François Bayrou peut-il déjà être renversé par une motion de censure un peu plus d'un mois après sa nomination? Celle déposée par des députés insoumis, écologistes et communistes est examinée ce jeudi 16 janvier à l'Assemblée nationale. Elle ne devrait pas être fatale au Premier ministre, faute d'être votée par l'extrême droite et les socialistes.
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00:00Les socialistes, on le voit bien, et ce petit numéro de claquettes, ce mauvais théâtre de boulevard montre que le Nouveau Fonds Populaire était une alliance de pacotilles.
00:10En fait, ils ne pensent pas la même chose, ces gens-là. Ils étaient juste là pour les postes, pour les places, pour la gamelle.
00:17Ça, ils savent se réunir. Et là, aujourd'hui, on a la confirmation que tout cela, évidemment, n'était que de la poudre aux yeux,
00:23juste pour avoir des groupes à l'Assemblée nationale, sans avoir de ligne directrice et de cohérence pour le pays.
00:30Nous, de la cohérence, on en a. La cohérence, déjà, c'est de ne pas censurer, de ne pas dégager un gouvernement qui n'a pas commencé à travailler.
00:37Alors on le sait bien qu'avec la gauche et l'extrême-gauche, en tout cas une partie d'entre elles, c'est une obsession pavlovienne
00:42qu'il faut censurer tout de suite avant d'avoir la moindre proposition. Nous allons regarder de près ce que proposent M. Bayrou et son gouvernement.