• il y a 6 heures
Avec Pr. Didier Raoult, microbiologiste

Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio.


Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry

———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75...
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?...
▪️ Instagram : / sudradioofficiel
▪️ Twitter : / sudradio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————

☀️ Et pour plus de vidéos de Bercoff dans tous ses états : • 😤 Bercoff dans tous ses états

##LE_FAIT_DU_JOUR-2025-01-21##

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00— Juste avant de nous entretenir avec le professeur Didier Raoult, on va parler de cette extraordinaire spécificité à l'Amérique.
00:08Dieu sait s'il y a des choses bien à l'Amérique, mais Dieu sait s'il y a des choses quand même qui fonctionnent de façon bizarre.
00:13C'est cette grâce préventive. C'est quand même incroyable. On sait que Donald Trump, on l'a su 3 heures avant de quitter son bureau présidentiel,
00:22mais vraiment à la dernière limite. On sait qu'il avait déjà « pardonné » à son fils, inter-Biden. On va pas reparler de cela.
00:31Et puis toute sa famille, toute la famille, absolument, Biden, absolument, depuis d'ailleurs le 1er janvier 2014. Attention.
00:38Et la même chose avec donc le Dr Anthony Fauci, M. Covid-19, M. Santé de l'Amérique, qu'il a également gracié préventivement.
00:50Alors qu'est-ce que c'est que cette grâce préventive ? Maud Koffler, vous faites l'émission avec moi. Quelle est cette grâce préventive, c'est quoi ça ?
00:58Les grâces présidentielles préventives sont inscrites dans l'article 2, section 2, clause 1 de la Constitution américaine qui dit ceci en raccourci.
01:06« Le président aura le pouvoir de grâcier de manière illimitée, sauf en cas de procédure de destitution, avant que des poursuites judiciaires ne soient engagées
01:13ou pendant leur exécution ou après condamnation et jugement. » La grâce préventive ne doit pas dénoter une culpabilité.
01:20Joe Biden le précise dans son communiqué en l'exprimant de cette façon « L'octroi de ces grâces ne doit pas être interprétée comme une reconnaissance de culpabilité
01:28pour une quelconque infraction. Notre nation doit une dette de gratitude à ses fonctionnaires pour leur engagement inlassable envers notre pays. »
01:36— Dites-moi, professeur Didier Raoult, bonjour. — Bonjour. — Qu'est-ce que vous pensez de... Quand vous avez été poursuivi et attaqué comme vous l'avez été,
01:47c'est intéressant, cette espèce de pardon présidentiel avant qu'il n'y ait eu une poursuite. C'est-à-dire je leur pardonne. Ils sont absolument aujourd'hui immunisés
01:57en principe contre toute poursuite, notamment Fauci. Mais voilà. Écoutez, il n'y a pas de problème. Je suis le président. Je peux le faire. Et je l'ai fait.
02:06Qu'est-ce que ça vous inspire ? — Tout d'abord, je crois... Je suis pas un expert de ça. Mais c'est ce que j'ai lu. C'est que c'est la première fois
02:13qu'un président utilise une grâce avant qu'il y ait même une enquête qui soit réalisée sur quelqu'un. Et quand il dit « C'est pas une preuve de culpabilité »,
02:22ça fait rire. C'est-à-dire on voit pas de quoi on peut amnistier quelqu'un s'il est pas présumé coupable à raison ou à tort. Donc moi, ça me frappe, si vous voulez.
02:33Les gens... J'ai toujours été comme ça. Je me méfie des gens qui donnent des leçons de moral. Je suis toujours méfié de ça. Et souvent, je pense qu'il faut jamais croire
02:41ce que les gens disent être. En général, quand ils disent être quelque chose, ce qu'ils sont, c'est le contraire. Et donc c'est que cette administration
02:48et les démocrates qui ont pris une raclée phénoménale, une des plus grandes de l'histoire des États-Unis, en réalité, ont été tout ce temps
02:57des gens malhonnêtes. S'ils ont empoisonné la première présidence de Trump en prétendant qu'il avait été élu grâce aux Russes, ensuite,
03:07que celui qui avait... Quand il a demandé que les renseignements sur les magouilles – pas d'autres noms – du fils Biden en Ukraine soient divulgués,
03:16il a été accaté encore une fois. Il a été... — D'agents russes. D'agents russes, oui. — D'agents russes, oui. Ils ont tenté... Pelosi a tenté de le destituer.
