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L'un malade, l'autre jet-lagué, après son long séjour à l'infirmerie, ont facilité la tâche de Roberto De Zerbi. Au petit jeu de "qui restera à quai ?", soufflé par le mercato hivernal et inauguré à Angers, le tandem Rongier-Harit a tiré le mistigri. À l'OM, son ère moderne, la concurrence n'a jamais été aussi féroce qu'en ce début février. Sorti gagnant, sur le papier, des chaises musicales, durant lesquelles quatre indésirables (Wahi, Koné, Brassier et Meïté) ont laissé s'asseoir autant de titulaires en puissance (Luiz Felipe, Gouiri, Bennacer et Dedic), "Roby" a aujourd'hui le choix du roi. Et un sacré casse-tête à résoudre.

Pour le technicien italien, il ne s'agit plus, seulement, de savoir qui va démarrer… mais aussi de composer habilement son banc, où neuf garçons devront s'armer de patience. De Zerbi a "trouvé son équilibre", son système et ses hommes forts. Les autres auront des miettes. Au menu, peu si ce n'est point de turn-over, avec un rendez-vous par semaine, ce titre de dauphin à décrocher et malgré l'adversité, comme ces modestes Verts, invités ce samedi après-midi au Vel' (17h). "Je vous rappelle que l'an passé, l'OM a fini 8e de Ligue 1… Tout le monde doit accepter mes choix. Et mes choix, je les fais de bonne foi. Personne n'a le droit par défaut de jouer. C'est le terrain qui décide", a encore martelé l'ex-coach de Brighton.

Chaque place vaudra de l'or. Les indiscutables d'hier peuvent, en un clin d'œil, devenir les jokers de demain. Dans son couloir gauche, où il patine ces dernières semaines, Quentin Merlin sent le souffle d'Amar Dedic sur sa nuque. Derrière, le retour de blessure de Geoffrey Kondogbia et la montée en puissance (à l'entraînement) de Luiz Felipe, devraient rebattre les cartes, alors que seul Leo Balerdi y semble indéboulonnable. Devant, Neal Maupay, dès son premier trou d'air, s'est fait doubler par Gouiri. Au milieu, secteur (de loin) le plus fourni, Valentin Rongier, l'homme du renouveau, a appris à ses dépens que les absents ont toujours tort. Ismaël Bennacer, son (excellent) remplaçant dimanche dernier en Anjou, a, a priori, convaincu De Zerbi de l'installer aux côtés de Hojbjerg.

N'imaginez pas le Lombard sentimental, encore moins revoir son 3-4-2-1 pour servir à chacun une part de cet alléchant gâteau. "Ismaël est un titulaire. Il va élever considérablement le niveau de l'équipe. Ils sont trois pour deux postes, et je ne compte pas changer de formule, a insisté "RDZ". Les aligner ensemble, sans oublier Rabiot, obligerait Greenwood à jouer sur un côté. Ce n'est pas souhaitable. On se priverait de son apport proche du but, et on lui demanderait des efforts dont il n'est pas capable."

En particulier ces visages du grand départ, aujourd'hui relégués dans l'ombre (Harit, Rowe…). D'aucuns "On ne que la gestion des ego, des possibles états d'âme sera la clef, en Provence, de cette fin de saison. Pour relever ce défi, De Zerbi a plus d'un atout dans sa manche, des leaders hors pair capables de prêcher la bo

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Transcription
00:00Ensemble, ensemble, nous sommes les Marseillais, et nous allons gagner.
00:17Allez l'ombre, allez l'ombre, allez l'ombre.
00:25Ils ne veulent pas l'air par Marseillais, ils ne veulent pas l'air par Marseillais, ils ne veulent pas l'air par Marseillais, ils ne veulent pas l'air par Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais, Marseillais,

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