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Transcription
00:00Oui, il se peut qu'il y ait des personnes qui regrettent après, mais en fait, à un moment, on ne peut pas, au nom d'une ou deux personnes ou quelques personnes qui regrettent,
00:09empêcher véritablement une forme d'accession à ce que l'on est.
00:14Mais pourquoi si tôt ? Pourquoi 16 ans ? Pourquoi pas 18 ? 16 ans ce sont des enfants, à 18 ans ils sont adultes.
00:18Oui, c'est toute la question. Oui, alors bon, à deux ans près, pardonnez, mais je vous rappelle que...
00:24Ça compte, on parle bien d'excuses de minorité en justice.
00:27Mais l'âge 16 ans... Je n'ai pas lu le rapport de l'HAS qui dit ça, donc je vous permettais quand même que je dise cela.
00:36Je vous le répète, des 16 ans, gratuits, et il y a un paradoxe quand même, c'est qu'on ne doit pas les considérer comme des malades.
00:44Effectivement, sur un point de vue sociétal, on peut en discuter, mais ils doivent recevoir des soins, c'est quand même assez antinomique.
00:50Évidemment, parce qu'il y a par exemple l'administration d'hormones, etc.
00:55Mais entre 16 et 18 ans, c'est la période de la puberté, donc c'est aussi une période où explosent quelque part les caractères genres et secondaires.
01:03C'est-à-dire les saints pour les femmes... Et donc on permet tout à l'âge de 16 ans ?
01:07Non, mais personne ne parle de tout permettre. L'HAS parle justement d'un accompagnement.

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