03:27Et là, on voit ça continuer. On voit bien que Biden, en réalité, ça n'est pas un type qui a une morale. C'est-à-dire qu'il préserve son fils d'être puni en disant
03:36« Non, non, c'est pas parce qu'il a fait des crimes. C'est parce que c'est mon fils ». Et là, il préserve ça aussi en disant « Non, non, c'est pas parce qu'il a commis
03:44quelque chose qui n'était pas bien », alors qu'on pense... En tout cas, moi, je fais partie des gens qui pensent que l'action de Pelosi a probablement entraîné
03:50des dizaines de milliers de morts. Donc c'est des choses très sérieuses, ça. Donc c'est très intéressant de voir de quel côté, quand je dis « On est les gentils »,
03:58je sais ce qu'on dit. Voilà. Les gens qui tordent la loi, qui tordent les règles, qui abusent de leur pouvoir, c'est eux qui posent un problème.
04:08Et c'est eux qui traitent l'autre de Hitler, ce qui est quand même un roman extraordinaire. — Oui. Intéressant. On a vu ça avec...
04:14« Vous tendez le bras, maintenant, vous êtes Hitler ». Voilà. — Voilà. C'est assez phénoménal, parce qu'effectivement, je suis allé aux États-Unis
04:22faire une intervention, un interview qui sera bientôt online, interviewé par celui qui a été le directeur de campagne de Kennedy, Delby.
04:34Et donc ce qui est frappant aux États-Unis, c'est que la reproche majeure qui est faite à l'administration Biden, outre que c'est un abus de pouvoir
04:44d'utiliser ce qu'ils ont fait à Trump, c'est-à-dire tous les moyens légaux possibles et imaginables pour lui faire un procès tous les 3 mois,
04:52si vous voulez, plus les gens lui ont tiré dessus. Du coup, d'ailleurs, quand on passe à travers tout ça, on devient un héros pour tout le monde.
05:00C'est-à-dire on est là quelqu'un qui... Et donc on croit qu'ils ont renforcé sa popularité. Mais ce qui les marque le plus, c'est rassurant,
05:08parce que je peux pas dire que j'étais très rassuré ces dernières années par l'Amérique. Mais là, il y a un retour de la liberté.
05:17Et donc ce qu'ils peuvent pas supporter, c'est les contraintes et les obligations qu'on leur a faites en leur disant « C'est au nom de la science ».
05:25Et c'était pas au nom de la science. C'est au nom d'une opinion transformée en « Vous savez, c'est ça, la science ». Et moi, comme scientifique,
05:31j'en ai un peu assez que les gens me disent « Vous savez, on fait ça parce que politiquement, c'est bien et puis c'est rentable pour des gens pour qui c'est rentable ».
05:39Et deuxièmement, c'est parce que c'est la science et c'est pas la science. C'est une opinion à un moment donné. — C'est ça. Et ça, il faudrait jamais l'oublier, justement.
05:48— Ce qu'on fait au nom de la science. Comme on disait l'autre, que de crimes on commet en ton nom. Juste, Didier, aujourd'hui, vous parlez...
05:54Vous étiez donc aux États-Unis pendant une dizaine de jours. Vous avez rencontré, fait un entretien que vous allez publier sur votre site.
06:01Alors que vous a dit... Enfin que dit ce directeur de campagne de Robert Kennedy Jr., qui s'apprête à prendre des fonctions, on le sait, dans les jours qui viennent, bientôt ?
06:13Quelle est la position aujourd'hui sur le plan de la santé, sur le plan de ce qui s'est passé pendant 4 ans avec le Covid, etc. ?
06:20Quelle est leur position à eux, à ceux qui s'apprêtent à prendre aujourd'hui le pouvoir ? — Ben ils sont assez... On est assez en phase.
06:27Ils sont lucides, si vous voulez, sur le fait que l'hydroxychloroquine... Il y a eu un montage, un enfumage extraordinaire pour faire penser
06:36que l'un des médicaments les plus prescrits au monde était toxique. Ça, n'importe qui qui veut bien s'arrêter 2 minutes à regarder l'histoire de ce médicament
06:45ne peut pas croire qu'il soit toxique à ce point. C'est pas possible. Donc c'est une vraie question. Ça, il est extrêmement lucide.
