Avec Luis Fernandez
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##VRAIES_VOIX_FOOT-2024-11-20##
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##VRAIES_VOIX_FOOT-2024-11-20##
Category
🥇
SportTranscription
00:00Salut Ă tous, c'est Tonton Maurizio sur Sud Radio pour notre nouveau rendez-vous, les
00:10Vrais Voix du Foot, l'incontournable Ă©mission du mercredi soir, 20h21 sur Sud Radio, oĂą
00:16on vous parle vraiment de football.
00:17Je suis toujours accompagné de Pierre Grégoire, comment ça va mon Pierrot ?
00:21Ça va très bien, bonsoir tout le monde.
00:22Ah la Pierrot il est en pleine bourge je le dis toutes les semaines, mais il progresse,
00:25il progresse, il est de mieux en mieux.
00:27Et j'ai Farid Boualla alias Toto Belozzo, comment ça va Toto ?
00:31Eh bien écoute ça va très bien, toujours au micro donc c'est parfait.
00:34Voilà , on a encore une émission exceptionnelle aujourd'hui, parce qu'on reçoit, on reçoit,
00:45il va y avoir un petit bout de musique, on est bien organisé, ça démarre bien.
00:50On a un petit son, on a l'image, on va avoir le son.
00:53Dis-moi on a Maxime Senna, j'en profite pour voir le Maxime.
00:57Évidemment ça part pas quand on veut.
00:59Voilà , c'est ça, c'est comme à la télé, ça marche jamais quand il faut.
01:05Mais du coup restez, on a vraiment un invité exceptionnel.
01:07Ah oui on a vraiment un invité exceptionnel, ceux qui ont l'image ils le voient déjà ,
01:10mais on vous dira tout le temps après.
01:11Il n'y a pas de surprise pour les gens qui sont sur YouTube déjà .
01:13Les gens qui nous regardent en direct sur la chaĂ®ne Sud Radio ou sur YouTube, voilĂ
01:18je peux vous dire, il est heureux d'être là Maxime, tu me fais signe dès qu'il voit
01:21à tout prix qu'on démarre, ben là c'est moi qui ai eu l'idée, enfin c'est pas moi,
01:24c'est Pierre qui a eu l'idée de faire ce petit jingle qui nous plaît bien parce que...
01:29Si on n'a pas l'audio, en attendant je peux vous raconter ce qui m'a fait accrocher définitivement
01:34Ă ce qu'est le football.
01:36C'était un jour, j'étais devant ma télé, j'avais 9 ans, en 1986, et je regardais une
01:41demi-finale de Coupe du Monde.
01:43Et Ă ce stade-lĂ je ne comprenais pas encore vraiment ce qu'Ă©tait le football, et Ă un
01:49moment donné je vois, séance de tir au but, France-Brésil, je pense qu'on va avoir
01:55l'audio dans pas longtemps, et c'est ce moment bien précis qui m'a accroché définitivement
02:02au football.
02:03Ce passage d'un moment hyper tendu Ă une folie extrĂŞme d'un seul coup, sur un coup
02:08de priorité d'un homme bien précis, je pense qu'on s'en rapproche, et je peux vous assurer
02:16que ce moment précis m'a définitivement fait accrocher au football.
02:20C'est une grande référence, et d'ailleurs je le remercie de ce moment-là .
02:26On va le remercier en direct, je crois qu'on a un petit décalage, tant pis on l'aura après,
02:32je vous donne son nom tout de suite, M. Louis Fernandez.
02:36Bonsoir Ă tous, merci pour votre accueil, mais c'Ă©tait pas une demi-finale, c'Ă©tait
02:39un quart de finale.
02:41C'était une demi-finale, parce que j'aurais bien aimé jouer une finale de Coupe du Monde,
02:46mais lĂ c'Ă©tait un quart de finale, mais c'Ă©tait dans un stade qui s'appelait Guadalajara,
02:51et quand j'avais 10 ans, et quand on parle des enfants de 10 ans, mon premier souvenir
02:56que j'ai c'est de cette Coupe du Monde en 70, avec Pelé, avec Gerson, Rémi Lino,
03:01et c'est pour cela que Pelé est dans mon cœur, avec d'autres que j'aurais l'occasion
03:05de citer.
03:06A égalité avec Diego Maradona, oui, je ne veux pas te forcer la main.
03:08Avec d'autres, j'ai dit, des grands, et Maradona en fait partie aussi de ces grands,
03:12mais c'est vrai que cette Coupe du Monde ça restera aussi un grand souvenir pour moi.
03:16Non mais tu sais, ce grand moment de tension avant que tu tires le pénalty, et cette libération
03:20de choix.
03:21Mais cette voix, cette voix de Thierry Roland, Thierry Roland, c'Ă©tait dĂ©jĂ l'HarkĂ© Ă
03:26l'Ă©poque ?
03:27Oui, Jean-Michel.
03:28Et c'est vrai que maintenant on nous réconcilie avec le foot, à l'époque on nous faisait
03:32aimer le foot, maintenant on est dans la réconciliation.
03:35Est-ce que Max a ce petit passage ?
03:37Toujours pas.
03:38On l'aura tout Ă l'heure.
03:39On l'aura tout Ă l'heure.
03:40On l'a décrit bien mieux.
03:41On l'a décrit bien mieux.
03:42VoilĂ .
03:43On l'aura tout Ă l'heure.
03:44Il est parti demain.
03:45Il est parti.
03:46Du moment qu'il a été dans les filets, c'est ça le principal.
03:49Alors on commencera cette Ă©mission avec un premier auditeur, Marco, Ă©ducateur de la
03:53GAD de Drancy, avec qui on va revenir sur la performance de nos bleus en Italie dimanche
03:59soir.
04:00Et puis on fera un petit retour, bien sûr, sur l'Italie-France, on a plein de questions,
04:04on fera un petit bilan après Mbappé, etc.
04:06On a plein de questions.
04:07On fera un état de santé du PSG, puisqu'on a la chance d'avoir Louis Sperre d'Andrès
04:11avec nous.
04:12On anticipera, on essaiera d'anticiper sur la Ligue des champions qu'est-ce qui va se
04:16passer, est-ce qu'on peut croire aux forces du PSG.
04:18Et puis on aura un...
04:20On a appelé ça un portrait du jour, parce que Toto a préparé des questions à te poser
04:27comme une espèce de face-à -face.
04:28Il veut rentrer dans...
04:29Le slogan de la radio, c'est « Parlons vrai ».
04:32On va poser ses questions.
04:33Sans problème, ne vous inquiétez pas.
04:34Il est lĂ , Louis.
04:35Je peux vous dire.
04:36Je peux vous dire.
04:37Je l'ai pour assumé.
04:38VoilĂ .
04:39Moi, je dis les choses tout haut.
04:41Depuis maintenant deux heures, je suis avec Louis.
04:44C'est un personnage.
04:46Je voulais te remercier, toi, et puis Eric qui est dans le studio.
04:49Vous ĂŞtes des gens de parole.
04:50Moi, je suis de la vieille Ă©cole et la parole vaut l'homme ou l'homme ne vaut rien.
04:53Et vous avez une parole et vous tenez vos engagements.
04:55Et voilĂ .
04:56À l'heure qu'il est, c'est important de le préciser.
04:59Merci.
05:00Merci les garçons.
05:01Toi, on n'est pas Maradona.
05:02On est Louis, c'est Eric.
05:04Je te préviens que toi aussi, il est fade de Diego.
05:07Allez, un petit gigole et on revient tout de suite après ça.
05:10Sud Radio, les vraies voix du fou.
05:13Je ne dis rien, je vous ai remarqué.
05:15Je ne dis rien.
05:19Allez, Louis.
05:20Allez, mon petit bonhomme.
05:22Oui !
05:24Oui, oui, oui, oui.
05:26Oui, oui, oui, mon petit bonhomme.
05:28Bravo.
05:29Bravo.
05:31C'est le drame de Madrid.
05:33Ça fait presque les larmes.
05:35Oui, je suis très ému pour ça.
05:37Tu nous as fait rĂŞver, Louis.
05:39On est Ă©mus en vrai.
05:40Non, parce que quand tu te rappelles, quand tu te souviens de ces moments avec cette génération
05:46et avec ces commentaires.
05:48Et puis voilĂ , porter ce maillot pendant 60 fois.
05:51Je l'ai porté avec fierté.
05:53Je l'ai porté avec honneur.
05:54J'aime la France.
05:55C'est mon pays, même si je suis né en Espagne.
05:57Mais tu sais, quand tu as la possibilité, l'opportunité de jouer dans cette équipe de France.
06:02Je peux te dire que j'ai vécu des grands moments et je les en remercierai.
06:05Je ne peux pas savoir.
06:07Et puis que Michel Hidalgo perd son âme.
06:09Parce que Michel Hidalgo et Henri Michel ne sont plus de ce monde.
06:12Et je pense énormément à eux.
06:13Et ces joueurs qui ont participé dans cette compétition.
06:16Ce moment Ă©tait un grand moment.
06:18Je voulais me sauver.
06:19On voulait rentrer Ă Paris directement.
06:20Après le pénalty marqué.
06:22Tu avais plus d'un heureux.
06:25Il faut faire deux choses.
06:27Il ne faut pas mentir.
06:29Les amis Karim nous ont mis un uppercut Ă l'airite blonde.
06:33C'est beau que ces marqueurs Ă©motionnels ne touchent pas que le public.
06:37Ils touchent aussi les joueurs eux-mĂŞmes.
06:39Et ces grands moments que vous nous avez partagés vous ont marqué aussi.
06:43Il faut que tu saches d'oĂą je viens.
06:45Je viens d'un quartier.
