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00:00Il se rend au jour de ce jour et du jour de son mari.
00:05Il a presque voulu aller à son mariage.
00:08Il avait à peu près de 6 jours.
00:11Il avait à l'appliquer et il a surtout une inquiétude de leur ex-sécution.
00:16Il a même plus de confiance en lui.
00:19Mais avec le temps, il a réussi à réussir petit à petit.
00:22Finalement, c'est le contraire.
00:24On dirait.
00:25Le constat factuel, c'est le contraire.
00:29Moi déjà, l'appel à l'épargne publique de 150 milliards, je ne le trouvais pas ambitieux.
00:37Très honnêtement.
00:39C'était prudent.
00:41C'était prudent, mais je ne le trouvais pas ambitieux.
00:43Je suis d'accord.
00:44Ahmet, il y a des denrées de l'épargne.
00:46Il y a des gens qui l'ont fait.
00:49Il n'y a pas de mal.
00:50Regarde Malik.
00:51Malik, si elle n'était pas, elle n'est pas à dire qu'Algérie.
00:53Je pense qu'Algérie est la deuxième puissante militaire en Afrique.
01:01Après l'épargne.
01:02Légique.
01:03Il faut faire attention.
01:05Et si le Mali tombe, c'est ça.
01:08Il y a des renseignements.
01:10Il n'y a pas de mal.
01:13Mais comme ils sont dans une culture constante, c'est très compliqué.
01:18Parce qu'ils ont fait l'affaire de l'épargne.
01:21Parce qu'ils voulaient ouvrir un franc sur l'Algérie.
01:23Si l'Algérie n'est qu'à la France, la France va régler.
01:27Ce n'est pas un peu du pays.
01:28Que les gens fassent très attention.
01:30Depuis le coup d'état d'Amado Ayas-Sonovo, Mali n'a pas été dans l'épargne.
01:36Il n'y a pas de mal.
01:37Il n'y a pas de mal.
01:38Il n'y a pas de mal.
01:39Il n'y a pas de mal.
01:40Il n'y a pas de mal.
01:41Il n'y a pas de mal.
01:42Il n'y a pas de mal.
01:44Il n'y a pas de mal.
01:46Il n'y a pas de mal.
01:47Il n'y a pas de mal.
01:49C'est important.
01:50Il n'y a pas de gaz.
01:52Il n'y a pas de mal.
01:53Ça peut être un peu de mal.
01:54Il n'y a pas de mal.
01:55Il n'y a pas de mal.
01:57Il n'y a pas d'alcool.
01:58Ce n'est pas des larges.
01:59Mais les marques sont plus bien.
02:01Il n'y a pas de mal.
02:03Il n'y a pas de mal.
02:05Le gouvernement du Conseil ne va plus bien.
02:07Il n'y a pas de mal.
02:09La situation des médias est plus beating.
02:11Il ne peut pas être de mal.
02:13Et le ministère des financeurs et du budget ne peut pas le faire parce que cela est en plus
02:17Et il y a des dents et des dents
02:20Donc, c'est ce que le Président Kamal Rossan
02:25C'est maintenant 405 milliards, n'est-ce pas ?
02:28Oui, c'est ce qu'on a dit
02:2950 millions de dollars est 405
02:31C'est maintenant multiplié par 3
02:35On peut dire presque
02:37Il y a des secteurs, c'est à la fois structurant, rentable et porteur
02:47Tout le monde a l'historique
02:51Mais il y a une responsabilité, nous sommes tous dans la responsabilité
02:57Nous sommes tous dans la responsabilité
02:59C'est ce qu'on peut faire
03:03Énergie, santé
03:05D'ailleurs, le conseil des ministres est passé
03:09Pour moi, c'est l'un des meilleurs conseils des ministres
03:13Au contenu
03:15On a parlé de la santé mentale
03:17J'ai lu le document
03:19Si afférent concernant la prise en charge des déficients en 2024-2028
03:25Mais le problème est que le financement doit être mobilisé pour accompagner ce document
03:29Est-ce que le financement doit être mobilisé pour accompagner ce document ?
03:33Je pense que l'OS l'a dit en conseil des ministres
03:37Est-ce que ?
03:39Je pense que c'est l'un des meilleurs conseils des ministres
03:41Je l'ai dit à Abdoula Diou ça
03:43Je l'ai dit
03:45Les déficients mentaux qui sont à Dakar ou au Sénégal
03:49Quand ils sont là ?
03:51Si l'un des meilleurs déficients mentaux
03:53Il y a des déficients mentaux
03:55C'est vrai ?
