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00:00Par le coup de gueule de Pascal Morinibon, vous allez nous raconter cette histoire, Anne Hidalgo, j'aimerais bien voir comment Gilles Verdez va la défendre.
00:12Anne Hidalgo, elle a eu 30 000 euros de traité téléphonique et ça a coûté 30 000 euros à la mairie de Paris, ce n'est pas le cas payé.
00:19C'est un dépassement de forfait parce que personne ne lui avait dit qu'en fait quand on part en Pologne, il faut prendre un forfait spécial, on ne téléphone pas comme si on était à Paris.
00:27Donc il y a 30 000 euros de notes supplémentaires qui s'ajoutent aux 40 000 euros qui avaient déjà été dépensés pour son déplacement avec 5 personnes de la mairie qui avait coûté aux alentours de 40 000 euros,
00:36plus 20 000 euros de frais d'hébergement, donc on approche, peu ou prou, de 100 000 euros et ils n'ont aucune réponse à apporter de cela.
00:43À cela, et c'est le contribuable évidemment parisien qui va payer ces frais, ces dépassements de frais.
00:47Elle était partie 3 semaines, je ne sais pas si vous vous en souvenez, du 16 octobre au 5 novembre 2023.
00:53Elle avait fait moitié, elle avait dit je vais voir les dispositifs pour les géos, pour le surf.
01:00Elle ne les a même pas vues, elle ne les a même pas vues, elle a envoyé quelqu'un.
01:02Il faut dire que quand elle arrive à l'étranger, il faut qu'elle enlève données à l'étranger, mettre sur son téléphone et qu'elle demande le wifi où elle est en fait, ou bien qu'elle aille sur Whatsapp.
01:11Mais franchement, tu arrives à 30 000 euros de frais.
01:14Mais ça n'a pas de marge.
01:15Mais ça va très vite, ça va très vite parce que si vous voulez, ça va très vite.
01:18Elle a dû regarder des séries, elle a dû regarder TPMP.
01:21Le pire, c'est que la Libye, c'est d'aller voir les installations de surf.
01:24Elle n'y est même pas allée parce qu'il y a eu peur d'une manifestation.
01:27Du coup, elle ne s'est même pas rendue sur place.
01:28Donc, c'est délirant.
01:29Elle a saigné les parisiens.
01:31Son abonnement n'était pas compatible avec l'opérateur local.
01:35Elle a saigné les parisiens.
01:37Comme par hasard au moment du mariage de sa fille, comme par hasard.
01:39Curieuse méthode.
01:40Il y a un truc conteux sur Anne Hidalgo, c'est que la mairie de Paris, qui est endettée à autant de 7 milliards d'euros, elle ne justifie pas tous ces frais.
01:45Ce n'est pas 9 ?
01:46Oui, 9.
01:48Plusieurs milliards d'euros en tout cas.
01:49Merci, vous me demandez.
01:50Elle ne justifie pas ces frais de bouche auprès du gouvernement.
01:53Donc, les restaurants, les trucs, il manque plein de justificatifs pour des sommes astronomiques.
01:56Et ce qui m'énerve, c'est que quand le français lambda, il se fait contrôler au contrôle fiscal, il se fait défoncer.
02:00Elle, c'est bon, tranquille.
02:0250 000 euros par-ci, 30 000 euros par-là.
02:04Ce n'est pas normal.
02:05Ce n'est pas un exemple à donner.
02:06Je suis désolé.
02:07Alors, on va écouter le génie.
02:08Celui qui nous a fait tellement saigner les oreilles en 2024.
02:12Qui recommencera, on le sait, en 2025.
02:14Avec plaisir.
02:16Alors, s'il vous plaît, calmez-vous.
02:17D'abord, ce que dit Guillaume.
02:18Calmez-vous déjà.
02:19Calmez-vous déjà.
02:20D'abord, ce que dit...
02:21Calmez-vous déjà.
02:22Je vais donner...
02:23Tu n'es pas calme, là.
02:24Non, mais c'est vrai.
02:25Il s'est redressé comme un chien.
02:26Tout à l'heure, vous me disiez que j'étais trop calme.
02:29C'est un supporter.
02:30Tout à l'heure, j'étais trop calme.
02:31Comment vous voulez défendre Adil El Ghoum ?
02:32Mais, tu vas défendre ça ?
02:33Je n'ai pas à la défendre.
02:34C'est la justice qui l'a défendue par rapport à ce que dit Guillaume.
02:36Mais, parlez des 30 000 euros.
02:46Est-ce qu'elle a justifié tous ses frais de bouche ?
02:47Non.
02:48La justice...
