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00:00C'est ce qu'on a fait dans le cadre de la révision de l'Ousmane Sonko.
00:10On a déjà vu ce qu'on a délégué beaucoup.
00:13Et on a vu ce qu'il a comme pouvoir.
00:17Et on a vu ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko.
00:21C'est ce qu'on a aimé.
00:24C'est ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko.
00:30Parce qu'on est dans le domicile de la démocratie.
00:33Dans le domicile de la démocratie, il y a tous les droits de l'Ousmane Sonko.
00:38Maintenant, quand on a vu ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko,
00:43on a vu ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko.
00:47Ce qu'on a dit, c'est que le président Basirou Diomaïe, qui a voulu faire la révision,
00:55a proposé ce qu'on a fait.
00:58Et ce qu'on a proposé, c'est qu'il changerait le conseil en cours cautionnel.
01:04C'est ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko.
01:07Ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko, c'est qu'un président fort a tous les pouvoirs en sa possession.
01:16Il a dit qu'il faut que nous renforcions ce qu'on a fait pour l'Ousmane Sonko.
01:21Ce n'est pas le pouvoir.
01:22Il a proposé ce qu'on a fait pour l'Ousmane Son.
01:25Il a répondu que les Sénégalais,
01:27si on l'a fait pour l'Ousmane Son,
01:29on a répondu qu'on a fait pour l'Ousmane Son.
01:32C'est l'Ousmane Son.
01:33Si on l'a fait pour l'Ousmane Son,
01:35il a fait pour l'Ousmane Son.
01:37Ce qu'on a fait pour l'Ousmane Son,
01:39c'est que l'initiative des lois appartient concoramment au président d'Afrique,
01:45au premier ministre et aux députés.
01:48Donc, si quelqu'un veut initier une loi,
01:53pour réviser la constitution,
01:55pour renforcer ses pouvoirs,
01:57c'est-à-dire que le premier ministre et consorts
02:01a fait la proposition.
02:04D'accord.
02:05le projet,
02:06c'est le projet qu'il donne.
02:07C'est le projet,
02:08c'est le initiateur,
02:09mais si quelqu'un peut le faire,
02:11ou ce qu'il est le premier ministre,
02:13c'est le projet de loi,
02:15pour l'Assemblée qui veut voter.
02:18C'est le projet.
02:20Mais le projet d'Assemblée,
02:22il peut le faire comme il peut le faire.
02:24Mais il a le droit,
02:26c'est que j'aime le pouvoir,
02:28ou il peut le faire.
02:30C'est ce qui a fait une révision constitutionnelle.
02:34et quand on a fait l'Assemblée nationale,
02:37il y a beaucoup de révision constitutionnelle,
02:39qui a fait partie de l'Assemblée nationale.
02:41Et quand on va,
02:43les députés ont été regardés
02:44car ils l'ont fait ou ils l'ont fait ou ils l'ont fait.
02:46Si on l'a fait ou ils l'ont fait ou ils l'ont fait.
02:48Donc, si on l'a fait ou ils l'ont fait,
02:49vous pouvez voter.
02:50Si on l'a fait ou ils l'ont fait ou ils l'ont fait ou ils l'ont fait.
02:52Il y a une possibilité d'attaquer devant le Conseil constitutionnel.
02:54Le Conseil constitutionnel Adduje.
02:56Exactement comme nous.
02:57Par exemple,
02:58la loi d'amnésie,
03:00la loi d'interprétation,
03:01n'a pas le vote,
03:02ils n'ont pas d'accord.
03:04Ils ont été regardés pour qu'ils l'ont fait ou ils les décèdent.
03:06C'est ce qui est le cas.
03:08Il y a une possibilité de le faire.
03:11La deuxième chose,
03:13c'est une révision constitutionnelle.
03:16En l'état actuel de nos textes,
03:19Le Président de la République a une possibilité d'obtenir les pouvoirs conscients que le Président de la République peut prendre une partie de ses prérogatives conscients pour les déléguer.
