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Avec Alain Destexhe, médecin, essayiste, sénateur honoraire belge, auteur de "Mayotte, comment l'immigration détruit la société" éd. Texquis

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##CA_BALANCE-2025-04-23##

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Transcription
00:00Effectivement, on s'est dit quoi ? Pays perdu, pays sacrifié, pays où effectivement le Président de la République vient d'y aller.
00:08D'ailleurs, c'est intéressant parce que, juste je fais une anecdote, mais on n'a pas tellement envie de rire.
00:15Grazia, le journal de Grazia France, vient d'écrire un journal de mode.
00:20Et bien dit ceci, le magazine Grazia, c'est une photo de Brigitte Macron en déplacement à Mayotte.
00:25Et elle dit, Brigitte Macron éblouit Mayotte dans un tailleur chic et élégant.
00:31Voilà, c'était le tweet de Grazia France.
00:34C'est pas mal, hein ?
00:36Alain Destextes, bonjour.
00:38Bonjour.
00:39Bonjour docteur.
00:41J'ai reçu effectivement votre livre, Mayotte en détresse, qui vient de paraître aux éditions Texky.
00:49C'est bien ça, Texky.
00:50Exact.
00:51Et je dois dire que c'est vrai que, bon, on n'a vraiment pas, même pas envie de ricaner après ça.
00:58Et vous racontez, effectivement, votre expérience médicale.
01:01Vous êtes médecin, vous êtes médecin depuis des décennies, on peut dire.
01:05Vous le racontez d'ailleurs dans le livre, vous commencez à vous présenter.
01:08Et vous avez passé un été, c'est bien ça, trois mois à Mayotte en 2024, l'été 2024.
01:14Et puis, vous dites, d'ailleurs, je rappelle, vous avez travaillé pour Médecins Sans Frontières dans plusieurs pays d'Afrique.
01:20Et vous rendez plusieurs fois en par an dans la région des Grands Lacs.
01:23Et d'où proviennent des milliers de migrants, on va en parler.
01:26Et depuis l'épidémie du Covid, vous travaillez régulièrement dans des hôpitaux en France.
01:30Et vous êtes diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris.
01:33Et avant de renouer avec la médecine, vous avez une carrière politique en tant que sénateur en Belgique.
01:39Alors Mayotte, Mayotte, je voudrais savoir le médecin que vous êtes, dont vous avez été confronté tout de suite à tout ce qui se passe à Mayotte.
01:47Il vous racontait dans ce journal que je recommande, qui est passionnant, parce que voilà, vous êtes au cœur de ce qui se passe.
01:55Et je voudrais que vous nous racontiez justement comment, non seulement vous l'avez vécu,
01:58mais comment les problèmes de plein fouet dans ce pays de 400 000 habitants, dans ce département français,
02:05comment on le vit, comment on coche toutes les cases en 24 heures pratiquement.
02:14Oui, c'est exactement ça, M. Bercoff.
02:16C'est-à-dire qu'en fait, on est en France, puisqu'on est dans un département français.
02:20Mais en réalité, on est davantage en Afrique, puisqu'on est confronté à des pathologies qu'on ne voit plus du tout en métropole.
02:28Et on voit arriver des gens en détresse depuis les Comores, qui sont abandonnés sur une plage,
02:34qu'on doit évacuer en hélicoptère souvent vers l'hôpital de Mamoudzou,
02:38et qui très souvent meurent dans les heures qui suivent, parce qu'ils arrivent beaucoup trop tard.
02:44Ou bien on voit arriver des femmes dont le travail est déclenché par le trajet en bateau
02:50entre les Comores et Mayotte, et qui accouchent immédiatement.
02:54Et donc, oui, on est davantage effectivement dans des situations que j'ai pu rencontrer au Congo ou au Rwanda
03:00dans les années 80 avec Médecins Sans Frontières, que dans un département français.
03:05Mais alors justement, vous étiez donc, vous avez travaillé au centre de santé de référence de Zoumounier,
03:11c'est bien ça, qui dessert tout le nord de l'île, 50 000 habitants et peut-être davantage.
03:16Et puis voilà, les cas graves doivent être transportés à Mamoudzou.
03:19Mais ce que vous dites, en fait, c'est intéressant, c'est quels cas, par exemple,
03:23les maladies, vous dites, on ne l'a plus dans la métropole, mais on est en Afrique.
03:27Quel cas de maladies vous avez rencontré, notamment ?
03:30Bon, des méningites, une épidémie de choléra qui se terminait quand j'y étais,
03:37des problèmes de déshydratation, mais aussi des choses qu'on voit en France,
03:41mais de façon beaucoup plus gravement à Mayotte, par exemple, des diabètes,
03:45où les personnes arrivent complètement déshydratées, en état de choc ou de coma,
03:51ce qui n'arrive plus en métropole quasiment, ou bien des hypertensions,
03:56ça parlera à vos auditeurs, avec des chiffres à 20, 22, 24 de tensions,
04:02parce que les gens ne se font pas nécessairement soigner.