02:49Mais, la justice, elle n'est pas procureure, monsieur.
02:50La justice...
02:51Après, elle ne savait pas...
02:54Ah, bravo !
02:57Allez, c'est bon.
02:58Allez, c'est bon.
02:59Allez, allez, allez.
03:00Prenez un fantassin et sortez.
03:03Elle ne savait pas qu'il fallait un forfait spécial à Tahiti, territoire français.
03:06Elle était en France.
03:07Elle ne savait pas.
03:08Elle avait conseillé.
03:09Alors, un crime...
03:10Alors, là, je suis entièrement d'accord.
03:12Elle est entourée d'une bande d'incapables.
03:14Et ça, c'est le problème.
03:15Elle-même...
03:16Non, non, non.
03:17Et si...
03:18Non, non.
03:19Gilles Verdez, on ne peut pas entendre ça.
03:20Et s'il y a...
03:21On ne peut pas entendre ça.
03:22Mais, ça veut dire qu'elle...
03:23S'il y a des accusations...
03:24Stop, stop.
03:25S'il y a une plainte, elle ira...
03:26Il y a aussi les Français qui ne le savent pas.
03:27Mais, eux, ils payent sur leur propre donnée.
03:28Ils reçoivent une facture.
03:29Et bien, elle remboursera s'il le faut.
03:30Elle ne s'est jamais payé.
03:31Elle n'a rien foutu.
03:32Oh, n'importe quoi.
03:33Elle ne dit pas de conneries.
03:35Elle...
03:36Elle l'aurait dit.
03:37Elle s'est sortie sur le canard enchaîné.
03:38Elle ne dit pas de conneries.
03:39C'est bon.
03:40C'est bon.
03:41Elle ne dit pas de conneries.
03:42Elle le savait très bien qu'elle avait payé 30 000 euros.
03:43Que la mairie de Paris avait payé 30 000 euros.
03:44C'était un an, cette histoire.
03:45Mais, il n'y a pas d'attaque en justice.
03:46S'il y a une plainte et qu'elle l'est condamnée, elle remboursera, Cyril.
03:47C'est ce qu'il raconte.
03:48Mais, ne dites pas de bêtises.
03:49Ne dites pas de bêtises.
03:50Elle a mis 30 000 euros avec l'argent des Parisiens.
03:51Gilles, pardon.
03:52Mais, Raymond a raison.
03:53En fait, si tu sais que c'est toi qui payes,
03:54évidemment que tu vérifies.
03:55On a tous vérifié quand on a pris l'avion pour savoir si on était zone euro, pas zone
03:56euro.
03:57Parce qu'on a des enfants, on leur dit surtout tu fais gaffe, tu enlèves tes données mobiles
03:58parce que sinon on va te faire fracasser.
03:59Évidemment.
04:00Donc, ça montre juste son irresponsabilité.
04:01Ce côté je m'en foutisme.
04:02Genre, en gros, ce n'est pas mon oseille.
04:03Je m'en fous.
04:04Je ne paye pas.
04:05Insupportable, en fait.
04:06Gilles, je vous pose une question.
04:07C'est un mauvais...
04:08C'est...
04:09Non.
04:10La vérité...
04:11Là, vous la défendez parce que c'est dans votre...
04:12Voilà.
04:13Si vous dites que je continue à la défendre coûte que coûte...
04:14Mais pourquoi j'agrandirais ?
04:15Vous ne croyez pas ce que vous dites sur les 30 000 euros ?
04:16Je vous le dis que si elle est condamnée en justice...
04:17Il me gueule dessus, en plus.
04:18Pardonnez-moi.
04:19Pardonnez-moi.
04:20Allez-y, allez-y.
04:21N'hésitez pas.
04:22N'hésitez pas.
04:23Allez-y, me gueulez dessus.
04:24Non, non, non.
04:25Allez-y.
04:26Je peux gueuler sur Jean-Michel, c'est sûr.
04:27Allez-y, me gueulez dessus.
04:28Comme ça, je pourrais vous répondre.
04:29Non.
04:30Allez-y.
04:31C'est sûr.
04:33Si elle est condamnée pour les 30 000 euros...
04:34Toi, tais-toi.
04:35Si elle est condamnée pour les 30 000 euros...
04:36Eh bien, elle remboursera.
04:37Mais pour le moment, où est l'action en justice ?
04:38Qui a porté plainte ?
04:39Ceux qui ont porté plainte pour les frais de bouche,
04:40ils se sont pris la gifle de la justice.
04:41Sur les frais de bouche, ils continuent...
04:42Laissez-moi.
04:43Laissez-moi.