03:49Le Président de la République a une possibilité d'obtenir le Président de la République pour accréditer l'ambassadeur à l'extérieur.
04:18Le Président de la République a une possibilité d'obtenir le Président de la République pour déléguer le Premier ministre.
04:25Le Président de la République a une possibilité d'obtenir le Président de la République pour déléguer le Premier ministre.
04:32Le Président de la République a une possibilité d'obtenir le Président de la République pour déléguer le Premier ministre.
04:42Le Président de la République a une possibilité d'obtenir le Président de la République pour déléguer le Président de la République.
04:49Le Président de la République a une possibilité d'obtenir le Président de la République pour déléguer le Président de la République.
04:59D'accord.
05:00Combien de protections, par exemple ?
05:02D'avoir pris l'article 254 du Code pénal, il a dit que tout le Président a offensé le Président de la République pour déléguer le Président de la République pour déléguer le Président de la République pour déléguer le Président de la République.
05:17D'accord.
05:18D'accord.
05:19D'accord.
05:20C'est le cas pour Ousmane Sonko ?
05:21D'accord.
05:22D'accord.
05:46Parce que j'ai entendu tout à l'heure, j'ai entendu l'opposition de FDR et nous avons vu qu'on a appris à des gens.
05:54Parce qu'on a offensé Ousmane Sonko, alors que Ousmane Sonko bénéficiait de l'article 254 alors qu'il n'est que le premier ministre, il n'est pas chef de l'état.
06:04Oui, c'est là-bas, je pense que ce qu'on doit savoir, c'est parce qu'il n'y a rien à dire.
06:11J'ai vu un décret que le Président de la République a pris et a pris les prérogatives ou les prérogatives.
06:23Est-ce que le Président Basile Diomayefaye a pris une partie de ses prérogatives ?
06:27Tu sais, le constitutionnel a pris le premier ministre.
06:31C'est ce que j'ai l'air.
06:33Mais je pense que c'est ce qu'il y a.
06:34C'est ce qu'il y a.
06:35C'est ce qu'il y a.
06:36C'est ce qu'il y a.
06:37C'est ce qu'il y a.
06:38C'est ce qu'il y a, à part de ce moment-là, offensé le premier ministre.
06:41L'article 254, que je vous le citerai.
06:43C'est ce qu'il y a.
06:44Mais à condition qu'il n'y ait que le Président de la République a délégué une partie de ses prérogatives.
06:52C'est ce qu'il y a.
06:54C'est ce qu'il y a.
06:56C'est ce qu'il y a.
06:57C'est ce qu'il y a.
06:58C'est ce qu'il y a.
06:59C'est ce qu'il y a.
07:00C'est ce qu'il y a.
07:01Donc, aujourd'hui, si vous regardez la révision de la Constitution,
07:07elle a été le plus réveillé.
07:10Donc, on ne s'est pas en train de faire ça tant que ce qu'il y a.
07:13C'est ce qu'il y a.
07:14Donc, le Président Diablo.
07:16Pourtant, on ne sait pas que ce qu'on a aimé comme le vice-président.
07:21Alors, pour qu'on a aimé ce qu'il y a, en quelque sorte, pour s'enlèguer certains pouvoirs au PME.
07:29Voilà, c'est ce que je dis.
07:30Tu sais, par exemple, dans notre arsenal,
07:33comme je disais, c'est l'institutionnel.
07:35Il y a une façon dont on doit savoir.
07:37Et si on doit avoir conscience, il n'y a pas conscience.
07:39Il y a un poste de vice-président.
07:41Donc, le poste de vice-président,
07:43il faut qu'on a créé.
07:45Il faut que tu réviser la Constitution du Sénégal.
07:47Il y a deux façons de réviser.
07:49Il faut qu'on soit conscient ou qu'on a fait un référendum.
07:52Il faut qu'on soit conscient.
07:54Il faut qu'on soit désormais.
07:56Il faut qu'on soit un vice-président.
07:58Et puis, il faut qu'on soit en cas de vacances de pouvoir.
08:01C'est le vice-président qui a fait le président.
08:04Aujourd'hui, notre texte n'est pas ça.