03:59Il y a des déficients mentaux
04:01Si l'on a dit
04:03Mais c'est une société
04:05On doit le dire
04:07D'ailleurs, les gens ne sont pas dans la guerre
04:09Ils ne sont pas dans la guerre
04:11Ils ne sont pas dans la guerre
04:13Donc moi
04:15Je pense que le moment
04:17Il n'a pas été fait de l'énergie
04:19Jusqu'ici encore
04:21Il y a des difficultés pour accéder à l'électricité
04:23J'ai eu lieu à Backel
04:25Durant les élections législatives
04:27Jusqu'ici
04:29C'était dans la ville
04:31Mais il y a eu une rupture
04:33Pour ne pas avoir une coupure d'électricité
04:35La santé
04:37Je l'ai besoin
04:38Aujourd'hui
04:39On a un gap
04:40Si je ne l'ai pas
04:42De quinze mille
04:44Agents
04:45Si je ne m'avuse
04:47Même si
04:48L'audit
04:49L'audit du ministère de la santé
04:51De novembre 2014
04:52A révélé qu'elle
04:54Il y a au moins 498 agents
04:58Ils étaient payés
05:00Pour le compte du ministère de la santé
05:02Mais ils ne travaillaient pas
05:04Pour le compte du ministère de la santé
05:05Tu as entendu ?
05:08Donc moi je pense que les autorités
05:10Naturellement ne sont pas les problèmes
05:12Je pense qu'ils vont les mettre dans les secteurs
05:14Qui seront naturellement rentables
05:17Pour le bonheur des jeunes législatives
05:19C'est pour ça que j'ai dit
05:21Docteur Léa
05:22Douteur
05:23Si vous avez une question
05:24Si vous avez une question
05:25Si vous avez une question
05:26Ou vous avez une question
05:27Ou vous avez une question
05:28Ou vous avez une orientation
05:29De la part des jeunes
05:30Ils ont dit
05:31Que vous l'investissez ou vous l'avez fait ?
05:32En général
05:33L'Etat est un plan
05:35Comme nous l'avons fait
05:37On a une vision
05:38Il a développé le plan
05:40Dès qu'il y a un projet
05:42Maintenant
05:43Si vous avez des projets
05:44Vous avez dit
05:45J'ai tant de projets
05:46Par exemple
05:47La dernière liste de projets
05:49Que j'avais dit
05:50En fait
05:51En fait
05:52On a fait
05:532 ans
05:55On a fait
05:57798 projets
05:59C'est 14 000 milliards
06:02Ils ont étalé
06:03Dans le secteur
06:04On a fait
06:05Un secteur
06:06Donc
06:07On a commencé à sortir les projets
06:10Il y a 60 projets prioritaires
06:38Il y a une taxe pour l'État qui doit le faire.
06:40La contrepartie doit le sortir de l'État.
06:45Souvent, il n'y a pas d'endettement.
06:48Parce que quand il y a d'endettement,
06:50le service de la dette est bien.
06:52Et les contreparties n'ont pas pour faire un projet.
06:56Et souvent, les États,
06:58le régime,
07:00ils sont venus à faire un budget.
07:03Un contrepartie qui est le budget,
07:05il n'y a pas d'endettement.
07:08Ils ont fait des virements de crédit.
07:10Il n'y a pas d'accord.
07:11Ils veulent commencer le projet d'autodème.
07:13C'est vrai.
07:15C'est vrai, Amna.
07:17C'est vrai.
07:19C'est vrai.
07:21Tout ça,
07:23la transparence budgétaire,
07:25c'est qu'il n'y a pas de balader.
07:29Il n'y a pas de négocier.
07:31La transparence budgétaire,
07:33l'État n'a pas de liberté de dépenser.
07:35Il n'y a pas de dépenser.
07:37Il n'y a pas d'autodème.
07:39Ils ne sont pas de dépenser.
07:41Ils sont d'accord sur un projet.
07:43Ils connaissent maintenant
07:44quel projet est le projet
07:46dans les ménages,
07:47dans les entreprises,
07:49il y a une réforme de l'ordre financier.
07:52Ils les listent,
07:54les acceptent,
07:55et les suivent.
07:56C'est vrai que l'État n'est pas d'affaire.
07:59Il n'y a pas d'affaire.
08:01En fait,
08:03vous n'avez pas d'affaire,
08:04il faut que tu dis la vérité.
08:07C'est très important.
08:09C'est très important en fin de l'année.
08:11Babou, j'ai dit que c'est un ancien chef qui a fait le financement.
08:15C'est une opportunité.