04:05Donc d'un point de vue médical, si vous voulez, une situation assez catastrophique,
04:08on voit aussi des parents qui n'amènent pas leurs enfants pour des crises drasmes.
04:14Il y a aussi une épidémie de drépanocytose,
04:18donc c'est une maladie du sang qui n'existe quasiment plus en métropole,
04:22mais qui est liée au mariage consanguin,
04:27et qui donne des douleurs chroniques extrêmement graves,
04:30où les enfants meurent une fois qu'ils atteignent l'âge de 20 ou 30 ans.
04:34Donc on est davantage dans une médecine tropicane que dans une médecine métropolitaine, si vous voulez.
04:41Et vous rappelez d'ailleurs, docteur, des textes, quelque chose d'important,
04:45c'est que l'immigration, dont on parle beaucoup, elle n'est pas que des Comores,
04:48évidemment elle arrive massivement des Comores,
04:50mais vous dites que ça arrive d'autres coins d'Afrique, et de plus en plus.
04:54L'immigration, vraiment la plaie de Mayotte,
04:57parce que je pense que si on avait que les Mahorais,
05:00on parlerait de 200, 150 à 200 000 personnes,
05:05et la France pourrait absorber, intégrer et amener ces personnes
05:09à peu près au même niveau de vie que la métropole.
05:13Mais en fait, comme la population est le double de ce qui est annoncé à cause de l'immigration,
05:19ça détruit tout.
05:20Ça détruit l'habitat, ça détruit le système de santé,
05:24qui est complètement débordé.
05:25Du coup, les Mahorais n'ont plus du tout accès aux mêmes soins que les Français de métropole.
05:31Les écoles sont dans un niveau catastrophique aussi,
05:34parce que théoriquement, tout le monde a le droit à l'enseignement.
05:37Donc vous avez des enfants comoriens ou malgaches qui ne parlent pas le français,
05:42qui se retrouvent du jour au lendemain dans des classes de leur âge,
05:46de 14-15 ans, avec des enfants Mahorais,
05:49et donc ça tire le niveau par le bas.
05:52Effectivement, cette immigration, qui au départ était des Comores et un peu de Madagascar,
05:58mais aujourd'hui, elle vient de toute l'Afrique.
06:00Rendez-vous compte, elle peut venir de Kinshasa, voire de Conakry,
06:04donc à plusieurs milliers de kilomètres de Mayotte,
06:08parce que c'est une route d'immigration plus facile
06:11que de traverser le Sahara et puis la Méditerranée.
06:14Vous voulez dire qu'il y a une immigration aujourd'hui ?
06:19C'est vrai qu'on l'a signalé, quelques médias l'ont signalé,
06:24qui viennent justement du Congo, de Conakry, etc.
06:27Et ça passe par Mayotte, c'est ça ?
06:29Oui, c'est incroyable.
06:31À la limite, si vous voulez, c'est presque plus long,
06:33de Conakry ou du Cameroun par exemple,
06:35c'est plus long que d'arriver directement en Europe par le trajet le plus court.
06:40Mais d'abord, c'est moins dangereux,
06:42puisqu'en fait, en gros, contrairement à ce qu'on peut croire,
06:46il faut beaucoup d'argent pour arriver en Europe ou à Mayotte.
06:48Il faut au moins 3 000 euros pour arriver de Kinshasa ou de Conakry.
06:52Oui, il faut le rappeler, c'est important, c'est le business.
06:543 000 euros par personne, c'est ça ?
06:573 000 euros par personne.
06:58Et en fait, c'est très facile.
07:00Donc, vous prenez un avion jusqu'en Tanzanie,
07:03puis vous prenez un bateau de Tanzanie au Comores,
07:05et puis vous prenez les fameuses Kwasakwasa jusqu'à Mayotte.
07:08Et donc, c'est en fait pas dangereux,
07:12contrairement à la traversée de la Méditerranée ou du Sahara qu'il est.
07:16Et vous arrivez à Mayotte, et là, vous déposez une demande d'asile,
07:20et vous êtes pris en charge, comme en France,
07:21par des associations qui sont d'ailleurs très mal vues par les Mahorais.
07:25Et puis, vous attendez votre demande d'asile.
07:29L'immigration est véritablement beaucoup plus que le cyclone ou la pauvreté,
07:34le fléau de Mayotte.
07:36Et on ne peut pas dire que le président Macron,
07:39le gouvernement français, ait compris l'importance du problème.
07:43Oui, je vais vous dire, là, il vient de rendre visite à Mayotte,
07:47il n'y a même pas quelques jours, il y a 4 heures.
