ai aucun scrupule.
07:12Je n'ai aucun scrupule parce que ça peut être
07:14le premier...
07:16Et quelque chose qu'Isabelle a dit,
07:18c'est qu'il a dit ça, mais non,
07:20il l'a écrit. C'est très écrit, ce tweet.
07:22Le petit étonnant, non.
07:24Il y a des guillemets partout, c'est très littéraire.
07:26C'est là où le dérapage
07:28n'existe pas.
07:30Ça n'est pas un dérapage.
07:32Donc forcément qu'on ne peut pas...
07:34Thomas, je suis un peu désolé, tu dis
07:36il ne faut rien dire, il ne faut même pas en parler,
07:38il faut traiter par le mépris.
07:40Quand il y a un député du RN qui fait une sortie
07:42désastreuse, t'es le premier à en parler,
07:44tu ne traites pas par le mépris, tu en parles.
07:46Deuxième chose, j'aurais bien aimé, moi aussi,
07:48croire que c'était d'indélicatesse,
07:50pas qu'il n'avait pas fait attention,
07:52qu'il n'a pas fait exprès de faire ce truc foireux,
07:54mais est-ce qu'il s'est excusé ?
07:56Est-ce qu'il s'est excusé ?
07:58Ou est-ce qu'il a explicité,
08:00excusez-moi, explicité ce qu'il voulait dire ?
08:02Je crois qu'il l'a fait, il l'a fait.
08:04En répondant à Gauthier, le vrai.
08:06On va en parler dans un instant.
08:08Juste, Polska.
08:10Moi, ça ne me choque pas,
08:12parce que c'est une expression,
08:14je ne pense pas qu'il devrait être suspendu,
08:16mais comme l'a dit Jean-Michel,
08:18il devrait peut-être faire des excuses
08:20s'il a baissé des jambes,
08:22mais pas suspendu, pour moi.
08:24Travailler comme un arabe ou comme un noir,
08:26ça ne vous choque pas ?
08:28Ça, c'est le travail d'un arabe.
08:30Ça ne vous choque pas ?
08:32Parce que c'est une expression.
08:34C'est une expression.
08:36C'est pas un journaliste qui l'emploie.
08:38Ça n'a rien à voir.
08:40C'est pas un journaliste qui l'emploie.
08:42Sylvain.
08:44La frontière, elle est chelou.
08:46Oui, c'est toujours pareil.
08:48Je suis assez d'accord avec Jean-Michel Merceau.
08:50Jordan Bardella aurait dit cette phrase-là.
08:52Quelles auraient été les réactions
08:54de M. Apathy, de M. Mélenchon
08:56M. Mélenchon, M. Portes
08:58ou ses autres amis,
09:00quand ils font des phrases équivoques,
09:02tendancieuses,
09:04des phrases qui a des relents,
09:06nauséabonds.
09:08On n'entend pas trop M. Guenelais
09:10les critiquer.
09:12Ne soyez pas inutilement désagréable.
09:14Comment ?
09:16Je ne suis pas inutilement désagréable, M. Guenelais.
09:18C'est la vérité.
09:20Vous le demandez gentiment, c'est tout.
09:22Ne me mettez pas dans le même sac que les autres
09:24Alors vous, vous avez le droit de dire vos...
09:26Non, non, je vous le dis très gentiment.
09:28Comme nous tous autour de la rue.
09:32M. Bardella aurait dit cette phrase, M. Guenelais.
09:34Est-ce que vous l'auriez condamné ou pas ?
09:38C'est bien que vous en parliez parce que
09:40ça fait longtemps que Jean-Marie Le Pen
09:42sort des horreurs.
09:44Je ne commente plus.
09:46Je n'y réagis même plus.
09:48Je fais exprès
09:50de ne plus commenter les horreurs de Jean-Marie Le Pen.
09:52De manière générale, à titre personnel,
09:54quand je me prends une agression verbale,
09:56n'importe laquelle, ma politique depuis longtemps
09:58c'est de ne pas entrer dans ce jeu-là.
10:00De ne pas répondre à la provocation
10:02parce que répondre à la provocation
10:04c'est en fait se laisser atteindre
10:06par la provocation.
10:08C'est entrer dans le jeu de la provocation
10:10et c'est accepter que l'adversaire
10:12encaisse immédiatement le gain de la provocation
10:14parce que tu as réagi et ça fait du buzz
10:16et ça fait de la pub, etc.
10:18Je veux bien ne pas rentrer dans la provocation.
10:20Comme toi, quand on se fait insulter, menacer de mort,
10:22on s'en fout, on bloque les gens,
10:24on leur répond deux minutes et on les bloque
10:26et après terminé. Ce n'est pas des gens ça.
10:28Ça c'est des gens contre l'audience.
10:30Il a fait combien de milliers de tweets ?
10:32Il a été vu par plein de gens.
10:34Ne pas répondre, c'est comme l'histoire d'Isabelle.
10:36Si on n'avait pas répondu, tous les gens qui se sont défoulés
10:38à tweeter tout le week-end, on a répondu
10:40puis bizarrement les gens se sont excusés derrière.
10:42Ah, je n'avais pas compris ça.
10:44Il y en a qui ont enlevé leur retweet.
10:46Tu es obligé de désamorcer à un moment donné.
10:48Une décolle, une provocation.