08:06Aujourd'hui, on a un premier ministre.
08:08Mais, aujourd'hui, en cas de vacances de pouvoir,
08:10le président, par exemple, s'il n'y a pas pu voir.
08:12Tu sais, c'est pas le premier ministre qui est le président.
08:17C'est le président de l'Assemblée nationale.
08:20C'est le président de l'Assemblée nationale.
08:22Il faut qu'on soit 70 jours ou 90 jours ou plus pour organiser les élections urbaines.
08:26C'est ce qui se passe.
08:28Il faut qu'on soit en train de faire un vice-président.
08:31Il faut qu'on soit révisé la révision constitutionnelle.
08:33Il faut qu'on soit révisé la révision constitutionnelle.
08:35Il faut qu'on soit en Assemblée nationale.
08:38Il faut qu'on soit voté à la majorité des 3 ou 5e.
08:41Ou qu'on soit au référendum.
08:44C'est le peuple sénégalais qui va décider.
08:46Toujours est-il qu'on ne peut pas reprocher au président de vouloir changer un certain nombre de choses.
08:52Il faut qu'on soit en train de le changer.
08:55Surtout qu'il faut qu'on soit assemblée par exemple.
08:58C'est ça.
08:59Comme je te disais, l'initiative des lois appartient à ce qui est conscient.
09:06Il faut qu'on soit en train de le dire.
09:08Un peu de choses.
09:09Il faut que l'initiative des lois et la révision constitutionnelle.
09:13Il faut qu'on soit révisé la constitution.
09:16C'est une initiative du président.
09:18Il faut qu'on soit en train de faire les députés.
09:19Il faut qu'on soit en train de faire un initiative de loi.
09:24Il faut qu'on soit en train de s'y reposer.
09:26C'est ça que ça appartient au président par le biais d'un projet de loi.
09:31Ou au député par le biais d'une proposition de loi.
09:34Donc on ne peut pas reprocher à quelqu'un ce que tu as fait et qu'on ne l'aura pas.
09:41Reste à savoir que l'Assemblée Nationale qui est en train de voter les lois,
09:47on ne l'aura pas ou ne l'aura pas.
09:49Ce que tu as comme possibilité de faire, c'est qu'il faut faire ce que tu es conscient.
09:55Je vais aller à ce conseil fonctionnel, pour les qui ont initié une révision et la votée à l'Assemblée Nationale.
10:04Après, ils n'ont pas d'application de ce que tu as en train de voter et que tu n'as pas de juge.
10:07Pour que tu ne le sais pas.
10:11Mais l'inquiété de l'opposition, c'est une question dont le président a dit que la sincérité a dit.
10:17nous n'avons pas d'aller à l'écran, mais la sincérité, encore une fois,
10:27nous avons vu beaucoup d'autres règles, nous avons vu tout ce qui a fait des dialogues,
10:35peut-être le président Macky Sall qui a fait ou qui a fait des dialogues,
10:39nous avons dit tout le monde, nous avons répondu à ce que nous faisons dans les législatives,
10:43nous avons répondu à ce que nous faisons.
10:48Ce n'est pas ce que nous faisons de l'opposition.
10:51Oui, je sais que dans un pays, le dialogue doit être permanent,
10:56surtout dans la matière électorale, surtout en matière électorale.
11:02Chaque fois que l'étape après-élection et contestation,
11:07c'est parce qu'en amont, il y a des choses que nous faisons,
11:11que nous devons faire, qu'ils peuvent parler en sorte que nous devons faire des choses.
11:17Sur la manière de voter, c'est que nous devons conserter.
11:23Si quelqu'un a 47 candidats,
11:26est-ce que, quand vous avez le bureau de public,
11:29vous savez qu'il va y avoir un concert,
11:31nous devons les conserter.
11:32Est-ce que le bulletin unique,
11:34est-ce que le bulletin pourrait nous donner à des candidats ?
11:37Est-ce que le bulletin est maquillé ?
11:39On doit l'abandonner, l'obligation de l'élection.