07:51Vous vous dites...
07:51Oui, pardon.
07:53Ce que je voulais vous dire, docteur, des textes,
07:56en fait, les conséquences aussi de cette immigration absolument...
08:00Parce qu'ils sont 400 000, 450 000 aujourd'hui à Mayotte, pratiquement.
08:04Oui, on ne sait pas exactement le nombre, évidemment,
08:07mais à peu près, on peut dire qu'il y a 50% de la population
08:10qui est en situation illégale.
08:12C'est inédit, évidemment.
08:14Ça n'existe pas ailleurs.
08:1550%, c'est énorme.
08:17Dites les Goussaniers.
08:18Comme vous dites, même si c'est à l'échelle d'une île,
08:20mais c'est énorme.
08:21Et dites, quelles conséquences, alors,
08:23que vous avez pu voir sur l'insécurité,
08:25sur la violence, sur tout cela ?
08:27Donc, les conséquences, c'est la destruction du système de santé,
08:31les écoles débordées,
08:32et effectivement, la violence,
08:34parce que la violence, c'est surtout le fait de gangs de jeunes garçons.
08:39Parce que quand les parents sont renvoyés aux Comores,
08:42et ça arrive,
08:44en fait, ils abandonnent les enfants sur place
08:46pour qu'un jour, ils puissent devenir français.
08:49Donc, les plus jeunes sont pris en charge par des familles,
08:52mais ceux, à partir de 10, 12 ans,
08:55ils se retrouvent dans la rue,
08:56et ce sont eux qui constituent l'essentiel des bandes de délinquants.
09:00Et comme ils sont mineurs,
09:02comme en métropole,
09:03l'État ne peut rien faire, en fait.
09:06Et donc, il ne peut pas les renvoyer aux Comores,
09:09et il ne peut pas non plus s'en occuper correctement,
09:11vu le nombre.
09:12Et donc, il crée un climat d'insécurité généralisé dans toutes les îles.
09:17Écoutez, moi, après, j'ai aussi été en Nouvelle-Calédonie.
09:20En Nouvelle-Calédonie, quand j'y étais,
09:22il y avait un couvre-feu officiel, décrété par l'État.
09:26Mais à Mayotte, il y a un couvre-feu,
09:28de fait, qui n'est pas décrété par l'État,
09:31mais qui est de facto existant,
09:33parce que les gens n'osent plus sortir
09:35à partir du coucher du soleil à 7h du soir.
09:38Ah oui, à ce point, vous voulez dire que
09:40les rues sont vides, effectivement,
09:42dès le soir, dès la tombée de la nuit.
09:45C'est le désert.
09:47Exactement.
09:47Alors, pas les rues à Mamoudzou, le chef lieu,
09:49mais toute la circulation
09:51entre les différentes localités.
09:53Il n'y a plus une voiture qui circule
09:55à partir de 7h du soir.
09:57Oui, c'est assez terrifiant
10:00quand on se dit, c'est quand même la France,
10:02c'est un département français,
10:04et on a l'impression, ça fait des mois
10:06qu'on entend à l'Assemblée et ailleurs,
10:09les députés de Mayotte parler, etc.
10:11Mais on a l'impression que c'est presque,
10:13je ne dirais pas un dialogue de sourds,
10:15mais c'est très loin, alors on va s'en occuper,
10:17on y va de temps en temps, on fait des grandes proclamations.
10:20Mais pour vous, la réalité aujourd'hui,
10:22elle est quoi ?
10:23On va dans le mur ?
10:24Quelle est la solution ?
10:26Est-ce qu'il y a une solution, docteur ?
10:28Alors oui, il y a deux solutions,
10:30mais il faudrait un peu de courage politique.
10:32Enfin, il y a trois choses à faire,
10:34mais il faut un peu de courage politique.
10:35La première, quand les migrants arrivent des Comores,
10:40ils ne sont pas renvoyés directement aux Comores,
10:43ils sont amenés à Mayotte,
10:45et puis ils sont trignés.
10:46Et il y en a environ 40% qui restent,
10:49les malades, mais il y a beaucoup de soi-disant malades,
10:52qui arrivent avec des plâtres, des sondes urinaires,
10:54et qui en réalité ne sont pas malades.
10:57Des fausses plâtres, des fausses sondes,
10:58vous voulez dire, enfin des faux malades.
11:00Oui, des faux malades, puis les mineurs.
11:03Donc autrement dit, il y en a à peu près 40%
11:05qui restent.
11:05Donc la première chose qu'il faudrait faire,
11:07c'est renvoyer tout le monde sans les trier.
11:10La deuxième chose, qui est complètement aberrante,
11:13c'est que la gendarmerie et la police des frontières
11:15n'ont pas le droit d'entrer dans ce qu'on appelle
11:18les bangas, si vous voulez, les bidonvilles.