10:50Du petit Steven à Émilie
10:52et deux millions de personnes qui regardent
10:54et qui mettent de l'huile sur le feu comme ça.
10:56Tu es obligé à un moment donné de désamorcer et de répondre.
10:58Tu ne peux pas laisser passer ça. Elle est où la frontière à un moment donné ?
11:00Sinon, moi je m'en fous. On s'insulte tous sur Twitter.
11:02Ça ne me dérange pas. J'en connais plein des insultes.
11:04Tu es arrivé dans l'émission parce que tu avais répondu à quelque chose.
11:06J'avais dit sur toi, tu es venu justement y répondre.
11:08C'est pour parler de mon livre.
11:10Ça mérite une réponse et un avertissement.
11:12Fabrice, division.
11:14C'est bien résumé.
11:18C'est bien résumé.
11:22Je crois que ça suffit à soi-même.
11:24Pas mal.
11:26On va juste voir le sondage.
11:28On va voir le sondage.
11:32Oui, il y a 81%.
11:34Oui, il y a 81%.
11:36Moi, Jean-Michel Apathy, entre nous,
11:38il est déjà éliminé.
11:40Pour moi, c'est déjà...
11:42C'est quelqu'un qui est déjà sur le banc.
11:44Il fait une fixette sur vous ?
11:46Oui, mais comme a dit Thomas,
11:48il veut, il cherche un peu
11:50à gratter de la notoriété, à faire du buzz.
11:52À son âge, franchement,
11:54faire ça à son âge,
11:56après tout ce qu'il a fait,
11:58franchement, Jean-Michel Apathy, c'est vrai que c'est...
12:00Moi, ça me fait...
12:02Tous ces gens-là, j'en parlais d'un fois,
12:04il me fait de la peine.
12:06Jean-Michel Apathy, moi, je vous le dis,
12:08je pense qu'en revanche, son mot a été
12:10bien recherché, il l'aurait dit, sinon,
12:12au bord du gouffre, au bord du précipice.
12:14Au bord du gaz, il a voulu...
12:16En plus, c'est quelqu'un qui écrit beaucoup,
12:18donc il a fait exprès de le dire.
12:20Moi, tu sais, peut-être que je suis le seul ici,
12:22mais je ne connaissais pas l'expression.
12:24Moi non plus.
12:26Moi aussi, je ne la connaissais pas.
12:28C'est pas bizarre, je dis qu'effectivement,
12:30c'est qu'au bord du gouffre, au bord du précipice,
12:32au bord du gaz.
12:34Moi, je pense qu'il a fait exprès de la mettre
12:36et qu'il s'est dit, voilà, je vais la mettre quand même.
12:38Après, moi, ça me paraît plus important d'entendre,
12:40éventuellement, M. Apathy, si ça nous intéresse,
12:42sur ce qui s'est passé à Amsterdam
12:44par rapport au pogrom. Là, j'aimerais avoir son point de vue.
12:46J'aimerais avoir sa parole.
12:48Moi, je m'en fous totalement.
12:50Non, mais pour voir justement s'il a une ambiguïté
12:52ou s'il est clair.
12:54Mais il y a un truc, quand même, qui est nul,
12:56et effectivement, je ne sais pas qui l'a dit,
12:58je ne me souviens plus, c'est effectivement,
13:00quelque chose qui ne va pas, c'est que
13:02quand ça commence à prendre, la polémique,
13:04il n'a pas dit ça dans ce sens-là.
13:06Eh bien, OK, il balance les excuses.
13:08Je me dis, attendez, les gars, je m'excuse,
13:10parce que, attendez, c'était maladroit,
13:12mais voilà ce que je voulais dire explicitement
13:14et c'est terminé, on passe à autre chose.
13:16On n'est pas obligé de nourrir la polémique.
13:18Pas la peine qu'il m'envoie des messages.
13:20Pas besoin de ça.
13:22Il pourrait.
13:24C'est Gauthier Lebray
13:26qui a quand même eu le courage
13:28encore de...
13:30C'est lui qui l'a dit.
13:32C'est Gauthier Lebray qui l'a remarqué.
13:34Vous êtes carrément cinglé, il a répondu.
13:36N'hésitez pas à vous excuser.
13:38Votre tweet donne la nausée.
13:40Je suis effaré par votre bêtise.
13:42Encore de l'attaque personnelle.
13:44Et moi, par votre aveuglement,
13:46faites semblant de ne pas voir le problème.
13:48Bravo à Gauthier Lebray.
13:50C'est vrai qu'effectivement,
13:52Gauthier a ouvert une porte.
13:54Gauthier lui a ouvert la porte, en fait.
13:56C'était facile de faire un tweet
13:58avec sa portée,
14:00pour dire, les gars, vous racontez n'importe quoi,
14:02c'est pas du tout comme ça.
14:04Et même, il aurait pu s'en indigner, quelque part.
14:06Et préciser ce qu'il voulait dire partout.
14:08C'est inconnu de ne pas l'avoir fait.
14:10Si tout le monde a repris,
14:12c'est que ce n'était pas une simple expression des années 50.
14:14On ne connaissait pas l'expression.
14:16Moi, je l'ai prise comme ça.
14:18Sinon, personne n'aurait repris.
14:20Vous avez remarqué que Gilles Verdès
14:22s'indigne pour tous les trucs,
14:24racistes, antisémites, etc.
14:26Mais pas pour ça.

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