06:46Le quartier des Manguettes.
06:47OĂą on Ă©tait tous ensemble.
06:49Tous réunis.
06:50Quand tu as une opportunité, une possibilité.
06:52Parce que c'est ton sport.
06:54C'est le football.
06:55De pouvoir jouer.
06:56Et quand tu fais le parcours que je fais.
06:58Tu sais quand t'arrives au Paris Saint-Domingue.
07:00Quand tu te retrouves avec ces hommes.
07:02Ce monsieur Pierre Lonce aussi décédé.
07:04Il perd son âme.
07:05Et ce Moustapha Daleb.
07:07Ce Tocco.
07:08Ce Boubacar.
07:09Ce Jean-Pierre Adams.
07:10Tu t'assoies à côté d'eux.
07:11Tu les regardes.
07:12Tu les observes.
07:13Et tu les Ă©coutes.
07:14Et pour moi ça a été primordial.
07:16Je leur dis assez souvent aux jeunes.
07:18Écoutez ces hommes qui sont à vos côtés.
07:20Et avec eux.
07:21Si vous les avez envie de vraiment réussir.
07:23D'y arriver.
07:24Soyez toujours sérieux.
07:25Et appliqués.
07:26Et vous verrez que vous y arriverez quand mĂŞme.
07:28Si vous avez des qualités dès le départ.
07:30C'est tout.
07:31On est assis à côté de toi.
07:32On est dans la mĂŞme posture.
07:33On va t'Ă©couter aujourd'hui.
07:34C'est un grand bonheur.
07:35Moi je dois faire le lien.
07:36On doit parler des bleus.
07:37Donc on a un bleu avec nous.
07:38Un des meilleurs bleus qu'on ait eu en France.
07:41Et enchaîner avec les bleus.
07:43Alors on va.
07:44Je vais essayer de faire face.
07:45Est-ce qu'on a Marco au téléphone ?
07:47Parce que Marco il va nous aider.
07:49Marco il va arriver.
07:50Comme le petit jingle de Louis.
07:53On revient sur nos bleus.
07:55Alors.
07:56Louis.
07:57On est en 2024.
07:58VoilĂ .
07:59Maintenant on est dans l'ère.
08:00Didier Deschamps.
08:01Avec tous les soucis que ça incombe.
08:03Tout le monde dit tout et son contraire.
08:05On est un peu perdu.
08:06On n'est plus dans notre football d'antan.
08:07Toi ta version.
08:08J'ai envie tout de suite de savoir.
08:10L'Ă©quipe de France 2024.
08:12Ben.
08:13Avant tout.
08:14Cet homme qui est Ă la tĂŞte de cette Ă©quipe de France.
08:16DĂ©jĂ il faut lui rendre un hommage.
08:18Parce que c'est quand mĂŞme Didier Deschamps.
08:20Avec un groupe.
08:21Depuis qu'il a pris ce groupe.
08:23Qui a quand même réussi à l'amener.
08:26A nous gagner une coupe du monde quand mĂŞme.
08:28Et Ă ĂŞtre aussi finaliste d'une coupe du monde.
08:31Alors c'est vrai qu'il y a des commentaires négatifs.
08:34Sur l'Ă©quipe de France.
08:36Alors c'est vrai qu'il y a Didier Deschamps.
08:38C'est le sélectionneur.
08:39C'est lui qui est le premier responsable.
08:41Mais ce n'est pas de lui que vient la faute.
08:43Si l'Ă©quipe ne joue pas remarquablement bien.
08:45Tout le monde a.
08:46C'est un sport collectif.
08:47Tout le monde a ses responsabilités.
08:48C'est pour ça que dernièrement j'ai eu l'occasion.
08:50De voir ce match face Ă l'Italie.
08:52J'ai bien aimé cette équipe de France.
08:54Elle a montré un bel état d'esprit.
08:55Maintenant il faut le laisser.
08:56Il a décidé qu'il irait jusqu'en 2026.
08:58Pour cette coupe du monde.
09:00Laissons-le.
09:01Tranquille.
09:02Travailler.
09:03Puis après en 2026.
09:04Il y aura l'occasion.
09:05D'y prendre certainement les devants.
09:06En se retirant de cette Ă©quipe de France.
09:07Après moi je suis souvent.
09:09Après je vais laisser Toto et Pierre te poser des questions.
09:11Mais je suis souvent.
09:13Ă€ charge un peu sur Didier.
09:15Parce qu'Ă un moment.
09:16Didier Deschamps.
09:17OK.
09:18Palmarès.
09:19Il n'y a pas de soucis.
09:20Même s'il a coaché.
09:21Joué dans un club italien.
09:22Que je ne citerai pas.
09:23Ă€ un moment.
09:24Il nous dit quand mĂŞme.
09:25De changer de chaîne.
09:26On n'est pas content.
09:27Cette arrogance.
09:28Ce n'est plus lĂ .
09:29Ce n'est pas de l'arrogance.
09:30Bon enfant.
09:31J'Ă©coute assez souvent.
09:32Les commentaires.
09:33Ă€ son encontre.
09:34Contre lui.
09:35Tu sais.
09:36J'ai le souvenir.
09:37En travaillant.
09:38Sur une radio.
09:39Que vous connaissez bien.
09:40Assez souvent.
09:41On est en train de se poser des questions.
09:43Par rapport Ă son poste.
09:46On Ă©tait un peu tous.
09:47Il ne peut pas jouer.
09:48Il y avait des commentaires.
09:49Contraires.
09:50Ă€ ce que Benzema jouait.
09:51Et puis d'un seul coup.
09:52Il l'a repris.
09:53Il l'a remis.
09:54Aujourd'hui.
09:55Didier Deschamps.
09:56Est Ă la tĂŞte.
09:57De cette Ă©quipe de France.
09:58Et dans cette Ă©quipe de France.
09:59C'est vrai.
10:00Qu'il y a des commentaires.
10:01Qui sont négatifs.
10:02Par rapport Ă son attitude.
10:03Par rapport Ă son style.
10:04Par rapport Ă son jeu.
10:05Bon.
10:06Il a décidé.
10:07De continuer l'aventure.
10:08Moi.
10:09En le voyant.
10:10En le regardant.
10:11Il est entraîneur.
10:12Qu'il soit passé.
10:13Par Monaco.
10:14Que ce soit passé.
10:15En Italie.
10:16Ă€ la Juve.
10:17Je veux dire.
10:18Ă€ Marseille.
10:19En Ă©tant champion.
10:20Et aujourd'hui.
10:21Ă€ l'Ă©quipe de France.
10:22Il n'y a rien Ă dire.
10:23Maintenant.
10:24Chacun peut avoir son commentaire.
10:25Mais attention.
10:26N'allons pas trop vite.
10:27Parce que je crois que.
10:28Il faut aussi respecter.
10:29L'homme.
10:30Et c'est vrai que.
10:31Beaucoup attendait.
10:32Un changement.
10:33Ou peut-ĂŞtre.
10:34Que Didier prenne une décision.
10:35Il ne l'a pas prise.
10:36Il est encore Ă la tĂŞte.
10:37De l'Ă©quipe de France.
10:38Essayons aussi.
10:40On ne va peut-ĂŞtre pas aller jusqu'Ă .
10:41Comme il dit.
10:42Pierrot.
10:43Laisser sa chance au produit.
10:44Parce qu'il l'a eu.
10:45Il l'a fait.
10:46Mais.
10:47On va demander Ă Marco.
10:48Je crois qu'on a Marco.
10:49L'auditeur.
10:50En ligne.
10:51Bonsoir Marco.
10:52Oui bonsoir.
10:53Bonsoir.
10:54Est-ce que tu peux nous donner.
10:55Ton point de vue.
10:56Toi.
10:57Sur ces bleus.
10:58Sur cette Ă©quipe de France.
10:59Il est Ă©ducateur.
11:00Ă€ la JAD.
11:01Un très bon club.
11:02Du 93.
11:03Marco.
11:04On t'Ă©coute.
11:05Bonsoir Ă tous.
11:06DĂ©jĂ .
11:07Bon Ă©coutez.
11:08Contestablement.
11:09On a pu voir.
11:10On a pu voir que.
11:11Un Ă©tat d'esprit.
11:12A été créé.
11:13A été au moins retrouvé.
11:14Oui.
11:15VoilĂ .
11:16Alors.
11:17Je ne vais pas dire.
11:18C'est lié à l'absence de certains.
11:19Mais.
11:20En tout cas.
11:21C'est sûr que.
11:22Quand.
11:23On s'appuie moins sur un seul joueur.
11:24On voit bien que le collectif.
11:25Fonctionne un peu mieux.
11:26D'accord.
11:27Toi.
11:28Pour toi.
11:29On a retrouvé un collectif.
11:30Moi justement.
11:31C'est un peu.
11:32Un peu.
11:33La question suivante Marco.
11:34Parce que maintenant.
11:35Le problème c'est que.
11:36Ok.
11:37Parce que.
11:38En Italie et tout.
11:39Toto.
11:40Tu vas ĂŞtre d'accord avec moi.
11:41Mais le.
11:42Maintenant.
11:43Tous les.
11:44Tous les.
11:45On va dire.
11:46Les titulaires.
11:47Camavinga.
11:48Je les ai notés.
11:49Pour être sûr de ne pas en oublier.
11:50Mais de toute manière.
11:51Je vais en oublier.
11:52Mais Mbappé.
11:53Kanté.
11:54Dembele.
11:55Barcola.
11:56Qui est rentré à la fin.
11:57Hernandez.
11:58Qu'est-ce qu'on en fait maintenant ?
11:59Parce que.
12:00S'il a trouvé un collectif.
12:01Et que.
