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Benjamin Netanyahu pose un ultimatum pour la libération des otages israéliens et exhibe la menace de la reprise des frappes sur Gaza. Emmanuel Macron, interviewé sur CNN, appelle à la préservation du cessez-le-feu et à des réponses politiques, soulignant la situation des 2 millions d'innocents à Gaza.

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Transcription
00:00La guerre va continuer et on va continuer de combattre contre le Hamas.
00:04Mais avec quel argent, quelles armes, qui les soutient aujourd'hui ?
00:07Le Hamas ?
00:08C'est une bonne question, il y a toujours le Qatar qui finance le Hamas, qui est le premier soutien de Hamas.
00:23Mais le Qatar c'est un partenaire pourtant dans les négociations ?
00:25Oui, mais c'est un partenaire qui joue sur deux tableaux, c'est ce que vous nous dites.
00:32Il finançait le Hamas avec le soutien de Benyamin Netanyahou il y a quelques années.
00:36Il y a quelques années, on avait cette affaire, cette faute de financer le Qatar qui a financé, Israël qui a transféré l'argent.
00:50Mais aujourd'hui, il y a des acteurs comme le Qatar qui aussi soutiennent le Hamas.
00:57Au fond, si vous deviez résumer ce matin, est-ce que vous avez l'impression qu'on est plus près du retour de la guerre ?
01:04Où est-ce que ça peut passer ? Où est-ce que la crise que l'on imagine ressurgir peut passer ?
01:13Écoutez, les négociations ne sont pas ici à Paris. Mais ce que je peux dire, c'est qu'il y a vraiment un espoir dans le côté israélien de libérer tous les otages.
01:26Tous ?
01:27Tous, tous, tous, et le plus tôt possible.
01:30Sinon la guerre reprendra ?
01:32Oui.

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