06:51Moi, je recommande à ceux qui l'ont pas lu le livre qu'a écrit Kennedy, qui a été traduit en français, qui s'appelle Gates, Fauci et Big Pharma.
07:01— Gates, Fauci et Big Pharma. Oui, absolument. — Et l'explosif sur lequel il explique très bien que l'hydroxychloroquine a été torpillée,
07:08parce que si on avait laissé l'hydroxychloroquine, dont il y a maintenant plus de 1 000 études qui ont été publiées sur l'hydroxychloroquine...
07:15Enfin vous le savez, il faut regarder leur liste, c'est 19.com. Et dedans, on voit que la moyenne des résultats, c'est la même que celle que l'on a eue,
07:24c'est-à-dire 70 % de baisse de la mortalité presque précocement et 30 % chez les patients hospitalisés, sur des milliers d'études.
07:32Donc si vous voulez, les gens peuvent toujours s'acharner sur la première étude. La nôtre avait l'intérêt d'être la première, mais en pratique, il y a eu des études...
07:39— Il y en a eu d'autres. Il y en a eu d'autres. — Partout, partout, partout, partout.
07:42— C'est intéressant, d'ailleurs, qu'à propos de Fauci... Vous savez que les mails en Amérique, justement, la loi américaine permet à tout citoyen
07:49de demander un accès aux documents de n'importe laquelle des agences fédérales dont fait partie le directeur Fauci.
07:55Et il y avait ce mail... Enfin on en a parlé, mais c'est intéressant de le rappeler. Il y a eu un échange entre Anthony Fauci, donc, et Jean-François Delfraissy,
08:04à l'époque président du Conseil scientifique, à l'époque, au sujet du traitement que vous défendiez, dit Dirault.
08:10Et le président Delfraissy dit à Fauci « Voilà, j'ai une énorme pression politique pour autoriser l'hydroxychloroquine et en donner à tout le monde,
08:18mais, ajoute Delfraissy, j'y résiste pour le moment. Voilà. » Puis il dit « Ces données ne sont pas particulièrement convaincantes.
08:24Vous observez un signal légèrement positif, mais il doit être confirmé par un essai randomisé. »
08:29Eh bien bon, c'était il y a 4 ans, sinon 5 ans. Mais ce qui est intéressant dans cette histoire, c'est que comment quelqu'un, justement,
08:37comme Fauci, revient et chez nous, n'en parlons pas, tout c'est responsable quand même d'au moins de négligence pour ne pas dire plus,
08:46comment il se fait qu'ils peuvent passer à travers les mailles du filet et, apparemment, Fauci, quand même, vous êtes de ceux qui pensaient
08:55qu'il est responsable de plusieurs milliers de morts, certains disent des dizaines de milliers, peut passer à travers les gouttes,
09:00dans un pays, l'Amérique, où, effectivement, on parle de la liberté d'expression, mais aussi de la sanction ?
09:07— Eh bien vous voyez comment on peut faire en trichant. C'est ce que fait Biden. C'est-à-dire qu'il dit « Écoutez, il n'y a rien à voir.
09:13Vous pouvez pas évaluer ce qu'a dit M. Fauci. C'est terminé ». Donc c'est un déni de la démocratie et de la séparation des pouvoirs
09:20qui est un des éléments majeurs de la démocratie américaine. Vous savez que la démocratie américaine a pris très au sérieux
09:27ce que disait Montesquieu un peu à la différence de la nôtre. Mais moi, j'ai vu ça aussi. J'ai vu que j'avais encore cette naïveté
09:34parce que je m'étais pas beaucoup confronté à la justice, si vous voulez, de penser que c'était un pouvoir indépendant pour me rendre compte
09:40que c'était pas vrai. Donc encore une fois, ce qui est marquant aux États-Unis, ce qui les a le plus choqués, c'est la contrainte basée
09:49sur une science virtuelle, si vous voulez, qui représentait jamais que l'opinion de Fauci et de Bill Gates. Et donc pratique.
