Le discours du vice-président américain J. D. Vance, face aux Européens à Munich, «visait les dirigeants des pays qui ne prennent pas à cœur la sécurité de leurs citoyens», juge Nicolas Conquer, sur CNEWS, lundi 17 février.
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00:00Il a éminemment raison, d'une part parce que c'était une conférence sur la sécurité, il arrive, il est à Munich et donc il met en place,
00:06il annonce cette menace qu'est cette immigration de masse pour laquelle
00:09il le dit, il le prend du doigt, c'est que personne ne s'est déplacé dans les bureaux de vote pour voter sur cette problématique donc si
00:14vous sollicitez peut-être les habitants de votre pays, vous aurez sans doute un désaveu et l'autre chose c'est aussi de rappeler qu'à mesure que
00:20le jour où il est à Munich, la veille, il y a eu un attentat
00:23qui est encore une voiture bélier qui a foncé dans la foule, 20 blessés et des morts.
00:27Deux jours plus tard, c'est désormais en Autriche où il y a eu une nouvelle attaque commise par
00:31un réfugié demandeur d'asile qui coûte la vie à une personne et quatre autres blessés donc
00:36on sent qu'il y a une véritable résonance, il y a une urgence et
00:39étonnamment, c'est pas tant cette partie là qui est critiquée, on a surtout cherché à la mettre à couvert.
00:44Mais encore une fois, ça visait évidemment
00:46les dirigeants des pays qui ne prennent pas à coeur la sécurité de leurs concitoyens et qu'il faudrait un véritable effort
00:51des leaders comme ce qu'on a comme Donald Trump qui prend un bras-le-corps le problème de l'immigration
00:55par rapport à la crise, pas accepter que ça soit comme une satisfaction de faible.