Se prenant volontiers en joviale photographie dans les jardins du Palais d’Etoudi où il se rend tous les jours de la semaine pour travailler auprès de Paul BIYA, Ferdinand NGOH NGOH ne se doutait pas que le scénario de l’absolution qu’il s’était généreusement préparé à coup de phrases ciselées, lors de d’un discours d’autosatisfaction tenu le 06 octobre dernier au Palais d’Etoudi, attirerait autant de quolibets et de sarcasmes.
Car, triomphant, ce jour-là, devant la tribune de ses obligés, le Secrétaire général de la Présidence n’avait laissé poindre aucune forme de nuance sur l’évidence de son irréprochable qualité éthique. Voici ce que fut son argumentaire, ce jour-là, au nom – évidemment – de sa caution administrative et morale, à savoir Paul BIYA.
Sauf que, parti de cet instant de célébrations, et malgré ses proclamations de triomphe peu empreintes de modestie et de réserve, nombreux sont ceux que Monsieur NGOH NGOH a laissés dans le doute et la plus grande perplexité.
Parmi eux, le Président du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale, en abrégé PCRN qui a attendu son temps et aiguisé ses dents, pour se fendre d’une saillie corrosive à l’endroit de l’homme réputé fort d’Etoudi.
Tout cela, juste à la veille de l’ouverture de la session parlementaire en cours…
Pas sûr, dans ces conditions, que Monsieur LIBII soit de ces têtes que le Secrétaire général de la Présidence aurait apprécié de rencontrer dans les couloirs du Palais des congrès de Yaoundé, lors de sa présence contrainte sur les bancs du gouvernement, le 17 novembre dernier. Une sorte de jour à oublier, pourrait-on dire, puisque – au comble du déplaisir – les agencements prévus à ces tables de noblesse établissaient par ailleurs de l’installer au plus près de l’un de ses pires ennemis politiques du moment à savoir, Laurent ESSO, Ministre de la Justice.
Car, triomphant, ce jour-là, devant la tribune de ses obligés, le Secrétaire général de la Présidence n’avait laissé poindre aucune forme de nuance sur l’évidence de son irréprochable qualité éthique. Voici ce que fut son argumentaire, ce jour-là, au nom – évidemment – de sa caution administrative et morale, à savoir Paul BIYA.
Sauf que, parti de cet instant de célébrations, et malgré ses proclamations de triomphe peu empreintes de modestie et de réserve, nombreux sont ceux que Monsieur NGOH NGOH a laissés dans le doute et la plus grande perplexité.
Parmi eux, le Président du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale, en abrégé PCRN qui a attendu son temps et aiguisé ses dents, pour se fendre d’une saillie corrosive à l’endroit de l’homme réputé fort d’Etoudi.
Tout cela, juste à la veille de l’ouverture de la session parlementaire en cours…
Pas sûr, dans ces conditions, que Monsieur LIBII soit de ces têtes que le Secrétaire général de la Présidence aurait apprécié de rencontrer dans les couloirs du Palais des congrès de Yaoundé, lors de sa présence contrainte sur les bancs du gouvernement, le 17 novembre dernier. Une sorte de jour à oublier, pourrait-on dire, puisque – au comble du déplaisir – les agencements prévus à ces tables de noblesse établissaient par ailleurs de l’installer au plus près de l’un de ses pires ennemis politiques du moment à savoir, Laurent ESSO, Ministre de la Justice.
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00:00Se prenant volontiers en jovial photographie dans les jardins du Palais d'Étudy, où
00:13il se rend tous les jours de la semaine pour travailler auprès de Paul Biya, Fardinand
00:17Gongo ne se doutait pas que le scénario de l'absolution qu'il s'était généreusement
00:20préparé à coups de phrases ciselées lors d'un discours d'autosatisfaction tenu le
00:256 octobre dernier au Palais d'Étudy attirerait autant de colibès et de sarcasmes.
00:29Car triomphant ce jour-là, devant la tribune de ses obligés, le secrétaire général
00:36de la présidence n'avait laissé poindre aucune forme de nuance sur l'évidence de
00:40son irréprochable qualité éthique.
00:42Voici ce que fut son argumentaire ce jour-là, au nom évidemment de sa caution administrative
00:47et morale, à savoir Paul Biya.
00:49Sauf que, partie de cet instant de
01:19célébration et malgré ses proclamations de triomphe peu empruntes de modestie et de
01:23réserve, nombreux sont ceux que M. Gongo a laissés dans le doute et la plus grande
01:27perplexité.
01:28Parmi eux, le président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, en abrégé
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02:24Yaoundé lors de sa présence contrainte sur les bancs du gouvernement le 17 novembre dernier.
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