11:45Donc l'opposition comme pouvoir
11:49a forcément le droit ou l'obligation
11:54de se dire sur ce sujet.
11:57Parce qu'on doit tous concourir à ce que la démocratie a un réum.
12:02Et le Sénégal a un réum de la démocratie.
12:05Et si on a un réum de la démocratie,
12:07on doit gouverner.
12:09Mais si on gouverne également,
12:11on doit prendre l'opposition.
12:13Parce qu'ils peuvent avoir des idées
12:16pour profiter de la population.
12:18Et si on a un réum de pouvoir,
12:20on doit le faire.
12:22Mais ils ont l'obligation
12:26de faire des propositions objectives.
12:29Il n'y a rien à savoir.
12:34Donc tous ceux qui veulent gérer les affaires de la cité.
12:37Tous les hommes,
12:38comme l'opposition.
12:40Et tous ceux qui veulent,
12:42la population sénégalaise.
12:44Donc on va regarder les préoccupations des Sénégalais.
12:48Ils sont des états en charge.
12:51Et ils ne trouvent pas vraiment beaucoup à l'opposition.
12:53Et ce qui est la possibilité de leur écouter.
12:55Ils ont des états en charge.
12:57Et ils peuvent être des états en charge.
12:59Parce qu'ils ont des états en charge.
13:01Ils ont des états en charge.
13:02Ils ont des connaissances.
13:03Ils ont une expérience.
13:05Ils ont également leur habitué.
13:07Je pense qu'on parle sur un certain nombre de choses et qu'on l'a fait sur des bases, des objectifs et qu'on est également à l'hôpital, en sachant que le Sénégal est ce que tu sais.
13:17Oui, c'est ce qui est très important, c'est le pouvoir et l'opposition, parce que si tu ne parles pas, tu ne parles pas.
13:25Oui, mais tu sais que si tu parles et que tu parles, je suis d'accord.
13:30Mais aujourd'hui, si quelqu'un dit que je vais rompre ce que tu parles, c'est un dialogue.
13:36Il peut aussi imposer ce que tu parles, c'est une majorité.
13:40Qu'est-ce que tu parles?
13:42Il peut y avoir une possibilité d'être un homme.
13:45Il a fait une majorité à l'Assemblée Nationale.
13:50Donc il a les moyens, qu'il n'y ait pas d'opposition, parce qu'il y a une majorité.
13:59Mais pour moi, même si quelqu'un a une majorité, encore une fois, il doit y avoir la possibilité de se conserter avec les autres.
14:07Mais à condition que l'on est dans l'opposition également, il faut que l'on puisse parler.
14:13Parce que quelqu'un qui connaît, c'est qu'il y a un cadeau, mais il y a un cadeau de Réou.
14:19Parce que Réou, tout le monde l'a fait.
14:21J'ai un cadeau, tu as un cadeau, tu as un cadeau, tu as un cadeau.
14:24Donc il faut qu'on crée les conditions pour qu'on parle.
14:27Je pense que si on parle, si on parle, peut-être qu'il y a des réroïs,
14:31et qu'il y a des consorts, qu'il y a des consorts,
14:34on peut le dépasser rapidement.
14:36Parce que après tout, si on prend le pouls de l'autre côté,
14:39nous sommes tous les Sénégalais.
14:41Oui.
14:42Alors, c'est ce qui a été fait dans l'opposition à l'autre côté.
14:46Mais on a vu l'hier, l'opposition, mais cette fois-ci, c'était les députés de l'opposition.
14:52C'est ce qui a été fait.
14:53Mais on a vu que nous sommes inscrits, entre autres.
14:58Mais on a formé un bloc qui a été boycotté Ousmane Sonko,
15:02venu au niveau de l'Assemblée nationale.
15:06Et on a vu que le règlement intérieur n'a pas été respecté.
15:10Donc, ce qui a été fait, c'est le Président.
15:14Notamment, c'était l'article 19, Alinéa II,
15:18qui a été dit qu'il s'est fait à la conférence des présidents.
15:24Et on a vu que le règne, c'est le Président.

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