12:02Qu'est-ce que tu en penses Marco ?
12:03Après.
12:04Après.
12:05Ils font partie du collectif.
12:06Mais.
12:07Une chose est sûre.
12:08C'est que.
12:09Ça élargit le.
12:10Le groupe.
12:11Et quand je vois.
12:12Quand je vois un joueur comme Ocadine.
12:13Franchement.
12:14Que je trouve plutôt assez sous-coté.
12:15Parce que.
12:16Partout oĂą il va il joue.
12:17Et qu'on voit que c'est des.
12:18Du monsieur quand mĂŞme.
12:19C'est un bon joueur.
12:20Ouais.
12:21Donc.
12:22Ouais.
12:23T'es confiant pour la suite quoi.
12:24Pour les bleus.
12:25T'es confiant ?
12:26Bah.
12:27Est-ce qu'ils seraient pas confiants ?
12:28Qu'on voit les.
12:29Les jeunes qui.
12:30Qui arrivent.
12:31Qu'on voit.
12:32Les Jeux Olympiques.
12:33Si on a fait.
12:34Donc.
12:35Et Ă tous les postes en plus.
12:36OK.
12:37Bah Ă©coute.
12:38On te remercie.
12:39On te remercie.
12:40Marco.
12:41On te dit à très bientôt.
12:42Un jour peut-ĂŞtre.
12:43Sur le.
12:44Sur le plateau.
12:45Tu viendras nous parler de ton club.
12:46On va.
12:47On va juste passer une courte.
12:48Petite pause.
12:49Et.
12:50On se retrouve tout de suite après ça.
12:51Les vraies voies du foot.
12:5220h.
12:5321h.
12:54Tonton Mauricio.
12:55De retour sur les vraies voies du foot.
12:57Avec.
12:58Toujours.
12:59Pierre Grégoire.
13:00Toto Peluzzo.
13:01Et notre invité exceptionnel.
13:02Luis Fernandez.
13:03Qu'on dit.
13:04Il vient de nous faire vivre un moment.
13:05Un moment exceptionnel.
13:06Merci Ă toi Luis.
13:07Toto.
13:08On revient sur l'Ă©quipe de France tout de suite.
13:09Et bah Ă©coute.
13:10Si.
13:11Si.
13:12Si on remet les pieds dans le plat tout de suite.
13:13Tout Ă l'heure.
13:14Luis Fernandez nous a parlé du.
13:15Du verre d'eau à moitié plein.
13:16Concernant Deschamps.
13:17Moi j'ai.
13:18Peut-ĂŞtre un petit peu plus pessimiste.
13:19Un peu plus critique.
13:20En tout cas concernant.
13:21Le sélectionneur de l'équipe de France.
13:22Parce que si on doit faire un bilan.
13:23Alors.
13:24On va pas faire un bilan.
13:25De son.
13:26De son.
13:27Son épopée avec les bleus depuis 2012.
13:28Mais.
13:29Si on se concentre vraiment sur.
13:31Et qu'on fait.
13:32Qu'on fait un bilan.
13:33On est quand mĂŞme sur.
13:3450% de victoire.
13:35Une efficacité offensive.
13:36Qui laisse vraiment à désirer.
13:38Un Antoine Griezmann.
13:39Qui est un patron.
13:40Qui claque la porte.
13:41Du jour au lendemain.
13:42A Mbappé.
13:43En Berne.
13:44Des résultats.
13:45Qui pour moi.
13:46Sont plus.
13:47Le fruit.
13:48D'une certaine forme de providence.
13:49Si on prend l'euro.
13:50Par exemple.
13:51On marque pas dans le jeu.
13:52On est qualifié.
13:53Sur des.
13:54Sur des.
13:55Sur des buts contre notre camp.
13:56Donc finalement.
13:57Le.
13:58Le.
13:59Les choses.
14:00Non pas vraiment.
14:01On est des gens.
14:02On est des gens.
14:03Ils se résument.
14:04Ă€ peu de choses.
14:05Et si.
14:06En plus.
14:07On parle du fond de jeu.
14:08Dont je suis.
14:09Un un un.
14:10Un fervent défenseur.
14:11Je suis.
14:12Vraiment axé.
14:13Sur la forme.
14:14Moi.
14:15Je pense.
14:16Et je fais partie de ces gens.
14:17Que Didier Deschamps.
14:18A perdu de son.
14:19De son aura.
14:20De sa superbe.
14:21Qu'il a réussi à faire.
14:22Dès son arrivée.
14:23Et aujourd'hui.
14:24Je pense.
14:25On aurait dĂ» tourner cette page.
14:26Mais.
14:27Faut que tu te souviennes quand mĂŞme.
14:28Pavard aujourd'hui ne joue pratiquement plus, Varane est parti, Giroud est parti, Pogba ne joue plus,
14:33N'Golo Konte ce n'est plus le N'Golo Konte qu'on a eu.
14:37Tu sais, c'est des gens qui se quittent, cette génération, il faut les remplacer,
14:42il faut trouver l'animation, il faut trouver le système, il faut trouver les joueurs.
14:46Après tu sais, on est toujours en train de vivre, on a été champion du monde en 2018,
14:50on a été finaliste en 2024, alors tu sais il y a...
14:53Toi tu n'as pas envie de donner l'alarme ?
14:55Non mais je ne suis pas en train de dire qu'il faut tout changer,
14:59mais il faut essayer de trouver des éléments, un état d'esprit,
15:02un groupe qui puisse jouer ensemble, qui puisse s'apprécier, qui puisse gagner,
15:07avoir un Ă©tat d'esprit remarquable.
15:08On a les éléments, moi je te dis qu'on les a ces fameux éléments.
15:11Je suis d'accord.
15:12Tu sais, par exemple je veux dire, il y a William Saliba, un défenseur central,
15:16il y a quelque temps en arrière je n'étais pas fan, aujourd'hui je suis fan.
15:19Cette équipe de France, Koundé aujourd'hui quand je le vois au Barça,
15:22je l'applaudis, je vois un poste qui n'est pas le sien,
15:24je le vois réussir ce qu'il réussit, je dis bravo.
15:27On a des garçons même au milieu de terrain,
15:29pour moi Edordo Camamiga, vous pouvez me dire ce que vous voulez,
15:32comme j'ai eu l'occasion de le faire en 2018,
15:35j'ai pris la défense d'un garçon qui s'appelait N'Golo Koundé,
15:38j'en ai entendu des critiques sur N'Golo.
15:41N'Golo il avait cette particularité de courir, de participer,
15:45et aujourd'hui Edordo Camamiga, parce qu'au milieu de terrain,
15:48t'as Manucone, t'as Edordo Camamiga, t'as Rabiot,
15:51Ghenbosy, t'as du monde,
15:54le milieu de terrain ça a une particularité,
15:56je sais ce que c'est le milieu de terrain c'est important,
15:58t'as des attaquants, Dembele, Colomwani, Marcus Thuram,
16:01tu as Barcola, et Kylian Mbappé,
16:04il faut revoir un peu son cas à Kylian Mbappé qui revient de l'équipe de France,
16:07avec la tête peut-être certainement d'une autre façon d'être.
16:10On est dans la vraie Mbappé ?
16:12Mbappé il va falloir qu'il redevienne, qu'il revienne,
16:15qu'il puisse retrouver son style,
16:17parce que moi je suis Mbappé,
16:19on me dit il faut le jouer Ă gauche, je les entends,
16:21il faut qu'il joue Ă gauche, arrĂŞtez avec cette histoire de gauche,
16:23c'est un attaquant avec ses qualités, ses défauts,
16:25sa vitesse, sa rapidité,
16:27il a marqué début dans toutes les positions,
16:29alors c'est pour ça que...
16:31Je te coupe, mais il a des prédispositions quand même,
16:33c'est plus un joueur de couloir,
16:35il n'a pas le droit Ă un moment d'avoir envie d'avoir son...
16:37Non, parce que quand tu joues contre l'Ă©quipe de France,
16:38ou quand tu joues au Paris Saint-Germain,
16:39ou quand aujourd'hui tu joues au Real de Madrid,
16:41t'as des adversaires qui regardent un peu les systèmes
16:43ou les animations de tout le monde,
16:45et si tu mets un Mbappé sur un côté gauche,
16:47on sait très bien que Kylian ne sait pas son fort
16:49de redescendre,
16:51de défendre, de faire un pressing,
16:53alors peut-être qu'il faut lui laisser cette liberté
16:55un peu plus seule devant,
16:57comme il fait aujourd'hui Carlo Ancelotti
16:59avec Vinicius tous les deux,
17:01on leur préserve de se faire se replier,
17:03de rester bien lĂ -haut,
17:05et puis d'essayer de les trouver,
17:07et de par leur vitesse de faire les différences,
17:09parce qu'ils en sont capables.
17:11Il faut peut-être, à Kylian Mbappé,
17:13de se fonder plus dans un collectif,
17:15les raisons pour lesquelles...
17:17Il a su le faire !
17:19Il faut pas le reprocher,
17:21parce que Kylian, quand tu le vois jouer en Ă©quipe de France,
17:23les années où il a eu l'occasion de porter ce maillot au dignement,
17:25où il a été efficace, où il a été bon,
17:27où il a été décisif,
17:29alors c'est vrai qu'aujourd'hui,
17:31tout le monde est passé par cette situation-là ,
17:33j'en suis aussi de même passé,
17:35ou des périodes où t'as des hauts et t'as des bas.
17:37Maintenant il est peut-ĂŞtre plus,
17:39il est un peu bas,
17:41mais laissez-le, parce qu'il a tout en lui,
17:43pour pouvoir faire des différences.
17:45Il va revenir !
17:47Il va revenir !