11:21Parce que la loi française l'interdit,
11:23c'est soi-disant le respect de la vie privée.
11:25Donc on sait très bien où sont ces inégaux,
11:27mais on ne peut pas aller les chercher.
11:29Mais attendez, c'est hallucinant ce que vous dites.
11:31C'est-à-dire que la police n'a pas le droit,
11:33à la gendarmerie d'entrer dans certaines zones
11:35par prétexte de vie privée.
11:38Mais qu'est-ce que ça a à voir ?
11:39C'est la France d'aujourd'hui,
11:41c'est l'Europe d'aujourd'hui, M. Bercoff.
11:44Et donc, qu'est-ce qu'ils font ?
11:46Ils font des contrôles routiers.
11:48Bon, à peu près tout le monde sait
11:50où les contrôles routiers vont se dérouler.
11:52Donc la seule chance d'attraper un illégal,
11:54c'est qu'ils se fassent attraper un contrôle routier.
11:57Mais on sait où ils sont.
11:58Ils sont dans les bangas.
11:58Tout le monde pourrait aller les chercher.
12:00Ça, c'est la deuxième mesure.
12:03Et la troisième, dont on ne parle jamais,
12:06c'est lutter contre tous les bébés papiers,
12:08les mariages illégaux, la polygamie,
12:11qui sont extrêmement répandus.
12:12Pour 200 ou 300 euros,
12:15vous vous achetez un père de papier à Mayotte.
12:18Donc vous allez trouver quelqu'un.
12:20Et vous-même, si vous êtes le père biologique,
12:22vous prenez un père maorais,
12:25donc français,
12:26qui déclare qu'il est le père de l'enfant.
12:27Et comme on est dans un pays musulman,
12:30il y a une polygamie extrêmement répandue.
12:33Donc on pourrait également demander
12:35aux caddies musulmans qui font les mariages
12:38de signaler les cas de polygamie.
12:41Et de ce point de vue,
12:42du point de vue des mariages illégaux,
12:44des bébés papiers, etc.,
12:45rien, absolument rien n'est fait.
12:48C'est hallucinant.
12:49C'est-à-dire qu'on peut s'acheter,
12:50et devenir le fils,
12:52on pourra devenir français le fils ou la fille,
12:54et on s'achète pour 300 euros.
12:56Quoi ? Pratiquement la nationalité française,
12:58et les avantages y afférents.
13:02C'est quand même...
13:03C'est hallucinant.
13:05Enfin, c'est terrifiant quand on parle de ça,
13:08parce qu'on se dit, oui, c'est loin,
13:09mais en fait, ce n'est pas loin.
13:11Et pour vous, vous rentrez de là-bas,
13:14docteur, pessimiste,
13:16ou encore, on peut s'en sortir,
13:18parce que vous dites le courage politique,
13:20mais vous savez que le courage politique ou autre,
13:22est la chose du monde la moins partagée.
13:26Effectivement, non.
13:26Écoutez, moi, je suis extrêmement pessimiste,
13:28parce que, vous savez,
13:29je suis toujours en contact avec mes collègues médecins
13:32et d'autres personnes sur l'île.
13:34En fait, le flux migratoire continue.
13:36Il y a même des immigrés des communes
13:39qui ont profité de la crise
13:41pour venir à Mayotte à ce moment-là,
13:43en se disant qu'il y aurait beaucoup moins de contrôles.
13:47Et la seule chose qui a été reconstruite immédiatement à Mayotte,
13:53ce sont les bangas, donc les bidonvilles, si vous voulez.
13:56Donc, je crois que le problème, c'est que on est...
14:00Bon, M. Macron est comme toujours dans les effets d'annonce.
14:03Là, j'ai vu qu'il avait annoncé un mur de fer contre l'immigration.
14:07Mais bon, c'est comme toujours, on est dans les slogans, si vous voulez,
14:10et les mesures que je vous ai indiquées,
14:13qui sont des mesures assez simples à prendre.
14:15Autoriser les gendarmes à aller dans les bangas,
14:18retourner directement les bateaux,
14:20ce n'est pas très compliqué, mais il faudrait le faire.
14:22Voilà, il faudrait qu'il y ait ce qu'il faut, où il faut.
14:26Mais ça, c'est encore un vœu pieux.
14:28Merci docteur.
14:29Je rappelle vraiment, lisez ce livre,
14:31« Mayotte, comment l'immigration détruit une société »,
14:34d'Alain Destextes.
14:35C'est aux éditions Texki.
14:38Et voilà, c'est un...
14:40Vous êtes un lanceur d'alerte,
14:41et ils en foutent en ce moment.
14:43Merci.
14:43Merci monsieur Bercoff, au revoir.

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