04:44Laissez-moi lui répondre.
04:45Qu'est-ce que vous avez dit ?
04:46Jules Vernez.
04:47Jules Vernez.
04:48En fait, ce que vous ne comprenez pas,
04:49c'est qu'il n'y a pas de frais de bouche.
04:51Pardon, Jules.
04:52Pardon.
04:53Pardon.
04:54Non mais, Jules Vernez,
04:55on ne parle pas de condamnation.
04:56Non, mais, Jules Vernez,
04:57on ne parle pas de condamnation.
04:58Non, mais, Jules Vernez,
04:59on ne parle pas de condamnation.
05:00Non, mais, Jules Vernez,
05:01on ne parle pas de condamnation.
05:02Non, mais, Jules Vernez,
05:03on ne parle pas de condamnation.
05:04Non, mais, Jules Vernez,
05:05on ne parle pas de condamnation.
05:06Non, mais, Jules Vernez,
05:07on ne parle pas de condamnation.
05:08Non, mais, Jules Vernez,
05:09on ne parle pas de condamnation.
05:10Non, mais, Jules Vernez,
05:11on ne parle pas de condamnation.
05:12Non, mais, Jules Vernez,
05:13on ne parle pas de condamnation.
05:14Non, mais, Jules Vernez,
05:15on ne parle pas de condamnation.
05:16Non, mais, Jules Vernez,
05:17on ne parle pas de condamnation.
05:18Non, mais, Jules Vernez,
05:19on ne parle pas de condamnation.
05:20Non, mais, Jules Vernez,
05:21on ne parle pas de condamnation.
05:22Non, mais, Jules Vernez,
05:23on ne parle pas de condamnation.
05:24Non, mais, Jules Vernez,
05:25on ne parle pas de condamnation.
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05:29on ne parle pas de condamnation.
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05:31on ne parle pas de condamnation.
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05:33on ne parle pas de condamnation.
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05:37on ne parle pas de condamnation.
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05:39on ne parle pas de condamnation.
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05:41on ne parle pas de condamnation.
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05:45on ne parle pas de condamnation.
05:46Non, mais, Jules Vernez,
05:47on ne parle pas de condamnation.
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05:49on ne parle pas de condamnation.
05:50Non, mais, Jules Vernez,
05:51on ne parle pas de condamnation.
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05:57on ne parle pas de condamnation.
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06:01on ne parle pas de condamnation.
06:02Non, mais, Jules Vernez,
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06:41on ne parle pas de condamnation.
06:42Non, mais, Jules Vernez,
06:43on ne parle pas de condamnation.
06:44Non, mais, Jules Vernez,
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06:51on ne parle pas de condamnation.
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06:57on ne parle pas de condamnation.
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06:59on ne parle pas de condamnation.
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07:07on ne parle pas de condamnation.
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07:11on ne parle pas de condamnation.
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07:13on ne parle pas de condamnation.
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07:15on ne parle pas de condamnation.
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07:17on ne parle pas de condamnation.
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07:19on ne parle pas de condamnation.
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07:21on ne parle pas de condamnation.
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07:23on ne parle pas de condamnation.
07:24Non, mais, Jules Vernez,
07:25on ne parle pas de condamnation.
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07:27on ne parle pas de condamnation.
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07:29on ne parle pas de condamnation.
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07:31on ne parle pas de condamnation.
07:32Non, mais, Jules Vernez,
07:33on ne parle pas de condamnation.
07:34Non, mais, Jules Vernez,
07:35on ne parle pas de condamnation.
07:36Non, mais, Jules Vernez,
07:37on ne parle pas de condamnation.
07:38Non, mais, Jules Vernez,
07:39on ne parle pas de condamnation.
07:40Non, mais, Jules Vernez,
07:41on ne parle pas de condamnation.
07:42Non, mais, Jules Vernez,
07:43on ne parle pas de condamnation.
07:44Non, mais, Jules Vernez,
07:45on ne parle pas de condamnation.
07:46Non, mais, Jules Vernez,
07:47on ne parle pas de condamnation.
07:48Non, mais, Jules Vernez,
07:49on ne parle pas de condamnation.
07:50Non, mais, Jules Vernez,
07:51on ne parle pas de condamnation.
07:52Non, mais, Jules Vernez,
07:53on ne parle pas de condamnation.
07:54Non, mais, Jules Vernez,
07:55on ne parle pas de condamnation.
07:56Non, mais, Jules Vernez,
07:57on ne parle pas de condamnation.
07:58Non, mais, Jules Vernez,
07:59on ne parle pas de condamnation.
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08:01on ne parle pas de condamnation.
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