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NewsTranscription
00:00L'EPF Cachan vous le dit, voilà, il faut de la parité, c'est très bien, un nombre égal d'hommes et de femmes.
00:07Eh bien l'EPF Cachan qui est une école ingénieure, l'EPF Engineering School,
00:13eh bien vient d'obtenir l'accord du ministère de l'Enseignement supérieur pour ouvrir sur Parcoursup
00:1850 places supplémentaires à ces 600 places ouvertes sur concours.
00:23On se dit c'est très bien, voilà, mais on ajoute 50 places supplémentaires, très bien.
00:27Mais alors pourquoi ? Eh bien ces 50 places sont attribuées selon un recrutement distinct,
00:33c'est-à-dire pas le concours où est présent homme, femme, jeune, douane, non, non, non, non.
00:39C'est recruté uniquement à de futures bachelières, voilà, qui ont jusqu'au 13 mars prochain
00:45pour soumettre leur candidature pour rejoindre l'un des 4 campus à Paris-Cachan, 3, Montpellier ou Saint-Nazaire.
00:51Aujourd'hui, seuls 35% d'ingénieures avec ES, bien sûr, femmes ingénieurs, sortent de diplômer chaque année.
00:58Donc voilà, on se dit il faut lutter, effectivement, il faut que les femmes ceci, les femmes cela.
01:05Très bien, mais vous savez il y a énormément de métiers aujourd'hui, par exemple les avocats, la justice,
01:11il y a beaucoup plus de femmes que d'hommes aujourd'hui chez les avocats.
01:15Pourquoi faut-il que ce soit un dogme ?
01:18Moi je croyais, et vous savez je croyais, mais il y a quelque chose qui a complètement disparu,
01:22dont on parle plus du tout, ça s'appelle la méritocratie.
01:26Que vous soyez noir, blanche, jaune, venu de partout, eh bien écoutez, vous faites les études, vous avancez,
01:35et au plus méritant, au plus compétent, à la plus compétente, eh bien il faut lui donner le poste, il faut...
01:43Là, eh bien non, c'est plus du tout ça, là maintenant voilà, il faut que ce soit effectivement l'histoire du genre, voilà.
01:51C'est-à-dire qu'aujourd'hui, et d'ailleurs ça s'est passé aux États-Unis,
01:54alors de façon absolument incroyable avec ce diversity equity inclusion, le DEI,
02:00vous savez que dans énormément d'États, notamment en Californie, il y avait des pompiers,
02:05par exemple vous étiez blanc, vous vous présentiez, eh bien au non, on vous faisait attendre 7 ans,
02:11parce que justement il n'y avait pas assez de quotas de minorités, voilà.
02:16Très bien, et c'est formidable, et il faut effectivement que les minorités soient appuyées, soient promues.
02:24Mais au nom de quoi, effectivement, dans des concours, on a besoin de compétences très précises,
02:30que ce soit ingénieurs, pompiers, pilotes, navigateurs et autres, eh bien c'est au mérite.
02:38C'est à l'étude, non, non, non, non, non, le V.S. Cachan, voilà,
02:42eh bien le P.F. Cachan ouvre une filière uniquement destinée aux femmes, voilà.
02:46Eh bien écoutez, si on continue comme ça, c'est très bien, nous ferons des quotas partout.
02:52Et la compétence ? Oh bah écoutez, on verra, c'est beaucoup moins important que le genre,
02:57que la couleur, que l'ethnie et que le sexe, voilà. Et c'est comme ça qu'on avance, bien sûr.
03:02Au pays de Tchou-Paris, avec Tchou-Anne Hidalgo, on rigole bien, eh oui, pourquoi ?
03:08La ville de Paris a officiellement présenté en début de semaine le dernier volet de son plan
03:12« Prendre prévention de rixes », pas de risque, de rixes.
03:16Oui, parce qu'on ne veut plus de rixes à Paris, il y en a trop, il y en a trop, il y en a trop.
03:19Alors qu'est-ce que ça s'appelle ? Écoutez-moi bien, le plan Couteau.
03:23Oui, oui, auditeurs du site radio, on a lancé un plan Couteau,
03:28accompagné du hashtag, bien sûr, Stop Couteau, Stop Couteau, voilà, sur les réseaux sociaux.
03:33Ce plan a pour objectif d'indiquer les multiples agressions
03:37à l'arme blanche, évidemment, il y en a eu énormément, 75% à l'agression à l'arme blanche.
03:43C'est vrai qu'il y a eu des égorgements et des blessures,
03:46et on a parlé ce matin avec Pierre-Marie Sèvres,
03:49et qui ont de ces images terribles, à l'ivraie gargant,
03:52quelqu'un en train d'être poignardé à mort, et nous rappelons, il y a, c'est tout ça.
03:56Alors, qu'est-ce qu'on a décidé à Paris ? Eh bien, voilà ce qui a été décidé à Paris.
04:02Écoutez le directeur de la police municipale de la capitale, Michel Felquet,
04:06mardi dernier, je pense, 3.
04:08— Nous avons des flyers que nous distribuons aux sorties des collèges pour expliquer, en gros,
04:12qu'il ne faut pas prendre un couteau de sa cuisine, de son appartement et le mettre dans sa poche
04:18parce qu'il risquerait de s'en servir. Mieux vaut éviter de l'avoir dans sa poche
04:25parce qu'on voit bien que, sur toutes ces affaires, vous voyez, les motifs sont assez futiles, entre guillemets,
04:30entre le vol d'un portable, un mauvais regard, une fille,
04:34tout se déclenche très rapidement entre jeunes. Et voilà. Alors on a une vidéo.
04:41On a des médiateurs qui passent dans les classes aussi pour sensibiliser au non-port du couteau.
04:47Et puis le parquet, la police nationale est là pour rappeler aussi que ce sont des infractions pénales
04:52que de porter un couteau. — Et voilà. Et voilà. Au pays des Tchoubinours, c'est les bisous qui comptent.
04:57Alors c'est formidable. Qui est coupable ? Le couteau. Évidemment. Ne partez pas avec un couteau.
05:04C'est sûr. Comme si la personne qui a envie d'avoir quelques affrontements, qui a envie de voler, de détrousser,
05:11il va partir avec quoi ? Avec une fleur. Il va partir avec des bougies. Il va partir avec quoi ?
05:19Avec un œillet à la boutonnière. Et il va partir avec une arme, parce que lui, il pense à dérober, à prendre,
05:27à taxer, que ce soit un téléphone portable ou du fric, etc. Eh bien voilà, l'arrêt poste et la prévention de la mairie de Paris.
05:37Eh bien ne sortez pas avec un couteau de cuisine. Non, non. Ah oui ? Eh bien alors écoutez, arrêtez les voitures,
05:44parce qu'il y a des voitures qui écrasent. Arrêtez tout. C'est extraordinaire. C'est prendre l'instrument,
05:52alors que ce qui compte, c'est celui ou celle qui utilise cet instrument. Non, non. On fait des flyers.
05:58Voilà. Ça occupe. Ça contribue. Effectivement, ça contribue. Le contribuable que je suis et que vous êtes est content.
06:05Voilà. On va plus prendre nos couteaux et on va faire un hashtag magnifique. Stop couteau. C'est pas beau, ça ?
06:13On sent que ça va convaincre absolument tous les gens qui ont une propension à la violence.
06:19Ils vont tout arrêter et ils vont dire s'il vous plaît, s'il vous plaît, donnez-moi votre portable, vraiment, avec douceur,
06:26avec douceur, parce que je viens d'écouter Stop Couteau et j'ai écouté mon médiateur. Et voilà comment ça avance.