17:49On le souhaite !
17:51Il est au Real de Madrid, dans un club...
17:53Karim Benzema, il est resté combien de temps au Real de Madrid ?
17:55Il a fini en partant du Real de Madrid
17:57en ayant le Ballon d'Or.
17:59Excusez-moi messieurs, c'est-Ă -dire que le Real de Madrid,
18:01c'est peut-ĂŞtre l'endroit, le site,
18:03oĂą quand on voit ces joueurs jouer dans ce club,
18:05de donner le maximum et d'avoir de la réussite.
18:07C'est vrai qu'Ă l'heure actuelle,
18:09il n'est pas dans les meilleures conditions.
18:11Il faut peut-ĂŞtre qu'il se retrouve et qu'il retrouve
18:13une certaine confiance en lui, c'est tout.
18:15Tu nous envoies une dose d'optimisme extraordinaire,
18:17Dodo.
18:19Je vais revenir dans le pessimisme.
18:21Je suis d'accord avec toi,
18:23qu'il y a le départ de toute une génération,
18:25mais de la même façon qu'on juge certains éducateurs
18:27ou certains entraîneurs,
18:29où on dit que les bons entraîneurs ne sont pas
18:31dépendants d'une génération,
18:33parce qu'ils vont être dépendants
18:35de ce qu'ils mettent en place tactiquement.
18:37Et je pense,
18:39et tout me donne raison,
18:41quand on se rend compte que finalement,
18:43hormis la capacité
18:45de Didier Deschamps de savoir
18:47créer un groupe, de savoir créer une émulsion
18:49tactiquement, sur le terrain,
18:51on ne s'appuie sur rien.
18:532018,
18:55que ce soit 2018, que ce soit l'Euro 2016,
18:57que ce soit la dernière Coupe d'Europe,
18:59très souvent, Didier Deschamps
19:01trouve la solution en cours de route,
19:03la bonne mouture en cours de route,
19:05et on est constamment dans cet
19:07type de recherche. Et si on y ajoute à ça
19:09ce que je parlais tout Ă l'heure, cette forme de
19:11providence, moi je trouve ça un petit peu
19:13juste pour le qualifier
19:15d'homme de la situation.
19:17Je pense que Didier Deschamps,
19:19le meilleur de Didier Deschamps
19:21en équipe de France, ça reste derrière lui.
19:23J'aurais aimé voir, justement,
19:25avec cette passation de pouvoir
19:27de l'effectif, et je te rejoins
19:29complètement, qu'il y ait une vraie
19:31richesse d'effectif,
19:33il aurait fallu peut-ĂŞtre trouver
19:35un renouveau.
19:37J'aurais aimé un renouveau.
19:39Un renouveau plutôt que ça, c'est important
19:41de rappeler que contre l'Italie, le dernier
19:43match contre l'Italie, il avait fait huit changements par rapport
19:45au fiasco du Parc des Princes, à savoir le match allé
19:47où l'Italie avait donné 2-0.
19:49Si on évoque l'Italie-France, on évoque la France-Israël.
19:51Après le match contre l'Israël,
19:53la France s'était placée vraiment en six pieds sous terre,
19:55et lĂ il y avait huit changements, seule Saliba,
19:57Conaté et Mégnan redémarraient le match
19:59par rapport au match allé,
20:01et c'est vrai que c'est lĂ qu'on se dit que Deschamps aurait pu trouver ce type
20:03de formule avant. C'est vrai que le match contre
20:05l'Israël était assez imbuvable, et les matchs d'avant aussi,
20:07et lĂ , sans parler d'une Ă©quipe A
20:09qui s'est dégagée, on ne va pas non plus extrapoler,
20:11mais il semblerait que
20:13ce soit enfin le moment de lancer
20:15des joueurs, peut-ĂŞtre un peu moins fringants.
20:17Il est redevenu, pour toi,
20:19le patron.
20:21Oui, c'est le patron.
20:23Est-ce que lĂ ,
20:25il a réjoui ?
20:27Non, ce dernier match,
20:29c'était un très très bon match.
20:31Et on peut aussi féliciter
20:33les Italiens, parce que les Italiens...
20:35On était très mauvais.
20:37C'est une Ă©quipe jeune.
20:39Tu sais, dans le passé, chez les Italiens,
20:41je ne voyais pas de jeunes. Aujourd'hui,
20:43je suis en train d'en voir certains qui sont en train d'Ă©merger,
20:45en train de sortir, en train de se montrer,
20:47de montrer aussi qu'en Italie, on est en train de penser
20:49un peu à la formation, ce qui n'était pas le cas dans les années précédentes.
20:51LĂ , cette Ă©quipe-lĂ ,
20:53elle est en train de jouer un profil de jeu.
20:55Et l'équipe de France lui a montré aussi, par un état d'esprit,
20:57un pressing, une récupération, d'aller presser.
20:59Mais tu sais, c'est un bloc.
21:01Un bloc qui avance ensemble.
21:03Mais moi, je suis un partisan du turnover.
21:05J'ai toujours été le turnover.
21:07C'est qu'il ne faut pas que tu mettes toujours les 11 mĂŞmes,
21:09parce que quand tu fais toujours jouer les 11 mĂŞmes,
21:11ceux qui sont sur le banc, tu sais,
21:13ou ceux qui sont sur le terrain, ils vont ĂŞtre indiscutables,
21:15on ne pourra pas nous changer. Eh bien, Ă Didier de jouer lĂ -dessus.
21:17Ă€ Didier, un peu de temps en temps,
21:19les mettre devant le fait d'accomplir.
21:21Tiens, Kylian, si tu n'es pas bon,
21:23tu peux être remplacé par Marcus Curam.
21:25Et si Dembélé n'était pas bon, tu peux être remplacé
21:27aussi par Nkoukou.
21:29C'est là où il faut que tu joues sur ce côté-là .
21:31Si tu regardes bien, les grandes victoires
21:33de l'Ă©quipe de France, elles sont toujours faites
21:35autour de...
21:37d'Ă©quipes types.
21:39Tu le vois mĂŞme en 1984, Ă ton Ă©poque,
21:41tu le vois en 1998,
21:43on était sur une stabilité d'effectifs
21:45qui permettait justement de pouvoir,
21:47derrière, engranger des automatismes,
21:49engranger une certaine forme de confiance.
21:51Et ça, finalement,
21:53avec Didier Deschamps, j'ai l'impression qu'on ne l'a jamais eu.
21:55Ce turnover,
21:57si lĂ on parle d'ossature,
21:59pour moi, l'Ă©quipe de France,
22:01sur l'ère Deschamps, c'est un ossuaire.
22:03Tellement on a eu d'ossature différente,
22:05tellement on a eu de turnover, que ce soit sur les latéraux,
22:07au milieu de terrain...
22:09Il y avait une Ă©quipe type en 2018.
22:11On peut facilement sortir l'Ă©quipe type avec Pogba,
22:13Griezmann, Mbappé, Giroud.
22:15Mais ça rejoint ce que tu dis.
22:172006, il y a eu une ossature, une Ă©quipe claire,
22:19la vraie Ă©quipe,
22:21pour moi, je suis plus d'avis de dire qu'il faut un 11.
22:23Surtout que les joueurs en sélection,
22:25ils se voient 5 fois dans l'année.
22:27On n'a pas le temps de faire trop de turnover, selon moi.
22:29Il faut dégager une équipe A,
22:31mais c'est plus facile Ă dire qu'Ă faire.
22:33On va, encore une fois,
22:35essayer une courte pause,
22:37et on revient pour clore ce sujet,
22:39et enchaîner sur le Paris Saint-Germain.
22:49Louis Ferdandès, notre invité,
22:51et toujours Maxime,
22:53le meilleur réalisateur de la planète.
22:55On va tout de suite
22:57Ă©couter la minute de Pierrot,
22:59qui va nous donner l'info.
23:01ButFootballClub.fr, notre partenaire.
23:03Oui, l'info de ButFootballClub.
23:05J'en ai deux petites.
23:07Je vais y arriver.
23:09C'est Louis, c'Ă©tait impressionnant.
23:11C'est l'actualité du Réal Madrid.
23:13Dimanche,
23:15aura lieu une assemblée des socios du Réal Madrid,
23:17durant laquelle le président Florentino Pérez
23:19devrait prononcer un discours
23:21assez offensif.
23:23Il va aborder quatre thèmes, non des moindres.
23:25La Super Ligue, où il a été l'instigateur.
23:27Il en fait son cheval de bataille.
23:29La FIFA, notamment parce que
23:31le RĂ©al Madrid disputera la prochaine Coupe du monde des clubs
23:33aux Etats-Unis en 2025.
23:35On ne sait pas trop les contours de ça.
23:37Le but pour Florentino PĂ©rez est de savoir
23:39combien ça va leur apporter, le nombre de matchs, etc.
23:41Surtout que ce sera en juin, une période assez inhabituelle.
23:43Il va Ă©galement taper sur la Liga.
23:45Je pense qu'il aime bien faire ça.
23:47C'est annoncé.
23:49C'est annoncé, oui.
23:51Il est assez souvent soutenu
23:53dans ses démarches contre le système,
23:55notamment par des clubs comme le Barça
23:57ou l'Athletic Bilbao, un club cher
23:59Ă Luis Fernandez, notamment.
24:01Le projet est de protéger ses socios
24:03Ă court terme, en les faisant devenir actionnaires
24:05sans pour autant pouvoir les céder
24:07Ă des membres de leur famille.
24:09Je ne veux pas rentrer trop dedans, c'est trop technique.
24:11Et enfin, sur le Ballon d'or,
24:13Ă©videmment, il va taper sur le Ballon d'or,
24:15puisqu'il sait très bien qu'il aurait dû revenir
24:17Ă Jesus et non Ă Rodri.
