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L'ancienne secrétaire d'État, Sabrina Agresti-Roubache, a évoqué l'occupation de la Gaîté Lyrique à Paris par des migrants, soutenus par des militants associatifs : «Ces associations ne roulent que pour elles-mêmes et se servent des migrants comme de la chair à canon».

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Transcription
00:00Comme dans tous les pays du monde, quand vous êtes un irrégulier sur un territoire, on regarde votre état, donc les demandeurs d'asile, moi par exemple, j'avais ce portefeuille qui était un portefeuille d'une sensibilité absolue, mais dans le beau sens du terme.
00:14On accueille des gens qui viennent de pays en guerre. Et la réalité, c'est qu'on ne peut plus continuer en France à faire semblant qu'on ne connaît pas ces associations, qui sont financées aussi avec de l'argent public.
00:27Mais qui les manipulent. On le voit bien dans les échanges.
00:30J'ai passé un an et demi au ministère de l'Intérieur à expliquer que ces associations ne roulaient que pour elles-mêmes, qu'elles faisaient de la politique et qu'elles se servaient de ces migrants, mais comme d'autres partis politiques pour les jeunes des quartiers, comme de la chair à canon et rien d'autre.
00:44Et demain, leurs intérêts changeront, et ils changeront de combat, et ils abandonneront ces pauvres migrants à leur terrible sort.
00:52Et qu'en réalité, maintenant, je sais que Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, et à notre époque, Gérald Darmanin, on ne peut pas leur enlever qu'ils sont capables de prendre des mesures fortes, mais il est temps, je pense, de mettre fin à cette situation.

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