09:57Et Bill Gates, vous savez qu'il essaie de le choper sur le fait de lui taxer sa fondation, ce qui l'amènerait à perdre 1 milliard de dollars,
10:05parce que sa fondation n'est pas du tout... C'est un cheval de trois, en réalité, pour lui faire gagner de l'argent, c'est-à-dire pour faire prescrire
10:12des vaccins dans lesquels il a investi, dans lesquels il a gagné 1 milliard de dollars sur les deux vaccins ARN, quand même.
10:18Donc c'est très intéressant. D'autre part, moi, il me posait la question de savoir quel serait le premier conseil que je leur donnerais
10:26pour ce qu'ils devaient faire le premier jour. Oui, j'ai tombé juste. J'ai dit « Sortez de l'OMS ». L'OMS, les 4 premiers financeurs,
10:33les 3 premiers sont des organismes qui ne cherchent qu'à gagner de l'argent. Et le quatrième, c'est les États-Unis. Il faut les sortir de là,
10:41parce que les restes, ceux qui tiennent les ficelles de l'OMS, c'est-à-dire ceux qui payent, c'est deux fondations de Bill Gates
10:47et une fondation de l'industrie pharmaceutique. C'est ça, les 4 premiers. — Et la Chine, quand même. Et la Chine.
10:52— Non, non. Mais la Chine est loin derrière. Les 4 premiers, encore une fois... — Ah oui. Les 4 premiers, c'est l'USA et les deux fondations de Bill Gates.
10:58— Et une association de... Il y en a un qui est la Gavi et l'autre qui est la Bill et Melinda Gates Foundation. — Exact.
11:04— Donc Bill Gates tient 17% du financement de l'OMS. Ensuite, viennent les États-Unis. Et ensuite, vient une association – je ne veux pas dire
11:15de malfaiteurs – d'industrie pharmaceutique qui ne sont pas là. Il n'y a pas de repas être gratuit, disait Milton Friedman.
11:23Vous savez, ils ne payent pas pour rien. C'est pareil. — Absolument. Il n'y a pas de dîner gratuit. Didier Raoult, juste à votre avis,
11:27c'est intéressant, parce que l'on avait conseillé... En tout cas, c'est un des premiers décrets, effectivement.
11:33Que peut entraîner comme conséquence, puisque là, c'est acté, la sortie des États-Unis de l'OMS, donc plus de subvention en tout cas
11:41du gouvernement américain ? Qu'est-ce que ça peut entraîner comme conséquence, à votre avis ?
11:45— Je pense que ça va faire un électrochoc. Déjà, vous savez, moi, je connais pas mal et j'ai pas mal d'échos en Afrique.
11:54Si vous voulez, l'Afrique n'a plus aucune confiance dans l'OMS. Aucune. C'est fini. Alors... Et une des raisons, c'est que le président de l'OMS,
12:02c'est un Éthiopien qui a passé sa vie à bouffer de la chloroquine, parce que c'est un pays à paludisme, et qui a dit que la chloroquine
12:09tuait les gens dans 10% des cas. Donc j'ai dit... Vous voyez bien que c'est un menteur. Enfin c'est pas possible.
12:13où il est fou, où c'est un menteur. Donc c'est une chose tout à fait extraordinaire. Donc là-dedans, si un jour, comme disaient
12:23plusieurs textes célèbres religieux, ils ont des yeux... Ils ne savent pas regarder. Ils regardent. Si vous voulez, c'est quand même
12:30extraordinaire d'avoir ça, un président de l'OMS qui est africain et qui dit que la chloroquine, ça tue les gens. Deuxièmement,
12:36c'est extraordinaire... Nous, on a eu un truc extraordinaire aussi, qui était un ministre de la Santé qui avait fait sa thèse
12:42sur la toxicité de l'hydroxychloroquine. Et quand il a été interrogé pour dire... Mais vous voyez pas que l'essai anglais
12:48sur lequel vous vous êtes porté, Recovery, commence par une dose toxique d'hydroxychloroquine, sur lequel on se dit que
12:54si vous prenez cette dose, il faut vous rendre aux urgences. Et le type a été interrogé à la fois par Azalbert et par l'équipe
13:01qui a fait ce film extraordinaire qui s'appelle « Une épidémie de fraude ». Et le type, on lui a demandé en direct
13:08« Est-ce que vous savez quelle est la dose toxique d'hydroxychloroquine ? ». Et il a dit « Oui, ça doit être 10 fois la dose que nous... »
13:13Parce que c'est-à-dire le type qui a managé cette étude, qui a servi de cheval de Troyes encore une fois pour dire que les...