24:19Un défenseur du Réal.
24:21Je ne sais plus parler.
24:23Je vous permets de continuer
24:25sur la semaine internationale.
24:27Si la France fut un temps en crise, un peu moins après le match de l'Isalie,
24:29que dire de nos amis belges ?
24:31C'est un véritable fiasco.
24:33La méthode Domenico Tedesco, si jamais
24:35il y en avait une, était déjà arrivée à bout.
24:37Cinq matchs d'affilée sans victoire, on n'a pas vu ça
24:39depuis 2009.
24:41Une bonne carte de visite Ă Schalke,
24:43à Leipzig, notamment. Il avait été amené
24:45par une autre connaissance que lui.
24:47Il s'avait mis dans sa poche en 1984, un certain Francky
24:49Vercotteren, quand il Ă©tait Ă la tĂŞte de l'Union belge.
24:51Francky Vercotteren, c'est déjà fini
24:53à la tête de la Fédération belge.
24:55Tedesco, ça va pas loin d'être fini aussi,
24:57mĂŞme si lui, c'est le symbole de la situation.
24:59On parle déjà de Philippe Clément, l'entraîneur
25:01d'Iglesias de Langers, pour reprendre
25:03le flambeau et mettre de l'ordre lĂ -dedans.
25:05Une génération dorée belge déjà dépassée.
25:07Courtois, c'est fini. De Bruyne, c'est fini.
25:09La nouvelle génération a du mal à assumer derrière.
25:11Avec Léopold Händel ou Keba Kio, c'est encore
25:13trop juste. Malheureusement, la Belgique
25:15n'est selon moi pas près de gagner quoi que ce soit.
25:17Je t'ai annoncé, quand j'ai été chercher Louis,
25:19tu vois le petit Pierre, c'est le
25:21dico, tu vois.
25:23C'est le...
25:25Il a oublié quelque chose.
25:27Attention.
25:29L'intervention de Louis.
25:31Je voulais dire que Louis Fernandez postule au poste
25:33de sélectionneur de la sélection de Belgique.
25:35Infosud Radio.
25:37Infosud Radio.
25:39Infosud Radio.
25:41Infosud Radio.
25:43Infosud Radio.
25:45Infosud Radio.
25:47Puisqu'on parle de changement d'entraîneur,
25:49je finis vraiment lĂ -dessus.
25:51La vague des entraîneurs continue souvent
25:53pendant les trĂŞves internationales et j'annonce un retour,
25:55un super retour Ă 73 ans. C'est Claudio Ranieri,
25:57qui est bien aimé en France,
25:59passé par Nantes et Monaco, qui sort de sa retraite.
26:01Troisième passage à la Roma,
26:03Jean-Louis Gasset, italien.
26:05Ranieri qui a...
26:07Ne le compare pas Ă Gasset.
26:09C'est Monsieur Ranieri.
26:11C'est un grand qui est passé.
26:13La réussite l'a accompagné
26:15parce qu'il avait un savoir-faire
26:17comme Monsieur Carlo Ancelotti.
26:19T'es content pour les Italiens ?
26:21Ne dis pas ça Raymond Domenech,
26:23parce qu'il va pas te dire la mĂŞme chose que moi.
26:25Je savais que j'allais piquer Louis,
26:27en disant le Jean-Louis Gasset italien.
26:29Il est vraiment en toute proportion gardé.
26:31Il va sortir de la Roma,
26:33de la crise douzième de Syria,
26:35qui se déplace pour un baptême du feu, si je puis dire,
26:37Ă Naples.
26:39Je ne sais pas qui est fanatique du Napoléon
26:41dans cette pièce,
26:43mais il va démarrer par une défaite,
26:45si Dieu le veut.
26:47On enchaîne sur Paris, le PSG.
26:49Avec Toto, quand on a préparé cette émission,
26:51on s'est dit...
26:53Il demandera maintenant...
26:55J'avais un doute sur Claudio
26:57s'il n'avait pas entraîné Naples.
26:59Il y en a un,
27:01je te donnerai son nom,
27:03qui nous a fait remonter de série.
27:07Il entraînait un club en Angleterre
27:09que personne n'aurait mis une pièce sur lui
27:11pour qu'il devienne champion d'Angleterre.
27:13Radiri ?
27:15L'Esther.
27:17C'est le moment de le dire.
27:19Toto,
27:21on s'est questionné sur l'avenir du PSG.
27:23On en profite que t'es lĂ , Louis.
27:25Toto, sur la Ligue des champions,
27:27est-ce qu'on peut miser sur le PSG ?
27:29J'aime pas quand tu me regardes comme ça.
27:31Je pensais que t'allais interroger Louis son premier.
27:35J'aime le Paris Saint-Germain.
27:37Vraiment, t'aimes le PSG ?
27:39Oui, j'aime.
27:41J'aime son style,
27:43cette motivation qu'il y a dans cette Ă©quipe.
27:45J'aime cette attitude,
27:47cet Ă©tat d'esprit qu'il y a.
27:49On peut Ă©ventuellement se poser des questions
27:51sur les choix d'entraîneur.
27:53C'est un entraîneur
27:55qu'il ne faut surtout pas oublier,
27:57qui a quand même gagné la Ligue des champions.
27:59Il sait ce que c'est,
28:01entraîner un grand club,
28:03il a entraîné le Barça.
28:05On peut dire qu'il a été touché par un problème personnel.
28:07C'est un constat,
28:09il ne faut pas l'oublier.
28:11Mais quand tu vois le PSG,
28:13ce milieu de terrain,
28:15on peut toujours, avec Hakimi Achraf,
28:17que je le vois aujourd'hui,
28:19réussir ce qu'il a réussi sur son côté droit.
28:21Il y a le Marquinhos qui a été souvent critiqué.
28:23Il est toujours lĂ .
28:25Le petit Mendes,
28:27avec l'arrivée de Pacho.
28:29Ce milieu de terrain me plaît,
28:31j'aime bien.
28:33Dembélé, on peut le critiquer,
28:35mais je ne vais pas le critiquer.
28:37Vous allez voir qu'un jour,
28:39il va vous surprendre remarquablement,
28:41parce qu'il sera capable de le faire.
28:43Après, chacun a un parcours là aussi.
28:45Aujourd'hui, on peut peut-ĂŞtre
28:47avoir des craintes,
28:49peut-ĂŞtre en se disant
28:51qu'il ne réussira pas.
28:53Mais attention quand mĂŞme Ă la surprise.
28:55Ne les sous-estimez pas.
28:57– On a Dooms au téléphone.
28:59Dooms, est-ce que tu es avec nous ?
29:01Je crois que oui.
29:03On a Dooms.
29:05Supporteur du PSG, tu as entendu Louis, Dooms ?
29:07– J'ai entendu Louis.
29:09Bonsoir.
29:11– Bonsoir à toi.
29:13Donne-nous ton avis.
29:15Le PSG, on peut ĂŞtre confiant ?
29:17– Confiant, confiant.
29:19Ce qui est compliqué,
29:21c'est-à -dire que j'ai manqué d'objectivité.
29:23J'ai envie de rester toujours confiant
29:25pour mon équipe de cœur.
29:27Mais oui, garder la confiance.
29:29Peut-ĂŞtre que lĂ ,
29:31sur les quatre derniers hatchs
29:33qui restent pour se qualifier
29:35pour continuer en Ligue des Champions,
29:37on espère que là , on va être efficace,
29:39qu'on va pouvoir marcher les buts,
29:41d'autant plus qu'on a le retour de Ramos.
29:43Parce que c'est ce qui nous manque cruellement.
29:45– Les occasions, on les a.
29:47– Louis a grimacé,
29:49je suis une vraie balance,
29:51mais il a grimacé un petit peu,
29:53il avait un petit clin d'Ĺ“il
29:55à l'évocation de…
29:57– Ramos, c'est un garçon qui a montré en arrivant,
29:59en réussissant quand même sur certaines rencontres,
30:01qu'il Ă©tait dans une surface,
30:03un attaquant avec une certaine adresse.
30:05Maintenant, il a eu cette blessure,
30:07à savoir comment va-t-il le récupérer,
30:09parce que une blessure, c'est une blessure.
30:11C'est vrai qu'on cherche toujours un avant-centre
30:13et on a un entraîneur aussi
30:15qui jouait sans avant-centre,
30:17mais aujourd'hui, il joue avec un avant-centre,
30:19c'est Pep Guardiola, qui a finalement décidé
30:21de mettre un certain Allende.
30:23Bon, c'est peut-être que du côté de Louis Sériquet,
30:25il finira par adopter Ramos,
30:27et d'adopter de mettre Ramos,
30:29parce que Ramos a quand même les qualités,
30:31en ayant envie de jouer, ça m'a plu.
30:33– On t'a coupé, Dooms, c'était un continu,
30:35reprends le pouvoir.
30:37– Oui.
30:39C'est compliqué,
30:41c'est compliqué devant des monstres
30:43sacrés comme vous, comme Luis Fernandez,
30:45donc je vais essayer de reprendre le fil
30:47de ce que je disais, effectivement,
30:49oui, Ramos, lĂ , il nous manquait
30:51Ă l'attaquant, il est de retour,
30:53normalement, de ce que j'ai pu lire
30:55ici et lĂ , retour de blessure,
30:57on espère qu'il va pouvoir faire la différence,
30:59après, il ne faut pas que compter sur lui,
31:01parce qu'il a été blessé très longtemps,
31:03aussi, il ne faut pas l'oublier,
31:05et il nous reste 4 matchs,
31:07mĂŞme si ce n'est pas sur le prochain match,
31:09et on peut encore se qualifier
31:11et faire ces fameux barrages,
31:13parce que, bon,
31:15ce serait un fiasco,
31:17je pense, quand mĂŞme, si on n'y est pas,
31:19si on ne se qualifie pas,
31:21ce serait quand mĂŞme encore un fiasco,
31:23ce serait dommage par rapport à l'année dernière, oui.
