Une installation industrielle inaugurée dans les faubourgs de Yaoundé
Par-delà l’affichage que représentent les jolis murs de ce bâtiment aux couleurs écarlates, l’on est tout à fait fondé à se demander de quel apport significatif pourrait être la transformation des modes de consommation de la viande bovine pour des populations rurales comme urbaines depuis si longtemps habituées aux pratiques informelles aux conditions d’hygiène généralement équivoques ?
Au cours de la cérémonie officielle d’inauguration de cette installation industrielle dans la proche périphérie de Yaoundé par la Société de Développement des production animales, établissement public administratif assez peu connu du grand public, les promesses allant dans le sens d’une transfiguration du rapport des Camerounais à la viande ont été entendues.
Ici, en effet, repose l’une des fondations que le gouvernement la posées en décembre 2014, dans les entrebâillements de ce qui fut dénommé par son initiateur Paul BIYA, un PLAN D’URGENCE POUR L’ACCELERATION DE LA CROISSANCE. Une sorte de mille-feuille de programmation économique qui a, en grande partie, produit des résultats décevants sur les années d’après.
De temps en temps toutefois sorties du brouillard, des réalisations comme celles-ci qui viennent donner espoir à des corporations entières. La SODEPA se figure alors en transformateur majeur des formes de production, de standardisation et donc, d’industrialisation pour tous les produits centraux et périphériques touchant à cette filière-clé.
Pas de quoi espérer pour autant une transformation majeure à si court terme du rapport totalement informalisé des populations à la viande bovine ; produit que l’on acquiert sur les étals, sur tous les marchés, achalandés sur des outils qui pèsent tout le poids de l’incertain. Pas de quoi décourager pour autant toutes ces femmes, souvent belles et toujours généreuses, qui viennent partager leurs sourires et tant d’optimisme, sur la couleur de lendemains que le bonheur fuit.
Par-delà l’affichage que représentent les jolis murs de ce bâtiment aux couleurs écarlates, l’on est tout à fait fondé à se demander de quel apport significatif pourrait être la transformation des modes de consommation de la viande bovine pour des populations rurales comme urbaines depuis si longtemps habituées aux pratiques informelles aux conditions d’hygiène généralement équivoques ?
Au cours de la cérémonie officielle d’inauguration de cette installation industrielle dans la proche périphérie de Yaoundé par la Société de Développement des production animales, établissement public administratif assez peu connu du grand public, les promesses allant dans le sens d’une transfiguration du rapport des Camerounais à la viande ont été entendues.
Ici, en effet, repose l’une des fondations que le gouvernement la posées en décembre 2014, dans les entrebâillements de ce qui fut dénommé par son initiateur Paul BIYA, un PLAN D’URGENCE POUR L’ACCELERATION DE LA CROISSANCE. Une sorte de mille-feuille de programmation économique qui a, en grande partie, produit des résultats décevants sur les années d’après.
De temps en temps toutefois sorties du brouillard, des réalisations comme celles-ci qui viennent donner espoir à des corporations entières. La SODEPA se figure alors en transformateur majeur des formes de production, de standardisation et donc, d’industrialisation pour tous les produits centraux et périphériques touchant à cette filière-clé.
Pas de quoi espérer pour autant une transformation majeure à si court terme du rapport totalement informalisé des populations à la viande bovine ; produit que l’on acquiert sur les étals, sur tous les marchés, achalandés sur des outils qui pèsent tout le poids de l’incertain. Pas de quoi décourager pour autant toutes ces femmes, souvent belles et toujours généreuses, qui viennent partager leurs sourires et tant d’optimisme, sur la couleur de lendemains que le bonheur fuit.
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00:00Par-delà l'affichage que représentent les jolis murs de ce bâtiment aux couleurs écarlates,
00:14l'on est tout à fait fondé à se demander de quel apport significatif pourrait être
00:18la transformation des modes de consommation de la viande bovine pour des populations rurales
00:23comme urbaines depuis si longtemps habituées aux pratiques informelles, aux conditions
00:27d'hygiène généralement équivoques.
00:29Au cours de la cérémonie officielle d'inauguration de cette installation industrielle dans l'approche
00:33périphérie du Yom-Dé par la Société de développement des productions animales,
00:38établissement public administratif assez peu connu du grand public, les promesses allant
00:42dans le sens d'une transfiguration du rapport des Camerounais à la viande ont été entendues.
00:47Au sein de cette nouvelle boucherie, une unité de découpe a été mise en place.
00:52Vous aurez des séjours de la charcuterie, mais vous ne saurez pas.
00:57Le personnel vient d'ailleurs bénéficier d'une formation théorique et pratique au métier de la viande.
01:17Ici, en effet, repose l'une des fondations que le gouvernement a posées en décembre
01:232014, dont les entrebaillements de ce qui fut dénommé par son initiateur Paul Biya
01:28un plan d'urgence pour l'accélération de la croissance.
01:31Une sorte de millefeuille de programmation économique qui a, en grande partie, produit
01:36des résultats décevants sur les années d'après.
01:39De temps en temps, toutefois sorties du brouillard, des réalisations comme celles-ci qui viennent
01:44donner espoir à des corporations entières.
01:46L'assaut des pas se figure alors en transformateur majeur des formes de production, de standardisation
01:52et donc d'industrialisation pour tous les produits centraux et périphériques, touchant
01:56à cette filière clé.
02:15Pas de quoi espérer pour autant une transformation majeure à ces courts termes du rapport totalement
02:19informalisé des populations à la viande bovine, produit que l'on acquiert sur les étals,
02:24sur tous les marchés, achalandé sur des outils qui pèsent tout le poids de l'incertain.
02:28Pas de quoi décourager pour autant toutes ces femmes, souvent belles et toujours généreuses,
02:33qui viennent partager leur sourire et tant d'optimisme sur la couleur de l'endemain
02:38que le bonheur fuit.