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Avec Hervé et Philippe

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##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2025-01-23##

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Transcription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:04— Hervé Arantoni, en région parisienne, est avec nous. Bonjour, Hervé. — Bonjour.
00:09— Vous êtes retraité. Prof d'histoire à la retraite, hein, Hervé. — Exactement. Exact.
00:14— Bon, bon. Hervé, d'abord, tous mes vœux, pour commencer. — Mes souhaits, aussi.
00:18— On peut encore jusqu'à la fin du mois de janvier, selon la règle. Hervé, bon, l'idée lancée par la ministre du Travail
00:28semble avoir fait chou blanc. Mais on verra, hein. Moi, j'attends de voir... Là, le ministre de l'Économie a dit
00:33« Non, non, il n'est pas question de toucher aux pensions de retraite ». L'idée était de faire participer les retraités
00:42d'une manière ou d'une autre. Je ne sais pas comment, en augmentant la CSG ou supprimant les 10% d'exonération fiscale.
00:52— Voilà. Oui, j'ai pas bien compris, non plus. — Moi non plus. Bon. Enfin bon. Bon, vous dites « Non ». Vous dites « Les retraités »...
00:58Bon, ça va. Ne touchons pas aux retraités. — Bah non, je veux dire... Moi, je pense que, véritablement, c'est un leurre qui est lancé
01:06pour éviter de parler des vrais problèmes un peu. Ils n'osent pas faire en fait comme aux États-Unis actuellement, c'est-à-dire
01:14de dire par exemple « On va supprimer un certain nombre d'avantages qu'ont les clandestins, les immigrés, etc. ».
01:23Moi, je me pose vraiment la question de savoir quel est le poids de l'immigration en France véritablement. Et donc là, on pourrait faire
01:31des économies, et puis ailleurs, et également. Et puis on se rend compte qu'il y a tout un tas de scandales, les cartes vitales qui sont fausses
01:41et qui servent à la pratique de plusieurs millions. Donc moi, je voudrais savoir véritablement si le gouvernement ne pourrait pas
01:47lancer véritablement des études... — Alors il y a des enquêtes. Il y a des enquêtes qui sont conduites sur le poids de l'immigration.
01:55Le problème, c'est que vous avez d'un côté l'immigration clandestine qui coûte très cher à l'État, l'immigration, et puis vous avez
02:01l'immigration de travail qui, elle, rapporte à l'État. Et donc il faut... Effectivement, vous avez bien raison. Il faudrait une enquête
02:09indépendante, une enquête indépendante pour savoir exactement... — Voilà. Mais regardez, il y a quand même un problème, parce qu'on entend
02:16parler tous les jours à votre radio en particulier du fait que les conseils généraux départementaux, si vous voulez, soient fixés par les demandes
02:28de soi-disant mineurs qui viennent dans les départements et qui sont en plus imposées par le gouvernement. Donc est-ce que là, il n'y a pas
02:38véritablement quelque chose à faire ? — Possible. Possible. Je n'ai pas la réponse, Hervé. Mais vous posez la question, dans tous les cas.
02:47C'est bien de poser les questions, déjà. Après, il faut obtenir des réponses. Je suis d'accord avec vous. Bon, merci, Hervé.
02:54On va prendre Philippe, lui, qui est à Villemur, dans le Tarn, qui est buraliste. Bonjour, Villemur, sur Tarn. Exactement.
03:04— Bonjour. Bonjour, Jean-Jacques. On est dans la Haute-Garonne. Attention. — Voilà. C'est pour ça que j'ai dit Villemur. C'était Villemur sur Tarn,
03:11mais en Haute-Garonne. Voilà, voilà, voilà. Et vous êtes buraliste. Vous vendez des pouches, ces sachets de nicotine.
03:18— Oui, oui, oui. On en a à la vente. Le réseau de buralistes a des sachets de nicotine à la vente. Mais c'est vrai que j'ai écouté le docteur
03:25très intéressant. Mais par contre, la question que je me pose, Jean-Jacques, c'est où se ravitaillent les mineurs, parce que nous,
03:35on en a à la vente. Mais la vente de sachets de nicotine dans le réseau ne représente rien. On n'en vend pas.
03:41— Vous n'en vendez pas. Vous n'en vendez très peu. — Non. Très peu, très peu. Alors je comprends pas où se ravitaillent les mineurs, moi.
03:47— Vous comprenez ? La question que vous posez... — Oui, oui. Non mais c'est vrai, Philippe. Vous posez... Peut-être que dans...
03:51Villemur, c'est grand, Villemur ? — Il y a entre 6 000 et 7 000 habitants.
03:56— Oui. Peut-être que dans les communes plus rurales comme celle de Villemur, on vend moins de ce genre de produits qu'en ville.
04:04Je ne sais pas, moi. — Je me suis occupé du réseau des buralistes pendant des années au niveau du syndicat.
04:09Quand on avait encore les syndicats... Je peux vous dire que sur Toulouse, ça ne représente rien.
04:14— Ça ne représente rien, oui. — Non. Le volume de vente de sachets de nicotines ne représente rien, Jean-Jacques.
04:19— Alors où ? Parce que quand je vois les industriels du tabac faire la promotion de ces pouches, ils les vendent bien quelque part.
04:28— Non mais je me pose la question. Je me pose la question, Jean-Jacques. — Bah moi aussi. Sur Internet ? Sur Internet ?
04:35— Moi, je pense. Je pense. — Eh oui. Eh oui. Mais il faut interdire ça. Il faut interdire ça. Moi, je suis pour l'interdiction.
04:43— Mais vous savez qu'on s'était appelé pour interdire le SNIFI. On y est arrivé, Jean-Jacques.
04:49— Oui, exactement. Vous y êtes arrivé. Mais là, je rends hommage. On dit toujours que les buralistes sont complices,
04:54sont complices, sont complices. Mais non, parce que quand il y a une interdiction, les buralistes appliquent l'interdiction.
04:58Que les choses soient bien claires. — Mais bien sûr, Jean-Jacques. Si demain, on interdit les sachets, je signe de suite, moi.
05:06— Bah évidemment. — Je signe de suite. On peut l'interdire demain. Si il y a une volonté politique, on peut l'interdire de suite.
05:12— C'est bien mon avis. Merci beaucoup, Philippe. Allez, merci 8 heures. Vous êtes sur Sud Radio.
05:17Merci vraiment d'être avec nous tous les matins.

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