31:25– Oui, la chance du PSG, si on peut parler de chance,
31:27c'est qu'avec la nouvelle formule, ils ont 2 matchs en janvier,
31:29comme ça leur a repris progressivement l'entraînement,
31:31alors le prochain match, c'est le Bayern,
31:33lĂ , pour le coup, moi, je suis assez pessimiste,
31:35surtout que sur les 4 derniers matchs,
31:37d'ailleurs, sur la pelouse du Bayern,
31:39Ă Salzbourg et Ă Stuttgart,
31:41je pense que Salzbourg et Stuttgart sont quand mĂŞme,
31:43Ă minima, prenables pour le Paris Saint-Germain,
31:45mais c'est juste que, déjà , il ne faut surtout pas que le PSG recrute cet hiver,
31:47pour moi, je pense qu'effectivement,
31:49comme l'a dit Louis, on doit donner sa chance Ă Gonzalo Ramos,
31:51le pauvre, il est arrivé pour une fortune l'année dernière,
31:53il n'a montré que des bonnes choses,
31:55pourquoi on le sortirait ?
31:57Dans la presse, on commence déjà à dire qu'il faut recruter
31:59Diokérès en fille des pions au sporting,
32:01il faut le prendre, non, non, pour moi c'est Gonzalo Ramos.
32:03– Il va signer à Manchester United.
32:05– Deuxième info, Sud Radio, Louis Sarandelle ?
32:07– Non, parce que quelqu'un m'a bien informé,
32:09c'est le garçon qui joue au sporting,
32:11l'entraîneur est aussi du sporting,
32:13et il en fait une priorité,
32:15parce que du côté de Manchester United, ils n'ont pas de véritable avant-centre.
32:17– Voilà , c'est annoncé,
32:19en tout cas, il ne faut pas qu'il vienne au PSG,
32:21ce ne serait pas bon pour le PSG, moi je trouve.
32:23– On va te dire au revoir,
32:25tu voulais dire un dernier mot,
32:27tu n'es pas aussi enthousiaste que Louis,
32:29mais tu as quand mĂŞme envie d'y croire, toi.
32:31– J'ai envie d'y croire,
32:33moi c'est mon club,
32:35depuis tout petit,
32:37ça fait une trentaine d'années que je supporte ce club,
32:39donc bien sûr que j'ai envie d'y croire,
32:41je reste optimiste,
32:43mais bon, lĂ , pour l'instant,
32:45de ce qu'ils ont montré,
32:47en milieu champion, c'est assez compliqué,
32:49il faut être réaliste aussi.
32:51– Voilà , tu es très lucide.
32:53Merci de ton témoignage, Dooms,
32:55merci Ă toi,
32:57et puis comme je dis toujours, au plaisir de te recevoir,
32:59sur le plateau avec nous,
33:01tu voulais réagir.
33:03– Oui, je voulais réagir, alors,
33:05si on parle d'optimisme ou de pessimisme
33:07concernant le Paris Saint-Germain,
33:09alors déjà pour revenir un petit peu sur la posture
33:11du Paris Saint-Germain actuel,
33:13je pense qu'ils auraient gagné beaucoup plus de temps
33:15Ă s'Ă©vertuer, Ă avoir un effectif
33:17du type qu'on a actuellement,
33:19où il n'y a justement pas forcément
33:21de grands stars,
33:23on s'appuie sur un collectif,
33:25plus que sur des noms,
33:27parce qu'il faut bien se dire quelque chose,
33:29depuis l'RQSI, on s'est attardé
33:31d'abord sur des noms, avant d'être sur une cohérence collective,
33:33et lĂ , je trouve
33:35que ce Paris Saint-Germain-lĂ ,
33:37certes, on peut nourrir des inquiétudes
33:39sur du court terme, sur cette Ligue des champions,
33:41à la 25ème place de la nouvelle formule,
33:43on peut se poser des questions,
33:45mais je pense qu'avec ce type d'effectif,
33:47dans lequel il y a une cohérence collective,
33:49avec un entraîneur qui sait mettre,
33:51justement, il a la manière
33:53pour pouvoir mettre de la cohérence,
33:55si on laisse infuser ce genre
33:57d'effectif
33:59sur du long terme,
34:01mĂŞme pas sur du long terme, sur du moyen terme,
34:03on peut commencer à espérer avoir
34:05un Paris Saint-Germain
34:07beaucoup plus solide
34:09sur une compétition comme la Ligue des champions.
34:11Moi, je pense que l'erreur du Paris Saint-Germain
34:13d'entrée de jeu depuis l'RQSI,
34:15c'est d'avoir voulu ressembler plus Ă des Ă©quipes
34:17comme le Bayern, comme Madrid,
34:19tout de suite, plutĂ´t que d'essayer
34:21Ă ressembler Ă des Ă©quipes comme Dortmund,
34:23Arsenal, des Ă©quipes solides,
34:25et je pense que, lĂ ,
34:27pour l'instant, ils sont sur la bonne voie,
34:29même s'ils sont mal classés,
34:31mĂŞme s'ils font partie des moins bonnes
34:33attaques, et que, quand on a
34:35le Bayern en face au prochain match,
34:37avec un calendrier comme il arrive,
34:39je pense
34:41qu'il faut nourrir des espoirs pour les supporters parisiens.
34:43– Tu parlais, Louis-Henriqué,
34:45mais c'est vrai que le Barça,
34:47moi, quand j'ai vu, en début de saison, le PSG jouer,
34:49j'ai dit, le PSG, Paris, va prendre la Ligue des champions,
34:51parce qu'il y a de la conserve,
34:53c'est intelligent, ça ne fait pas n'importe quoi,
34:55ça se projette doucement,
34:57c'est la conservation de ballons, ils ont la maîtrise du jeu.
34:59Après, est-ce qu'il est capable,
35:01Louis-Henriqué, t'as cité Guardiola,
35:03est-ce qu'il est capable de vraiment jouer avec un 9 ?
35:05Parce que moi, j'ai regardé un jour,
35:07Colomanique, on critique tout le temps,
35:09mais tu mets Haaland, tu mets Lewandowski,
35:11tu mets n'importe quelle avançante,
35:13le jeu du PSG
35:15n'est pas propice à un avançante.
35:17– Tellement un jeu,
35:19tu sais, quand t'as
35:21des points de fixation, tu prends aujourd'hui,
35:23il y a un club comme le Barça,
35:25il est en train de renaître, parce que le Barça,
35:27il a quand même traversé une période assez délicate,
35:29assez difficile, et puis, tu sais,
35:31aujourd'hui, quand tu vois Lamine, quand tu vois Lewandowski,
35:33tu vois Rafinha, quand tu vois le milieu de terrain avec Daniel Olmo,
35:35ou avec Pedri, ou avec
35:37Franck de Jonc, ou avec le petit Kaseda
35:39qui est rentré, tu sens que
35:41cette équipe, elle a les qualités
35:43de vitesse, de rapidité, d'explosivité,
35:45d'aller le plus vite,
35:47en possession et en jouant remarquablement bien.
35:49Après, ils ont un style un peu
35:51assez, c'est une équipe qui défend,
35:53en avançant, ils défendent. Le PSG,
35:55c'est une Ă©quipe qui lui manque quand ils arrivent
35:57à 20, 30 mètres de la surface,
35:59un peu plus de vitesse, de verticalité,
36:01ou de chercher entre les lignes,
36:03et de vite mettre un ballon.
36:05Celui qui est le plus dangereux assez souvent au PSG,
36:07cette saison, c'est quand mĂŞme Hakimi,
36:09c'est celui qui se procure,
36:11et qui a, parce que des mêlées...
36:13– Ça en devient presque inquiétant, parce qu'on mille sur la latérale.
36:15– Alors, c'est pour ça qu'il faut
36:17des attaquants, un peu plus
36:19dans une surface de réparation, et puis il faut le tenter,
36:21il faut le recréer, il faut le mettre en place.
36:23Mais moi, je ne suis pas du tout inquiet, j'aime bien
36:25l'Ă©tat d'esprit qu'il y a dans cette Ă©quipe,
36:27et je vois des Juarez, ou des Neves,
36:29ou des Vitinha, ou des...
36:31Fabien Nouriz, des Asensio...
36:33– Fabien Nouriz qui a joué à Naples.
36:35– Fabien Nouriz, c'est un Espagnol
36:37qui a été champion d'Europe aussi.
36:39– Oh là là , on va être d'accord.
36:41C'est vrai que le milieu de terrain
36:43que j'aimerais voir Ă©voluer sur du long terme
36:45au Paris Saint-Germain, c'est Vitinha, Neves...
36:47– Il faut les maintenir,
36:49qu'ils prennent de l'expérience,
36:51et qu'ils puissent s'aguirir, pour moi c'est important ça,
36:53parce que dans ces matchs Ă venir, on va voir
36:55qu'ils vont être présents, je te le dis.
36:57– Voilà , Pierrot, vous voulez avenir ?
36:59– Je rejoins à peu près ce qui s'est dit,
37:01j'avais la chance d'ĂŞtre au Parc des Princes
37:03contre l'Atletico Madrid, comme dit Toto,
37:05j'ai trouvé une identité, beaucoup de gens
37:07ont été assez sévères, j'ai trouvé une bonne équipe,
37:09et c'est le problème qu'on ne peut pas se permettre
37:11quand on est LPG, c'est de ne pas avoir de neuf tueurs.