13:20Ne connaissait pas la dose toxique, ne savait pas ce qu'était la dose toxique d'hydroxychloroquine. Et donc il a donné une dose toxique.
13:29Et pourquoi il a donné ça ? On lui demande « Pourquoi vous avez donné une dose pareille ? ». Parce que moi, depuis 30 ans,
13:35je donne 600 mg et ça marche très bien. Eh bien il dit « C'est parce que... ». Et là, c'est un des éléments majeurs dont je voudrais vous convaincre.
13:42C'est que quand je vous disais... Vous savez, notre monde a évolué. On est passé de 30% de tertiaires à 80% de tertiaires.
13:51Et c'est la même chose pour la médecine. Ces gens du tertiaire pensent que c'est eux qui doivent décider ce qu'est la médecine.
13:57Et sur qui ils s'appuient ? Sur des mathématiciens ratés qui leur font des modèles. Et ça, c'est un... — Des modélisateurs, oui.
14:04— Voilà. C'est un modélisateur. Et il a demandé à un modélisateur de pharmacodynamie... On en a un qui est célèbre et qui est aussi insinglé.
14:12Et il lui a demandé quelle était la dose qu'il fallait donner. Et l'autre lui a donné une dose toxique, parce que c'est pas un docteur.
14:18S'il avait regardé n'importe quel traité, il aurait su que c'est pas des docteurs.
14:23— Confusion des genres, confusion des genres. Et c'est terrible. — Oui. Et puis vous voyez bien. Vous avez bien vu sur les plateaux de télé,
14:30n'importe qui, les types sont... Vous avez des spécialistes de néphrologie qui me donnent des leçons de maladies infectieuses.
14:36Vous avez des gens... — On a vu. On a vu. — Des profs de mathématiques, nous, qui nous harcèlent, en nous disant que c'est comme ça
14:41qu'il faut soigner les malades. Si vous voulez, on a un basculement de la connaissance. Et je vais vous dire ce qui est...
14:48Pour Biden, moi, je regardais... Au début, la plupart du temps, je suis neutre. Je regarde ce que font les gens.
14:53Donc quand Biden est arrivé, il a nommé pour superviser toute la science américaine un type absolument remarquable qui s'appelle Eric Lander.
15:02Ce type est un scientificien exceptionnel, un scientifique exceptionnel. Quand je parle de scientifique, je sais vraiment de quoi je parle.
15:10Il est plus cité que moi. Oui, quelle modestie. Et donc ce type est resté quelques semaines. Et il a démissionné,
15:17parce que quand il a essayé de faire travailler les gens à Washington, ils ont porté plainte pour harcèlement moral.
15:22Il a dit « Écoutez, je comprends bien. Je fais pas partie du gouvernement. Je suis désolé. Je m'en vais ». C'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas...
15:28Et donc c'est la vraie leçon de Trump qui est très intéressante. Il est passé là par 4 ans. Il a fait une bêtise. Il a gardé la même admiss.
15:36— Oui, bien sûr. Il ne savait pas. Il ne savait pas, à l'époque. Ouais, c'est clair. — Et ils lui ont tout scié.
15:40Donc c'est la première chose qu'il a fait, c'est les virer. Et c'est comme ça qu'il faut faire. — Écoutez, en tout cas...
15:45— Quand Jean-François Bataille m'a demandé de l'aider à réfléchir sur les maladies infectieuses et le bioterrorisme,
15:51il a gardé la même administration qui, dès qu'il y a eu quelque chose, l'a trahi immédiatement. Et il n'a pas joué son rôle.
15:58Et donc il aurait dû virer toute l'administration. — C'est le coup de poignard dans le dos. Et les coups de poignard dans le dos,
16:02on sait ce que ça donne. Et pas de confusion des gens. Merci, Didier Aoult. On reparlera de tout ça bientôt.
16:07Mais en tout cas, c'est vraiment passionnant, ce qui se passe actuellement du côté de Washington. On verra s'il y aura des répercussions en France.
16:14Mais c'est une autre histoire.

Recommandations