37:15C'est un melon Ă©norme, mais lĂ ,
37:17on ne peut pas se permettre, les grands joueurs
37:19qui ont gagné la Ligue des Champions récemment,
37:21il y a Duhalande, Mohamed Salah, Sadio Mane,
37:23tous vous les voyez dans la liste prétendant au ballon d'or,
37:25mĂŞme quand Chelsea remporte la Ligue des Champions,
37:27Giroud est Ă six buts, aujourd'hui le PSG c'est
37:29Hakimi un but, Nuno Mendes un but, Zahir Emry un but,
37:31et c'est fini, je ne vois mĂŞme pas un joueur du PSG
37:33capable de mettre six buts en Ligue des Champions,
37:35c'est pour dire Ă quel point on est en manque offensif,
37:37et ça c'est vu contre l'Atletico, je pense que ça va continuer
37:39On fait une dernière petite pause et on revient tout de suite après.
38:09On va accentuer sur ce trait, parlons vrai,
38:15je te le prĂŞte.
38:17Attention mesdames et messieurs, ça va commencer.
38:23Je ne me fais pas de soucis parce que au-delĂ d'ĂŞtre le slogan de la radio,
38:27c'est aussi un trait de caractère de Louis,
38:31tu es quelqu'un qui parle vrai, tu ne mâches pas tes mots,
38:35tu dis les choses celles que tu penses.
38:37Mes mots à moi, mon français à moi,
38:41celui que j'ai essayé d'apprendre à l'école,
38:43tant bien que de mal.
38:45Celui qu'on a appris dans nos quartiers.
38:47Moi Louis, je voulais commencer par une question assez large,
38:51j'aurais aimé que tu puisses nous dire ce que tu penses,
38:53d'un point de vue global,
38:55on ne va pas s'attarder que sur le jeu,
38:57soit le football professionnel,
38:59mais qu'est-ce que tu penses du football d'aujourd'hui ?
39:01Il est en danger le football d'aujourd'hui.
39:05A quel niveau ?
39:07Si tu veux, on commence par qui ? Par les jeunes.
39:09Oui, par exemple.
39:11J'ai l'occasion de me déplacer, de voir,
39:13de discuter, d'Ă©changer avec ces Ă©ducateurs,
39:15avec ces dirigeants.
39:17Tu sais, quand tu vas sur un bord de terrain,
39:21et que tu entends des parents prononcer ce que j'ai entendu,
39:25j'ai assez souvent l'occasion d'Ă©changer,
39:29de parler, parce qu'il faut aller doucement,
39:31il ne faut pas se précipiter.
39:33Ce ne sont que des enfants.
39:35Ces enfants, il faut leur apprendre,
39:37il faut leur donner, il faut leur apporter,
39:39il faut savoir le faire bien, proprement.
39:41Et assez souvent, le football d'aujourd'hui
39:43prend des dimensions, à mon goût,
39:45qui sont un peu, on va dire, détestables.
39:47DĂ©testables, parce que j'aimerais bien
39:49que ça se calme un peu,
39:51qu'on reprenne un peu le flambeau
39:53dans les ligues,
39:55dans les districts, dans le football français,
39:57parce que moi, le football français, c'est le football amateur.
39:59Le football amateur, on en vient,
40:01nous tous, qui sommes des personnages du football,
40:03on est passés par ces catégories-là ,
40:05et c'est pour ça que je pense assez souvent à eux,
40:07et c'est pour ça que j'aimerais que...
40:09– Et sans football amateur, il n'y a pas de football.
40:11– Exactement. Et d'ailleurs,
40:13c'est bien que tu abordes cette problématique,
40:15parce que tu étais venu à l'avant-première
40:17de mon documentaire « 450 grammes, le poids de la passion »,
40:19oĂą on abordait ces questions-lĂ .
40:21Moi, la deuxième question que j'ai envie
40:23de te poser,
40:25à une époque qui n'est pas si lointaine que ça,
40:27tu avais Ă©mis un petit peu
40:29le souhait
40:31de vouloir rentrer dans les instances du football,
40:33pourquoi pas Ă travers une candidature,
40:35qu'elle soit la tienne ou pas.
40:37Si ça avait abouti, si t'avais fini,
40:39par exemple, à la tête des instances du football français,
40:41quels seraient les changements
40:43que t'aurais mis en place ? Qu'est-ce que t'aurais changé ?
40:45– Moi, j'aurais aimĂ© dĂ©jĂ
40:47aller Ă la rencontre des supporters,
40:49de toutes ces associations de supporters,
40:51dans tous ces clubs
40:53de première et de deuxième division,
40:55parler avec eux, Ă©changer avec eux,
40:57discuter avec eux.
40:59– Dialogue, communication.
41:01– Ces supporters que je vois aujourd'hui
41:03sur-excités, je les comprends qu'ils soient supporters
41:05d'un club, je l'admets,
41:07mais quand je rentre dans un stade,
41:09c'est l'ambiance dans un stade, je l'apprécie énormément.
41:11Moi, j'aime ces ambiances.
41:13Maintenant, ce que je voudrais, c'est que l'on puisse,
41:15dans chaque club, essayer de trouver des solutions.
41:17Les solutions des supporters,
41:19il ne faut pas les mettre de côté, il faut aller les voir,
41:21il faut aller parler, Ă©changer,
41:23discuter, et voir ce que l'on peut faire
41:25pour eux, pour améliorer les ambiances.
41:27Quand tu vois France, Australie,
41:29quand tu vois cette Marseillaise,
41:31quand tu vois ce Haka,
41:33et quand tu vois cette ambiance dans ce stade,
41:35moi, c'est mon rêve de voir ça, cela,
41:37dans les stades de France de football.
41:39J'ai envie de le voir, ça.
41:41– Dans tous les stades, tu nous dis en off,
41:43tu voudrais qu'il y ait l'hymne national.
41:45– L'hymne national, et puis qu'on montre
41:47que c'est un sport que l'on aime,
41:49qu'on regarde,
41:51et puis que c'est important.
41:53Je suis le rugby aujourd'hui,
41:55quand on voit l'image du rugby,
41:57c'est vrai que c'est le rugby
41:59que l'on aime de plus en plus,
42:01et le football, on commence un peu Ă le critiquer.
42:03– C'est vrai que tu es sur la chaîne de rugby.
42:05– C'est bien que tu abordes cette question
42:07du public, de l'importance du public,
42:09mais est-ce que ce n'est pas
42:11une contradiction
42:13quand justement, on dit que,
42:15par exemple, moi je fais partie de ceux qui demandent
42:17Ă ce qui est du jeu, du spectacle,
42:19que le football reste un spectacle,
42:21c'est quelque chose de complètement aseptisé,
42:23moi clairement aujourd'hui, dans les 3 quarts
42:25des matchs, je m'emmerde,
42:27et quand on sort le supporter
42:29de l'Ă©quation, c'est-Ă -dire que finalement son avis
42:31on s'en fout, et justement par exemple
42:33comme Deschamps dit, s'ils ne sont pas contents
42:35qu'ils changent de chaîne, est-ce que justement
42:37cette volonté de ne plus faire
42:39de ce sport un vrai spectacle
42:41ne joue pas en faveur
42:43de cette problématique ?
42:45– On joue, on sent
42:47que le football est en train de
42:49se prendre, surtout en France,
42:51quand je vois le niveau,
42:53le jeu, et on aimerait
42:55tellement retrouver un football
42:57spectaculaire, un football qui nous a toujours
42:59enthousiasmés, moi tu sais quand je vois des clubs
43:01comme Saint-Etienne et Bordeaux
43:03descendre en deuxième division,
43:05quand je vois Bordeaux descendre en national,
43:07mais arrêtez, arrêtez-moi ça,
43:09qu'est-ce que c'est, en oĂą va-t-on ?
43:11C'est dingue de voir
43:13cette situation-lĂ , alors quand tu veux,
43:15il faudrait que peut-ĂŞtre les gestions sportives,
43:17dans chaque club,
43:19dans ces grands clubs que sont,
43:21qu'on remette un peu de l'ordre,
43:23parce que si on ne remet pas de l'ordre, il faut que tu sais,
43:25en France, on n'a pas la culture du football,
43:27les anciens, ces anciens,
43:29quand tu vas en Espagne, tu vas en Italie,
43:31tu vas en Angleterre, tous ces anciens qui
43:33accompagnent, qui sont lĂ , qu'on leur rend
43:35des hommages, qu'on les fait venir dans les stades,
43:37qu'on les met dans des tribunes, qu'on les montre,
43:39pourquoi ? Parce que ce sont eux qui ont fait
43:41l'histoire du club, et pour que ça continue,
43:43que ça reste, il faut que ces gens-là soient là ,
43:45et ils ne sont pas ici en France,
43:47ici, quand tu commences Ă t'approcher d'une Ă©cole,
43:49ou d'un stade, non, non, tu commences à déranger,
43:51on ne peut pas, on n'est pas là pour déranger, on est là pour
43:53accompagner, moi j'ai 65 ans,
43:55j'aimerais bien, de temps en temps aussi, si on me demande,
43:57tiens Louis, tu peux passer nous voir, tu peux venir nous voir,
43:59tu peux nous donner un petit conseil, tu peux voir un peu
44:01ce qui va, ce qui ne va pas, c'est ça,
44:03tu te réactualises avec le football,
44:05tu remets de l'ordre, tu mets un peu, je ne sais pas,
44:07il y a beaucoup de choses Ă apporter,
44:09les supporters, tu as raison, mais il y a d'autres,
44:11dans le football, à revoir d'autres systèmes,
44:13d'autres animations qu'il faudrait peut-être améliorer,
44:15arranger. – Toi, à titre personnel, par rapport
44:17Ă ce que tu es en train d'aborder, du statut
44:19des joueurs, c'est une chose qu'on a
44:21brièvement abordé
44:23dans l'émission précédente,
44:25toi, en tant que
44:27monument du Paris Saint-Germain,
44:29en tant que...
44:31– Je ne suis pas une légende, je fais
44:33partie de l'histoire du Paris Saint-Germain,
44:35on fait l'histoire,
44:37et Père Laurent, à ceux qui sont partis,
44:39nous ont quittés, je ne vais pas te citer ces joueurs
44:41avec qui j'ai eu l'occasion de jouer, et c'est vrai
44:43que tu fais partie,
44:45tu as des couleurs, moi, tu sais, j'ai le Paris Saint-Germain,
44:47oui, j'ai aussi l'ISCAN, parce que l'ISCAN,
44:49c'est un club aussi qui m'a redonné,
44:51qui m'a remis dans les
44:53entraîneurs ou présidents comme Alain Pedretti,
44:55ou Ray, ou pareil,
44:57Jean Fernandez,
44:59ou l'athlétique de Bilbao,
45:01j'ai passé des bons moments,
45:03le football, c'est ça pour moi, mais c'est mon club,
45:05c'est le Paris Saint-Germain, c'est mon premier club,
45:07c'est lĂ que j'ai grandi, dans lequel je suis devenu ce que je suis devenu.
45:09T'es un pur produit
45:11de la formation du Paris Saint-Germain,
45:13t'as été joueur, t'as été entraîneur,
45:15t'as mĂŞme Ă©crit la plus grande ligne
45:17jusqu'Ă l'heure actuelle du Paris Saint-Germain,
45:19puisque t'es le champion d'Europe,
45:21champion d'Europe,
45:23est-ce qu'aujourd'hui ton statut
45:25vis-Ă -vis du club, est-ce que tu le sens
45:27Ă sa place ?
45:29Oui, mais des fois je suis un peu déçu,
45:31mais des fois j'ai l'occasion d'en parler avec le président Nasser,
45:33on a eu l'occasion de
45:35parler avec certains qui...
45:37Tu sais, le président, c'est le président, mais après t'as
45:39d'autres personnes qui ont d'autres responsabilités,
45:41d'autres dans le club, et tu sais,
45:43quand on voit arriver des anciens,
45:45des fois ça nous plaît pas énormément,
45:47on a l'impression qu'on les dérange, on est pas là pour les déranger,
45:49on est lĂ pour vous accompagner, si vous avez besoin
45:51d'une aide, si on a besoin de vous apporter
45:53quelque chose, on est prêt à le faire, mais après
45:55tu sais, c'est un club qui est arrivé,
45:57qui est en train de changer, qui est en train d'Ă©voluer,
45:59bon, moi je leur souhaite que la réussite soit là .
46:01Pour toi, il y a un manque
46:03comme hyper important
46:05entre un manque de partager
46:07le savoir, de profiter...
46:09C'est pas que seulement au Paris Saint-Domingue,
46:11tu vois, dans d'autres clubs...
46:13En France, comme tu l'as mentionné, en Italie
46:15c'est différent, il y a encore l'amour du maillot...
46:17Voilà , mais il faudrait peut-être remettre ça à l'ordre du jour.
46:19Pour moi, c'est important.
46:21Et tu sais, le ministre
46:23des Sports, comme j'ai eu l'occasion,
46:25si il me demande un rendez-vous, je peux lui demander,
46:27je peux lui dire aussi que les anciens dans les régions,
46:29parce que les régions de France, il y a des anciens
46:31qui sont lĂ , qui sont prĂŞts Ă collaborer,
46:33qui sont prêts même d'aller dans les collèges,
46:35d'aller dans les clubs, discuter, Ă©changer,
46:37d'essayer d'apporter, je sais pas,
46:39des idées ou quelque chose pour qu'on puisse
46:41se rappeler qu'il y a une histoire, et puis eux,
46:43ils peuvent aussi la transmettre, tu vois, c'est important.
46:45Si je dis pas de bĂŞtises,
46:47Guy Roux, c'est ce qu'il fait, je crois qu'il est reparti
46:49avec les petits...
46:51Guy Roux...
46:53a été...
46:55on va pas dire mis Ă l'Ă©cart, mais
46:57il s'occupe de l'association de l'AGIA
46:59sans être trop impliqué
47:01dans le club, mais c'est vrai que les légendes du club,
47:03quels qu'ils soient, en tout cas en France,
47:05sont souvent perçues comme des éléments
47:07trop importants
47:09et qui prennent
47:11trop de place finalement.
47:13Chose qui se passe pas dans d'autres pays,
47:15si on prend l'exemple de la grandeur du Real Madrid,
47:17au-delà de ses trophées ou ainsi de suite,
47:19c'est un club, et j'en suis témoin,
47:21qui apporte une...
47:23qui donne une grosse importance Ă ces anciennes
47:25légendes.
47:27Quand on reçoit Kylian Mbappé,
47:29dans ce stade plein,
47:31quelles sont les deux personnalitĂ©s qui sont lĂ
47:33pour reçoir, il y a Florentino Perez,
47:35il y a Piri, une légende,
47:37et Zinedine Zidane.
47:39Et Emilio Santamaria qui est à côté.
47:41Tu vois, comme quoi, on fait
47:43l'histoire de... voilĂ , Kylian y voit,
47:45et c'est ça.
47:47Et nous on regarde ça d'un oeil jaloux,
47:49on regarde ça du bon oeil.
47:51C'est mon autre culture, ça tombe bien, j'ai parlé de Claudio Ranieri
47:53juste avant, il faut savoir que c'est Daniele De Rossi
47:55qui a démarré la saison avec l'AS Roma.
47:57Daniele De Rossi, une des légendes ultimes de la Roma
47:59avec Totti, au moins au mĂŞme niveau.
48:01Et son départ a été vécu comme une trahison
48:03terrible, les supporters sont venus Ă sa fenĂŞtre
48:05pour le soutenir, etc. Il y a une culture, vraiment,
48:07d'aduler ces légendes.
48:09Louis a, juste au titre, évoqué l'Angleterre.
48:11Pour moi, c'est vraiment l'exemple parfait.
48:13Quand vous parlez Ă un supporter de Newcastle,
48:15quel est Dieu ou Alan Shearer ?
48:17C'est limite, s'il n'apprend pas Alan Shearer,
48:19pour dire que c'est la légende en tant que légende du club,
48:21Gerard Liverpool, c'est vrai que cette culture-lĂ ,
48:23force est de constater qu'on ne l'a pas,
48:25et je pense que c'est un peu dommage, il faudra revenir à ça,
48:27faire confiance à ceux qui ont réussi dans les clubs.
48:29Louis a évoqué Bordeaux,
48:31ça nous a tous attristés de voir Bordeaux,
48:33quand on a connu les grandes années.
48:35Pour moi, c'est Bordeaux-Milan
48:371996, on a envie de revivre des choses comme ça.
48:39C'est le club qui, malheureusement, on ne reverra pas
48:41avant longtemps, alors qu'il y a eu des légendes
48:43absolues.
48:45Il tirait tout le monde vers le haut,
48:47c'est clair.
48:49On les regardait, on les observait.
48:51On Ă©tait tous pour les Verts.
48:53Ce Sporting Club de Bastia qui a joué le final,
48:55je me rappellerais toujours d'une Ă©quipe,
48:57le FC Metz. Qu'est-ce qu'ils ont fait, le FC Metz ?
48:59Ils ont battu le Barça.
49:01Ils les ont battus oĂą ? Au Camp Nou.
49:03Ils l'ont remis 4, lĂ -bas.
49:05Avec GĂ©rald Passif.
49:07En regardant ces matchs-lĂ ,
49:09ces Ă©quipes-lĂ , j'ai dit que ce n'est pas possible.
49:11C'est pour ça qu'on va rester.
49:13On a un peu pris par le temps.
49:15Il voulait me dire si j'avais signé à Marseille.
49:17On te fera revenir.
49:19On te fera revenir,
49:21on a trop de questions Ă te poser.
49:23J'avais prévu d'écrire quelques lignes
49:25parce que j'Ă©tais hyper content
49:27de recevoir bien sûr mes potos
49:29Pierre Grégoire et Farid Bouadela
49:31qui sont mes associés, mes petits frères.
49:33J'avais prévu d'écrire quelques lignes
49:35pour te rendre hommage,
49:37mais en fait,
49:39le seul hommage qu'on peut te rendre,
49:41c'est de te dire merci, merci du fond du cœur,
49:43merci Ă Eric, merci Ă tous les gens
49:45qui nous permettent de vivre,
49:47non mais de faire notre passion,
49:49de parler de notre sport qui est le football.
49:51On est des amoureux du football,
49:53on ne lâchera jamais le football
49:55et tu nous as donné un exemple.
49:57T'es venu partager ça avec nous, merci Louis.
49:59A bientĂ´t, demain, n'oubliez pas
50:01l'Ă©mission But Football Club
50:0320h-21h
50:05avec Lionel Rousseau, Michel Boulin
50:07et Karim Zérébi, Jimmy Algerino
50:09et je ne sais pas qui,
50:11ils auront comme invité.
50:13Maxime non plus.
50:15Merci Louis, merci les garçons,
50:17merci Ă tous les auditeurs.
50:19Aidez-nous sur les réseaux sociaux aussi, on est présents.
50:21VoilĂ , Sud Radio, Youtube, suivez-nous,
50:23TikTok, on est partout. Allez, merci Ă tous, Ă bientĂ´t.